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Ce genre groupe des champignons levuriformes anascosporés monocellulaires dans les milieux liquides mais susceptibles sur certains milieux de donner naissance 



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du genre Sida L. (famille des Malvaceae) présentes en les caractères de la feuille. ... Mais globalement le caractère de pubescence est tout.

CLASSIFICATION DES LEVURES

DES GENRES CANDIDA ET MYCODERMA

CARACTÈRES MORPHOLOGIQUES ET PHYSIOLOGIQUES

Par Manuel ANSEL et Cécile GAUTHIER

L'utilisation persistante par les médecins de termes impropres qui provoquent d'invraisemblables confusions entre des espèces ou des genres très éloignés, tels les Monilia et les Candida, l'imprécision de certains genres tels le genre Mycoderma e t enf in l a bu s d e cara c tères inutiles qui encombrent les tableaux de spécification et les rendent d'utilisation difficile, nous ont incités à relever les erreurs courantes, à préciser des caractères nécessaires ou suffisants, enfin à donner un tableau aussi simple que possible des différentes espè ces du genre Candida, pouvant permettre au médecin de déterminer en laboratoire les espèces pathogènes ou rencontrées dans des lésions. I. - MORPHOLOGIE : Mycélium et Pseudomycelium

Délimitation du genre Candida

Ce genre groupe des champignons levuriformes anascosporés monocellulaires dans les milieux liquides, mais susceptibles sur certains milieux de donner naissance à des formes filamenteuses. La multiplication végétative se fait par blastospores et jamais par arthrospores. D'autre part, il y a un pseudomycélium ou même un véritable mycélium, ce qui les oppose à un ensemble de six genres qui n'auraient jamais de vrai mycélium et dont le pseudomycélium serait toujours absent, ou tout au moins rudimentaire. Le tableau suivant donne la classification admise par Lodder et

Kreger Van Rij.

Ann. de Parasitologie, t. XXIX, n° 1-2. - 1954.Article available athttp://www.parasite-journal.orgorhttps://doi.org/10.1051/parasite/1954291148

LOU9SO: DO: AOaSO: FREDADR OG HüFLDUTHRl91

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Ann. de Parasitologie, t. ggAg. n° lm8o 2 l1 - 9oCoeY 150

NA EB-LV LO C. RE1OoULÉ

Langeron admettait toutefois (cours 1948) que les blastospores de la base pouvaient s'allonger en filaments, mais qu'il n'y avait pas de filament préexistant. Il pensait que les cloisons étaient formées entre deux éléments par l'effet de tassement entre ces deux éléments contigus. Il précisait et concluait ainsi : Un mycélium vrai est un tube d'abord continu se cloisonnant ensuite. " Dans le pseudomycélium, ce sont des blastospores qui constituent le thalle, il n'y a pas de cloison véritable, mais un très petit point (de contact) avec pertuis. »

Il y a lieu de bien distinguer :

les formes de multiplication dispersive que sont les blastospores et les arthrospores ; les formes de multiplication végétative que sont le pseudomycé lium, le vrai mycélium. Le pseudomycélium naît par bourgeonnements successifs termi naux ou latéraux (ramifications). Les éléments sont attachés les uns aux autres par une base étroite, présentant un pertuis. Le pseu domycélium naît par mécanisme de blastèse (bourgeon). Le vrai mycélium provient de l'allongement terminal d'un tube dans lequel apparaissent, à l'intérieur et sur les côtés, des rudiments de cloison, puis une cloison plus ou moins complète. Néanmoins, un pertuis persiste, sauf quand la portion la plus ancienne devient vide et morte, auquel cas la cloison devient complète, isolant le mort du vif. Le mécanisme de naissance du vrai mycélium est donc celui de la diaphragmèse (διαφραγμα = cloison). En conclusion, quoi que l'on puisse penser de la distinction entre pseudomycélium ou vrai mycélium, il n'en est pas moins vrai que l'on observe, chez les Candida, une évolution marquée dans les dif férents types, depuis les blastospores simplement mises bout à bout, en passant par les chaînes de blastospores tassées les unes au bout des autres avec cloisons vraies ou fausses, jusqu'aux vrais filaments présentant des cloisons formées tardivement. Au cours de l'évolution, un vrai mycélium conserve constamment le même aspect. Au contraire, comme le faisait très justement remarquer Langeron, le pseudomycélium se modifie et les blasto spores anciennes, considérablement allongées par l'effet du tasse ment, peuvent présenter entre elles des pseudo-cloisons qui peu vent aussi être complètes si l'un des éléments est vide de cyto plasme, donc mort. Néanmoins, le plus souvent, la délimitation entre deux éléments successifs est souvent manifestée par un étran glement dans la continuité des membranes latérales.

