Les caractères dans le théâtre de Sade : la loi du genre
Au contraire des écrivains tels que Diderot et. Beaumarchais Sade n'est pas un innovateur dramatique
Introduction a létude du genre Rosa: Les Caractères
INTRODUCTION. A L'ETUDE DU GENRE ROSA. LES CARACTERES MORPHOLOGIQUES PASSES EN REVUE. AU POINT DE VUE DE LEUR VALEUR POUR LA SYSTEIMATIQUE.
Loi relative à lidentité de genre lexpression de genre et les
16 déc. 2002 5) Les personnes trans et intersexuées mineures jouissent également du droit à leur identité de genre. Leur accès à ce droit doit être ...
Les caractères de lendexine chez les Papavéracées
b) Dans certains genres ou certaines espèces la face interne de l'endexinc semble dépourvue de plaques en microscopie photonique et
Taxonomie du genre Ficus au Sénégal : apport des caractères
rencontrées chez le genre Ficus. Cette étude porte sur les caractères morphologiques des espèces du genre des feuilles et des figues en particulier
La morphogenèse chez les Pinacées et ses rapports avec les
la morphogenèse et les caractères biologiques d'une part et la systé- Chez les sapins (genre Allies)
lorientation sexuelle lidentité de genre et les problématiques liées
Orientation sexuelle identité de genre et caractères sexuels dans le système africain des droits humains. 30. ANNEXE 5: Orientation sexuelle
Classification des levures du genre Candida et Mycoderma
Ce genre groupe des champignons levuriformes anascosporés monocellulaires dans les milieux liquides mais susceptibles sur certains milieux de donner naissance
LE GENRE SHIGELLA Le genre Shigella appartient à la famille des
Il comporte a espèces : Shigella dysenteriae Shigella sonnei
Détermination pratique des mauvaises herbes du genre Sida L.
du genre Sida L. (famille des Malvaceae) présentes en les caractères de la feuille. ... Mais globalement le caractère de pubescence est tout.
CLASSIFICATION DES LEVURES
DES GENRES CANDIDA ET MYCODERMA
CARACTÈRES MORPHOLOGIQUES ET PHYSIOLOGIQUES
Par Manuel ANSEL et Cécile GAUTHIER
L'utilisation persistante par les médecins de termes impropres qui provoquent d'invraisemblables confusions entre des espèces ou des genres très éloignés, tels les Monilia et les Candida, l'imprécision de certains genres tels le genre Mycoderma e t enf in l a bu s d e cara c tères inutiles qui encombrent les tableaux de spécification et les rendent d'utilisation difficile, nous ont incités à relever les erreurs courantes, à préciser des caractères nécessaires ou suffisants, enfin à donner un tableau aussi simple que possible des différentes espè ces du genre Candida, pouvant permettre au médecin de déterminer en laboratoire les espèces pathogènes ou rencontrées dans des lésions. I. - MORPHOLOGIE : Mycélium et PseudomyceliumDélimitation du genre Candida
Ce genre groupe des champignons levuriformes anascosporés monocellulaires dans les milieux liquides, mais susceptibles sur certains milieux de donner naissance à des formes filamenteuses. La multiplication végétative se fait par blastospores et jamais par arthrospores. D'autre part, il y a un pseudomycélium ou même un véritable mycélium, ce qui les oppose à un ensemble de six genres qui n'auraient jamais de vrai mycélium et dont le pseudomycélium serait toujours absent, ou tout au moins rudimentaire. Le tableau suivant donne la classification admise par Lodder etKreger Van Rij.
