[PDF] LE CAS DES ABORIGÈNES DAUSTRALIE





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ABORIGÈNES_ PK

Aujourd'hui on compterait plus de 500 peuples distincts en Australie



Présentation PowerPoint

On peut admirer le kangourou. La tortue au long cou. Le koala et le wombat. Les aborigènes. Sont les gardiens de la vie. En Australie. Corine SCHMITT 



Linterculturalité en Australie postcoloniale Mémoire de DUT

gouvernements travaillistes reconnaissent le droit des Aborigènes de garder leur identité culturelle ou de choisir une façon de vivre européenne 



Les aborigènes dAustralie Les aborigènes dAustralie

En 1788 lorsque les anglais débarquent pour coloniser l'Australie



À la rencontre des peuples ABORIGÈNES et INSULAIRES dAustralie

plexe et intime avec ce territoire. Leur art – les chants les danses et les peintures – exprime ce lien et insuffle un souffle de vie aux pay-.



Untitled

10 avr. 2017 tout en revendiquant de manière forte leur identité aborigène. ... le continent australien était un lieu plat monotone et dépourvu de vie.



LE CAS DES ABORIGÈNES DAUSTRALIE

31 mars 2006 Quel que soit le lieu l'espérance de vie des. Aborigènes est faible tout comme leur niveau d'éduca- tion



La fonction gouvernementale aborigène en Australie par Henry

Elle se caractérisait par une forte emprise du gouvernement sur la vie des aborigènes et par la ségrégation de leurs collectivités.



MUSIQUE DU MONDE

culture des Aborigènes d'Australie. Le « temps du rêve » explique les origines de leur monde de l'Australie et de ses habitants. Selon leur tradition 



ANNEXE 1 - HISTOIRE ET CULTURE DES ABORIGÈNES D

Selon leur tradition des créatures géantes

Lettre d'Information

CENTRE RÉGIONAL

DE RESSOURCES

ET D'INFORMATION

SUR LE VIH/SIDA,

LES HÉPATITES,

L'ÉDUCATION À LA VIE

AFFECTIVE ET SEXUELLE,

LES DROGUES,

LES DÉPENDANCES ET

LES CONDUITES À RISQUE

CHEZ LES JEUNES

Contentons

nous de faire réfléchir n'essayons pas de convaincreGeorges BraqueÎle-de-FranceTour

Maine-Montparnasse

BP53 /

75755 Paris cedex 15

tél 01 56 80 33 33 fax 01 56 80 33 00 www.lecrips-idf.net info @lecrips.net ouvert au public du mardiau vendredi de 13h à 19h le samedi de 10h à 17h page1

TIM GREACEN

Dans le cadre de la semaine qu'elle consacre à l'Australie, l'Alliance Française a proposé cette rencontre au Crips, lequel a une longue pratique des populations migrantes. Que pouvons-nous apprendre des stratégies de santé publique menées en Australie ?

Sandra Eades, médecin, épidémiologiste, est spécialisée dans les questions de santé

publique, et plus particulièrement dans la protection maternelle et infantile.

SANDRA EADES

DIRECTEUR DE RECHERCHE, THE SAX INSTITUTE, SYDNEY, AUSTRALIE Je ferai le point sur l'évolution de la politique de santé des Aborigènes en Australie dans les vingt-cinq dernières années. Les Aborigènes représentent environ 2,5 % de la population australienne, un tiers des Aborigènes vit en ville, un tiers dans des communautés rurales, un tiers dans des communautés du désert. L'Australie comprend des États et des territoires. Il existe deux niveaux de prise en charge médicale, l'un pour tous les citoyens qui dépend de l'État, l'autre dépend du gouvernement fédéral et s'applique à tous les Australiens, quel que soit leur lieu de résidence. 63
e

RENCONTRE DU CRIPS ÎLE-DE-FRANCE*

EN PARTENARIAT AVEC L'ALLIANCE FRANÇAISE

DE PARIS

STRATÉGIESDE SANTÉ PUBLIQUE

ET

INTERCULTURALITÉ:

LE CAS DES ABORIGÈNES

D'AUSTRALIE

PARTAGE D'EXPÉRIENCES

* Rencontre du 31 mars 2006 à l'Alliance Française de Paris. Les rencontres du Crips sont organisées

avec le soutien de la Direction régionale des Affaires sanitaires et sociales d'Île-de-France. septembre 200680

Lettre d'Information

Au début des années 1970,en dépit du système d'assu- rance universelle de santé, les problèmes d'accès des Aborigènes à la santé étaient indéniables.Ces années ont vu la création de centres de santé communautaires gérés par des volontaires, financés par le gouverne- ment fédéral dès le début des années 1980. Ils étaient concentrés dans les grandes villes : Brisbane,Sydney et Perth. Quel que soit le lieu, l'espérance de vie des Aborigènes est faible tout comme leur niveau d'éduca- tion, de formation et leur accès au marché du travail. La politique de dislocation familiale menée du début au milieu du XX e siècle,avec l'enlèvement des enfants abo- rigènes et les très hauts taux d'emprisonnement ont laissé des traces indélébiles. Les hommes aborigènes ont une espérance de vie de

59,4 ans quand celle des Australiens d'origine euro-

péenne est de 76 ans ; les femmes aborigènes de 64,8 ans contre 82 ans pour les Australiennes. Au Canada,en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis où des traités ont réglementé l'accès aux soins depuis des géné- rations,le différentiel d'espérance de vie entre les popu- lations autochtones et les colons est en moyenne de cinq à six ans. En Australie, il est de dix-sept à vingt ans. Les principales causes de décès entre 30 et 40 ans chez les Aborigènes sont le diabète et les problèmes car- diaques.Le diabète commence très tôt (chez les enfants), le tabac fait des ravages chez les enfants et les adultes (20 % des Australiens fument contre 50 à 60 % des Aborigènes).Depuis les années 1960,la réduction de la mortalité infantile est notable, le nombre d'hospitali- sations d'enfants pour des maladies infectieuses égale- ment (tuberculose, infections respiratoires et gas- triques).Le taux de suicide parmi la jeunesse aborigène est le plus élevé au monde,les problèmes de santé men- tale sont fréquents, les incarcérations également. Les études de cas montrent une amélioration de la santé maternelle et infantile ainsi que du taux de nais- sance.Les programmes communautaires ont amélioré la lutte contre les

IST,les soins primaires pour les mala-

dies cardiaques et le diabète.Des progrès ont été effec- tués en matière de vaccination. L'identification des Aborigènes dans le recensement de la population permet de mieux cibler les besoins spé- cifiques de cette communauté. L'analyse des registres d'état civil (naissance et décès) et des registres tenus par les hôpitaux permettent de mieux évaluer les amélio- rations dans la durée. Depuis une quinzaine d'années le gouvernement fédéral a massivement investi dans le financement de la prévention et la formation des Aborigènes dans le domaine de la santé,mais beaucoup reste à faire.

BARBARA GLOWCZEWSKI

CNRS, EHESS, FRANCE

LES ABORIGéNES

UNE APPROCHE HOLISTIQUE

Les chiffres sont catastrophiques.Il existe un contraste entre la situation des Aborigènes en Australie et celle des autres populations autochtones. Les spécialistes sont unanimes à souligner le lien entre santé physique,santé mentale, et conditions historiques et sociales - très violentes - de l'arrivée des Européens sur le continent australien. On pense aujourd'hui qu'un enfant aborigène sur cinq a été enlevé à ses parents entre 1905 et les années 1970. Dans un système de famille étendue,cela veut dire que toutes les familles sont touchées.Pour beaucoup d'ex- perts ce problème est fondamental dans la santé des

Aborigènes.

