Développement neuropsychique de ladolescent : les étapes à
3 réalités pédiatriques # 187_Septembre 2014. Étapes de l'adolescence. Développement physique. Développement cognitif. Développement psychologique.
On distingue 3 phases dadolescence: Phase dopposition : chez la
On distingue 3 phases d'adolescence: (source de l'extrait: http://psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/psychologie/cours/adolescence.htm;.
COURS DE PSYCHOLOGIE
Il s?agit de 3 étapes de travail psychique à l?adolescence C?est une étape qui correspond à la période de la préadolescence (aux environs de 12- 13.
Adolescence : de la crise individuelle a la crise des generations
Adolescence étape du cycle de vie de la famille. L'adolescence est liée à un fait psychologique. Mais elle est avant tout le passage du statut d'enfant au
Annoncer à un enfant ou un adolescent sa séropositivité au VIH
un enfant ou un adolescent. 3. Conseils et liste de contrôle à l'intention des L'annonce complète : à cette étape un nom est mis sur le diagnostic
Le développement normal chez ladolescent Aspects biologiques
Entre l'enfance et l'âge adulte l'adolescence est un passage. 3 étapes de travail psychiques (Braconnier et Marcelli
Le developpement de ladolescent et ses troubles
3 étapes dans l'adolescence. ? Début de l'adolescence (11-14 ans). 19. ? Changements pubertaires. ? Adolescence moyenne (15-17 ans).
Le développement de ladolescent
Selon Platon (427-347 av. J.-C.) le développement se fait en trois étapes : la première est constituée des désirs et de l'appétit
Guide du parcours de soins : surpoids et obésité de lenfant et de l
3 févr. 2022 2.9. Annoncer le diagnostic et les étapes suivantes. 29. 3. ... Suivi global de la situation de l'enfant/l'adolescent(e) sur plusieurs ...
Développement neuropsychique de ladolescent : les étapes à
dans leur expression et leur temporalité peuvent être déclinés en trois grandes étapes communes. La première correspond au début de l'adolescence
COURS DE PSYCHOLOGIE
(LFEP)Par : Saber HAMROUNI
Dr. en Sciences du Sport
ISSEP de Tunis
AVANT-PROPOS
Ce et réactualisés.Pour aider le lecteur à mieux authentifier les principaux concepts, des mots-clés en
caractères gras, sont prévus. Outre une partie fondamentale (formation de base), une partie subsidiaire (formation annexe)importante lors de cette période charnière de la vie. Cette partie a pour objectif
Certains chapitres retiendront certes votre attention ; peut- être plus ou peut-être moins que vos camarades vagues ou insaisissables exactement le reflet de notre rapport avec les phénomènes de la vie et de la nature. Ceci est un fait qui émane de la divergence des intérêts et des attentes de chacunde chercher à savoir. r la conviction de vouloir optimiser ses connaissances. passeront certes par cette conviction, si infime soit- elle !!!Bonne formation !!!
2CONTENU DU COURS :
1. - ?
2. 2.1.2.2. La phase de changement
2.3. La phase de la découverte
3. 4. 5.5.1. Les
5.2. La déprime et la dépression
5.3. 6. 7.7.1. Une crise endogène et exogène
7.2.7.3. Les risques de la non-identification
7.4. 7.5. 8. 8.1.8.2. La motivation dans la pratique des APS
8.3. Les bienfaits et les fonctions des APS au niveau de la personnalité de
8.4. 8.5. 9.9.1. La délinquance juvénile
9.2. La genèse de la délinquance juvénile
9.3. Les personnalités délinquantes
10.10.1. Le concept de soi
10.2.10.3. Le concept de soi physique
10.4. La confiance en soi
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
31. - ?
