[PDF] Le Renard et la Cigogne Compère le Renard se mit un jour en frais





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LE RENARD ET LA CIGOGNE Compère le Renard se mit un jour en

Compère le Renard se mit un jour en frais. Et retint à dîner commère la Cigogne. Le régal fut petit et sans beaucoup d'apprêts :.



Le Renard et la Cigogne Compère le Renard se mit un jour en frais

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette: La cigogne au long bec n'en put attraper miette. Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de 



Le rEnard et la cigogne Le rEnard et la cigogne

lecture d'œuvre / le renard et la cigogne. 1. Peint par Jean Baptiste Oudry en 1747 Elle illustre la fable “Le Renard et la Cigogne” de Jean de la Fontaine.



Renard et la Cigogne

Le Renard servit de la soupe dans des assiettes . La pauvre Cigogne ne pouvait pas tremper son grand bec dans l'assiette mais le Renard pouvait laper* sa.



projet sur les fables de jean de la fontaine

Le Corbeau et le Renard. Le Renard le Loup et le Cheval. Le Coq et le Renard (pour 3 élèves). 2. DIFFÉRENCES ET SIMILITUDES. Le Renard et la Cigogne. Le Pot de 



Le renard et la cigogne

La Cigogne au long bec n'en put attraper miette ;. Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de cette tromperie. A quelque temps de là



Le renard et la cigogne.

Compère le Renard se mit un jour en frais et retint à dîner commère la Cigogne. Le régal fût petit et sans beaucoup d'apprêts :.



Le renard et la cigogne Le renard et la cigogne

Compère le Renard se mit un jour en frais et retint à dîner commère la Cigogne. Le régal fût petit et sans beaucoup d'apprêts :.



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Il en composera plus de 240. Lisez attentivement la fable suivante puis répondez aux questions. Le Renard et la Cigogne. 1.



Le Renard et la Cigogne Compère le Renard se mit un jour en frais

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette: La cigogne au long bec n'en put attraper miette. Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de 



Le renard et la cigogne.

Compère le Renard se mit un jour en frais et retint à dîner commère la Cigogne. Le régal fût petit et sans beaucoup d'apprêts :.



Le Renard et la Cigogne

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette : La cigogne au long bec n'en put attraper miette. Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de 



Le renard et la cigogne

Monsieur Renard : compère renard. Madame Cigogne : commère Cigogne. Mon petit chat adore le lait. Sa petite langue toute rose lèche le contenu de son bol.



lecture analytique 1. Ecoute plusieurs fois le Renard et la Cigogne

Compère le Renard se mit un jour en frais1 et retint à dîner commère2 la Cigogne. Le régal3 fût petit et sans beaucoup d'apprêts4 :.



Le Renard et la Cigogne Compère le Renard se mit un jour en frais

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette : La Cigogne au long bec n'en put attraper miette ;. Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de 



LE RENARD ET LA CIGOGNE Compère le Renard se mit un jour en

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette : La cigogne au long bec n'en put attraper miette. Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de 



Le renard et la cigogne

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette : La Cigogne au long bec n'en put attraper miette ;. Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour 



TEXTE. 1.

Pour le dîner il y avait de la soupe que le Renard servit à la Cigogne dans une assiette. La pauvre Cigogne pouvait à peine tremper son grand.



Le renard et la cigogne.

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette : La Cigogne au long bec n'en put attraper miette ;. Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de 

Le Renard et la Cigogne

Compère le Renard se mit un jour en frais,

et retint à dîner commère la Cigogne. Le régal fût petit et sans beaucoup d'apprêts :

Le galant pour toute besogne,

Avait un brouet clair ; il vivait chichement.

Ce brouet fut par lui servi sur une assiette :

La Cigogne au long bec n'en put attraper miette ;

Et le drôle eut lapé le tout en un moment.

Pour se venger de cette tromperie,

A quelque temps de là, la Cigogne le prie.

"Volontiers, lui dit-il ; car avec mes amis

Je ne fais point cérémonie. "

A l'heure dite, il courut au logis

De la Cigogne son hôtesse ;

Loua très fort la politesse ;

Trouva le dîner cuit à point :

Bon appétit surtout ; Renards n'en manquent point.

Il se réjouissait à l'odeur de la viande

Mise en menus morceaux, et qu'il croyait friande.

