Leibniz Nouveaux essais sur l entendement humain pdf
titre modeste Essai concernant l'Entendement humain . conformité du nouveau système et je crois même que toutes les pensées et ac-.
Leibniz Nouveaux essais sur lentendement humain (1704
Leibniz Nouveaux essais sur l'entendement humain (1704). 1. Leibniz
Leibnitz Nouveaux essais sur lentendement humain
https://mlasagesse.fr/Fichiers-Notions/Leibnitz-connaissances-hommes-et-betes.pdf
Data - Nouveaux essais sur lentendement humain
Paris : Hachette 1898. (1898). Paris : Hachette
Leibniz Akademie-Ausgabe
https://www.uni-muenster.de/Leibniz/DatenVI6/A_VI_6.pdf
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aperception et conscience chez Leibniz » Ithaque
Étude dun texte de Leibniz extrait de la Préface aux Nouveaux
Étude d'un texte de Leibniz extrait de la Préface aux Nouveaux essais sur l'entendement humain. F. Burbage. « Les sens1
Locke: « Aimer la vérité pour elle-même »
on sait que Leibniz dans ses Nouveaux essais sur l'entendement humain
9. Leibniz NEEH
https://ifac.univ-nantes.fr/IMG/pdf/9-_Leibniz_NEEH_Preface.pdf
a nv Çr Urvov". qn r Nouveaux essais sur l"entendement humain.
Essai sur l"entendement
ZTruth for Truths sake
4 [1 aJTM. o je croyais qu"elle me conduisait. Mais comme je ne suis pas assez vain pour prtendre l"infaillibilit, ni si entt d"un faux honneur [ disingenuous ] que je veuille cacher mes fautes de peur de ternir ma rputation, je n"ai pas eu sin- cere design for truth only ], ce qu"une recherche plus exacte m"a fait conna"- tre ( Essai , II.xxi.72). sur les principes inns, o Locke adopte encore le ton de la confidence pour dire qu"en cette affaire, o l"opinion commune n"est pas de son ct, Ç?la vrit a t [s]on seul but?È, qu"il l"a recherche, sans souci pour l"opinion d"autrui aussi respectable (ou arme d"autorit) fut-elle, poursuivant le savoir l o il prend sa source, c"est--dire dans les choses mmes, par l"examen de ses propres penses plutt que de celles d"autres hommes. Celui qui est prt examiner ses propres opinions, et celles de son entourage au point de renier celles qui lui appara"traient fausses doit tre arm de courage, et de fait pas seulement de courage intellectuel: Qui est assez hardi pour entreprendre d"branler les fondements de tous ses raisonnements et de toutes ses actions passes? Qui peut soutenir une pense aussi mortifiante, qu"est celle de souponner que l"on a t pendant longtemps dans l"erreur? Combien de gens y a-t-il qui aient assez de hardiesse et de fer- met pour envisager sans crainte les reproches que l"on fait ceux qui osent s"loigner du sentiment de leur pays, ou du parti dans lequel ils sont ns? Et o est l"homme qui puisse se rsoudre patiemment porter les noms odieux de pyrrhonien, de diste et d"athe, dont il ne peut manquer d"tre rgal, s"il tmoigne seulement qu"il doute de quelqu"une des opinions communes. Essai , I.iii.25) Locke n"est certes pas le premier philosophe dire que la vrit a t son seul but et qu"il est prt en assumer toutes les consquences, celles-ci fus- sent-elles dplaisantes, mortifiantes ou mme, en un ge o la perscution reste de mise, tragiques. Depuis Socrate, le lien est troitement nou entre l"ide d"une vie philosophique et celle d"une exigence althique incondition- Locke est l"auteur qui plus que tout autre en son temps met l"accent sur les bornes de l"entendement et des pouvoirs humains de connaissance, et assigne la philosophie une tche critique dont le rsultat notable est de notre pouvoir. Comment encore aimer la vrit, et ne pas sombrer dans une forme de misologiesceptique lorsqu"il appara"t que dans la plupart des champs o les hommes l"ont recherche, c"est la contradiction des opinions exactement celle que Locke pose au seuil de l"Essai, dans le moment mme o il justifie son entreprise philosophique. Il n"aura pas mal employ ses efforts, explique-t-il, s"il parvient, en examinant les pouvoirs de l"entende- ment par Ç?une mthode claire et historique?