Selon le dictionnaire Hachette, l'adolescence correspond à " l'âge compris entre la puberté et
l'âge adulte ». -12 à 17-18 nce est une période captivante ; (Zazzo, 1972). une période créatrice, ne serait-ce que dans le domaine des sentiments ; intense, plus passionnée. Etant un moment privilégié de , Dans les cultures occidentales, l'adolescence est devenue phénomène de société. C'estun état à la fois enfantin et sérieux, et elle se rapporte à cette période de la vie qui est à
la fois une construction identitaire sur une identité déjà construite.Le bornage temporel auquel fait référence la première définition pourrait être discuté pour 4
raisons:1. Si l'âge adulte est fixé génétiquement (fin de la puberté), les disparités individuelles
importantes feraient varier ses limites (puberté plus tardive chez les garçons, et à des périodes différentes pour les jeunes d'un même sexe).2. Si l'âge adulte est fixé administrativement, correspondant à 18-20 ans, ( l'âge de la
majorité ou autonomie par rapport aux parents par ex.), n'oublions pas qu'il y a encore peu de temps, il l'était à plus de cet âge là.3. Si l'âge adulte est fixé professionnellement par l'entrée dans le monde du travail, ses
limites devraient reculer avec l'évolution sociale qui tend à montrer que les jeunes rentrent de plus en plus tard dans la vie professionnelle.4. Si l'âge adulte est fixé socialement avec le départ de la cellule familiale, ses limites
devraient également reculer, car l'évolution sociale tend à montrer que les jeunes quittent de plus en plus tard la cellule familiale. une période de destruction génératrice de crises, de revêtant des caractéristiques particulières et spécifiques à chaque période de temps. En effet, manifestait par l'opposition au monde adulte sous forme de politisation comme les concerts de soutien ou de protestation, le mouvement beatnik aux USA ou les chanteurs engagés politiquement. Plus récemment encore, dans les années 90, elle se manifestait sous forme derefus des habitudes familiales à travers des conduites alimentaires particulières telles que la
boulimie . Actuellement, la grande incertitude face au chômage, la difficulté de seloger, ainsi qu'une moindre protection des familles ou de la société des adultes les conduisent
à recréer leur monde virtuel autant pour s'isoler de ceux-ci (jeux vidéo, ordinateurs...) que
pour se retrouver entre eux (Internet, téléphonie mobile...). Les adolescents deviennent par ce
biais accro de la technologie et des médias.Analysons cette notion d'adolescence :
4 En soi, l'adolescence, comme l'apprentissage, n'est pas un objet tangible, palpable ; c'est un processus et non un produit. Ainsi, vous ne pouvez, comme l'apprentissage, qu'appréhender ses effets, les incidences qu'elle peut avoir sur le comportement d'un jeune à une période déterminée. : si la jeunesse est un état d'esprit, sans borne temporelle (ne parle-t-on pas d'une jeunesse éternelle ?), l'adolescence estlimitée en durée. Si la jeunesse est appréhendée sous un angle culturel, économique et
politique, l'adolescence est explorée sous un angle plus psychologique, physiologique et anatomique. L'adolescence se rapporte à cette période de la vie qui est à la fois une construction identitaire sur une identité déjà construite. Sur le plan physique et psychomoteur : elle est caractérisée parde la condition physique, du développement des qualités foncières (force, vitesse,
endurance, résistance), du développement des qualités psychomotrices : adresse,équilibre, ac
prise de conscience du schéma corporel. : la personnalité " se fait » durant les 3 aux 5 premières années de la vie, mais on peut la remanier à l'adolescence le plus souvent conflits persistent, ce serait du domaine du pathologique. D'ailleurs, la plupart des pathologies adultes éclosent à l'adolescence. 2. a. de la préadolescence (aux environs de 12- 13 ans). Elle est marquée par le début de la puberté.des premières règles, les garçons se préoccupent en général des poils qui vont pousser. Cette
attente se fait généralement dans un climat de jubilation. Les psychologues la considèrent planter ses racines. -ci radicaux. Cela ade la masse musculaire. Généralement le terme de "puberté», est associé à des
transformations physiologiques relatives à la maturation sexuelle. La silhouette se transforme 5et les organes sexuels se développent. Chez les filles, la poitrine et les règles font leur
apparition. Quant aux garçons, leur voix se fait plus grave et leur système pileux se développe. La poussée de croissance commence généralement vers 10-11 ans chez les filles et 12-13 ans vers 14-15 ans pour les filles et vers 16 - 17 ans pour les garçons. individus. Une fois ces modificae et il est sexuellement mature et apte à la reproduction. b. La phase de changement radicale. Au bout de quelques mois seulement les enfants se transforment en quasi-adultes Le jeune adolescent éprouve brutalement le besoin de rompre avec son enfance, avec ses désirs, ses idéaux, ses modèle avec les intérêts venant de son enfance. changemenéprouve cercle familial ses
