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36 - Limpressionnisme

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DU REALISME A LIMPRESSIONNISME

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~ j Robert Delaunay De limpressionnisme à labstraction 1906

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Comment l’impressionnisme a-t-il évolué dans les écoles de peintures étrangères ?

Lorsque le succès public se dessine, à la fin des années 1880, l’impressionnisme connaît un essor important dans les écoles de peintures étrangères. Plus tard, on rassemble dans le « post-impressionnisme » les différentes tendances artistiques issues directement ou indirectement de l’impressionnisme dans les dernières années du xixe siècle.

Qui a inventé l’impressionnisme ?

L’ impressionnisme serait né en 1873 grâce à Claude Monet, auteur d’ Impression, soleil levant, l’œuvre manifeste de cette esthétique de la rapidité et du flou.

Qu'est-ce que le mouvement impressionniste ?

Mené par Claude Monet, Camille Pissarro, Edgar Degas et Pierre-Auguste Renoir, ce mouvement révolutionnaire allait à l'encontre des standards de la peinture de l'époque. Au lieu de rechercher le réalisme, les artistes impressionnistes ont mis l'accent sur la lumière, le mouvement et l'atmosphère dans leurs représentations de la vie quotidienne.

Pourquoi le critique utilise-t-il le terme impressionnisme ?

Le critique emploie le terme impressionnisme pour la première fois. Il se veut dédaigneux, mais Monet ne se laisse pas démonter. En 1877, il reprend le terme à deux reprises, à l’occasion de l’exposition de 1877 et lors du baptême de la revue L’Impressionniste, journal d’art. Cette appellation contribue finalement à la gloire du mouvement.

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~ j p- 'eS

Robert Delaunay,

De l'impressionnisme

à l'abstraction

1906-1914

Galerie sud

Centre Georges Pompidou

3 juin-16 août 1999

L'exposition " Robert Delaunay.

De l'impressionnisme à l'abstraction,

1906-1914 " est présentée dans la Galerie Sud

du Centre Georges Pompidou du 3 juin au 16 août 1999. Cette exposition, qui réunit une centaine d'oeuvres de l'artiste (peintures et dessins), s'inscrit dans le cycle des grandes manifestations monographiques conçues par le Centre Georges Pompidou, Musée national d'art moderne. Il s'agit de la première exposition consacrée à Robert Delaunay à

Paris depuis celle présentée en 1976 à

l'Orangerie. L'exposition " Robert Delaunay.

De l'impressionnismeà l'abstraction " est la

dernière exposition présentée dans la Galerie

Sud avant la réouverture complète du Centre

Georges Pompidou le ler janvier 2000.

A l'occasion de l'exposition " Robert Delaunay.

De l'impressionnisme à l'abstraction" sont

rassemblées pour la première fois en France les séries réalisées par l'artiste jusqu'en 1914, notamment les importants ensembles desTour Eiffel,desFenêtres,et des Formes circulaires.L'exposition souligne le rôle historique de Robert Delaunay dans la naissance de l'abstraction et la place qu'il occupe, à la veille du premier conflit mondial, au sein de l'avant-garde internationale. Peintre de la vie moderne, ayant développé en marge des fondements spirituels de Kandinsky,

Mondrian et Malevitch, une conception

purement optique de la peinture, Delaunay apparaît comme un passeur essentiel entre l'impressionnisme et les grands courants formalistes de l'abstraction du XXe siècle.

Robert Delaunay, né en 1885, fait ses premiers

pas dans la peinture à l'aube du nouveau siècle, au coeur du Paris des Expositions universelles, sous le signe de la Tour Eiffel. Attentif aux récentes théories scientifiques sur la lumière et la couleur, fasciné par les nouvelles techniques qui bouleversent le regard des contemporains, il trouve ses sujets de prédilection dans les emblèmes d'un monde en transformation (aéronautique, Grande Roue, affiches...).

Ses maîtres sont Monet, Signac et Seurat ;

ses amis sont, de Guillaume Apollinaire à Blaise Cendrars, les chantres de la modernité.

A l'issue d'un apprentissage dans des ateliers

de décor de théâtre, Delaunay, dépourvu de formation académique, fait l'expérience de l'impressionnisme, à la recherche d'une formule qui exprime ce nouveau monde d'énergies sans faire appel aux conventions picturales traditionnelles (perspectives, clair-obscur...).

Entre 1906 et 1914, il traverse de nombreux

mouvements artistiques (divisionnisme, fauvisme puis cubisme) avant de découvrir sa propre voie dans l'usage exclusif de la couleur, la " peinture pure ". Dans le sillage de l'impressionnisme, il adopte le principe de la série qui lui permet d'avancer par étapes, en explorant toutes les possibilités formelles du sujet.Saint-Séverin, Villes, Tour Eiffel, Fenêtres etFormescirculaires, ponctuées par les grandes toiles proposées au Salon(Ville de Paris,

Équipe de CardiffetHommage à Blériot)

forment un parcours exceptionnel qui conduit

Delaunay jusqu'à l'abstraction radicale du

Disque.

