NATATION de VITESSE
Sur l'APSA. • Le vocabulaire spécifique (appuis résistances turbulences roulis
NATATION de VITESSE
Sur l'APSA. • Le vocabulaire spécifique (appuis résistances turbulences roulis
S4SEM2 Virages et techniques de nages
Oscillations: des oscillations de lacet et de tangage des oscillations de roulis plus ou moins importante selon la distance de nage (plus.
BASES BIOMECANIQUES DE LA NATATION
natation sportive (compétition) ? efficace (rapide) efficient (économe) Déséquilibres : roulis (de face)
Variabilité de la technique de nage: adaptabilité aux contraintes et
16 mai 2018 Directeur du Haut Niveau Fédération Française de Natation ... tangage » (rotation autour de l'axe vertical) et le « lacet » (rotation ...
INTERET DUN APPAREILLAGE DANS LA NATATION CHEZ UNE
niveau de la natation il me parle de ses difficultés à nager le crawl du fait de le roulis
Natation longue niveau 2 : A partir dun départ commandé réaliser
Gestion de ses affects sur un effort prolongé. Tangage roulis
CP 1 NATATION DE VITESSE NIVEAU 4
Sur l'APSA : Le vocabulaire spécifique (appuis résistances turbulences roulis
Contextualisation
La natation n'est pas une activité de production de forme mais de performance. dimensions (tangage roulis
ÉDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE
Équilibre : déséquilibres (lacets roulis) encore présents et accentués au cours de l'épreuve (tangage). • Variations de vitesse limitées jusqu'aux 5 derniers
[PDF] S4SEM2-techniques-de-nages-CRAWLpdf - PROPASE
Oscillations: des oscillations de lacet et de tangage des oscillations de roulis plus ou moins importante selon la distance de nage (plus
[PDF] NATATION : LES BASES BIOMECANIQUES
le roulis et le cavalement sur l'axe longitudinal le tangage et l'embardée sur l'axe transversal Le lacet et le pilonnement sur l'axe vertical
[PDF] adaptabilité aux contraintes et performance en natation - Thesesfr
tangage » (rotation autour de l'axe vertical) et le « lacet » (rotation autour de l'axe sagittal) en crawl A ce jour les études sur le roulis en crawl
Les 6 déséquilibres du nageur
Pourquoi étudier les déséquilibres? · Le roulis · Le cavalement · Le tangage · Le pilonnement · Les lacets · L'embardée
[PDF] NATATION de VITESSE
Sur l'APSA • Le vocabulaire spécifique (appuis résistances turbulences roulis tangage lacets) • Les points fondamentaux du règlement (départ
[PDF] Contextualisation
La natation n'est pas une activité de production de forme mais de performance 6 Les risques à prévoir dans la dimensions (tangage roulis lacet)
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Sur les 2 nages gagner en amplitude par un roulis de la ceinture scapulaire sans provoquer des mouvements de tangage ou de lacet
[PDF] Théorie natation - Fastly
l'inspiration brève s'effectue par une rotation de la tête associée au roulis général du corps en fin de poussée d'un bras du coté de celui-ci La phase
Qu'est-ce que le tangage en natation ?
Natation : LE TANGAGE : APPRENDRE À SE DÉSÉQUILIBRER
Par rapport à la surface de l'eau et au centre de gravité du nageur le mouvement de tangage correspond à une bascule simultanée du haut du corps vers l'avant et le bas, à une remontée des membres inférieurs vers le haut, et inversement.Qu'est-ce que le roulis en crawl ?
Qu'est-ce que le roulis en natation ? Le roulis en natation est une composante très importante en crawl comme en dos. Il s'agit en fait de la rotation des épaules autour de l'axe longitudinal du corps. Concrètement, le nageur en crawl (mais aussi en dos) ne doit jamais avoir les épaules à plat.Quels sont les déséquilibres causés par du rattrape ?
