LES AMANTS DE MAGRITTE HDA
Les amants est un tableau réalisé par René Magritte en 1928. Œuvres les + connues : La série La trahison des images et Les amants. Fréquentait Paul Eluard et
René Magritte Les Amants
https://lyc-dumas-ales.ac-montpellier.fr/sites/lyc-dumas-ales/files/option_cav_2020-2021/pj_cav_2020-2021/les_amants.pdf
LES AMANTS MAGNIFIQUES
Après 1 mois à Avignon Off 2019 avec les Fables à tiroirs après la mise en place d'une formation professionnelle en danse baroque en partenariat avec Château
LES AMANTS MAGNIFIQUES COMÉDIE.
MAGNIFIQUES. COMÉDIE. Mêlée de musique et d'entrées de ballet. Molière. 1670. - 1 - peu de hardiesse réussit toujours aux amants ; il n'y a en.
« La première nuit damour du cinéma français » : Les Amants de
Descripteurs : Les Amants – Louis Malle – 1958 – Cinéma – Film – Réception – Chapitre 1 : Les Amants à la fois reflet et contestation des tendances.
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LES AMANTS SACRIFIÉS un film de. Kiyoshi Kurosawa sur un scénario original de. Ryusuke Hamaguchi. SORTIE LE 20 OCTOBRE 2021.
Les Amants
inévitablement une scène d'amour… Ai-je besoin de vous révéler que tout à l'heure parmi cette. Domaine public – Texte retraité par Libre Théâtre. 1
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1. Chapitre 1. Ouverture de l'enquête. L'histoire se déroule à Paris. C'est le début de la soirée nous sommes en été il est 19h. Un homme.
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LA MORT D'AMOUR CHEZ LES AMANTS VORI 1 89. Présentons maintenant brièvement les amants de nos histoires. 'Urwa ibn Hizâm al-.
Les amants
du Moulin de la GaletteNouvelle policière
CHBJ Chaumont en Vexin
Montmartre, un crime odieux est commis sur les
PMUŃOHV GX VMŃUp ŃO±XUB
IH ŃRPPLVVMLUH GXSXLV HVP ŃOMUJp GH O·HQTXrPH sur le meurtre de Monsieur Maréchal commercial à EDF. Qui a pu en vouloir à cet homme sans histoire ? F·HVP ŃH TXH OHV HQTXrPHXUV GHYURQP pOXŃLGHU"Chers lecteurs, bonne lecture
Sommaire
Chapitre 1
2XYHUPXUH GH O·HQTXrPH"""""""Page 2
Chapitre 2
IpRQ 0MUpŃOMO""""""""""3MJH 8
Chapitre 3
3UHPLHU ÓRXU G·HQTXrPH"""""""B3MJH 11
Chapitre 4
IM GRXNOH YLH""""""""BBB""3MJH 1D
Chapitre 5
5pYpOMPLRQV""""""""""BBBBBBB3MJH 21
Chapitre 6
IHV MYHX[""""""""""BB"B Page 29
Chapitre 7
0MGMPH 0MUpŃOMO""""""""B3MJH 33
Chapitre 8
IM PMOOHPPH""""""""""BBBBBBB3MJH 37
Chapitre 9
$IIMLUH 5pVROXH"""""""""BBB3MJH 41 1Chapitre 1
2XYHUPXUH GH O·HQTXrPH
I·OLVPRLUH VH GpURXOH j 3MULVB F·HVP OH GpNXP GH OM soirée nous sommes en été, il est 19h. Un homme venu pour se recueillir à la Basilique du Sacré CO±XU GpŃRXYUH HQ PRQPMQP OHV PMUŃOHV XQ homme inerte. Il V·MSSURŃOH HP VH UHQG ŃRPSPH que celui-ŃL QH UHVSLUH SOXV HP TX·LO HVP SORQJp dans une mare de sang. Terrifié il court à O·LQPpULHXU GH OM NMVLOLTXH SRXU MYHUPLU GH VM macabre découverte. La police est prévenue et elle indique aux témoins de ne rien toucher pendant le laps de temps de leur arrivée. Un TXMUP G·OHXUH SOXV PMUG XQ ORPPH GH IRUPH taille aux cheveux bruns et aux yeux marrons kJp G·HQYLURQ 48 MQV V·MSSURŃOH GH OM VŃqQH GH ŃULPH MŃŃRPSMJQp GH GHX[ MJHQPV HP G·XQ médecin légiste. Le plus âgé se présente : 2Chapitre 1
