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PARTEMENTALES
Lucien BAROU
MÈmoires de la Grande Guerre
187 Poilus du Forez et de sa pÈriphÈrie tÈmoignentÖ
Tome 2 : 1915
MÈmoires de la Grande Guerre -
187 Poilus du Forez et de sa pÈriphÈrie tÈmoignentÖ
Tome 2 : 1915
"MÍme lorsque nous creusons des tranchÈes, il arrive que la pioche dÈcouvre ou les pieds ou la tÍte de quelques pauvres malheureux enfouis de ci de l‡ par les torpilles, les obus ou les mines souterra ines. Ce n'est pas assez affreux. Il paraÓt qu'ils cherchent ‡ se servir de gaz asphyxiant. Une lettre de GeneviËve m'apprend que le frËre d'une de ses amies a ÈtÈ envoyÈ ‡ Paris pour l'essai de cette terrible chose : les gaz asphyxiants."Claude Coupade,
classe 1915, La RicamarieChapitre 8
1915Installation dans la guerre
de tranchÈes Chap. 8 - 1915 - Installation dans la guerre de tranchées"La tranchée protégeait bougrement" - Jean-François Ollier, commandant, né en 1894 mais engagé en 1913,
Saint-Etienne
"Oh! la tranchée, c'était utile! Ah, mais on pouvait pas faire autrement! A découvert, comme ça, là, y a pas
besoin de canons: avec les mitrailleuses!" - Antoine Souchon, classe 1913, Lentigny - Roanne."Demain, on monte aux tranchées". Prévu ou surgissant soudain, cet ordre est toujours accueilli avec un petit
serrement de coeur. Il va falloir quitter la demi-sécurité du cantonnement, la bonne paille, voire même le lit de
fortune 1, la bonne table qui réunit tous les camarades et faire trêve aux bonnes nuits. Et qui sait? L'éternelle
question! Que trouvera-t-on là-haut 2 , là-bas! La mort, peut-être! A moins que ce ne soit la blessure! le sang, les membres pantelants, le corps entr'ouvert! » - Récit d'Antonin Granet, classe 1903, Chamboeuf"On creusait tout le temps des tranchées! Il fallait toujours les changer. Et puis alors, y avait ces fameux coups
de main qui changeaient légèrement le front. Alors vous étiez obligé... pour quelques mètres de terrain, on faisait
tuer je sais pas combien d'hommes! Et ces tranchées-là, il fallait les refaire, les reconstruire". - Jean-Louis
Monier, classe 1913, Marols.
Avertissement au lecteur: jusqu'à maintenant, un ordre chronologique a pu être maintenu tant bien que mal
pour l'année 1914. Nous essaierons de nous y tenir pour les événements clairement datés par les témoins, et
représentatifs de l'évolution du conflit. Mais la nature même de la collecte qui est à la base de cet ouvrage nous
obligera de plus en plus à faire des parties thématiques rassemblant des faits de même nature (par exemple
l'attaque, la blessure, l'hospitalisation, la captivité, etc.) que chaque combattant a pu vivre à des périodes différentes
de la guerre, même si l'évolution technique de cette guerre a pu introduire des variantes que nous nous efforcerons
de préciser, dans la mesure du possible.On a vu dans le chap. V (Automne 14- Aspects de l'évolution de la guerre) que dès le tout début de la guerre -
parfois dès fin août- certains combattants ont connu les tranchées, en ont creusé, ou s'y sont abrité. Mais tant que
dure la guerre de mouvement, qu'on appelle assez couramment la "course à la mer", datée le plus souvent du 14
septembre au 17 novembre, la tranchée n'est qu'un élément défensif occasionnel. Elle devient systématique avec la
fixation du front qui s'opère dès la mi-novembre 1914: "Car les fronts sont équipés, installés, fixés pour longtemps
dans leurs lignes sinueuses, dès le 15 novembre 1914." écrit l'historien Pierre Miquel. 3L'année 1915 est celle de
l'installation générale dans la guerre de tranchées, guerre de position qu'on pourrait appeler de siège, si l'on ne
l'entrecoupait pas d'attaques assez fréquentes, et souvent très meurtrières, visant à prendre les tranchées ennemies
pour gagner du terrain.Dans ce chapitre, nous nous contenterons d'envisager l'aspect défensif de la vie en tranchée, les variantes
qu'impose la nature du terrain, la proximité entre les lignes, et ce moment crucial qu'est la montée en tranchée, la
relève, quand le réseau est déjà organisé.Utilité protectrice de la tranchée
Antoine Souchon (cl 13) né à Lentigny, boulanger à Roanne après la guerre, incorporé au 16
eR.I. de
Montbrison en décembre 1913 a connu les tranchées dès l'automne 14, dans la Somme, où le besoin de se protéger
se faisait cruellement sentir et où le trou individuel était le premier moyen de protection, en l'absence de tranchées..
