[PDF] 1. Synthèse et à plus forte raison en





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Réflexions sur laugmentation de la démographie mondiale et ses

22 juin 2020 Depuis 37 000 ans la population mondiale n'a cessé d'augmenter



1. Synthèse

et à plus forte raison en regard de la population mondiale. la cause initiale du décès (c'est-à-dire la maladie ou le traumatisme qui a déclenché l' ...



Perspectives de lenvironnement de lOCDE à lhorizon 2050

l'augmentation de la population mondiale va se poursuivre jusqu'en 2050 quoiqu'à un rythme plus lent



Chiffres clés du climat - France Europe et Monde - Édition 2021

sur les causes et les conséquences possibles du changement climatique. Depuis la fin du XIXe siècle la température moyenne mondiale a augmenté.



Leffet de serre Limpact des activités humaines

artificiellement l'augmentation des Cela ne remet pas en cause ... mondiales alors qu'elle contribue à hauteur de 3



Introduction ..................................................... Conclusions .....

en plus l'attention des gouvernements qui se préoccupent des causes et des population active induite par l'augmentation relativement plus rapide de la ...



De 55 à 65 millions dhabitants : pourquoi la population a-t-elle

La progression de l'espérance de vie (+ 7 ans en trente ans) et les effets des migrations ont chacun entraîné une augmentation de la population de 3 millions.



RAPPORT MONDIAL SUR LES DROGUES

y avoir eu d'augmentation ces quatre dernières années pro- portionnellement à la population mondiale. Cependant étant donné que plus de 29 millions de 



RAPPORT MONDIAL SUR LES DROGUES

consommateurs de cannabis ne cesse de croître et aurait augmenté d'environ 16 % entre 2007 et 2016 allant de pair avec l'augmentation de la population mondiale 



Situation de la population mondiale en 2014

Les populations d'Afrique et d'Asie vont augmenter très sensiblement au cours des prochaines décennies. En revanche en raison d'une fécondité déficitaire 

a fortiori,

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La description de l"état de santé de la population en France qui est faite dans ce rapport est fondée

sur le recoupement des différentes approches présentées dans l"encadré ci-dessus, complétées

ponctuellement pour certaines thématiques et territoires, par d"autres sources de données. Les Français bénécient d"une espérance de vie élevée. Elle est de 85,0 ans pour les femmes en

2015, parmi les plus élevées d"Europe, et 78,9

ans pour les hommes, dans la moyenne européenne. En dix ans, l"espérance de vie des femmes a progressé de 1,2 an et celle des hommes de 2,2 ans.

Cependant, l'augmentation de l'espérance de vie a été plus importante au cours des dix années pré

cédentes. En effet, l'espérance de vie a progressé chez les hommes de 2,9 ans et chez les femmes de 1,9 an entre 1995 et 2005. L'écart entre les deux sexes se réduit, comme dans quasiment tous les pays européens. On constate cependant un recul de l'espérance de vie entre 2014 et 2015, de 0,4 an pour les femmes et 0,3 an pour les hommes. Cette baisse serait principalement conjoncturelle, due à une

forte augmentation de la mortalité des personnes âgées au cours de l'épisode grippal de l'hiver, avec

une épidémie de forte intensité. C'est la première fois qu'une baisse annuelle de cette ampleur est

constatée depuis l'après-guerre. Les rares diminutions annuelles notées en 2003, 2005, 2008 et

une plus marquée en 2012 étaient toujours inférieures à 0,2 an. Il faut noter que ces ?uctuations concernent des années récentes, probablement en relation avec l'augmentation du nombre de per-

sonnes très âgées et fragiles, des femmes en grande majorité, sensibles aux variations de morta

lité dues à des événements météorologiques extrêmes, comme les canicules, ou à des épidémies

de grippe et autres maladies respiratoires infectieuses liées aux conditions climatiques hivernales.

Cependant, il ne faut pas exclure des raisons plus structurelles à ce ralentissement de la progres

sion de l'espérance de vie comme la persistance, voire l'accroissement, de facteurs de risque de

maladies chroniques (la consommation de tabac est lente à diminuer, l'obésité progresse chez les

adultes).

La réduction très notable de la mortalité toutes causes observée depuis plusieurs décennies se

poursuit. En effet, les taux de mortalité standardisés sur l'âge ont, pour 1

000 habitants, diminué

entre 2000 et 2014, de 14,7 décès à 11,4 chez les hommes et de 8,4 à 6,7 chez les femmes. Cette

baisse concerne toutes les classes d'âges. Pour 2014, ces taux sont inférieurs aux taux moyens de

l'Europe des 28, qui sont de 12,7 pour les hommes et 8,4 pour les femmes.