" Je suis le commissaire Dupuis du commissariat du 18e arrondissement de Paris. Monsieur veuillez me dire ce que vous savez SXLVTXH Ń·HVP YRXV ÓH ŃURLV TXL MYH] GpŃRXYHUP OH corps ? » Dit-LO G·XQH YRL[ JUMYHB " (Q HIIHP Ó·pPMLV VXU OH SRLQP GH PRQPHU OHV marches pour me rendre à la Basilique quand PRXP j ŃRXS PRQ UHJMUG V·HVP IL[p VXU ŃHPPH IRUPH inhabituelle à cet endroit. Vous savez monsieur OH ŃRPPLVVMLUH Ó·ML O·habitude de me recueillir à la Basilique et je connais bien ce lieu. Je me suis approché et Ó·ML ŃRPSULV MVVH] UMSLGHPHQP TXH cet homme était sans vie. La vue de tout ce sang, Ń·pPMLP ORUULNOH ! ». La voix chevrotante il ne peut ŃRQPHQLU VRQ pPRPLRQB I·ORPPH VH UHPRXUQH comme pour échapper à la situation. " Je vous remercie Monsieur, mes deux inspecteurs Albert et Justine vont prendre votre déposition. Je vous demande juste de rester à la disposition de la justice ». 3 IM VŃqQH GH ŃULPH HVP VpŃXULVpH MILQ G·pYLPHU G·HIIMŃHU PRXV OHV LQGLŃHV LQGLVSHQVMNOHV SRXU la suite de O·HQTXrPHB 3RXU ŃHOM OHV SROLŃLHUV installent un périmètre de sécurité assez rapidement car des badauds très curieux et de SOXV HQ SOXV QRPNUHX[ V·MPRQŃHOOHQP MXPRXU du lieu. " Reculez messieurs dames ! Reculez ! V·H[ŃOMPH XQ MJHQPB HO Q·\ M ULHQ j YRLUBLaissez-nous travailler. »
Le médecin légiste accompagné des techniciens " UHOHYHXUV G·LQGLŃHV » sont sur les lieux. Le ŃRPPLVVMLUH GXSXLV V·MSSURŃOH GH 5RPpR OH légiste. Ils se connaissent depuis de nombreuses années. Ce surnom de Roméo SURYLHQP G·XQH Oistoire ancienne $ O·pSRTXH OH commissaire avait découvert par hasard que la IHPPH GX OpJLVPH V·MSSHOMLP © Juliette». PlutôtGX JHQUH QMUTXRLV O·ORPPH ULHXU MYMLP SULV
O·OMNLPXGH ORUVTX·LOV VH UHPURXYMLHQP VXU XQH 4 4 scène de crime de le surnommer Roméo. Les deux hommes se sont ainsi rapprochés et devenus amis. Ce surnom est toujours resté. Pendant ce temps-là les techniciens habillés de combinaisons blanches intégrales recherchent, relèvent et numérotent les indices. La scène de crime est prise en photo sous tous les angles.1RXV VRPPHV j OM ILQ GH O·pPp PMLV
heureusement le temps est clair et le soleil est encore bien présent pour que la lumière soit suffisante pour les spécialistes. " Il ne sera pas utile pour le moment de sortir les projecteurs ! indique un technicien. Mais ne perdons pas de temps il ne reste que deux heures avant que la nuit tombe. » Chacun a un rôle bien précis : Le premier dessine avec SUpŃLVLRQ O·HPSOMŃHPHQP GX ŃRUSV HP GH O·MUPH retrouvés. Il va ensuite sur un ordinateur noter et reporter ces éléments qui permettront aux HQTXrPHXUV GH YLVXMOLVHU HP G·LQPHrpréter plus 5 facilement OHV LQGLŃHV SHQGMQP O·HQTXrPHB GHX[ MXPUHV PHŃOQLŃLHQV j O·MLGH GH JMQPV GH SLQŃHV HP GH ŃRPRQV PLJHV V·MPPMŃOHQP j UpŃXSpUHU PRXV OHV LQGLŃHV YLVLNOHV j O·±LO QXB IHV HQTXrPHXUV récupèrent dans de petits sacs plastiques les preuves récoltés pour les envoyer auOMNRUMPRLUH HP GHPMQGHQP G·MYRLU OHV UpVXOPMPV
G·MQMO\VHV OH SOXV P{P SRVVLNOHB (Q HIIHP chaque minute passée est du temps perduSRXU UHPURXYHU O·MVVMVVLQB
I·MUPH GX ŃULPH HVP UHPURXYpH VXU SOMŃHBMalheureusement aucune empreinte ne sera
détectée. $ONHUP GH VRQ Ń{Pp M PURXYp XQ PpPRLQB F·HVP XQ homme, un peintre, un artiste de rue. A SUHPLqUH YXH LO GRQQH O·MSSMUHQŃH GH PHQHU XQH YLH GH NROrPHB I·LQVSHŃPHXU UMSSRUPH OHV dires de cet homme aussitôt au commissaire : " Il a entendu un coup de feu et son regard V·HVP SRUPp GMQV OM GLUHŃPLRQ GX NUXLPB HO M vu 6 au loin une forme tombée. Ensuite il expliqueTX·XQH SHUVRQQH M SULV OM IXLPH UMSLGHPHQP HQ