LOU9SO: DO: AOaSO: FREDADR OG HüFLDUTHRUFU

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■c+cny an GBàa ta àa ÈBPBàscya Pa yeÈna =o UnGen. àcMMa ncéy Pa MBruéarcny tBny Pa sB6PaBé ta àPByyeGeàBsecn tay Candida uéa ncéy tcnncny ,Péy Pcen. àa ÈBPBàscya ays enésePa ,cér tiPeMesar les groupes t5ay,7àayo AP raysa tcnà ésePa ta raà°arà°ar PB GarMansBsecn tay àenu

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uéBnt aPPa P5ays erriÈéPe7raMans j■Breisi Truncata ta C. albicans/o l%ù 152

NA EB-LV LO MA RE1OoULÉ

3) Dissociations des Hétérosides. - La recherche de la disso

ciation de certains Hétérosides par diverses espèces de levures paraît, au contraire, un élément de diagnostic intéressant. On sait que ceux-ci, obtenus de nombreuses plantes, sont dissociés en une molé cule de glycose et en un aglycone correspondant. Il en est ainsi de l'aesculoside qui libère de l'esculétine (dihydroxycoumarine) et de l'arbutoside qui libère l'hydroquinone. Avec du FeCl3 dans le milieu de culture, on obtient une colora tion brunâtre. Cette réaction colorée est donc très utile ; elle peut s'ajouter au caractère suivant, mais peut ne pas concorder avec lui.

4) Assimilation de l'aicool comme seule source de carbone. -

Cette recherche devenue classique se fait en mettant 3 % d'alcool éthylique dans un milieu renfermant d'autres éléments, dans la constitution desquels ne se trouve pas de molécule de carbone. Certaines levures poussent très bien dans ce milieu, d'autres pas. Pour celles qui poussent, on peut aussi rechercher la triade P.A.S., c'est-à-dire : Pellicule, Anneau, Sédiment.

5) Composés de l'azote. - Il est utile de constater que tous les

Candida utilisent la peptone, ainsi on s'épargnera de rechercher l'assimilation de cette substance. Parmi les acides aminés, on remar quera pour l'Asparagine, que 16 espèces sur 18 l'assimilent, ces deux exceptions étant Candida pelliculosa et Candida zeylanoïdes. L'Histidine est assimilée par 14 espèces ; semblent inaptes : C. pel liculosa et intermedia, brumpti et zeylanoïdes. Les caractères d'assimilation vis-à-vis de ces deux substances pourraient être considérés comme tout à fait facultatifs, ou comme simples éléments de confirmation dans le diagnostic. Il n'en est pas de même de l'urée, car seulement sept espèces l'assimilent. Néanmoins, la constatation de son assimilation est

LOU9SO: DO: AOaSO: FREDADR OG HüFLDUTHRUF7

rantéa teGGeàePa. àBr cn yBes àcM6ean aPPa teGGéya BeyiMans as rant. ,Br yéesa. teGGeàePay PB Paàséra as P5ensar,risBsecn ta ycn Bàsecno