L'exposition s'ouvre surune série d'ouvres

néo-impressionnistesqui révèlent l'intérêt précoce pour la couleur. Aux côtés du peintre

Jean Metzinger, il adopte en 1906 la touche

divisionniste, empruntée à Signac et à Cross, et souhaite produire de la lumière par le seul moyen d'une touche bigarrée, chatoyante. Il consulte pour cela les traités scientifiques sur la couleur d'Eugène Chevreul et Ogden Rood, qui nourrissent sa réflexion sur le " contraste simultané ". O 0

La sériedesSaint-Séverin(1909-1910)

inaugure sous l'influence de Cézanne, la période " destructive ". Elle constitue pour Delaunay la première tentative systématique d'analyse des effets de la lumière sur une architecture. Le peintre choisit un intérieur d'église gothique où, par la déformation convexe de l'espace et les effets de transparence, il transfigure l'édifice d'une manière si expressive qu'il fournira l'une des sources des mouvements expressionnistes allemands.

Dans la série desVilles(1909-1911), Delaunay

associe les leçons du néo-impressionnisme et du cubisme. Les premières versions, plutôt naturalistes, rassemblent des études préparatoires, aux formes géométriques simplifiées. Puis, Delaunay, marqué à. nouveau par l'influence du divisionnisme, filtre la vue plongeante sur la ville au moyen d'un réseau de damiers " cubiques " qui reproduit les reflets lumineux d'une vitre. Il poursuit ici les recherches visuelles amorcées dans la série des

Saint-Séverin:l'ubiquité de la vue

panoramique, l'éclatement de la perspective, et le démantèlement analytique des volumes. La série desTourEiffel(1909-1911) représente le moment le plus fertile de cette période " destructive " le plus monumental aussi.

Delaunay décompose l'édifice pour mieux

l'embrasser du regard. En1909,la Tour Eiffel reste inouïe dans le paysage parisien, hors de toute saisie; c'est le seul monument qui plonge dans l'espace et se trouve traversé par lui.

Dans l'explosion des masses métalliques,

Delaunay trouve le moyen de célébrer les

nouvelles capacités du regard moderne. Le peintre, qui souhaite aller au-delà de l'objet, montre que sa dislocation physique est la seule appropriation satisfaisante. En organisant ce cataclysme, il se rend maître de la puissance

écrasante de la Tour.

A l'issue du Salon des Indépendants de 1912où il présente laVille de Paris-imposante composition qui résume son passage dans le cubisme-, Delaunay comprend les limites de cette formule " destructive " et cherche à reconstruire la forme au moyen de la couleur. La série desFenêtresassure cette transition : elle est la plus ample et surtout la plus décisive pour le passage à l'abstraction. La toile devient une carte de couleurs dotées de lois propres que

Delaunay emprunte aux théories scientifiques.

L'impact visuel des contrastes entre couleurs

complémentaires et dissonantes interdit toute passivité de l'ceil et suscite l'idée d'un mouvement qui fait entrer le spectateur dans l'agitation du réel. La recherche de Delaunay apparaît ici dans toute sa clarté: c'est la couleur dans ses " contrastes simultanés " qui rend à l'univers sa consistance alors que les objets cessent d'être détruits pour s'effacer dans l'énergie vibratoire de la lumière. Paul Klee l'a compris le premier qui, dès l'été

1912, assure que " Robert Delaunay, un des

meilleurs esprits de l'époque, a donné une solution d'une radicalité saisissante en créant le type du tableau autonome, vivant sans motif de nature d'une existence plastique entièrement abstraite ". Après la réalisation deL'Équipe de Cardiff, présentée aux Indépendants de1913, où il réintroduit les emblèmes de la modernité urbaine, Delaunay s'investit dans la recherche " inobjective " desFormes circulaires,Soleil et

Lunes. Observant la diffraction de la lumière

par un petit trou percé dans les persiennes de son atelier, Delaunay accomplit sa recherche sur la mobilité des couleurs du spectre. La confirmation du pouvoir giratoire de la forme circulaire, présente dès1906dans lePaysageau disque,ouvre le champ visuel de la peinture à un espace sans limites.