PRQPMQP GMQV XQH YRLPXUHB I·ORPPH HVP GpŃULP GH PMLOOH PR\HQQH URQGHOHP GpJMUQLP HP G·XQH PUHQPMLQH G·MQQpHVB HO SRUPH GHV YrPHPHQPV sombres et des semelles blanches. » Pendant ce temps-là Justine a fait le nécessaire pour que la scientifique relève des indices laissés par la YRLPXUH VL Ń·HVP OH ŃMVB I·LQVSHŃPULŃH V·RŃŃXSH pJMOHPHQP G·MOOHU UpŃXSpUHU OHV YLGpRV GHV caméras de surveillance afin de les visionner. F·HVP OH PR\HQ OH SOXV HIILŃMŃH GH retrouver la trace de cette voiture et de savoir dans quelle direction elle est partie. Malheureusement les recherches ne vont pas être très fructueuses car la voiture va suivre la direction de la porte de la Chapelle pour être ensuite perdue de vue sur le périphérique. Elle est retrouvée une heure plus tard par une patrouille mais brulée complétement. 7Chapitre 2
Léon Maréchal
Le commissaire Dupuis accompagné de
Roméo prend note du nom de la victime en VRUPMQP OM ŃMUPH G·LGHQPLPp GH VRQ SRUPHIHXLOOH placé dans la poche de sa veste. Son nom est Léon Maréchal. Il est belge et a 40 ans.Justine prend connaissance des faits et lance
une recherche sur la situation familiale de cet homme. Elle apprend assez rapidement que celui-ci est marié et a deux enfants de 15 et 16 ans. Il travaille à EDF au siège national à laDéfense.
Le légiste fait emmener le corps pour exécuter O·MXPRSVLHB IH ŃRPPLVVMLUH Q·RPHP SMV GH OXL rappeler que la priorité absolue est de ŃRQQMLPUH OH UpVXOPMP GH O·H[MPHQ OH SOXV rapidement possible : " Bien évidemment je vais y passer la nuit cher ami » répond Roméo 8 sur un ton ironique. Pendant ce temps-Oj $ONHUP Q·M SMV UpŃROPpSOXV G·pOpPHQP GMQV VRQ HQTXrPH GH YRLVLQMJHB
Le commissaire se charge de prévenir la
IMPLOOH PMQGLV TX·LO UHQYRLH ŃOH] HX[ VHV GHX[ LQVSHŃPHXUV MILQ TX·LOV VH UHSRVHQPB HOV UHSUHQGURQP O·HQquête dès le lendemain matin aux aurores. Justine qui est célibataire rentre dans son petit deux pièces à quelques pas du lieu de la scène GH ŃULPHB F·HVP XQH IHPPH GH PUHQPH-cinq ans qui a toujours fait passer sa carrière avant sa vie privée. Il est vraL TX·MYHŃ VHV ORUMLUHV GpŃMOpV travailler les jours fériés et les dimanches Q·MLGH SMV j ŃRQVPUXLUH XQH YLH GH IMPLOOHBJustine aime sa vie malgré beaucoup de
VMŃULILŃHV HP HOOH MGRUH VRQ PpPLHU G·LQVSHŃPULŃHB (OOH M PRXÓRXUV YpŃX j 0RQPPMUPUHB F·HVP XQ quartier de Paris dynamique et plein de 9 charme. Elle apprécie de se promener dans les ruelles pavées et étroites et rencontrer ses amis artistes sur la place du tertre. Justine aime à décrire " Montmartre » comme étant un village VXVSHQGX HQ SOHLQ ѱXU GH OM YLH PUpSLGMQPH GH3MULV ŃRPPH SHXP O·rPUH XQ QLG SHUŃOp HQ OMut
G·XQ MUNUH VXUSORPNMQP OHV PXPXOPHV GH OM YLH
terrienne. Après quelques enquêtes difficiles elle aime se ressourcer sur les pelouses du squareLouise Michel et faire son jogging en effectuant
O·MVŃHQVLRQ GHV 222 PMUŃOHV GX SMUŃB IH téléphone sonne, ellH GpŃURŃOH Ń·HVP VM PHLOOHXUH MPLHB (OOH O·LQYLPH j OM UHÓRLQGUH GMQV XQ SHPLP bistrot " FOH] O·MUPLVPH ». Cette journée se termine SRXU OHV GHX[ ÓHXQHV IHPPHV MXPRXU G·XQH NLqUH HQPRXUpHV GH ŃOMQVRQQLHUV HP GMQV O·RXNOL GX stress du jour. 10Chapitre 3
3UHPLHU ÓRXU G·HQTXrPH
Albert le collègue de Justine est un homme de
cinquante ans. Il est marié et père de famille.Il arrive toujours le premier au bureau. Il est