sources nouvelles de satisfaction. Au niveau des répercussions comportementales on parle de fragilité intellectuelle, de déstructuration et restructuration, de rupture avec le milieu familial (aspirations élevées), de mécanisme dépendance, de volonté Le jeune adolescent prend progressivement conscience de sa personnalité et de son identité. En partie, à cause de sa croissance soudaine, il est souvent maladroit, se trouve laid, gauche, Il renverse des verres, claque les portes avec force, se heurte aux objets car il évalue mal saforce. Tout cela est dû à un développement trop rapide des os et des muscles auquel le
cerveau et le système ner toute leur coordination aussitôt. -Les transformations objectives de la préadolescence (puberté) : Chez la fille : développement des seins, de l'appareil génital, apparition des premières règles. Au 19e européennes venaient vers 17 ans. Actuellement, l'âge moyen est vers 12 ans et 6 mois, car les conditions de vie sont plus confortables et les adolescents s'affirment plus tôt. Chez le garçon : mue de la voix, pilosité, croissance osseuse et staturale. Chez les deux sexes: on assiste à une période très narcissique : remodelage del'image du corps, fixation sur l'aspect corporel extérieur. On assiste aussi à des
tendances diverses à l'excès à une hygiène douteuse et à une grande instabilité. 6 En résumé, ces transformations touchent la croissance osseuse, pondérale et hormonale (Sheldon), donc des modifications rapides. On assiste aussi à une désynchronisation de la croissance, à des changements des traits du visage, à la Le jeune adolescent éprouve brutalement le besoin de rompre avec son enfance, avec ses sources nouvelles de satisfaction. -Les répercussions psychologiques importantes :Fragilité intellectuelle
Vulnérabilité affective
Volonté influençable
Affirmation de soi par déstructuration et restructurationRupture avec le milieu familial et ses valeurs
c. La phase de la découvertedevra effectuer. En effet, le dernier volet de cette découverte est bien celui de la nécessité de
faire un choix ! Or, qui dit choix dit plusieurs alternatives. On fait un choix à travers ses attentes, ses expectatives, ses ambitions, mais aussi à travers ses compétences propres. Ce choix comporte des déterminants collectifs et individuels.un âge de crise et elle peut être aussi une lutte pour trouver son identité et acquérir son
et les époques. Dans les cultures traditionnelles comme dans les îles Samoa, en Nouvelle-Guinée ou en Amazonie, les stades de la vie sont ponctués par ce que les ethnologues
appellent des rites de passage (naissance, initiation, mort). Ayant atteint un certain âge, les 7 entière aux yeux de leur com 3. Il devient ainsi capable relationnelles se multiplient et Durant les premières années, la pensée dupetit enfant était magique. En effet, de nouveaux outils de pensée se développent et exercent
leur activité sur des contenus tant du côté du monde physique que du côté du monde social.
" refaire » le monde. pense sur le concre formelle hypothético-déductive (travail sur des hypothèses). Mais il arrive que des adolescents fassent un mauvais usage de la pensée formelle.ne peut saisir dans toute leur réalité en raison de leur trop grande complexité. Les notions
onnement social, ce que les autres pensent de nous, de notre image, la qualité réflexion plus présents dans la vie mentale. ent les facettes complexes des relations interpersonnelles. Il découvre les comportements des autres et en même temps il comprend sa propre personnalité. Il se sent donc adulte et non plus enfant ; il se rend compte que les autres aussi le considèrent comme étant " plus grand usage de réflexio- mêmes pour accéder aux sens de la responsabilité. la pensée subjective. Elle subit des transformations qui ne sont pas de simples changementsêtre lié au concret et il peut effectuer des analyses et des déductions (opérations mentales)
sitions et attitudes des autres.En effet,
hypothèses, sans recours à une observation (ou manipulation) réelle ; cet accès permet à son
tour la transposition des opérations logiques de la manipulation concrète aux idées seules. Il
permet aussi le passage de la rédaction (exemple, raconter ses vacances) à la dissertation (cecaractérisent le développement intellectuel du jeune adolescent à partir de 12-13 ans et son
8accession au stade de la pensée abstraite ou hypothético-déductive. Ayant acquis cette
pensée formelle, il en usera à l'excès. Il n'a pas besoin de l'expérience. C'est la période où on
refait le monde, très créative mais sans support dans la réalité. Il a acquis l'intellect adulte.