Ann. de Parasitologie, t. XXIX, n° 1-2. - 1954.Article available athttp://www.parasite-journal.orgorhttps://doi.org/10.1051/parasite/1954291148
LOU9SO: DO: AOaSO: FREDADR OG HüFLDUTHRl91
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Ann. de Parasitologie, t. ggAg. n° lm8o 2 l1 - 9oCoeY 150NA EB-LV LO C. RE1OoULÉ
Langeron admettait toutefois (cours 1948) que les blastospores de la base pouvaient s'allonger en filaments, mais qu'il n'y avait pas de filament préexistant. Il pensait que les cloisons étaient formées entre deux éléments par l'effet de tassement entre ces deux éléments contigus. Il précisait et concluait ainsi : Un mycélium vrai est un tube d'abord continu se cloisonnant ensuite. " Dans le pseudomycélium, ce sont des blastospores qui constituent le thalle, il n'y a pas de cloison véritable, mais un très petit point (de contact) avec pertuis. »Il y a lieu de bien distinguer :
les formes de multiplication dispersive que sont les blastospores et les arthrospores ; les formes de multiplication végétative que sont le pseudomycé lium, le vrai mycélium. Le pseudomycélium naît par bourgeonnements successifs termi naux ou latéraux (ramifications). Les éléments sont attachés les uns aux autres par une base étroite, présentant un pertuis. Le pseu domycélium naît par mécanisme de blastèse (bourgeon). Le vrai mycélium provient de l'allongement terminal d'un tube dans lequel apparaissent, à l'intérieur et sur les côtés, des rudiments de cloison, puis une cloison plus ou moins complète. Néanmoins, un pertuis persiste, sauf quand la portion la plus ancienne devient vide et morte, auquel cas la cloison devient complète, isolant le mort du vif. Le mécanisme de naissance du vrai mycélium est donc celui de la diaphragmèse (διαφραγμα = cloison). En conclusion, quoi que l'on puisse penser de la distinction entre pseudomycélium ou vrai mycélium, il n'en est pas moins vrai que l'on observe, chez les Candida, une évolution marquée dans les dif férents types, depuis les blastospores simplement mises bout à bout, en passant par les chaînes de blastospores tassées les unes au bout des autres avec cloisons vraies ou fausses, jusqu'aux vrais filaments présentant des cloisons formées tardivement. Au cours de l'évolution, un vrai mycélium conserve constamment le même aspect. Au contraire, comme le faisait très justement remarquer Langeron, le pseudomycélium se modifie et les blasto spores anciennes, considérablement allongées par l'effet du tasse ment, peuvent présenter entre elles des pseudo-cloisons qui peu vent aussi être complètes si l'un des éléments est vide de cyto plasme, donc mort. Néanmoins, le plus souvent, la délimitation entre deux éléments successifs est souvent manifestée par un étran glement dans la continuité des membranes latérales.LOU9SO: DO: AOaSO: FREDADR OG HüFLDUTHRUFU
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3) Dissociations des Hétérosides. - La recherche de la disso
ciation de certains Hétérosides par diverses espèces de levures paraît, au contraire, un élément de diagnostic intéressant. On sait que ceux-ci, obtenus de nombreuses plantes, sont dissociés en une molé cule de glycose et en un aglycone correspondant. Il en est ainsi de l'aesculoside qui libère de l'esculétine (dihydroxycoumarine) et de l'arbutoside qui libère l'hydroquinone. Avec du FeCl3 dans le milieu de culture, on obtient une colora tion brunâtre. Cette réaction colorée est donc très utile ; elle peut s'ajouter au caractère suivant, mais peut ne pas concorder avec lui.4) Assimilation de l'aicool comme seule source de carbone. -
Cette recherche devenue classique se fait en mettant 3 % d'alcool éthylique dans un milieu renfermant d'autres éléments, dans la constitution desquels ne se trouve pas de molécule de carbone. Certaines levures poussent très bien dans ce milieu, d'autres pas. Pour celles qui poussent, on peut aussi rechercher la triade P.A.S., c'est-à-dire : Pellicule, Anneau, Sédiment.5) Composés de l'azote. - Il est utile de constater que tous les
Candida utilisent la peptone, ainsi on s'épargnera de rechercher l'assimilation de cette substance. Parmi les acides aminés, on remar quera pour l'Asparagine, que 16 espèces sur 18 l'assimilent, ces deux exceptions étant Candida pelliculosa et Candida zeylanoïdes. L'Histidine est assimilée par 14 espèces ; semblent inaptes : C. pel liculosa et intermedia, brumpti et zeylanoïdes. Les caractères d'assimilation vis-à-vis de ces deux substances pourraient être considérés comme tout à fait facultatifs, ou comme simples éléments de confirmation dans le diagnostic. Il n'en est pas de même de l'urée, car seulement sept espèces l'assimilent. Néanmoins, la constatation de son assimilation estLOU9SO: DO: AOaSO: FREDADR OG HüFLDUTHRUF7
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