Il évalue le progrès qu'a constitué la tranchée: E- " Donc en tranchée, on était quand même mieux protégé?T- Ah ben, y a pas de comparaison! Oh là! Quand les tranchées sont venues (c'est qu'on faisait des tranchées
comme la fenêtre, là) . Vous comprenez, ils avaient beau... Une machine (un obus ou une torpille) qui tombait sur
le parapet, y avait personne de touché, vous comprenez! Fallait réellement qu'elle tombe au milieu du boyau! Oh
oui oui! Oh! la tranchée, c'était utile! Ah, mais on pouvait pas faire autrement! A découvert, comme ça, là, y a pas
besoin de canons: avec les mitrailleuses! 1Sauf exception, la paille dans des granges de maisons plus ou moins détruites, ou pas encore touchées par les bombardement,
en arrière du front, était le lot des soldats, alors que les gradés (dont Antonin fait partie, étant sergent) et surtout les officiers
bénéficiaient souvent, dans les cantonnements, de chambres réquisitionnées 2"La-haut": la relève est presque toujours évoquée comme une ascension vers le danger (l'expression consacrée étant "monter
aux tranchées" ) même s'il n'y a aucune progression en altitude entre l'arrière et la première ligne.
3Pierre Miquel, La Grande Guerre, op. cit. p. 214
François Potin (cl. 14), ouvrier agricole dans l'Allier vers Saint-Pourçain-sur-Sioule avant guerre, puis
métayer en divers lieux de l'Allier après guerre, venu à Saint-Just-en-Chevalet (Loire) pour soigner ses poumons
gazés, incorporé au 85 eR.I. de Cosnes-sur-Loire, montre aussi tout l'intérêt protecteur de la tranchée contre la gerbe
d'éclats meurtriers que projettent les obus, non sans faire preuve d'humour noir, ou de réalisme: "L'obus, ça dépend
comme il éclate. S'il éclate par terre, ça fauche tout ce que ça peut attraper, dans cent mètres de rayon. Tandis que
dans une tranchée, vous craignez rien. S'il vous tombe dessus, vous êtes mis en bouillie, mais ça m'est égal, on n'y
sent toujours pas..."Selon les secteurs, et selon la stabilité ou la mobilité du front, parfois infime, parfois plus conséquente, la
nécessité de creuser immédiatement s'impose ou non. Jean Auroy (cl. 14), agriculteur à Arfeuilles (Allier),
incorporé au 142 eR.I. de Mende, se souvient d'être arrivé dans son premier secteur de l'Aisne au début de l'année
1915, de nuit, et évalue le travail à faire aussitôt, selon que l'on tombe en secteur aménagé ou pas: "Ah! De nuit
toujours! De jour on pouvait pas voyager parce que les lignes étaient pas loin les unes des autres, hein! Oh la la,
bon Dieu, j'en ai fait des tours la nuit! Incroyable!E- Vous êtes arrivés de nuit, ce qui fait que vous ne voyiez pas l'endroit où vous étiez
T- Ben bien sûr que non qu'on y voyait pas! Et encore: y avait des secteurs où ça allait bien, que c'était bien fait. Et
puis d'autres secteurs, y avait plus rien! Eh bien on était obligé de prendre les pioches et les pelles et puis faire des
trous! Parce que tant que c'était nuit, ça allait, ils nous voyaient pas. Mais aussitôt qu'il faisait clair, ça petait,
hein! Ça petait, oui! On était bien obligé de faire des trous pour se cacher!"Notons que l'obscurité protectrice de la nuit sans lune a vite été dissipée par les fusées éclairantes qui, munies
d'un parachute, reconstituaient une luminosité suffisante pour permettre le tir ennemi.Par ailleurs, ce témoin revendique la supériorité manuelle des paysans sur les citadins dans le creusement des
tranchées: "Ça dépend lesquels qu'avaient fait le travail! Si c'était des gens qui comprenaient, que le travail soit
bien fait, c'était impeccable! Tandis que s'ils mettaient à faire ça des types de la ville qu'ont jamais manié le
manche, eh ben là, y avait du propre travail! On pouvait repasser par derrière, nous les paysans!"