Voici les principales hypothèses que vous pouvez formuler à la vue de ces différents déséquilibres:
Le roulis. Ce déséquilibre n'est visible que dans les nages alternées. Le cavalement. Lors de ce déséquilibre, le nageur avance par à-coups. Le tangage. Le pilonnement. Les lacets. L'embardée.- Le modèle de l'aviron
On repère souvent ce modèle chez le débutant en dos et en brasse. En dos, cela créé des lacets . Ce mouvement n'est pas à rechercher car il ne permet ni d'avoir des appuis profonds, ni de bien orienter les surfaces motrices.
Pour obtenir le diplôme de docteur
Spécialité : Sciences Techniques des Activités Physique et Sportives (74ème section CNU)
Préparée au sein de l'Université de Rouen Variabilité de la technique de nage : adaptabilité aux contraintes et performance en natationPrésentée et soutenue par
David Napoleon SIMBAÑA ESCOBAR
Thèse dirigée par Ludovic SEIFERT au sein du laboratoire Centre d'Études des Transformations des Activités Physiques et Sportives (CETAPS) et sous l'encadrement de Philippe HELLARD, Conseiller Technique National (CTN) au sein du Service Recherche et Optimisation de la Performance de la FédérationFrançaise de Natation
Thèse soutenue publiquement le 19/02/2018
devant le jury composé de : Mr. Ludovic MARIN Maître de Conférences HDR, Université Montpellier Rapporteur Mr. Joao Paulo VILAS-BOAS Professeur, Université de Porto, Portugal Rapporteur Mr. Didier CHOLLET Professeur, Université de Rouen Normandie ExaminateurMr. Julien ISSOULIE Directeur Technique National, Fédération Française de Natation Examinateur
Mr. Rémi DUHAUTOIS Directeur du Haut Niveau, Fédération Française de Natation Examinateur
Mr. Philippe HELLARD Cadre Technique National, Service " Recherche et Optimisation de la Performance », Fédération Française de NatationCo-encadrant
Mr. Ludovic SEIFERT Professeur, Université de Rouen Normandie Directeur de thèseSOMMAIRE
Liste des Figures ....................................................................................................... v
Liste des Tableaux .................................................................................................. xv
Remerciements ..................................................................................................... xvii
Liste des abréviations............................................................................................ xxi
Chapitre 1. Introduction ............................................................................................ 1
Chapitre 2. Contexte et partenaires du projet ......................................................... 3
1. La Fédération Française de Natation .......................................................................... 3
2. Présentation du service Recherche de la Fédération Française de Natation .............. 3
3. Présentation du cadre épistémique général et des axes de recherche de la FFN ....... 5
3.1. Cadre théorique des Sciences de la complexité, de la systémique et de
l'approche technologique ................................................................................................ 5
3.2. Les différents axes thématiques de recherche .................................................... 6
4. Présentation générale de la problématique de thèse .................................................. 9
5. Le contexte contingent de la thèse ........................................................................... 10
5.1. L'évaluation de la compétition est historiquement le domaine d'analyse majeur à
la FFN 105.2. L'analyse de la technique de nage via le couplage des données de vitesse et
d'accélérations aux images vidéo a été inspirée par l'observation de l'accompagnement
scientifique de la CEI (Communauté des États Indépendants) du Monde aux JeuxOlympiques de Barcelone en 1992 ............................................................................... 13
5.3. Le modèle technique de référence " se propulser, créer de la vitesse en
réduisant les résistances à l'avancement " a été élargi par les entraîneurs de l'équipe de
France en intégrant l'indispensable adaptabilité à la variabilité compétitive .................. 14
5.4. Cette thèse se situe dans le cadre d'une tentative d'élargissement des modèles
interprétatifs du comportement moteur majoritairement mobilisés au sein de la FFN.... 18 Chapitre 3. L'analyse de course et du mouvement : état de l'art enbiomécanique .......................................................................................................... 21
1. Analyse de course .................................................................................................... 21
2. Analyse du pacing .................................................................................................... 24
2.1. Caractérisation des profiles de pacing .............................................................. 25
2.2. Variabilité des profiles de pacing de vitesse ...................................................... 32
2.3. Effet de la manipulation du pacing sur les paramètres cinématiques,
métaboliques et de performance .................................................................................. 34