On constate de leur part une démarche suicidaire qui est quasi délibérée (inhalation de pétrole par les enfants). Dans les années 1990, la conférence de Melbourne sur la santé a souligné la nécessité d'une approche holis- tique : on ne peut séparer la santé publique de la jus- tice sociale.Quotidiennement,les Aborigènes sont vic- times de violences et de discrimination. Le Département des affaires indigènes qui déléguait à des Aborigènes élus l'attribution des financements communautaires a fonctionné pendant douze ans,mal- gré quelques difficultés.Ce département a été fermé,il y a quelques années, pour des raisons politiques. Les Aborigènes relèvent maintenant soit du gouvernement des États,soit du gouvernement fédéral,qui leur propose des shared responsability agreements,accords de gré à gré pour résoudre les problèmes locaux (" On installe une pompe à essence si vous lavez vos enfants »).Rappelons que les Européens sont présents sur le continent aus- tralien depuis 200 ans,les Aborigènes depuis 40 000 ans, or ce n'est qu'en 1967 que les Aborigènes ont obtenu la citoyenneté australienne et les droits qui y sont liés, comme par exemple, celui de toucher un salaire. D'où l'importance du mouvement actuel des stolen wages, salaires versés par les employeurs au gouvernement, lequel ne les a jamais rétrocédés aux Aborigènes. Il existe un réel problème d'emprisonnement (78 % des personnes en prison sont des Aborigènes alors qu'ils représentent 2,5 % de la population) dû à une crimi- nalisation de la population autochtone : personnes sans domicile fixe alors que la loi interdit de dormir dehors, personnes buvant en public alors que la loi l'interdit.Un jeune aborigène sur cinq passera son adolescence en pri- son (on y mange,dort,on a la télévision).La prison est devenue un mode de vie temporaire,attitude dénoncée par certains membres de la communauté aborigène. Tous les récits anciens mentionnent l'incroyable santé page2

80 / LE CAS DES ABORIGÈNES D'AUSTRALIE

page3 des Aborigènes,les anciens atteignaient souvent plus de

80 ans : leur capacité de survie dans un environnement

très difficile était donc indéniable.Les anciens qui ont encore le souvenir de cette époque sont effondrés de perdre aujourd'hui leurs enfants,leurs petits-enfants et leurs arrière-petits-enfants. Il y a eu tant de morts dans les accidents de voiture parmi les 15-20 ans, que beaucoup préfèrent ne pas réparer les véhicules pour ne pas causer de nouveaux décès. Le taux de suicide,très élevé parmi les jeunes hommes, est depuis peu en augmentation chez les jeunes femmes qui sont également de plus en plus nombreuses en pri- son.Cette dislocation familiale a entraîné une explosion de violence domestique sur les tout-petits.Le sida n'est pas encore un problème en Australie,mais des enfants de 3 ou 4 ans sont porteurs d'

IST.Il y a un appel à la res-

ponsabilité du gouvernement par la population qui souhaite une approche holistique. Le déséquilibre au sein de la population aborigène est notable : beaucoup d'anciens, beaucoup d'enfants, et personne dans l'intervalle. Or l'argent ne manque pas.Une somme très importante a été donnée par le gouvernement à des assurances pri- vées pour le système de soins. Les nombreux rapports soulignent qu'une approche holistique coûterait cinq fois moins cher que le système actuel, qui ne fonc- tionne pas. Il faut sortir du paternalisme affiché jusqu'à présent et qui consistait,par exemple,à proposer aux Aborigènes une piscine en échange de la scolarisation des enfants.

QUESTIONS DE LA SALLE

UN PARTICIPANT - Pourquoi le diabète est-il si impor- tant, est-ce lié à l'alcool ? SANDRA EADES - Il existe une disposition génétique des Aborigènes au diabète, mais il s'agit surtout d'un pro- blème récurrent dans l'ensemble des populations indi- gènes lorsqu'elles entrent en contact avec des popula- tions développées. En l'espace d'un siècle, il leur faut modifier leur mode de vie, leur alimentation. Sédentarisation et obésité sont des facteurs clés.

UN PARTICIPANT - Et le cancer ?