difficulté certains adolescents pour lesquels la pensée concrète reste beaucoup plus familière
Lse distingue encore de celle de par les tentatives fait de donner ou de trouver un sens à tous les aspects de son expérience concrète du monde, enrichie des contacts avec des nouveaux groupes et institutions. de moralité, de religion, de justiceBien sûr, tous les adolescents ne construisent pas des théories originales. Bien des adolescents
acceptent sans résistance des croyances établies. un fait de que de saisir et de poser pour la première fois, sous une forme achevée et compréhensive, la question de la vie et de la mort (cf. Giffard, 2011). 4.Le jeune adolescent emploie souvent des propos défiants et péremptoires traduisant un
sont plantées dans un corps enplein épanouissement. Le corps est en effet cet objet étrange et étranger qui subit en quelques
mois seulement une (pour les filles), ils poursuivent avec Le souci de son propre corps a aussi une connotation sexuelleavec le corps "muable» se prépare à la vie adulte portant en son sein déjà des attitudes
sexuelles qui (différences régionales, par exemple). Ces influences proviennent notamment des différents groupes ethniques et socio-économiques ccès au Ces critères peuvent être de nature économique (se prendre en charge tout seul) ou de nature juridique (mariage, vote). psychologique qui résident dans responsabilité familiale dépit des énormes modifications au cours de cette période (au début de uncertain niveau qui soit en harmonie avec un comportement mûr tel que défini par la culture à
laquelle il appartient. ement soucieux de son corps ; il se met à utiliser divers produits de maquillage et même une allure, voire une façon de marcher, de se t ou de se distinguer par rapport aux exigences parentales et/ou 9Il arrive aussi que certains adolescents se désintéressent totalement de leur corps, ayant à
-ci un comportement quasi abandonnique : hygiène douteuse, dents malsoignées, mauvais état général. Ces adolescents délaissent leur corps comme ils ont eux-
de préoccupations, pubertaire augmente. art, le jeune adolescent est confronté à un corps double : le corps de la petiteenfance qui est un corps familier, angélique, omnipotent et qui a reçu toutes les expériences
de plaisir et de déplaisir ; et le corps pubère qui est un corps nouveau, non familier, sexuel,
non représentable parce qu'il est le lieu d'éprouvés inconnus. L'issue favorable de
l'adolescence dépend donc de la capacité que l'adolescent va avoir à unifier ces deux corpssous le primat du plaisir génital et de la complémentarité des sexes. Il s'agit d'accepter son
nouveau corps et la logique de plaisir dont il est porteur. L'adolescent cherche à s'éloigner de
l'ombre de ses parents afin d'accomplir ses propres conquêtes.Sur un autre plan, le corps et c
pas o original tout en faisant comme les autres !En outre, le corps peut-être la cible privilégiée de certaines atteintes, souvent résultat de
conflits, de rebelles ou de diffi encombrant. Etat des différentes atteintes et plaintes somatiques : Les dysmorphophobies : ce sont des manifestations souvent présentes chez les adolescents des deux sexes, elles sont liées aux transformations pubertaires. C'est aussi la honte de son propre corps. Si un élément de son corps n'est pas conforme, il se focalise sur celui-ci. Le segment corporel incriminé présente généralement une morphologie quasi normale mais l'adolescent dramatise ! Les dates d'apparition des dysmorphophobies sont vers 13 14 ans. Les préoccupations sont par exemple un gros La spasmophilie se caractérise par des picotements cutanés, des contractures, des
difficultés respiratoires. Le symptôme inquiète énormément l'adolescent et il le
renvoie sur l'adulte. Les maux de tête, les douleurs abdominales. Ces plaintes peuvent apparaître après un conflit. Les douleurs digestives (22% des adolescents en sont atteints) et les douleurs dorsales (21%). Les troubles du sommeil se situent à l'endormissement ou au réveil. Les troubles du sommeil sont récurrents chez certains adolescents. Les maux de gorge.
Une sensation d'extrême fatigue (43 %). Ce sont les interrogations que les adolescents se posent qui les fatiguent. 10 Les entorses, les plâtres.
Les vertiges.
Les crises d'angoisse.