3. Gestion du rapport entre la fréquence gestuelle et la distance par cycle ................... 38
3.1. Évolution de la fréquence gestuelle et de la distance par cycle en compétition . 40
3.2. Effet de l'expertise et du sexe sur le rapport entre la fréquence gestuelle et la
distance par cycle ......................................................................................................... 46
4. Analyse du mouvement : accélération, variations de vitesse instantanée, phases du
cycle de nage et coordination motrice .............................................................................. 48
4.1. Les variations intra-cycliques de la vitesse de nage .......................................... 48
4.2. Les variations intra-cycliques de l'accélération .................................................. 51
4.3. Les variations intra-cycliques de vitesse : considérations méthodologiques ...... 51
4.4. Les variations intra-cycliques de vitesse angulaire (autour d'un axe) ................ 54
4.5. Phases du cycle de nage et coordination motrice ............................................. 55
Chapitre 4. L'analyse de course et du mouvement selon le cadre de laDynamique Écologique........................................................................................... 67
1. Introduction ............................................................................................................... 67
2. Le couplage individu-environnement et l'effet des contraintes .................................. 69
3. La variabilité intra- et inter-individuelle de la performance, de mouvement et de
coordination motrice vue comme l'adaptation individuelle aux contraintes ........................ 73Chapitre 5. Objectifs de la thèse ............................................................................ 77
Chapitre 6. Contribution personnelle .................................................................... 79
1. Analyse de course en natation .................................................................................. 79
1.1. Modélisation des paramètres techniques en situation de compétition pour les
épreuves de sprint " Vers une compréhension de la variabilité inter et intra longueur afind'évaluer la gestion de course » ................................................................................... 79
1.2. Rôle fonctionnel de la variabilité de la performance " Adaptation des nageurs
aux contraintes compétitives en crawl ». .................................................................... 101
1.3. Analyses de la compétition en natation " Variabilité intra-inter-individuelle de la
gestion de la vitesse et des paramètres techniques de nage » ................................... 123
2. Analyse de mouvement en natation ........................................................................ 140
2.1. Introduction ..................................................................................................... 140
2.2. Méthode .......................................................................................................... 146
2.3. Résultats ......................................................................................................... 168
2.4. Discussion ...................................................................................................... 190
Chapitre 7. Discussion Générale ......................................................................... 198
1. Apport épistémique : rôle fonctionnel de la variabilité, adaptabilité et expertise ...... 198
1.1. Rôle fonctionnel de la variabilité ...................................................................... 198
1.2. Adaptabilité et expertise .................................................................................. 201
2. Apports méthodologiques ....................................................................................... 202
2.1. Modélisation cycle à cycle par régression ....................................................... 202
2.2. Méthode de classification : le clustering pour des données longitudinales
(LCMM) pour étude de la variabilité ............................................................................ 204
2.3. Méthode de découpage cycle à cycle à partir des centrales inertielles (IMU) pour
l'analyse des accélérations segmentaires du bassin ................................................... 206
3. Apports transformatifs ............................................................................................. 208
Chapitre 8. Conclusion, Limites et Perspectives ............................................... 2131. Conclusion .............................................................................................................. 213
2. Limites .................................................................................................................... 215
3. Perspectives ........................................................................................................... 216
Références ............................................................................................................. 218