On servit, pour l'embarrasser,

En un vase à long col et d'étroite embouchure.

Le bec de la Cigogne y pouvait bien passer ;

Mais le museau du sire était d'autre mesure.

Il lui fallut à jeun retourner au logis,

Honteux comme un Renard qu'une Poule aurait pris,

Serrant la queue, et portant bas l'oreille.

Trompeurs, c'est pour vous que j'écris :

Attendez-vous à la pareille.

Jean de la Fontaine

Le Chêne et le Roseau

Le Chêne un jour dit au Roseau :

"Vous avez bien sujet d'accuser la Nature ;

Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.

Le moindre vent, qui d'aventure

Fait rider la face de l'eau,

Vous oblige à baisser la tête :

Cependant que mon front, au Caucase pareil,

Non content d'arrêter les rayons du soleil,

Brave l'effort de la tempête.

Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr.

Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage

Dont je couvre le voisinage,

Vous n'auriez pas tant à souffrir :

Je vous défendrais de l'orage ;

Mais vous naissez le plus souvent

Sur les humides bords des Royaumes du vent.

La nature envers vous me semble bien injuste.

- Votre compassion, lui répondit l'Arbuste,

Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci.

Les vents me sont moins qu'à vous redoutables.

Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici

Contre leurs coups épouvantables

Résisté sans courber le dos ;

Mais attendons la fin. "Comme il disait ces mots,

Du bout de l'horizon accourt avec furie

Le plus terrible des enfants

Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.

L'Arbre tient bon ; le Roseau plie.

Le vent redouble ses efforts,

Et fait si bien qu'il déracine

Celui de qui la tête au Ciel était voisine

Et dont les pieds touchaient à l'Empire des Morts.

Jean de la Fontaine

Le Pot de terre et le Pot de fer

Le Pot de fer proposa

Au Pot de terre un voyage.

Celui-ci s'en excusa,

Disant qu'il ferait que sage

De garder le coin du feu :

Car il lui fallait si peu,

Si peu, que la moindre chose

De son débris serait cause.

Il n'en reviendrait morceau.

Pour vous, dit-il, dont la peau

Est plus dure que la mienne,

Je ne vois rien qui vous tienne.

- Nous vous mettrons à couvert,

Repartit le Pot de fer.

Si quelque matière dure

Vous menace d'aventure,

Entre deux je passerai,

Et du coup vous sauverai.

Cette offre le persuade.

Pot de fer son camarade

Se met droit à ses côtés.

Mes gens s'en vont à trois pieds,

Clopin-clopant comme ils peuvent,

L'un contre l'autre jetés

Au moindre hoquet qu'ils trouvent.

Le Pot de terre en souffre ; il n'eut pas fait cent pas

Que par son compagnon il fut mis en éclats,

Sans qu'il eût lieu de se plaindre.

Ne nous associons qu'avec que nos égaux.

Ou bien il nous faudra craindre

Le destin d'un de ces Pots.

Jean de la Fontaine

Le Lièvre et la Tortue

Rien ne sert de courir ; il faut partir à point. Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage. Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point Sitôt que moi ce but. - Sitôt ? Êtes-vous sage ?

Repartit l'animal léger.

Ma commère, il vous faut purger

Avec quatre grains d'ellébore.

- Sage ou non, je parie encore.

Ainsi fut fait : et de tous deux

On mit près du but les enjeux :

Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,

Ni de quel juge l'on convint.

Notre Lièvre n'avait que quatre pas à faire ; J'entends de ceux qu'il fait lorsque prêt d'être atteint Il s'éloigne des chiens, les renvoie aux Calendes,

Et leur fait arpenter les landes.

Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,

Pour dormir, et pour écouter

D'où vient le vent, il laisse la Tortue

Aller son train de Sénateur.

Elle part, elle s'évertue ;

Elle se hâte avec lenteur.

Lui cependant méprise une telle victoire,

Tient la gageure à peu de gloire,

Croit qu'il y va de son honneur

De partir tard. Il broute, il se repose,

Il s'amuse à toute autre chose

Qu'à la gageure. A la fin quand il vit

Que l'autre touchait presque au bout de la carrière, Il partit comme un trait ; mais les élans qu'il fit

Furent vains : la Tortue arriva la première.

Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?

De quoi vous sert votre vitesse ?

Moi, l'emporter ! et que serait-ce

Si vous portiez une maison ?

Jean de la Fontaine

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