[PDF] Etude du phénomène de marée verte affectant les baies de Lannion





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Les marées noires. Le pétrole n'est pas miscible à l'eau. Il forme des nappes qui s'étalent sur de grandes surfaces et empêchent la dissolution de l'oxygène 



FP ETEC-M

Le troisième spectacle de cette série est consacré au phénomène des marées : << au rythme des marées. Introduction. ›› à partir du cycle 3 / 35 minutes.

INSTITUT SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE

DE S PECHE S

MARITIME

S ETUD

E _DU_PHENOMENE _DE_^MAREE_VERTE"

AFFECTANT_LES_BAIES_DE

LANNION ET DE SAINT-BRIEUC

I

I - Complément d'étude portant sur

le s prédateurs éventuels de l'algu e vert e Ulva lactuca pa r Joël KOPP Décembre 197
7 1 - Cett e court e étude fait l'objet d'un avenant à la convention signée entr e la Direction Départementale de l'Equipement des Côtes-du-Nord et l'Institu t des Pêches Maritimes. Le s conclusion s d u rapport principal mettaient en cause la qualité de s rejet s terrigènes et insistaient sur le fait que la lutte efficace contre le s causes primaires de ce phénomène semblait bien illusoire dans l'état i actue l des choses. Nou s nous sommes donc tournés vers le seul moyen d'action à notre porté e c'est-à-dir e vers la lutte contre les algues elles-mêmes. Bie n qu'il faille une nouvelle fois insister sur le fait que l'en lèvemen t de s cordon s littoraux d'épaves d'ulves demeure une nécessitéf il est appar u qu'il était envisageable de proposer une solution de type écologique cett e nuisance Le s ulve s ont e n effet, des prédateurs naturels qui, par suite de surpêche on t presqu e totalemen t dispar u des zones affectées par le phénomène d e maré e verte San s qu'il s'agisse là de la cause principale du développement anar- chiqu e des ulvacées, il est certain que le rétablissement de l'équilibre nature l des baies envahies devrait contribuer à limiter le phénomène. Cett e présente étude tente de répondre à cette question en offrant de s solutions pratiques immédiatement applicables. I . CHOIX DES ANIMAUX TESTES Notr e premier souci a été de dresser une liste précise des prédateurs

éventuel

s de s algue s vertes Cett e list e s'est rapidement trouvée limitée par le fait qu'il était, e n premie r lieu, tout à fait hors de question d'introduire des espèces non autochtones , cela pouvant parfois entraîner de graves conséquences. En second lieu , nous avons dû tourner nos investigations vers des espèces suffisamment répandue s pou r pouvoi r envisage r un repeuplement sur les champs d'ulves. - 2 - C'es t pourquoi, notre étude n'a porté que sur 5 espèces : 4 gastéropode s (Gibbul a Magnus, Littorina Littorea, Holiotis Tuberculata e t Patella Vulgata) et un échinoderme (Paracentratus Lividus). II . METHODE DE TRAVAIL a

Préparatio

n de_l^aquarium Un e grand e partie de l'intérêt de cette étude réside dans la compa raiso n des résultats obtenus. Or ceux-ci n'ont de valeur comparative que si le s conditions de milieu sont identiques dans chaque aquarium (celles-ci influençan t no n seulemen t l e comportement alimentaire des animaux mais encore e t surtout le développement des algues). Plutôt que de mettre en série paral lèl e un e batterie de 6 aquariums (1 par espèce testée + 1 pour l'étude simul tané e d e l a croissance des algues), nous avons jugé préférable de fractionner e n

6 parties un très grand aquarium de 600 litres au moyen de feuilles d'ol-

tugla s (il s'agit d'un plastique rigide) que nous avons au préalable percé d e nombreu x trous afin d'assurer les échanges d'eau d'une alvéole à l'autre e t l'homogénéisation du milieu. Précisons enfin que nous avons travaillé en ea u d e me r courant e ce qui a nécessité l'installation d'un bassin de décan tatio n en amont de l'aquarium expérimental (voir fig. 1). b

Préparatio

n de s ulve s Le s animaux testés étant tous rampants il a été nécessaire de tra vaille r sur des algues fixées afin que celles-ci puissent être atteintes par ce s brouteurs. C'est pourquoi nous avons immergé, dans chaque alvéole, 2 caillou x pesant entre 500 g et 1 kg, prélevés en mer, et recouverts d'ulves d e tailles variées. Ces cailloux ont été pesés en début d'expérience d'une manièr e aussi précise que possible et ce, bien que le risque d'erreur dûe au x gouttelette s d'eau (que nous avons cependant éliminées au mieux) soit important - 4 - L a consommation d'ulves par les animaux a pu être quantifiée en pesan t à nouveau les cailloux en milieu et en fin d'expérience (cfest-à-dire a u bou t de 1 et 2 mois). Nous avons bien sûr tenu compte de la croissance d u lo t d'ulves témoin (qui se développaient dans une alvéole à l'abri rti- tou t prédateur) pour le calcul de la quantité d'algues consommées. En f:n d'expérienc e ulve s et cailloux porteurs ont été pesés séparément par1 arra chag e de s thalles. III . RESULTATS OBTENUS L a mise en route de cette expérience a demandé un certain temps puisqu'i l a été nécessaire de réunir des animaux divers provenant de secteurs parfoi s éloignés les uns des autres. Les oursins (poracentrotus) provenant d e l a rade de BREST, où ils sont nombreux (l'espèce qui vit en NORMANDIE, ne dépass e pas ver s l'Ouest, le Cotentin), les ormeaux (haliotis) provenant de l a rade de CHERBOURG, les Gibbules provenant de la région de LOCQUIREC ainsi qu e le s Patelles. Seuls les bigorneaux (Littorines) et les ulves ont été prélevé s su rquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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