Liste des Figures
Figure 1 : Modèle du système de production sportif. ........................................................................... 5
Figure 2 : Evolution de la vitesse, fréquence gestuelle et distance par cycle ..................................... 15
Figure 3 : Interprétations de points caractéristiques au cours d'un test progressif sans fatigue .......... 18
Figure 4 : Modèle théorique de fonctionnement du nageur selon Catteau (2008) .............................. 19
Figure 5 : Mémo de lecture pour la fiche d'analyse des composantes de la course, grâce au logiciel
Espadon. ................................................................................................................................. 23
Figure 6: Exemple d'analyse de course pour la finale du 50m nage libre au Championnat de France deDunkerque 2008. ..................................................................................................................... 24
Figure 7 : Exemple de fiche individuelle d'analyse de course au Championnat du Monde de Shangai en2011. ....................................................................................................................................... 24
Figure 8 : Exemples des divers profils de pacing couramment observés en compétition. .................. 27
Figure 9 : Profiles de gestion de course pour les différents types d'épreuves (en référence à Thompson
et al., 2014). ............................................................................................................................ 32
Figure 10 : Relation entre la fréquence gestuelle (SR) et la distance par cycle (SL) en fonction de la
vitesse ; (b) Exemple pour un nageur de l'évolution possible de la fréquence gestuelle (SR) (en
gris) avec l'augmentation de la vitesse (adapté de Craig & Pendergast, 1979). ........................ 39
Figure 11 : Gamme de fréquence gestuelle (SR) et de distance par cycle (SL) pour un ensemble de nageurs se déplaçant à vitesse similaire (sur la base des Jeux Olympiques d'Atlanta, 1996)(adapté de Haljand). ................................................................................................................ 40
Figure 12 : Évolution de la fréquence gestuelle (SR) durant un 100m nage libre. a: intervalle
significativement différent avec le précédent intervalle de 5m (Sidney et al., 1999). .................. 43
Figure 13 : Évolution de la fréquence gestuelles (SR) durant un 200m nage libre. b: intervalle
significativement différent avec le précédent intervalle de 5m (Sidney et al., 1999). .................. 44
Figure 14 : Évolution de la durée du cycle de la Championne Olympique du 200m nage libre au Jeux
Olympiques d'Athènes en 2004................................................................................................ 44
Figure 15 : Relation entre le coût énergétique (C) et les variations intra-cycliques de vitesse (dv) dans
les quatre nages, incluant les femmes () et les hommes () (Barbosa et al., 2006). ................ 50
Figure 16 : Variations intra-cycliques de vitesse du centre de gravité (Vfluc) en valeur absolue et relative
dans les trois directions durant les quatre longueurs d'un 200m (Psycharakis et al., 2010). ...... 53
Figure 17 : Trois modes de coordination inter-bras en crawl (adapté de Chollet et al., 2000). ............ 57
Figure 18 : Mode de coordination des bras en opposition en crawl (à gauche), mode de coordinationdes bras en rattrapé en crawl (au milieu), mode de coordination des bras en superposition en crawl
(à droite). ................................................................................................................................. 58
Figure 19 : Évolution de l'index de Coordination avec la vitesse de nage pour un protocole incrémenté
en vitesse sur 4 x 25m. ............................................................................................................ 59
Figure 20 : Régression linéaire modélisant l'évolution de l'index de Coordination (IdC) avec la vitesse
pour les allures lentes et les allures rapides en fonction du sexe et du niveau d'expertise : G1 : hommes experts ; G2 : hommes de niveau intermédiaire ; G3 : femmes expertes (Seifert et al.,2007). ...................................................................................................................................... 60
Figure 21 : Relation quadratique entre la vitesse et l'index de Coordination (A) ; relation puissance de
degré 2 entre la vitesse et la force de résistance (B) ; relation linéaire entre la force de résistance
et l'index de Coordination (C) (Seifert et al., 2015). .................................................................. 61
Figure 22 : Effet de l'augmentation de la vitesse sur les forces résistives (A), la puissance mécanique
(B) et l'index de Coordination (C). * : différence significative entre les nageurs experts (en blanc)
et les nageurs de niveau intermédiaire (en gris) p <0.05 (Seifert et al., 2010). .......................... 62
Figure 23 : Régression linéaire modélisant l'évolution de l'index de Coordination (IdC) avec la fréquence