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as 6PByscy,cray rcntay cé c■BPay. as anGen Mycoderma q M+àiPeéM réteMansBera as tcns Pa àBrBàs7ra 6ecPcÈeuéa àcnyeysBes q n5èsra uéa tay yB,rc,°+say ta 6ceyycny BPàccPeyiay. Mycoderma vini DayMB;e7m ray isBns yaéP tcnni àcMMa ay,7àa ta àa Èanrao IPéy riàaMMans. Vcttar as çraÈar dBn Tef cns yé,,reMi Pa Èanra Mycoderma as cns ,PBài P5ay,7àa M. vini tBny Pa Èanra Candida, ycéy Pa ■càB6Pa Candida mycoderma. Fassa tarne7ra tincMenBsecn ncéy ,BrBes q scés Pa Mceny ansBà°ia t5éna Bssaensa BéJ Pcey ta ,recresi. Iaryccn B+Bns àrii Pa Èanra Mycoderma an lb88 as DayneB;e7ray B+Bns tincMMi P5ay,7àa M. vini an lb8 - o AP n5+ B■Bes tcnà ,By Peaé ta ra,rantra PB tincMenBsecn y,iàeGeuéa tcnnia ,Br Tayy an lb3% ta Saccharomyces Mycoderma. V5ay,7àa tces tcnà raysar Candida vini cé Mycoderma vini. FcMMa ncéy Pa raMBruéecny ,Péy °Bés. Pay àBrBàs7ray té Èanra Mycoderma cns isi MBP ,riàeyiy as t7y P5creÈena ,Br Iaryccn Péem MèMao DayneB;e7ray B■Bes sansi uéaPuéay raàseGeàBsecny. MBey eP B■Bes Pa scrs ta àPByyar àas crÈBneyMa ,BrMe Pay AnGéycerayo AP ncéy ,BrBzs ,cyye6Pa ta ,riàeyar BàséaPPaMans PB teBÈncya té Èanra an F°BM,eÈncny eM,BrGBesy jBtiPcM+à7say/ ya ,riyansBns yérh scés ycéy PB GcrMa BàaPPéPBera. oe Pa■éra k. tBny Pay MePeaéJ Peuéetay. MBey ,cé■Bns yér teGGiransy MePeaéJ. yérscés ycPetay. ya ,riyansar ycéy GcrMa ta ,yaétcM+àiPeéM cé ta ■rBe M+àiPeéMo Un MePeaé Peuéeta ysBntBrt jaBé ÈP+àcyia q 8 î. ,a,scnia q l î/ Pay Mycoderma GcrMans toujours, q ,Péy cé Mceny 6r7■a ià°iBnàa. éna pellicule. VB ra,rctéàsecn ya GBes éneuéaMans ,Br 6PByscy,crayo AP n5+ B fBMBey t5Brs°rcy,cray. t5Byàcy,cray cé ta 6PByscy,crayo AP n5+ B fBMBey ta GarMansBsecn tay yéàray. cé ye aPPa ays sr7y PiÈ7r7. eP + B an scés àBy GcrMBsecn ta ,aPPeàéPao AP n5+ B fBMBey ByyeMePBsecn té EesrBsa ta IcsByyeéMo Fay Pa■éray cns tcnà. àcMMa ,raMear 9'J

NA EB-LV LO MA RE1OoULÉ

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LOU9SO: DO: AOaSO: FREDADR OG HüFLDUTHRUFF

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Br. anomalus GarMansa an ,Péy Pa PBàscyao

Br. bruxellensis as lambicus GarMansans an ,Péy yBàà°Brcya as MBPscyao Br. clausseni GarMansa an ,Péy PBàscya. yBàà°Brcya as MBPscya as rBGGem ncya l_0o

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Vay Èanray Mycoderma as Brettanomyces, isBns Benye 6ean tiPeh Mesiy. cn ,aés isB6Per Pa sB6PaBé yée■Bns tay Pa■éray BnByàcy,criay as 6PByscy,criay àcnyseséBns P5crtra ta Blastosporales cé Torulopsi- dales jpéà°♂BPt l101/ jl/o b) ZcrMay ,riyanh sBns én GrBnà M+h

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