PHQX PRXV OHV PMPLQV G·MPHQHU VM ILOOH kJpH GH
quelques mois à la nourrice. En effet, Albert ne finissant pas ses journées à des heures fixes, il est plus raisonnable que ce soit la maman qui V·RŃŃupe de leur fille le soir. Justine profite de cette organisation familiale car tous les matins elle a un petit café qui est prêt et servi sur son NXUHMX GqV VRQ MUULYpHB I·HQPHQPH HQPUH OHV GHX[ inspecteurs est bonne. Ils travaillent ensemble depuis plusieurs années et forme une véritable équipe. Le commissaire Dupuis est prévenu dès VRQ MUULYp TX·XQ pOpPHQP LPSRUPMQP YLHQP G·rPUH signalé par le laboratoire : Un ticket de caisse 11 G·RULJLQH Belge a été retrouvé dans les affaires GH OM YLŃPLPHB HO V·MJLP G·XQ MŃOMP GH OLQJHULH fine. Les ordres sont donnés aux deux LQVSHŃPHXUV G·MSSURIRQGLU ŃHPPH SLVPHB $ONHUP découvre que son compte courant a un fort découvert et que ses différentes dépenses le ramènent régulièrement en Belgique. Justine de son côté va se rendre avec le commissaire au siège EDF de la Défense pour interroger les collègues de la victime. De retour au bureau les inspecteurs et le commissaire se réunissent afin de rassembler les LQIRUPMPLRQV TX·LOV RQP UpŃROPpHVB G·MSUqV OH UpŃLP G·XQH VHŃUpPMLUH :Monsieur Maréchal aurait une double vie.
Albert confirme " Il est vrai que de mon côté Ó·ML GHV QRPHV G·O{PHOV HP GH UHVPMXUMQPV VXUPRXP en Belgique pour deux personnes. Je me suis renVHLJQp HP OH UpŃHSPLRQQLVPH P·M LQGLTXp TXHMonsieur Maréchal venait toujours
accompagner de la même personne : Une jeune 12 femme NORQGH kJpH G·HQYLURQ PUHQPH PUHQPH-cinq MQVB 6MŃOMQP TXH VRQ pSRXVH HVP NUXQH LO Q·\ M pour moi plus aucun doute : notre victime avait une double vie ! ». Justine intervient dans la conversation : " De mon côté je suis retournée rue Lepic chez la victime pour interroger sa femme Josette. Elle a 40 ans. Elle est sténo GMŃP\ORB 0MGMPH 0MUpŃOMO P·M MYRXp TX·HOOH avait des doutes sur son mari. Son comportement avait changé depuis plusieurs mois. Elle a commencé par fouiller les affaires de son époux et elle a découvert dans son portable une photo de Monsieur en agréable compagnie avec un numéro de téléphone. Elle P·M GLP MYRLU MSSHOp HP rPUH PRPNpH VXU XQH YRL[ GH IHPPHB -H O·ML VHQPL PUqV pPXH HP VLQŃqUHB 6XLPH à cette découverte Madame Maréchal a engagé un détective privé. Voici les coordonnés de celui- ci. » Justine dépose sur le bureau une dizaine de photos compromettantes et un compte rendu 13 contenant les allers et venues, les noms et adresses de la maitresse. Le commissaire Dupuis décide dès la fin de la réunion de partir pour la Belgique pour interroger la maitresse de la victime. Pendant ce temps les deux inspecteurs vont approfondir les recherches en France. Dans le train qui mène à Liège, le commissaire relit les informations du détective.Madame Marielle Vanpouk 35 ans divorcée
et sans enfant. Elle vit à Liège. La première rencontre entre Monsieur Maréchal et Madame9MQSRXN V·HVP IMLPH ORUV G·XQ VpPLQMLUH
G·HQPUHSULVHB FH ÓRXU-Oj XQH SMQQH G·pOHŃPULŃLPp aurait rapproché les deux personnes suite auPpPRLJQMJH GH SOXVLHXUV HPSOR\pV G·(G)B
Justine de son côté confirme les déplacements de Monsieur Maréchal en Belgique par le visionnage des caméras de surveillance desSpMJHV G·MXPRURXPHB
14Chapitre 4
La double vie !!!