gestuelle pour les allures lentes et les allures rapides en fonction du sexe et du niveau d'expertise :
G1 : hommes experts ; G2 : hommes de niveau intermédiaire ; G3 : femmes expertes (Seifert etal., 2007). ................................................................................................................................ 63
Figure 24 : Relation entre fréquences gestuelles imposées et l'index de Coordination pour des nageurs
de deux niveaux d'expertise différents. Les flèches indiquent les points d'inflexion où la
coordination motrice est particulièrement affectée par la fréquence gestuelle (Potdevin et al.,
2006). ...................................................................................................................................... 64
Figure 25 : Évolution des variations de vitesse instantanée (IVV) et de l'index de Coordination (IdC) pour
des nageurs non-experts ('recreational', partie gauche) et élites (partie droite) (Schnitzler et al.,
2010). ...................................................................................................................................... 65
Figure 26 : Modèle hiérarchique de la performance en natation (Hay, 1993) ..................................... 67
Figure 27 : Position interdisciplinaire de l'approche dynamique des coordinations (Beek et al. 1995) 68
Figure 28 : Illustration de l'émergence du comportement sous influence des trois types de contraintes
modulant le couplage perception-action (Davids et al. 2008) .................................................... 69
Figure 29: Effet de la distance inter-longueur à travers les courses de 50 m et de 100 m pour les hommes
et les femmes (N=32). Comparaisons entre le 50 m et le 1 er 50 m du 100 m et entre le 1er 50 m et le 2 ème 50 m du 100 m pour les différents paramètres techniques : Fréquence de nage (SR),Vitesse (S), Distance par cycle (SL), Indice de nage (SI) et leurs coefficients de variation biologique
(BCV SR, BCV S, BCV SL, BCV SI). * différence significative entre chaque essai (p<,01). d effetdu genre avec différence significative entre les hommes et les femmes (p<,05)........................ 88
Figure 30: L'évolution des différents modèles moyens a été tracée pour la vitesse de nage pour chaque
longueur de chaque course. Les marqueurs remplis en blanc correspondent au 50 m et les marqueurs remplis en noir au 100 m (50 m dans le panel de gauche, 1er 50 m du 100 m dans le panel du milieu et 2 ème 50 m du 100 m dans le panel de droite). Les résultats concernant les nageurs sont présentés au sein du panel du haut, et les nageuses au sein du panel du bas. Lestrois modèles de régression sont représentés par des cercles pour le modèle linéaire, par des
triangles pour le modèle quadratique et par des carrés pour le modèle cubique. ...................... 95
Figure 31: Évolution de la vitesse du meilleur nageur (panel haut) et de la meilleure nageuse (panel
bas) lors du 100 m. Les fluctuations de vitesse pour la première et la deuxième longueur du 100
m sont tracées dans le panel de gauche (L1) et de droite (L2). Le meilleur modèle est présenté en
ligne noire continue avec son intervalle de confiance (zone de surface grisée) et le coefficient de
détermination ajusté (r2 adj) ont été représentés. De plus, les différentes valeurs moyennes des
paramètres techniques de la nage (vitesse (S), fréquence de nage (SR), distance par cycle (SL) et indice de nage (SI)) avec leur coefficient de variation biologique respectifs (BCV S, BCV SR,BCV SL, BCV SI) sont également présentés. ......................................................................... 100
Figure 32: Comparaison inter-longueur lors du 200-m nage libre pour tous les sujets (N=32). Panel a) :
les différents paramètres techniques : fréquence de nage (SR), Vitesse (S), Distance par cycle
(SL) et Indice de nage (SI). Panel b) : le coefficient de variabilité biologique (BCV %) de chaque
paramètre de nage. ** différences significatives entre deux longueurs (p<.01). d différences
significatives entre hommes et femmes (p<.05). ..................................................................... 107
Figure 33: Effet de la distance entre les longueurs lors du 200-m nage libre pour les hommes de niveau
international (Male Int) et national (Male Nat), ainsi que pour les femmes de niveau international(Female Int) et national (Female Nat). Panel a) : Évolution des différents paramètres techniques :
fréquence de nage (SR), Vitesse (S), Distance par cycle (SL) et Indice de nage (SI). Panel b) :coefficient de variabilité biologique (BCV %) de chaque paramètre de nage. Différences
significatives : s pour le niveau international entre les 2 longueurs, b pour le niveau national entre
les 2 longueurs (p<.05). ......................................................................................................... 109
Figure 34: Évolution de la vitesse (S) pour les différents modèles testés (linéaire, quadratique, cubique
pour le nageur 2. En gris, sont représentés les intervalles de confiance à 95%. ................... 110
Figure 35: Évolution de la vitesse de nage pour les différents modèles moyens lors du 200-m nage libre.