Les difficultés à déglutir, les palpitations, les sueurs. Ces signes-là peuvent être
précurseurs de dépression s'ils sont récurrents. L'adolescent ne tient plus son corps et ne contient plus sa psyché (problème de rapport au corps ou schéma corporel) L'adolescent vit en décalage, il repousse le sommeil. C'est une façon de se démarquer par rapport à l'adulte. - Quelles significations peuvent avoir ces plaintes ? Concernant les dysmorphophobies : elles peuvent être banales. Elles sont importantes si l'adolescent est amené à se replier sur lui-même. Elles marquent bien les relations avec son corps mais elles marquent aussi son engagement social. Elles peuvent être renforcées par des paroles de l'adulte : "on ne te reconnaît plus". La honte de son propre corps est à rattacher par exemple à des études aux beaux-arts et rarement à laà la mort. La
première difficulté relationnelle est avec lui-même. Il y a un isolement progressif et une activité hallucinatoire sous forme de chuchotements. Cette activité hallucinatoire vient confirmer sa laideur ; c'est de l'ordre de la dissociation de la personnalité et la proposition de réponse psychiatrique alimente encore sa paranoïa. L'adolescentexprime rarement ses préoccupations. Il va être amené à rétrécir son champ
relationnel. Les céphalées récidivantes peuvent correspondre à des "prises de tête" que les conflits
psychiques vont engendrer. L'adolescent va être colonisé, envahi par l'autre. Il accepte de se laisser envahir. Il laisse de la place pour être envahi car il est dépendant et il a besoin de lui. "J'ai besoin de l'autre car sans lui je ne peux pas vivre". Les maux de gorge : c'est l'impossibilité à sortir quelque chose de soi. Les difficultés de déglutition : "J'ai du mal à avaler la situation". Les crampes, les entorses, les contractures expriment la difficulté à bouger. C'est un terrain de repli. Les problèmes de peau : ce sont des conflits intérieurs qui s'expriment comme cela : l'adolescent est mis en difficulté car il est face au miroir social. La perte de connaissance peut être une façon de ne pas affronter les problèmes, de s'en
soustraire. Les difficultés respiratoires : elles sont présentes parce qu'à la maison c'est
irrespirable.En conclusion,
conviction délirante de la transformation de son corps c'est de la pathologie. 5. 11 de période de latence, les pulsions agressives et sexuelles sont subitement réinvesties. La théorie freudienne considère que la vie mentale est animée par diverses forces plus ou moins antagonistes ; de ce fait les rapports humains sont gérés par la notion de conflits psychiques. Lagache (1948) présumait dans ce contexte que le conflit fait partie intégrante de la vie. Selon les psychanalystes, les enfants sont envahis par la vie affective ; leur adaptationnécessite une mobilisation de toutes les défenses psychologiques pour intégrer les
débordements affectifs des pulsions. Les mécanismes de défense psychologiques sont encoretrès rudimentaires ou archaïques, et présentent des conduites régressives qui se manifestent
par tels que boulimie, anorexie mentale, agressivité, et états névrotiques ou psychotiques. Ces attitudes défensives ne sont pas comprises par le monde des adultes. En outre, ce sont les adultes qui, le plus souvent, se plaignent et souffrent de ces -même gêné. Ces défenses peuvent être considérées comme des inadaptations pathologiques, mais on oublie souvent la phase dcôté dynamique contradictoire de cette étape nous montre la diversité des conduites
à la réussite sociale en fonction de la force du sujet et de la souplesse des divers obstaclesextérieurs rencontrés au moment de la réactivation affective. La vie affective peut se
(un investissement affectif ou investissement libidinal).investis, ce qui détermine les interrelations et les échanges avec autrui à travers la notion de
transfert des relatitendres à la fois, surtout vis-à-vis des parents ; ceci semble désorienter le sujet qui prend ses
cette transformation profonde concerne des formations imaginaires et des fantasmes archaïques appelés images parentales généralement considéré comme le père spirituel. Il Ce besoin trouve sa réalisation dans la modification des fantasmes et il se produit, selon les psychanalystes, un dés de deuil Le travail de deuil est un processus qui permet de ne pas finir avec ce qui est mort et il dans le processus . Il s'agit ici d'une rupture d'avec l'image que les parents représentent pour l'adolescent. Ce processus commence avec le retourde ce qui a été refoulé durant la latence, c'est à dire les pulsions infantiles. Ce retour est massif
et incontrôlable pour l'adolescent, faisant échouer le Moi dans ses tentatives d'équilibre. Il est
12anxieux, déprimé, dépressif, inhibé. Il fait des actes antisociaux (voir chapitre 7 " La
délinquance juvénile »). Les pulsions anal non!", modifiant tous ses rapports avec l'ordre, le pouvoir. Ce remaniement affectif se manifeste également par la critique de ce que sont les parents ; plus il se sent dépendant d'eux, plus il sera agressif vis-à-vis d'eux. Les parents ne peuvent rien pour l'aider car c'est leur présence même qui crée le conflit !L'adolescent confectionne à la fin un scenario dans lequel il retrouvera ses droits et
privilèges. Cela révèle le processus régressif vers la relation rassurante des premiers temps
de l'enfance et le processus progressif qui permet d'accepter la réalité. 5.1.Depuis sa naissance et peut-être avant, le sujet ressent des émotions : colère, joie, surprise,
dégoût, tristesse, honte, etc. Ces différecontrôlables ou échappent àtout contrôle. Les principaux facteurs qui déclenchent les émotions se résument en une
d plus hautconfrontationà la nouveauté
très intéressante car elle explique en quoi cette période de la vie est particulièrement vivante,
et soulève chez le sujet lui-même et dans son entourage des réactions passionnelles. Comme plus tard à la tristesse, au à la morosité et à la dépression, et encore n dans sa peau. Le passage amoureuse difficilement contrôlable est aussi un phénomène très coCette variabilité est-elle due à une disponibilité physiologique, à une activation émotionnelle
période où surgissent les émotions, elle peut être considérée comme la période des émotions.