Même après un an de guerre, tous les secteurs ne sont pas creusés, pour peu que le front se soit déplacé un peu.
Ainsi pour la préparation de la grande offensive de Champagne de fin septembre 1915, Claudius Recorbet (cl. 15)
né à Fos-sur-Mer, garde-chasse puis ouvrier à Sury-le-Comtal, incorporé au 16 eR.I. de Montbrison, se souvient
d'avoir dû creuser son trou individuel: "Il fallait les faire soi-même; on a vu ça pour les attaques de Champagne.
C'était complètement nu, comme le jardin, là. Alors "Débrouillez-vous!". Alors on a commencé avec ces petits
outils qu'on avait. Je me rappelle: j'avais une petite pioche, j'avais encore pas mal avancé. Alors, quand nous
prenions pas la garde, nous venions vite creuser notre trou; à ce moment, j'étais plus souple que maintenant: je m'y
mettais, le menton sur les genoux. C'est qu'il pleuvait! Et puis après, en deux jours, j'ai agrandi mon trou et j'ai pu
m'y allonger. Chaque soldat faisait son trou; y avait que les officiers, c'est le Génie qui leur faisait les leurs. Ils
étaient encore pas mal abrités, mais nous!"
L'influence de la nature du terrain
Selon qu'il est meuble ou rocheux, fait de terre franche ou friable, d'argile, de craie ou de sable, sec ou humide,
en altitude ou proche de la mer ou d'un canal, le terrain se prête plus ou moins bien au creusement, et parfois très
mal, ce qui ralentit d'autant l'excavation, donc la protection relative. Ce que les agriculteurs, les jardiniers ou les
mineurs savent par profession, les autres devront l'apprendre. Mais il est des terrains tout à fait étrangers par leur
nature à la connaissance des agriculteurs d'une autre région.Antonin Cote (cl. 15), agriculteur à Saint-Priest-la-Prugne, incorporé en décembre 1914 au 121
eR.I. de
Montluçon, montre au front au printemps 1915 dans la Somme, à Guerbigny, vers Roye et y demeure toute l'année
15. Il évalue, en paysan, la nature du terrain de la Somme, pour le creusement des tranchées:
E- " Je crois que dans la Somme, les tranchées tenaient mal, non?T- Elles tenaient mal: c'était un terrain gras! Quand on voulait faire une tranchée, la terre se collait après la pelle,
et puis les souliers, tout! C'était mouillé, quoi! Mais on trouvait pas de pierres! Dans la Somme, on trouvait pas de
pierres: une pierre grosse comme un oeuf, c'était rien..."On aura compris qu'Antonin pèse ici l'avantage (l'absence de gros cailloux) et l'inconvénient (une terre grasse,
collante, compacte, difficile à creuser à la pelle).Très vite, le front s'est étendu jusqu'à la mer du Nord, en Flandres française et belge, ce qui a occasionné des
difficultés insoupçonnées, mais prévisibles, pour le creusement des tranchées. et leur stabilité.
Joseph Richard (cl. 16), agriculteur à Bourg-Argental, incorporé en avril 1915 au 2 eRégiment de Zouaves de
Lyon, monte aux tranchées à Zuydcoote, à l'est de Dunkerque à l'automne 1915, et découvre l'inconvénient des
tranchées faites en bord de mer, en terrain sablonneux: "A Zuydcoote, il en restait peu de la Belgique, vous
savez 4. Y avait des tranchées, c'était tout dans les dunes. Et un jour de grand vent, ça les bouchait! Ben, on les
refaisait!" 4 Zuydcotte est pourtant en France, à 6 km environ de la frontière belgeAntonin Morin (cl. 16) né à Pralong, mais venu jeune au Chambon-Feugerolles où il travaille comme mineur,
puis après guerre conducteur de locomotive aux Houillères de la Loire à la gare du Clapier, à Saint-Etienne, et
retraité à Champdieu, se trouve, du fait de sa profession de mineur, engagé au 4 eRégiment du Génie de Grenoble.