Le commissaire Dupuis arrive au domicile de
madame Vanpouk : " Bonjour Madame, je me présente je suis le commissaire Dupuis de la SROLŃH )UMQoMLVHB -H VXLV GpVROp PMLV Ó·ML XQH mauvaise nouvelle à vous annoncer. » Dit le ŃRPPLVVMLUH G·XQH YRL[ JUMYHB $ O·MQQRQŃH GX décès de Monsieur Maréchal, Marielle se met à sanJORPHU HP V·MVVRLH GMQV XQ OMUJH IMXPHXLO GX salon. Il reprend la conversation après quelques instants de silence afin de permettre àMadame Vanpouk de se remettre de ses
émotions:
" Saviez ²vous que Léon était marié ? » " Oui » répond Marielle. " Quelle était la nature de votre relation ? »Interroge le commissaire.
15 " Nous avions une relation intime depuis cinq ans. Il venait me rejoindre en Belgique trois fois par semaine. Nous nous aimions. »Affirme Marielle puis elle ajoute :
" QX·HVP-ŃH TXL V·HVP SMVVp ?Il a eu un accident ? Je ne comprends pas il
allait très bien la semaine dernière. »Le policier Français lui explique les faits et
développe son interrogatoire : " Avez-vous trouvez un changement dans son comportement ces derniers temps ? ». Marielle retrouvant petit à petit ses esprits réfléchit et dit : " En effet, depuis quelques ÓRXUV ÓH O·ML PURXYp SHUPXUNpB HO SMVVMLP VRQ temps à regarder son téléphone et ses messages. Il était irritable et criait pour un rien. A plusieurs reprises je lui aie demandé la raison de ce comportement mais il me donnait toujours la même réponse comme quoi il était fatigué etTXH ŃHOM Q·pPMLP SMV ŃRQPUH PRLB »
160MULHOOH V·MPPMUGH j H[SOLTXHU TX·HOOH QH
comprend pas. Elle se reproche de ne pas avoir LQVLVPp G·MYMQPMJH SRXU HQ ŃRQQMvPUH O·H[SOLŃMPLRQ et que cela aurait peut-être pu changer quelque chose. Monsieur Dupuis demande où se trouvait OM ÓHXQH IHPPH j O·OHXUH GX ŃULPHB (OOH UpSRQG VMQV OpVLPHU TX·HOOH pPMLP HQ ŃRXUVHV MYHŃ VHV copines. Très agacée de cette question elle lui rétorque : " Vous pouvez vérifier monsieur et sachez que j'espère que vous ne me soupçonnez SMV GH O·MYRLU PXp ÓH YRXV OH UpSqPH RQ V·MLPMLPB -H suis parfaitement au courant de sa situation IMPLOLMOH LO PH O·M GLP GqV QRPUH SUHPLqUH rencontre. Ensemble nous avions trouvé respectivement un équilibre dans notre vie sentimentale en partageant notre vie de cette façon.» De suite le commissaire répond : " Ne soyez pas blessée, mes questions sont faites pour avancerGMQV O·HQTXrPHB -H SHQVH TXH YRXV MYH] MXPMQP
envi que nous de connaître la vérité ». Marielle 17 fond en larmes. Le commissaire reprend " Encore une dernière question si vous me le permettez : Avait-il une mallette avec lui ou un MXPUH RNÓHP TX·LO tenait particulièrement ? » Séchant ses larmes, elle réfléchit et acquiesce : " (Q HIIHP PMLQPHQMQP TXH YRXV P·HQ SMUOHU LO MYMLP XQ MPPMŃOp ŃMVH QRLUB HO O·MYMLP PRXÓRXUV MYHŃ OXLB -H Q·MYMLV SMV SUrPp MPPHQPLRQ j ŃH détail au début car je pensais que cela faisait partie de sa couverture ou alibi pour ses GpSOMŃHPHQPV UpSpPpV HQ %HOJLTXHB 6MŃOMQP TX·LOétait commercial, sa femme aurait pu avoir des
doutes sur les faits et gestes de son mari. » Le policier se rend compte à ce moment-là que Madame Vanpouk n·HVP SMV MX ŃRXUMQP TX·HQ réalité la femme de Monsieur Maréchal avait découvert il y a quelques semaines que son mari OH PURPSMLPB (P GH SOXV TX·HOOH ŃRQQMLVVMLPO·LGHQPLPp GH VM PMLPUHVVHB 0RQVLHXU OH
commissaire Dupuis explique ces faits àMarielle qui interloquée reste sans voix.