, il ne faut jamais réagir brusquement (en miroir). Il faut savoir attendre et mettre en mots ce que le sujet exprime parfois plus sous forme de " cri construite en une phrase ou une argumentation.Il est également incontestable que certaines activités, comme la musique ou le sport,
atténuent, modulent et même suppriment ils sont trop exagérés. remarquable , pas 13 comme un moyen de défense spécifique vis-à- beaucoup débordants et leur intensité peut être aussi inconsciemment perçueSur le plan affectivité et émotion, et grâce à des tests psychologiques et des questionnaires
sur des représentations de soi et les représentations des autres, on a pu établir 3 groupes
a- un groupe à croissance continueb- un groupe à croissance par vague où les sujets sont plus enclins à la dépression et à la
c- un groupe à croissance tumultueuse chez importantes que dans les groupes précédents. La mésestime vis-à-ême et des autres prévalent chez les sujets de ce groupe. Ils sont plus dépendants de leurs parents et manifestent des problèmes comportementaux et familiaux souvent conflictuels.5.2. La déprime et la dépression
les sentiments dépressifs ne sont pas systématiques et encore moins continus àfaut distinguer clairement les individus qui les ressentent la plupart du temps, ou même
passagère (voir enquête de Braconnier, A et Marcelli, D., 1988). - La déprime : relative fréquence des manifestations émotionnelles et affectives plus ou moins bruyantes mais toujours transitoires. Parmi celles-ci figurent la mauvaiseémotions ne constituent pas une pathologie quelconque au niveau de la personnalité, car
chacun, quelque soit son âge, passe par des moments de cafard, des rêves difficiles, de
sentiment de ne pas réussir ce q des périodes de manque de confiance en soi amenant un certain pessimisme sur ses capacités ou même son devenir. Il est aussi évident que le processus même de moment inaccessibles, les se peut dépression. 14 - La dépression : deuil reconnu ni dépendances affectives. Sous cette perspective psychanalytique, on reconnaît que une phase dépressive se situant entre 12 et 14 ans ingrat) investissements sur soi-même et dans ces relations sociales du narcissisme adolescent qui correspond à un investissement de soi, voire de surinvestissement du sujet par lui- originalité extrême et toutes les attitudes qui permettent image. Cette démarche narcissique est mature moins intenses selon les individus. Ces investissements vont se diriger sur le plan social, versdes relations extra-parentales ; ils se concrétisent par des amitiés confidentielles entre groupes
de semblables. forme : - d'instabilité, d'irritabilité - de fatigue, de désintérêt scolaire - de fugue et de conduites délictueuses (voir délinquance juvénile au chapitre 7)Elle est très importante à reconnaître et à prendre en charge rapidement (soutien
psychothérapeutique). - Comment reconnaître la dépression et quels sont les facteurs y afférents ? a. : souffrance morale et tendance importante à se culpabiliser. Un sentiment de dévalorisation, etc.). Sur le plan comportemental on peut dégager deux attitudes opposées psychologique et moteur de tout déprimé qui donne plus, ne se mobilise plus, ne parle plus comme avant. La seconde est totalement façon très excessive par rapport à ce qui se passai particulièrement douloureux et pénible. 15 b. La durée de : pendant plus de 15 jours de sentiments fréquents, très fréquents, voire continuels de(ex. réveils beaucoup trop précoces), enfin des troubles alimentaires tels que désintérêt
c. : ce3eme type de facteur
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