Les nageurs sont représentés sur les graphiques du haut et les nageuses sur ceux du bas. Les symboles remplis correspondent au niveau international et les symboles vides, au niveau national.Les 3 modèles sont indiqués par les différents formes des symboles : linéaire (disques),
quadratique (triangles) et cubique (carrés). N correspond au nombre de nageurs modélisés par le
modèle mathématique correspondant. ................................................................................... 113
Figure 36: Évolution de la distance par cycle pour les différents modèles moyens lors du 200-m nage
libre. Les nageurs sont représentés sur les graphiques du haut et les nageuses sur ceux du bas.
Les symboles remplis correspondent au niveau international et les symboles vides, au niveaunational. Les 3 modèles sont indiqués par les différents formes des symboles : linéaire (disques),
quadratique (triangles) and cubique (carrés). N correspond au nombre de nageurs modélisés par
le modèle mathématique correspondant. ................................................................................ 115
Figure 37: Évolution de la fréquence de nage pour les différents modèles moyens lors du 200-m nage
libre. Les nageurs sont représentés sur les graphiques du haut et les nageuses sur ceux du bas.
Les symboles remplis correspondent au niveau international et les symboles vides, au niveaunational. Les 3 modèles sont indiqués par les différents formes des symboles : linéaire (disques),
quadratique (triangles) and cubique (carrés). N correspond au nombre de nageurs modélisés par
le modèle mathématique correspondant. ................................................................................ 117
Figure 38 : Valeurs de vitesse normalisée pour l'épreuve du 50-m nage libre. La ligne noire correspond
à la classe 1 et la rouge à la classe 2, tandis que les lignes en pointillés correspondent à l'intervalle
de confiance respectif (CI). .................................................................................................... 128
Figure 39. Valeurs de vitesse normalisée pour l'épreuve du 100-m nage libre (à gauche la première
longueur L1 et à droite L2). La ligne noire correspond à la classe 1 et les lignes en pointillés
correspondent à l'intervalle de confiance respectif (CI). .......................................................... 129
Figure 40: Valeurs de vitesse normalisée pour l'épreuve du 200-m nage libre (en haut à gauche la
première longueur L1 et à droite L2, en bas à gauche la troisième longueur L3 et à droite L4). La
ligne noire correspond à la classe 1, la ligne rouge à la classe 2 et la ligne verte à la classe 3,
tandis que les lignes en pointillés correspondent à l'intervalle de confiance respectif (CI). ...... 132
Figure 41 : Valeurs de vitesse normalisée par rapport à la vitesse moyenne de nage à chaque longueur
et pour deux épreuves de nage libre d'un même nageur. A gauche le 100 et 200-m pour un nageuret à droite le 50 et 100-m pour une nageuse. La ligne en continue correspond à l'évolution de la
vitesse de nage pour chaque nageur : en noir la classe 1, en rouge la classe 2 et en vert la classe3. ........................................................................................................................................... 135
Figure 42 : Valeurs de la trajectoire de vitesse normalisée pour rapport à la vitesse moyenne de nage à
chaque longueur pour le 200-m nage libre. La trajectoire de 3 nageurs internationaux a été étudiée,
le temps final (FT) ainsi que le ranking mondial du nageur entre juillet 2015 et avril 2016 à l'épreuve
du 200-m (WR) pour chaque nageur ont été renseignés. La ligne en continue correspond àl'évolution de la vitesse de nage pour chaque nageur : en noir la classe 1, en rouge la classe 2 et
vert la classe 3. ...................................................................................................................... 136
Figure 43 : Photographie du dispositif auditif Tempo Trainer Pro et son tableau de conversion de lafréquence qui peut être augmentée ou diminuée (Hz) par rapport à la fréquence de nage
souhaitée. .............................................................................................................................. 147
Figure 44 : Photo du dispositif de caméra mobile. Système composé d'un flotteur et de deux caméras
(i.e., une aérienne et une sous-marine). ................................................................................. 148
Figure 45 : Photographie d'une centrale inertielle HIKOB FOX (pièce de 50cts d'euros -Ø 2,4 cm- pour