È, donner les justes mesures de la certitude de notre connaissance et les fondements de ces opinions (ou 'persuasions") que l"on trouve parmi les hommes: opinions si diffrentes, si opposes, si directement contradictoires, et qu"on soutient pourtant dans tel ou tel endroit du Monde avec tant de confiance, que qui prendra la peine de considrer les divers sentiments du genre humain, d"examiner l"opposition qu"il y a entre tous ces sentiments, et d"observer en et avec quelle chaleur on les dfend, aura peut-tre sujet de souponner l"une de ces deux choses, ou qu"il n"y a absolument rien de vrai, ou que les hommes n"ont aucun moyen sr pour arriver la connaissance certaine de la vrit. Essai Les hommes aiment passionnment leurs opinions, et leurs opinions theiade Locke sa tonalit spcifique: elle doit la fois nous protger de l"en- thousiasme, de la certitude (mal fonde) d"tre dans le vrai?au nom de laquelle tant de mal est fait en ce monde; mais elle doit aussi nous protger de son contraire, ce soupon qu"il est tout simplement impossible d"tre dans tile dont Locke propose d"viter les deux cueils du scepticisme et de l"en- thousiasme mrite d"tre considre ici, car elle caractrise prcisment ce qu"on peut appeler son ethosphilosophique. La forme spcifique que l"amour de la vrit prend chez Locke est ce que le petit essai posthume, Of The Conduct of the Understanding 2 , nomme pistmiquepour signaler qu"il s"agit d"une indiffrence au regard du contenu de nos opinions, et non de l"indiffrence au sens moral, l"absence d"affects sympathiques pour la situation d"autrui. L"indiffrence pistmique consiste prsenter une balance gale devant des noncs divers qui se pr- sentent nous (ou que nous nous prsentons nous-mmes) comme postu- lant notre assentiment. En d"autres termes, tre indiffrent, c"est ne pas dsirer qu"une opinion soit vraie plus qu"une autre. Locke y revient plu- sieurs reprises dans le texte de laConduite?de l"entendement:
me "6 E6IE6 7FE AF3=:P D@FD 46 E:EC6 52?D =6D Posthumous Works of Mr John Locke, d. P. King, London, 1706. Nous citerons ici la traduction fr. par Y. Michaux: John LOCKE, De la
conduite de l"entendementConduite
Celui qui voudrait faire son devoir d"amant de la vrit [...] d"abord il ne doit pas aimer une opinion ou la dsirer vraie avant de savoir qu"elle l"estConduite
J"ai dit plus haut que nous devrions garder une parfaite indiffrence vis--vis de toutes les opinions, sans souhaiter que l"une soit vraie plutt qu"une autre, ni essayer de la faire appara"tre telle. aetre indiffrent, recevoir et embrasser nions pour qu"il ne soit dtermin que par l"vidence constateront que l"es- prit a toujours une perception suffisante pour distinguer entre l"vidence et l"absence d"vidence. (Conduite
Il convient ici de dissiper un malentendu que pourrait faire na"tre la considration de l"hritage philosophique du concept d"indiffrence, parti- cisme un concept d"indiffrence pistmique fortement caractris. Je cite Selon Timon, Pyrrhon dclarait que les choses sont galement indiffrentes, non valuables, indcidables. Pour cette raison nos sensations et nos opinions ne nous donnent ni la vrit, ni la fausset. Pour cette raison il ne faut en rien leur faire confiance, mais il nous faut tre sans opinion, sans inclinaison, in- branlables, en disant propos de chaque chose en particulier pas plus qu"elle n"est, qu"elle n"est pas, ou que ni elle est ni elle n"est pas. Ce qui en rsultera pour ceux qui se comportent effectivement ainsi, disait Timon, c"est d"abord l"usage parcimonieux de la parole, ensuite l"imperturbabilit, et selon 3 On reconna"t bien ici la triade sceptique: l"isosthenie, l"galit dans la force des reprsentations, conduit l"epokla suspension du jugement, et finalement au silence, aphasia, condition de la tranquillit de l"me (ata- raxia ). La condition de la sagesse sceptique est donc bien une forme d"in- diffrence la vrit ou la fausset des propositions philosophiques, et c"est la tche du philosophe que de construire cette indiffrence, de l"installer dans l"me, par le jeu des arguments contradictoires, des hypotyposes. Pour Locke cependant, l"indiffrence n"est pas le but ultime du travail philoso- phique (mme si la philosophie requiert qu"on la cultive), elle se prsente plutt comme un pralable au gouvernement de la croyance. Elle ne s"op- pose pas ce que le jugement puisse se dcider en faveur d"une opinion et s"agit pas d"utiliser le doute comme une arme pour dtruire la probabilit, mais l"enjeu plutt est de dcouvrir quelle est la probabilit la mieux fon- oe *C25F:E inAntony A. LONGet David N. SEDLEY, Les philosophes hellnistiques, t. 1, traduction fr. J. Brunschwig, Paris, Garnier Flammarion, 2001, p. 41. de, celle qui rsiste le mieux aux arguments contraires. En somme, chez sable. L"indiffrence n"est pas le rsultat de l"annulation des motifs de croire, elle est la condition pralable pour que puisse s"effectuer la pese qui est inh- rente au jugement. Elle est l"absence de tare dans la balance. L"indiffrence sceptique tait une indiffrence pour la vrit, tandis que Locke y voit l"atti- tude d"esprit requise pour accueillir une vrit et l"aimer pour ce qu"elle est. En ce sens, un rapprochement plus pertinent pourrait tre fait avec la pense stoïcienne des adiaphora, ces choses Ç?indiffrentes?