On constate depuis plus de 15

ans une évolution à la baisse de la mortalité prématurée (avant 65

ans) et, au sein de cette mortalité prématurée, de la mortalité évitable liée aux comportements à

risque (décès pouvant être évités par une réduction de ces comportements tels que le tabagisme, la

consommation nocive d'alcool, la conduite routière dangereuse...). Cette baisse est plus marquée

chez les hommes, qui demeurent néanmoins plus concernés que les femmes : la mortalité préma- turée a diminué entre 2000 et 2013 de 22,9 % chez les hommes et de 15,1 % chez les femmes, montrant une amélioration globale de l'état de santé. La réduction de la mortalité concerne la plupart des maladies chroniques : entre 1980 et 2012, la mortalité tous cancers (première cause de mortalité) a baissé de 1,5 % en moyenne par an chez les hommes et de 1,0 % chez les femmes. La mortalité tous cancers, plus élevée chez les hommes que chez les femmes, s'établit à ce jour à 124 pour 100

000 personnes-années chez les hommes et à 72,9

chez les femmes. Témoignant d'une amélioration de la prise en charge et des traitements, la survie à la

plupart des cancers a également nettement progressé chez les adultes comme chez les enfants.

Mêmes constats pour les maladies cardio-vasculaires. Entre 2000 et 2013, le taux standardisé sur

l'âge de mortalité par AVC a diminué de 37,1 %. Cette diminution est observée pour les deux sexes, chez les moins de 65 ans comme chez les 65 ans et plus. Celui des cardiopathies ischémiques a décru sur cette même période de 43,8 % chez les hommes et de 49,3 % chez les femmes, celui des insuf?sances cardiaques de 36 % tant chez les hommes que chez les femmes.

Pour ce qui concerne le suicide, son taux de mortalité standardisé sur l'âge a globalement diminué

de 22 % entre 2000 et 2013.

Des exceptions cependant

: la mortalité par cancer du poumon et la mortalité liée à la bronchopneu- mopathie chronique obstructive (BPCO) ont augmenté chez les femmes, en relation avec une

consommation de tabac qui, chez elles, n'a que peu ?échi au cours des trois dernières décennies.

?Cancers et maladies cardio-vasculaires: les deux premières causes de décès Mais un poids des décès prématurés qui reste important et une morbidité par maladies chroniques qui progresse ?Un taux de décès prématurés élevé et plus important chez les hommes que chez les femmes ?L"incidence des maladies chroniques qui ne régresse pas et une prévalence importante et en forte hausse Toutefois, depuis 2005, on observe une rupture dans l'évolution ascendante de l'incidence des can cers, avec une diminution de l'incidence chez l'homme et une stabilisation chez la femme. Ces variations s'expliquent notamment par une diminution de l'incidence du cancer de la prostate, cancer

le plus fréquent chez l'homme, et une stabilisation de l'incidence du cancer du sein, cancer le plus

fréquent chez la femme, deux cancers dont le pronostic s'est considérablement amélioré au cours du

temps et dont le diagnostic est de plus en plus précoce. En revanche, l'évolution du cancer du pou

mon chez la femme est très défavorable et marquée par une augmentation conjointe de l'incidence

et de la mortalité pour ce cancer dont la survie - par ailleurs faible - s'est peu améliorée entre 1989

et 2010. Si la mortalité par AVC ne cesse de diminuer depuis les années

2000, l'incidence des patients hos-

pitalisés est en augmentation chez les moins de 65 ans depuis 2002 et tend à se stabiliser chez les 65
ans et plus depuis 2008. Cette augmentation chez les moins de 65 ans semble concerner plus particulièrement les AVC d'origine ischémique et touche autant les hommes que les femmes. Ces

augmentations pourraient être liées à une augmentation de la prévalence de certains facteurs de

risque dans la population comme le tabagisme, l'obésité et la sédentarité.

Entre 2000 et 2013, le taux standardisé sur l'âge de mortalité par cardiopathie ischémique (CPI) dimi

nue de façon similaire chez les hommes et les femmes. Parmi les moins de 65 ans, le taux diminue

de manière plus importante chez les hommes que chez les femmes. Les taux standardisés sur l'âge

de patients hospitalisés pour CPI sont en diminution tous âges et sexes confondus. Chez les femmes

de plus de 65 ans, la baisse de ce taux est plus importante que chez les plus jeunes. Les hospitalisations pour exacerbation de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ont augmenté entre 2000 et 2014 ; cette augmentation est plus importante chez les femmes que chez les

hommes. Ainsi, l'écart de morbi-mortalité liée à la BPCO entre hommes et femmes tend à se réduire.

La prévalence du diabète traité pharmacologiquement a augmenté de 4,4 % en 2010 à 4,7 % en

2013 soit environ 3

millions de personnes, augmentation qui touche les plus et les moins de 65 ans des deux sexes.

Depuis 2011, l'incidence globale de l'insuf?sance rénale chronique terminale (IRCT) tend à augmen

ter de 2

% par an. L'âge médian au début de l'IRCT est stable à 70 ans. L'incidence de l'IRCT obser-

vée en France se situe dans les valeurs hautes de celles de l'Europe. L'augmentation du nombre de

nouveaux cas est essentiellement expliquée par l'accroissement de la taille de la population âgée. La

part de la hausse qui ne résulte pas de ces évolutions démographiques serait due à l'augmentation

du diabète et de ses complications, notamment l'insuf?sance rénale chronique.