SANDRA EADES - Le taux de cancer est le même pour les Aborigènes que pour les non-Aborigènes, à l'ex- ception du cancer du poumon.D'autre part,la consul- tation est souvent tardive, même en ville, et c'est pire encore dans les zones reculées dont l'anglais est la seconde langue, peu - ou pas du tout - parlée. BARBARA GLOWCZEWSKI - Le cancer est élevé dans la région de Kimberley,où ont eu lieu des essais nucléaires sous-marins dans les années 1960. Le gouvernement avait alors dit aux employés de la base militaire de ne pas manger de poisson.Il va de soi que les poissons ne

sont pas restés dans cette zone, et l'augmentation deslymphomes est très forte,ce que l'on constate également

aujourd'hui à la suite de Tchernobyl, ou encore en

Polynésie.

FRANCE LERT - Installer des services médicaux ne suf- fit pas face à cette situation de violence sociale et poli- tique persistante. Quels changements sont en cours ? BARBARA GLOWCZEWSKI - Les Aborigènes souhaitent une remise en question globale. Entre le début des années 1970 et le milieu des années 1990, l'enthou- siasme a été grand.Mais ce qui a été permis sur le plan juridique n'a pas été soutenu sur le plan politique.Si l'on ne maîtrise pas son destin, rien ne peut se faire. UNE PARTICIPANTE - Qu'en est-il des herbes tradi- tionnelles utilisées par les Aborigènes ? SANDRA EADES - Elles sont toujours utilisées dans les communautés les plus reculées qui n'ont pas trop changé de mode de vie et par des non-Aborigènes à des fins commerciales. TIM GREACEN - La formation de professionnels de la santé issus de la communauté aborigène a-t-elle été une étape importante ? SANDRA EADES - L'étape importante a été la création par les Aborigènes de ces centres de santé, avec des professionnels issus de la communauté ou non. Cela permet de faire fusionner une médecine de type occidental et la médecine traditionnelle en prenant en compte la dimension spirituelle ancrée dans la culture aborigène. UNE PARTICIPANTE - Ce partenariat entre médecine occidentale et médecine traditionnelle permet-il d'évi- ter la transmission des

ISTou les atteintes somatiques ?

SANDRA EADES - Oui, quand les centres sont installés depuis un certain temps, et particulièrement dans des zones plus isolées. Mais la situation en général n'est pas bonne en ce qui concerne les

ISTpuisque les taux

de prévalence sont bien plus élevés parmi les Aborigènes que parmi les non-Aborigènes.

FRANCE LERT

DIRECTEUR DE RECHERCHE,

INSERM U88, FRANCE

PUBLIQUE EN DIRECTION

DES MIGRANTS EN FRANCE

Le postulat de la société française est que nous sommes une communauté nationale,et non ethnique.Il n'existe donc pas, en France, de système de recueil de données concernant les populations en fonction de leur " eth- nicité ». Il est par conséquent difficile, en l'absence de données statistiques,de brosser un tableau de la situa- tion sauf en matière de VIH. Au début de l'épidémie,la lutte contre le

VIHa adopté

un mot d'ordre généraliste : " Tout le monde est concerné ». Il s'agissait à la fois d'éviter les discrimi-

Lettre d'Information

nations et de renforcer l'efficacité du message, de le marteler pour mieux le faire passer. À la fin des années 1990 les chiffres épidémiologiques et la présence massive de migrants d'Afrique subsaha- rienne, de plus en plus fréquemment touchés par le virus, a incité à moduler le message et à " cibler » - y compris physiquement - ces groupes particuliers (homosexuels, usagers de drogues, migrants) lors des campagnes de prévention. En 2001, nous avons fait le choix de commencer à représenter une population eth- niquement diversifiée,et de toutes classes sociales,afin de mieux représenter la société française dans son ensemble. Le dialogue entre partenaires institution- nels et monde associatif en matière de lutte contre le sida a facilité les choses. En 2002,une campagne diffusée à la télévision mettait en scène des migrantes au travail parlant de leurs rela- tions avec un partenaire.Nous avions alors conscience de rompre avec une tradition française et les débats ont été tendus.Cette situation de la vie courante,quo- tidienne, utilisant des femmes ordinaires et non des mannequins, a été très bien perçue et le message a été transmis. Nous avons donc décidé de continuer dans cette voie. Le problème du dépistage tardif des populations migrantes a donné lieu à une campagne d'affichage durant l'été 2005, mais sa diffusion massive a conduit les associations à crier à la discrimination.