l'échelle). L'orientation de la centrale est également présentée (l'axe Z, non représenté sur cette
photographie en deux dimensions, traverse la centrale de façon transversale). ...................... 149
Figure 46 : Dispositif expérimental. A gauche, position de calibration statique d'une nageuse avant un
test. Sur les deux images, nous pouvons visualiser le placement des centrales inertielles et dumétronome (un zoom de ces dispositifs technologiques est présenté au centre). ................... 150
Figure 47: Détection automatique du temps de cycle (triangles bleus), sur des données
accélérométriques brutes (axe Z du capteur positionné sur l'avant-bras, en haut) ou sur des
données gyroscopiques lissées par un filtre Butterworth (axe Y du capteur, en bas). Reproduction
avec l'accord de l'auteur (Guignard, 2017). ............................................................................ 152
Figure 48 : Les quatre phases du cycle de nage d'après Chollet (2000). Image adaptée de Chollet
(Chollet, 2015). ...................................................................................................................... 154
Figure 49: Détection automatique de la sortie de la main de l'eau (losanges noirs) à partir du signal de
position angulaire du capteur de l'avant-bras (axe médio-latéral). Reproduction avec l'accord de
l'auteur Guignard (2017). ....................................................................................................... 156
Figure 50: Détection automatique du début de la traction (ronds magentas) à partir des données
gyroscopiques (axe médio-latéral, courbes bleues) et de l'accélération (axe longitudinal, courbe
marron) du capteur de l'avant-bras. Le début de la traction correspond à la moyenne entre leschangements de pente détectés sur les signaux gyroscopiques (carrés cyans, panel en haut à
gauche) et accélérométriques (ronds noirs, panel en haut à droite). Reproduction avec l'accord de
l'auteur (Guignard, 2017). ...................................................................................................... 157
Figure 51: Détection automatique du début de la poussée (carrés rouges) sur les zones délimitées (en
orange transparent) par le temps de cycle (triangles bleus) et le début du retour aérien (losanges
noirs), à partir des données gyroscopiques du capteur de l'avant-bras (axe médio-latéral). La
courbe bleue correspond aux données gyroscopiques (représentées sur l'axe de gauche) ; lacourbe violette correspond aux données de positions angulaires (représentées sur l'axe de droite).
Reproduction avec l'accord de l'auteur (Guignard, 2017). ....................................................... 158
Figure 52: Détection automatique de l'entrée de la main dans l'eau (ronds verts), correspondant au
premier maximum local après la détection du temps de cycle (triangles bleus) sur les données
brutes gyroscopiques du capteur de l'avant-bras (axe médio-latéral). Reproduction avec l'accord
de l'auteur (Guignard, 2017). ................................................................................................. 159
Figure 53: Résumé des différents points détectés pour délimiter les différentes phases du cycle de nage
en crawl (chaque phase est représentée en orange transparent). La courbe bleue correspond auxdonnées gyroscopiques lissées (représentées sur l'axe de gauche) ; la courbe violette correspond
aux données de positions angulaires (représentées sur l'axe de droite). Reproduction avec
l'accord de l'auteur (Guignard, 2017). .................................................................................... 160
Figure 54: Les différents modes de coordination entre les deux membres supérieurs d'après Chollet
(Chollet, 2015). i) Opposition : IdC=0% , ii) Rattrapé : IdC <0 , iii) Superposition : IdC >0. ...... 161
Figure 55 : Le profil moyen des accélérations tridimensionnelles normalisées par rapport au temps (%
cycle de nage) de l'avant-bras droit (U) est présenté sur le panel du haut et celui du sacrum (LB)
sur le panel du bas de chaque graphique (axe x horizontal à gauche, axe y latéral au milieu, et
axe vertical à droite). Deux fréquences de nage imposées sont présentées pour le nageur
sélectionné (i.e., une fréquence rapide de 54 cycles.min -1 pour le panel du haut et une fréquence lente de 40 cycles.min -1 pour le panel du bas). La ligne noire continue correspond au cycle moyen,les intervalles de confiance étant délimités par des surfaces colorées : en noir la phase de glisse,
en gris clair la phase de traction, en gris foncé la phase de poussée et en blanc la phase de retour