È dont la nature mme ne contient pas de raison d"tre prfres ou de ne pas l"tre. La sant et les richesses sont pour la morale stoïcienne choses indiffrentes (elles n"af- fectent pas la vertu du sage), quelque importance que leur attachent les pauvre, mais la vraie vertu consiste ne pas mme dsirer l"un ou l"autre. De mme, les opinions humaines tant en elles-mmes adiaphora, il peut se faire que tel nonc soit vrai plutt que son contraire, mais la vraie sagesse, et la condition d"un jugement sain, consiste comprendre qu"il n"y a pas lieu de dsirer que ce soit l"un plutt que l"autre. La notion d"indiffrence pistmique doit tre place chez Locke dans un double contexte thorique: celui d"une Ç?thique du jugement?È, du genre de celle qui est dveloppe dans la seconde partie du livre IV de l" Essai , qui fait de l"indiffrence l"objet d"une prescription normative, et celui d"une Ç?culture de l"esprit?È - ou une anthropologie morale - o l"indiffrence se prsente comme une vertu intellectuelle, ou mme comme la vertu intellec- tuelle par excellence, celle dont l"acquisition, difficile, doit tre l"objet de ensemble de textes vise pratique, tels les Penses sur l"ducation, les textes manuscrits que Locke consacre Ç?l"tude 4È et, bien sr et peut tre
plus spcifiquement, le texte de la Conduite de l"entendement, o l"indiff- Attachons-nous pour commencer au premier contexte. Une des grandes articulations de l"Essai, qui constitue aussi l"un de ses principaux objets d"enqute, est le partage qui existe entre la connaissance d"un ct et la croyance ou le jugement de l"autre. La connaissance est dfinie par Locke de pe 7e =b6DD2: >2?FD4C:E :?E:EF=P Z]%7 )EF5J][a 52EP 56 >2CDc>2: ltuu A@5=6:2? #) "@4<67ema AevrclomLa 5@?E @? EC@FG6 F?6 EC2?D4C:AE:@? 52?D &6E6C !
$a The life of John Locke: with extracts from his correspondence, journals and common-place books , Londres, H. Colburn & la connexion des ides (leur agreement); la croyance ou le jugement comme la perception seulement prsomptive et probable de cette connexion 5 . Si je tion, je ne peux que prsumer que Csar a franchi le Rubicon, sur la base de tmoignages concordants. La connaissance couvre ainsi le champ de la go- sur les modes et non sur les substances, et dont Locke estime que la morale pourrait faire partie si les hommes s"attelaient srieusement et honntement 6 . Du ct de la croyance et du jugement, il faut pla- cer en un sens tout le reste des savoirs qui postulent au nom de science - et notamment la physique, la religion, mais aussi, sans aucun dout4e, l"activit nature des choses, de la connaissance ou des ides. Locke lui-mme n"hsite pas prsenter une large partie de ses recherches philosophiques sous ce On comprend donc que, compte tenu des rsultats de l"Essai(la certi- tude n"est notre lot qu"en de toutes petites rgions du savoir), Locke ait atta- ch tant d"importance montrer que la croyance ne doit pas tre abandon- ne l"irrationalit, comme elle l"est peut-tre chez des auteurs plus confiants que lui dans notre capacit instituer une mtaphysique et une physique dmonstratives. Croire, ce n"est pas ncessairement tre alin l"opinion d"autrui, aux prjugs, aux dogmes ou la coutume, car il existe des motifs de croire ou de ne pas croire, des analogies pertinentes, des tmoi- gnages, et sur leur pese dans la balance du jugement. De ce point de vue, 7 . Non seulement, comme Descartes avant lui, il estime que toute connaissance cer- une forme logique, mais sur l"apprhension subjective/intuitive que nous pouvons avoir d"une relation d"ides, mais encore - et c"est l le leitmotiv de re ,@:C Essai , IV.i.2 et IV.xiv.3.6. La difficult qui s"attache spcifiquement cette tche tient pour partie l"absence d"in-
diffrence des hommes pour les questions morales: IV.iii.18: Ç?je ne doute nullement qu"on nepuisse dduire, de propositions videntes par elles-mmes, les vritables mesures du juste et de