18 Il reprend son interrogatoire une dernière fois : " Avez-vous vu par hasard la mallette ouverte HP ŃH TX·HOOH ŃRQPHQMLP ? ». Marielle se souvient G·XQH MQHŃGRPH j ŃH VXÓHP © 2XL Ó·ML HX O·RŃŃMVLRQ XQH VHXOH IRLV GH YRLU OH ŃRQPHQX : -·ML YX XQH HQYHORSSH Parquée confidentielle et quelques liasses de billets. Mais il a refermé MXVVLP{P O·RNÓHPB -·ML VHQPL TX·LO pPMLP PMO j O·MLVH HP ÓH Q·ML SMV RVp OXL GHPMQGHU TXRL TXH ce soit. Vous savez monsieur le commissaire nous nous étions promis de respecter la vie que nous menions en dehors de notre relation sans questionnement intrusifs ». Monsieur Dupuis remerciant la jeune femme de son accueil et en OXL OMLVVMQP VM ŃMUPH VRUP GH O·MSSMUPHPHQPB HO se dirige directement vers le grand magasin où travaillent les trois copines afin de les TXHVPLRQQHU HP GH ŃRQILUPHU O·MOLNL GH 0MULHOOHBToutes les trois femmes vont confirmer
UMSLGHPHQP TX·HOOHV étaient dans les 19 ŃRQILGHQŃHV GH OM UHOMPLRQ TX·MYMLP 0MULHOOH avec le Français. Elles complètent leurs propos en soulignant que le couple paraissait stable et VMQV SURNOqPHB (OOHV RQP PrPH HX O·RŃŃMVLRQ GH OH UHQŃRQPUHU XQH IRLV HP UMŃRQPHQP TX·HOOHV avaient eu un bon ressenti à son sujet. " F·pPMLP un homme agréable, bien éduqué qui présentait bien » remarque une des trois femmes. 20Chapitre 5
Révélations
Dans le train du retour en France le
commissaire appelle Albert et lui demande de vérifier si un attaché-case a été retrouvé au domicile de Monsieur Maréchal. Un peu plus tard il apprendra que la mallette a disparu. -XVPLQH HVP ŃOMUJpH GH VRQ ŃRPp G·HQTXrPHU VXUO·H[-mari de Marielle Monsieur Jules Van Den
Brouk. Il est banquier au guichet dans une
grande banque de Liège : Paribas Fortis. JustiQH H[SOLTXH MX ŃRPPLVVMLUH TX·LO M GRQQp comme alibi cette réponse : il promenait son chien près de chez lui vers 19h avant le diner et il a rencontré le curé qui pourra confirmer son alibi. Après une inspection plus approfondie de la voiture brulée Monsieur le commissaireDupuis apprend que les techniciens
21RQP UHPURXYp XQH SHPLPH HPSUHLQPHB HO V·MJLP GH celle de Madame Maréchal. I·MIIMLUH SUHQG une toute autre tournure à cette nouvelle.
Les deux inspecteurs sont tout de suite mis au
courant et prennent leur voiture de police pour suivre la femme de la victime pour découvrir peut être de nouveaux éléments. Justine et Albert sont en planque depuis plus de deux heures devant le domicile de Madame Maréchal quand tout à coup ils aperçoivent la voiture de celle ²ci sortir du garage. Justine au volant enclenche tout de suite la première vitesse et démarre afin de poursuivre la suspecte. Entre temps le commissaire lit les conclusions des experts qui indiquent que le coup de feu a été tiré par un gaucher. Sachant que Madame Maréchal est droitière cela ne peut pas être elle.Alors la question se pose FRPPHQP O·HPSUHLQPH
de madame a pu être trouvée sur la voiture duquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] les amants iv magritte
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