Sommes-nous allés trop loin ?

DEUX EXEMPLES ASSOCIATIFS

TE-WEI LIN

DÕASIE, ARCAT, FRANCE

80 % des personnes reçues par Arcat sont étrangères,

1 % est d'origine chinoise.

La communauté chinoise à Paris est majoritairement

établie dans les 3

e ,10 e ,11 e ,13 e ,18 e ,19 e et 20 e arrondis- sements, et en banlieue dans les départements de la Seine-Saint-Denis (93), du Val-de-Marne (94) et un peu en Seine-et-Marne (77).Ces populations viennent d'abord du Wenzhou, au sud de Shangaï, puis à partir de 1975 du Vietnam, et plus récemment du Dongbei, zone frontière avec la Mongolie.Le tabou sur les ques- tions liées à la sexualité est très fort en Chine, qui ne reconnaît d'ailleurs pas avoir des personnes séroposi- tives. On constate une méconnaissance du système de santé français, un manque d'accès aux soins, aux trai- tements et les services apportés par la communauté chinoise sont presque toujours payants.Il y a également des problèmes de confidentialité dans l'interprétariat et

de fiabilité des traductions médicales,un manque d'in-tervenants sociaux et de praticiens connaissant le man-

darin. Arcat organise donc la prévention par le biais d'associations culturelles en utilisant également les médias (presse et radio). Depuis 1998, nous avons mis en place des documents explicatifs,des affiches,des banderoles,des concours de dessins, nous organisons des séances d'information auprès des médecins chinois.En 2001 nous avons créé des baguettes qui ont été diffusées dans les restaurants chinois du 13 e , et édité un document sur les hépatites. Une étude sociologique de la communauté chinoise en région parisienne, effectuée en 2002, a donné des résultats intéressants qui nous ont permis d'orienter la prévention et le suivi des malades.Les principaux sou- cis auxquels est confrontée la communauté chinoise sont la vulnérabilité,les problèmes de titre de séjour,le logement,le remboursement de la dette,la solitude,plus encore que la santé. Où se soignent-ils ? Très peu fréquentent les CDAG, très peu sont suivis dans les hôpitaux (6 personnes).Le parcours de soin commence toujours dans les phar- macies chinoises, ou par commande sur internet, puis par le généraliste, et enfin, en urgence, à l'hôpital. Pour les personnes originaires de Chine continentale utilisant le mandarin simplifié,de nouvelles brochures dans cette langue ont été publiées.En 2003-2004,nous avons produit une affiche en mandarin représentant le préservatif féminin et organisé des séances explicatives sur son utilisation. Fin 2004, une permanence ISTa été installée à l'hôpital Saint-Louis avec des entretiens individuels. En 2005,stylos et porte-clés ont eu un impact favorable. Les choses avancent lentement et les difficultés sont nombreuses : changement régulier des responsables associatifs avec lesquels nous entrons en contact, per- sistance des tabous sur le sida et les

IST. C'est un tra-

vail de longue haleine pour gagner la confiance de la communauté. Nous travaillons en partenariat avec les mairies et les hôpitaux. La notion de " support culturellement adapté » est fon- damentale pour pouvoir être à la fois crédibles et effi- caces.

MIGUEL ANGE GARZO

HISPANOPHONE, ARCAT, FRANCE

En tant que psychologue, j'accompagne les personnes atteintes du

VIHet/ou des hépatites au Point Squi a

ouvert en 1993. Nous y proposons un accompagne- ment global : médecin conseil, travailleurs sociaux,quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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