Le Disque(1913), " première peinture

inobjective ", clôtla série desFormes circulaires,en systématisant la distribution des cercles colorés sous la forme, beaucoup plus radicale, d'une cible. Sa structure géométrique, sa planimétrie et son imposant format circulaire empêchent tout repère naturaliste, tout indice illusionniste de profondeur.Le Disque, débarrassé des possibles connotations astrales de la lumière, peut s'interpréter comme une pure " surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées " sur laquelle le spectateur viendrait mesurer l'envergure de son champs visuel. Les arcs de cercle réunis dans un châssis en tondo forment le tout premier shaped-canvas, dans un geste de rupture que la critique moderniste a curieusement ignoré. 0

Dans la sériedesParisienneset des Robes

simultanées(1913-1914), le peintre poursuit sa recherche sur les liens entre couleur, lumière et

énergie corporelle. La mode et le féminisme

sont autant de thèmes qui confirment l'engagement baudelairien de Delaunay dans " la vie moderne ". Les robes bariolées fusionnent avec le milieu solaire environnant, les corps se perdent dans l'énergie vibratoire de la lumière. Cette fusion atmosphérique est activée, quelques mois plus tard, par l'élan méranique des hélices deL'Hommage àBlériot, où disques simultanistes et silhouettes de mécaniciens, d'avions, de Tour Eiffel et de

Grande Roue, consacrent, quelques mois avant

la guerre, l'espoir en une technique libératrice.

L'exposition retrace cette extraordinaire

évolution en donnant une large place aux

images (actualités cinématographiques, photographies aériennes, affiches) qui ont directement inspiré les thèmes choisis par l'artiste (Tour Eiffel, Grande Roue, aviation, matches de rugby, mode,...). Elle présente les sources qui ont accompagné sa recherche sur la dynamique des couleurs (traités scientifiques de

Chevreul, disques chromatiques,...), et accorde

une place privilégiée aux rencontres qui ont marqué les différentes étapes de son travail (le Douanier Rousseau, Kandinsky, Klee,

Apollinaire, Cendrars,...).

Enfin, l'exposition est accompagnée d'un

important catalogue, de 280 pages, réunissant, sous la direction de Pascal Rousseau, des essais par Jean-Claude Marcadé, Georges Roque et

Pascal Rousseau; une biographie critique et des

documents inédits. Cet ouvrage publié par les

Editions du Centre Georges Pompidou dans la

collection " Classiques du XXe siècle " participe au Mai du Livre d'Art. (Prix de lancement jusqu'au 30 juin 1999 :

280 Frs, à partir du 1er juillet 1999: 320 Frs).

Le catalogue est à paraîtreenlangueanglaise.

Commissariat scientifique de

l'exposition :

Jean-Paul Ameline

Conservateur au Centre Georges Pompidou,

Musée national d'art moderne.

Pascal Rousseau

Maître de conférence,

Université de Tours.

Informations pratiques :

Exposition ouverte du 3 juin au 16 août 1999

tous les jours y compris le mardi de 10h00 à 22h00 (Fermeture des caisses à 21h00)

Tarifs: 35 F / tarif réduit: 25 F

Tarifs combinés: (exposition et Atelier

Brancusi): 45 F / tarif réduit: 35 F

Visites de groupe :

sur demande au 0144 78 46 25

Visites guidées pour les individuels :

les samedis et dimanches à 15h00 (tarif: 25 F en sus du billet d'entrée, gratuit pour les adhérents)

Informations complémentaires

36 15 Beaubourg (1, 29 F TTC la minute)

et sur le site http://www.centrepompidou.fr

Centre Georges Pompidou

Direction de la communication

Attachée de presse: Emmanuelle Toubiana

TéL:01 44 78 49 87 /Fax:01 44 78 13 02

E mail: emmanuelle.toubiana@cnac-gp.fr

o ewunc;cv, ff sf AGao ~~~0 al~ n ioflntsrrleNu aux ibis, 1907

Huile sur toile, 55 x 46 cm

Courtoisie Galerie Gmurzynska, Cologne

(sous réserves) Or, Liste des oeuvres exposées(sous réserve de modifretions)

Néo-impressionnisme

Autoportrait, 1906

(au verso: Paysage au disque solaire)

Huile sur toile, 54 x 46 cm

Centre Georges Pompidou,

Musée national d'art moderne, Paris,

Donation Delaunay 1964

Nature morte au perroquet, 1907

(au verso:Portrait du Dr Piraz)

Huile sur toile, 62 x 51 cm

Collection Carmen Thyssen-Bomemizsa, Madrid

Nature morte au perroquet, 1907

Huile sur toile, 81 x 65 cm

Musée d'Unterlinden, Colmar

La Poétesse (Fillette), 1906-1907

Huile sur toile, 73 x 48,5 cm

University Museum of Art, Iowa City,

Don de Owen et Leone Elliot

Paysage aux vaches, 1906

Huile sur toile, 50 x 61 cm

Musée d'art moderne de la ville de Paris, Paris

Donation Germaine Henry-Robert Thomas

Portrait d'Henri Carlier, 1906

Huile sur toile, 64 x 60 cm

Centre Georges Pompidou,

Musée national d'art moderne, Paris

Paysage au disque, 1906-1907

(au verso: Autoportrait)

Huile sur toile, 54 x 46 cm

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