aérien. ................................................................................................................................... 163
Figure 56 : Méthode de calcul de l'aire sous la courbe pour la courbe d'accélération par rapport au
temps du sacrum sur l'axe latéral (LBy). En ligne continue noire le profil d'accélération (Acc),
délimitant des zones colorées en gris foncé correspondant aux décélérations (AUC1) et en gris
clair correspondant aux accélérations (AUC2). ....................................................................... 165
Figure 57 : Évolution de l'erreur de la fréquence de nage réalisée par rapport à la fréquence de nage
imposée. Les différents paliers (P1-P7) sont représentés pour les hommes avec un trait pointillé
et un marqueur 'cercle' ; pour les femmes avec un trait continu et un marqueur 'carré'. .......... 168
Figure 58 : Évolution de la fréquence de nage en cycle par minute. Les différents paliers (P1-P7) sont
représentés par des lignes continues pour les hommes et par des lignes pointillées pour lesfemmes. La fréquence préférentielle (SR P) ainsi que la fréquence maximale (SR M) sont
représentées sur la partie droite du graphique. Les différences significatives de fréquence (p<
0,05) entre les différents paliers sont représentées par les chiffres 1 à 7 (1 correspondant au
premier palier et 7 correspondant au dernier palier), et par ** pour SR M. .............................. 169
Figure 59 : Évolution de la fréquence de nage normalisée par rapport à la fréquence préférentielle (SR
P). Les différents paliers (P1-P7) sont représentés par des lignes continues pour les hommes et
par des lignes pointillées pour les femmes. La fréquence préférentielle (SR P) ainsi que la
fréquence maximale (SR M) sont représentées sur la partie droite du graphique. Les différences
significatives de fréquence (p< 0,05) entre les différents paliers sont représentées par les chiffres
1 à 7 (1 correspondant au premier palier et 7 correspondant au dernier palier), et par ** pour SR
M. .......................................................................................................................................... 170
Figure 60 : Évolution de la fréquence de nage en cycle par minute (en % de la fréquence de nage
maximale). Les différents paliers (P1-P7) sont représentés par des lignes continues pour les
hommes et par des lignes pointillées pour les femmes. La fréquence préférentielle (SR P) ainsi
que la fréquence maximale (SR M) sont représentées sur la partie droite du graphique. Lesdifférences significatives de fréquence (p< 0,05) entre les différents paliers sont représentées par
les chiffres 1 à 7 (1 correspondant au premier palier et 7 correspondant au dernier palier), et par
** pour SR M.......................................................................................................................... 171
Figure 61 : Évolution de vitesse de nage (Speed, S en m.s -1). Les différents paliers (P1-P7) sont représentés par des lignes continues pour les hommes et par des lignes pointillées pour lesfemmes. La fréquence préférentielle (SR P) ainsi que la fréquence maximale (SR M) sont
représentées sur la partie droite du graphique. Les différences significatives de fréquence (p<
0,05) entre les différents paliers sont représentées par les chiffres1 à 7 (1 correspondant au
premier palier et 7 correspondant au dernier palier). .............................................................. 172
Figure 62 : Évolution de l'index de coordination (IdC, en %). Les différents paliers (P1-P7) sont
représentés par des lignes continues pour les hommes et par des lignes pointillées pour lesfemmes. La fréquence préférentielle (SR P) ainsi que la fréquence maximale (SR M) sont
représentées sur la partie droite du graphique. Les différences significatives de fréquence (p<
0,05) entre les différents paliers sont représentées par les chiffres 1 à 7 (1 correspondant au
premier palier et 7 correspondant au dernier palier), par * pour SR P et par ** pour SR M. ..... 173Figure 63 : Modélisation de l'Index de Coordination (IdC) en fonction de la fréquence de nage par une
régression linéaire ou polynomiale. L'équation correspondantau meilleur modèle ainsi que le
coefficient de détermination ajusté r2ajust sont renseignés pour les hommes (marqueur carré, à
droite) et les femmes (marqueur cercle, à gauche). Les intervalles de confiance pour chaquemodèle sont représentés en traits pointillés. Pour chaque groupe de nageurs, le marqueur rempli
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