Sous l'effet conjugué du vieillissement de la population et de l'amélioration globale de la survie

en cas de pathologie chronique, le nombre de personnes concernées par une ou plusieurs de ces

maladies ne cesse de s'accroître. Plus préoccupant, l'augmentation de la fréquence des maladies

chroniques concerne également les personnes âgées de moins de 65 ans et tout particulièrement les femmes.

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chez les plus de 65 ansTaux pour 10 000 chez les 45-64 ans 2014

Accidents vasculaires cérébraux (AVC)

Accidents vasculaires cérébraux (AVC)

Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO)

Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) Hommes 65 ans

Femmes 65 ans

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65 ansFemmes < 65 ans

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La santé perçue

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Ensemble85 ans ou plusDe 75 à 84 ansDe 65 à 74 ansDe 55 à 64 ansDe 45 à 54 ansDe 35 à 44 ansDe 25 à 34 ansDe 16 à 24 ans

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45,435,8

8,52,1

7,544,934,0

12,11,62,5

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18,23,02,5

20,048,3

20,29,1

1,6

18,244,6

29,95,725,745,3

21,6

6,31,1

21,644,125,1

7,91,3

* Libellé de la question: "Comment est votre état de santé en général Champ

• France métropolitaine, population vivant en ménage ordinaire, âgée de 16ans ou plus.

Source

• Enquête statistique sur les ressources et les conditions de vie SRCV-SILC (Eurostat2014). Les déterminants de santé, enjeux de la prévention Compte tenu de l"importance de la mortalité prématurée "

évitable » en France, identier les com-

portements des Français qui contribuent le plus à cette mortalité, an de réduire son poids, constitue

un enjeu majeur de santé publique. Or, le champ des comportements qui ont un impact sur la santé

est très large, puisqu"il englobe pratiquement l"ensemble des activités humaines : activité physique,

sommeil, alimentation et plus généralement consommation de substances psychoactives, sociabilité.

Le niveau d"éducation, les conditions de vie, et en particulier de travail et de logement, la qualité de

l"environnement et de l"offre de services (notamment de santé) à proximité des lieux de vie ont éga

lement un impact déterminant. Ces différents facteurs exercent une inuence sur la santé dès la vie

intra-utérine et leurs effets se cumulent tout au long de la vie, ce qui rend les politiques de prévention

complexes. Ils sont fortement liés aux pratiques sociales et culturelles où s"expriment notamment

les différences hommes-femmes. La tendance au rapprochement des comportements masculins et

féminins dans toutes les sphères de la vie sociale se traduit par une réduction des écarts en matière

d"état de santé. En particulier, le rapprochement des comportements féminins et masculins vis-à-vis

de la consommation d"alcool et de tabac (cf. infra ) a contribué à la diminution de la mortalité par cancer plus marquée chez les hommes que chez les femmes au cours des années

2000 (le taux

de mortalité standardisé par cancer des hommes a baissé de 19 % et celui des femmes de 9 %),

qui explique en partie la réduction des écarts d"espérance de vie. La réduction de la mortalité

cardio-vasculaire a en revanche été comparable pour les femmes et les hommes, avec une baisse de 34 % des taux standardisés sur la même période. G GUne proportion de fumeurs quotidiens trop importante

Après la hausse observée entre 2005 et 2010 faisant suite à plusieurs décennies de baisse, la

prévalence du tabagisme quotidien apparaît en légère diminution en 2014 (de 29,7 % en 2010 à 28,6
% en 2014). La consommation de tabac des femmes et des hommes s"est cependant rappro- chée, avec une légère inexion récente : parmi les 15-75 ans, la prévalence du tabagisme quotidien s"avère stable chez les hommes (de 32,4 % en 2010 à 32,9 % en 2014) alors qu"elle apparaît en légère baisse chez les femmes (de 26,0 % à 24,6 %). L"importante baisse du tabagisme chez les hommes, observée depuis plusieurs décennies jusqu'en 2005, s'est traduite par une diminution de 15

% des taux standardisés de décès liés à des tumeurs malignes du larynx, de la trachée, des

bronches et du poumon, entre 2002 et 2013. Ce taux a en revanche progressé de 39 % chez les femmes sur la même période ; au total, le tabagisme quotidien a diminué de 2 % pour l'ensemble des deux sexes. Mais un regard rétrospectif sur la consommation de tabac au cours de plusieurs

décennies, au-delà des ?uctuations mentionnées qui sont récentes, montre que la proportion de

fumeurs actuels (quotidiens ou occasionnels) a diminué pour les hommes, passant de 59,0 % en

1974 à 38,8 % en 2014, alors que chez les femmes cette proportion est restée stable (28 % en

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