l"injuste par des consquences ncessaires, et aussi incontestables que celles qu"on emploie dans
les mathmatiques, si l"on veut s"appliquer ces discussions de morale avec la mme indiff-
rence et avec autant d"attention qu"on s"attache suivre des raisonnements mathmatiques.?È
7. Selon le terme et la suggestion de Nicholas J
OLLEY, dans son Locke, His Philosophical
Thought
, Oxford, Oxford University Press, 1999, p. 8-9. son thique de la croyance - avons-nous nous-mme le devoir et le pouvoir d"tre les auteurs de nos croyances. L"opinion d"autrui, l"opinion emprun- te, n"est jamais un fondement adquat de croyance. C"est l un point sur 8 . Tel l"argent enchant des fables, aussitt dpose dans la main de celui qui reoit. L"esprit ne peut se repa"- mer pour lui-mme le soin de constituer ses opinions. Ainsi, parce que la personne, nous sommes, en un sens fort, responsables de nos croyances R. Wolterstorff dans son ouvrage sminal sur l"thique de la croyance de Locke 9 , rattache cette responsabilit ce qu"il appelle une Ç?obligation al- thique?È, obligation qu"il formule ainsi: il appartient chacun de nous de faire tout ce qui est en son pouvoir pour entretenir des croyances vraies, au moins en ce qui concerne les sujets qui intressent notre bonheur et notre destination. Locke emploie lui-mme souvent le lexique normatif du devoir: Ç?c"est un devoir que nous avons devant Dieu, lequel est l"auteur et la fon- taine de toute vrit, et la Vrit lui-mme, mais aussi un devoir l"gard de que d"avoir nos esprits constamment disposs recevoir la vrit o que nous la rencontrions, et sous quelque apparence simple et ordinaire, trange, nou- velle ou mme dplaisante que nous la rencontrions?È crit-il dans son jour- nal 10 en vient tenir pour vraie une erreur, a fait son devoir, plus que celui qui professe une vrit sans avoir examin les motifs de la croire 11È. Si la dimen-
sion dontologique du propos de Locke appara"t clairement ici - la recon- naissance du devoir et la sincrit dans l"intention de le respecter primant sur les consquences (la possession de la vrit4) -, il para"t cependant diffi- cile d"assigner la composante motivationnelle de ce devoir 12 . Il ne semble ve ,@:C ?@E2>>6?E EssaiI.iii.23 (Essay, I.iv.23); IV.xv.6 et IV. xx passim.9.John Locke and the Ethics of Belief, Cambridge, Cambridge University Press, 1996.
10. Cf.
Of Study
inKing, vol. 1, p. 187.11. John L
OCKE, Writings on Religion, V.Nuovo d., Oxford, Clarendon Press, 2002, p.81.12. Sur la diffrence entre la composante motivationnelle et non motivationnelle de l"obli-
gation morale, cf. Martha B OLTON, Ç?Vertu Rationnelle et Loi morale?È, inPhilippe Hamou et Martine de Gaudemar, Locke et Leibniz, deux styles de rationalit, Hildesheim, Olms, 2011, p. 160: Ç?Un individu a une obligation non-motivationnelle de faire (ou de ne pas faire) x, si xest prescrit (ou proscrit) par la loi morale, c"est--dire si xa une rectitude morale. Mais mme
lorsqu"il est reconnu comme quelque chose qu"on a l"obligation non-motivationnelle de faire, xdonne lieu a un tu doismotivationnel seulement pour autant que l"individu prend plaisir faire x , ou attend du plaisir en consquence d"une telle action?È. l"exigence de bonheur. Locke souligne souvent que la vrit n"est pas tou- jours plaisante et que notre amour de la vrit doit tre en tout tat de cause dsintress. D"autre part, l"obligation althique ne para"t pas non plus subordonne aux sanctions divines associes au respect d"une loi morale, dires de Locke, la loi divine elle-mme doit faire l"objet d"une recherche 13 de la vrit. Il semble que la seule sorte de motivation pour l"obligation al- thique voque par Locke ressortisse l"ide que la vrit est quelque choseque nous nous devons nous-mme, ou nos Ç?facults?È. L"indiffrence pis-
tmique est requise de quiconque Ç?veut traiter convenablement son esprit et faire un usage correct de ses facults?È; Ç?nous manquons en effet notre devoir envers elles (nos facults), beaucoup plus qu"elles nous?È [we fail qui semblent placer Locke cette fois du ct d"une Ç?thique de la vertu?È, une forme d"obligation immanente l"gard de nos propres perfections, plu- tt qu" la reconnaissance d"un impratif transcendant 14quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] lele anglais
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