Il explique que le terrain sablonneux nécessite un dispositif pour retenir le sable lors du creusement de tranchées:
"On les boisait. C'étaient pas des planches, c'étaient des claies. On plantait des piquets, puis on y entrelaçait des
branches. On faisait des claies de deux mètres de large, et puis avec les piquets, on les plantait en bord de la
tranchée, ça retenait la terre". Quand l'environnement ne pouvait pas fournir le bois ou les branches pour
constituer les claies, ils étaient apportés en camions.Jean-Marie Penet (cl. 13) né à Cusset dans l'Allier, venu à Roanne, graveur-lithographe, puis ayant épousé
une pharmacienne, gérant de pharmacie à Chazay-d'Azergue (Rhône) puis à Feurs, sergent au 37
eR.I. de Troyes en
décembre 1914 en Belgique vers Ypres, découvre aussi comment l'absence de relief et l'eau affleurante se prêtent
mal au creusement de tranchée et obligent à utiliser d'autres techniques: "La première corvée, c'est moi qui l'ai eue;
c'était la nuit, pour aller chercher des fascines. J'avais une scie et sept ou huit Poilus et on allait chercher des
fascines pour les ramener en première ligne parce que, je vous le répète, en Belgique, il n'y avait pas de relief.
Alors c'étaient des gabions: des paniers remplis de terre, qu'on mettait là, et des fascines: des branches d'arbres
qui étaient tressées...E- Qui servaient de camouflage
T- Oui, alors on les mettait là contre les gabions, et on remplissait de terre. Alors on pouvait circuler la journée,
en se baissant un peu, à l'abri E- Ça vous faisait des protections de quelle hauteur?T- 1, 50 mètre.. Mais on ne creusait pas de trop, puisque l'eau venait tout de suite...Y avait le canal de l'Yser qui
serpentait dans la nature. Le village qui était devant nous s'appelait Saint-Julien, dans la périphérie d'Ypres"
Il va sans dire que la profondeur de la tranchée accroît sa capacité à protéger les individus, surtout dans les
deux premiers tiers de l'année 1915 où le casque n'a pas encore équipé l'armée française et où les blessures à la tête
sont innombrables. Dans une tranchée trop peu profonde, l'on est mal protégé, surtout les grands. C'est ce que fait
remarquer Charles Fraty (cl. 18), horloger à Roanne, qui n'a pas connu les tranchées avant le début de 1917; il
signale l'inconvénient pour les grands, dont il ne fait pas partie, de ces tranchées trop peu profondes, sans parapet
de terre pour les rehausser, ce qui revient à souligner l'avantage d'être petit: "Fallait faire attention de pas trop
relever la tête en dehors des tranchées! Fallait rester dans les tranchées. Comme j'étais pas grand, moi, ça m'allait
tout seul. Mais celui qui faisait un mètre quatre-vingt! Y en a qui se faisaient tuer sans le vouloir!"
E- C'est-à-dire que celui d'1,80 mètre dépassait les tranchées?T- Ah ben, oui, s'il se cachait pas, s'il se baissait pas bien sûr! Y avait 1,50 m, 1, 60 m à peine. Les tranchées
étaient pas très très profondes!"
Mais on sait qu'au début du XXe siècle, la taille d'1,80 mètre était rare, surtout dans certaines régions.
Toutefois, la profondeur de deux mètres, avec l'effet rehausseur du parapet de terre rejetée en avant et souvent des
sacs de sable, est généralement attestée. Mais celui qui jugerait la tranchée française à la reconstitution qu'en
donne Stanley Kubrick dans son célèbre film Les Sentiers de la Gloire (Paths of Glory) en aurait une vision
idéalisée et fausse...François Baizet (cl. 97), agriculteur à Chassigny-sous-Dun (Saône-et-Loire), sergent de l'armée territoriale (il
a 37 ans à la mobilisation de 1914), versé rapidement, en octobre 1914, dans l'armée active, au 153
eR.I. de Béziers,
où il est promu adjudant, puis après une blessure au genou, au 322 eR.I. de Rodez, en décembre 1915, passe l'hiver
15-16 en Champagne, et le 1
er mars 1916, à Moussy, au sud d'Epernay (où il va être nouveau blessé le 19 mars),alors que la bataille de Verdun vient de commencer, note une invention qu'il présente comme ingénieuse pour le
mieux être du Poilu dans les tranchées: "Une heureuse innovation pour les tranchées et boyaux sont les
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