[PDF] LIslam au Sénégal le poids des confréries ou lémiettement de l





Previous PDF Next PDF



REPERTOIRE STRUCTURES PRIVEES EN SANTE

Pharmacie AVENUE CHEIKH ANTA DIOP RUE 41 DAKAR FANN QUARTIER CHEIKH MAROUBA GUEYE EN FACE HOPITAL MAME ... PHARMACIE IMAME ASSANE CISSE.



Le catalogage des noms africains : etude des noms senegalais et

(devenu IFAN - Cheikh Anta DIOP) de Dakar. tions concernant : la bibliographie le catalogage



LIslam au Sénégal le poids des confréries ou lémiettement de l

17 janv. 2012 Les confréries s'étoffent se resserrent autour des cheikh que sont ... Les Imams et tous érudits dont nous avons été le bien curieux hôte.



CALENDRIER HISTORIQUE DE LA REGION DE FATICK

Cheikh Kassé devient maire de la commune de Fatick Décès de Serigne Fallou NDIAYE Imam Mouride (Mars) ... Le 27 juillet



Provisional list of registered participants

13 déc. 2019 H.E. Mr. H.H Shaikh Mohammed Bin Khalifa Alkhalifa ... Mr. Mohammad Labib Imam ... Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable.



Provisional list of participants (COP 26)

31 oct. 2021 H.E. Ms. Sheikh Hasina. Prime Minister. Prime Minister's Office. H.E. Mr. Md Shahab Uddin. Minister. Ministry of Environment Forest and ...



N° AGENCE TITULAIRE DU COMPTE NUMERO DE COMPTE

SC CISSE MAGAWA. 11 DORI. ABDOULAYE OUSMANE ADIZATOU CHEICK MOHAMED. 418500004806. 10/03/2003 ... 2462 KWAME NKRUMAHCOMPAORE ASSANE. 402500032209.



C:UsersDIOPDocumentsJO 2018

5 janv. 2018 Maître Magatte Assane SEYE ... Monsieur Cheikh Abdoulaye CISSE ... Imam de la Grande Mosquée de Nioro (Directeur d'école de droit Musulmane).



CALENDRIER HISTORIQUE DE LA REGION DE KAOLACK

Décès de Cheikh Ibra FALL fondateur de la confrérie Baye Fall Construction dela mosquee inaugure par Imam Assane Cisse. Kossy Mbiteyene.



Histoire de bancs parcours délèves

Voir la biographie réalisée par son fils (SADJI 1997). 16. Entretien réalisé avec Assane Seck Dakar

L'Islam au Senegal, le poids des confreries ou

l'emiettement de l'autorite spirituelle.

Birane WaneTo cite this version:

Birane Wane. L'Islam au Senegal, le poids des confreries ou l'emiettement de l'autorite spir- ituelle.. Sociologie. Universite Paris-Est, 2010. Francais..00660670>

HAL Id: tel-00660670

Submitted on 17 Jan 2012

HALis a multi-disciplinary open access

archive for the deposit and dissemination of sci- entic research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.L'archive ouverte pluridisciplinaireHAL, est destinee au dep^ot et a la diusion de documents scientiques de niveau recherche, publies ou non, emanant des etablissements d'enseignement et de recherche francais ou etrangers, des laboratoires publics ou prives. Langue et Littérature Françaises Faculté des Lettres et Ecoles doctorales : Cultures et Sociétés des Sciences Humaines

RÉSUMÉ

Thèse de Doctorat

SOCIOLOGIE /ANTHROPOLOGIE

Colonel Birane WANE

L'ISLAM AU SÉNÉGAL, LE POIDS DES CONFRÉRIES OU

L'ÉMIETTEMENT DE L'AUTORITÉ SPIRITUELLE

Thèse dirigée en cotutelle par les Professeurs • Papa Samba DIOP, Directeur, Université Paris-Est, Créteil • Boubakar LY, Codirecteur, Université Cheikh Anta Diop, Dakar Soutenue le 18 Octobre 2010 à l'Université Paris-Est Jury:

Rapporteurs:

- Pr ACHOUR Christiane, Université de Cergy-Pontoise - Pr GARNIER Xavier, Université Sorbonne-Nouvelle Paris 3

Examinateurs:

- Pr LY Boubakar, Président du Jury, Université Cheikh Anta Diop (Sénégal) - Maître de conférences, ZEKRI Khalid, Université de Meknès (Maroc)

- Maître de conférences, BAUMGARDT Ursula, Institut national des langues et civilisations orientales

- Pr DIOP Papa Samba, Directeur de Thèse, Université Paris-Est 1

RÉSUMÉ

Mots clés: six

Coran, Spirituel, Confrérie, Khalife, Commémoration, Émiettement 00O00

Thème: l'Islam au Sénégal, les confréries ou l'émiettement de l'autorité spirituelle

Dans les pages qui suivent, soumises à la haute attention des augustes membres du Jury, nous proposons une synthèse de notre travail. Nous avons voulu dans cette étude, jetant un regard critique sur la gestion du culte

musulman au Sénégal, mettre en lumière le caractère composite de l'autorité spirituelle

qui en assume la charge. Pour marquer cette pluralité de pôles cultuels, nous avons suggéré un double repérage de leurs articulations. - D'une part, au plan horizontal, se côtoient les cellules-islamiques-sources

1. La

genèse de celles-ci se confond avec les pérégrinations intellectuelle et spirituelle du

fondateur. Celui-ci symbolise l'autorité à laquelle il est fait référence à propos de tout.

- D'autre, part au plan vertical, se meut, au sein desdites cellules-sources, une pléiade de coteries ayant pour noyaux les familles nucléaires. Chaque famille a son pivot. Nous avons tenté de saisir d'une part les rapports entre les animateurs de ce vaste puzzle au travers de leurs généalogies et leur implication dans quelques secteurs de la vie active nationale. Nous suggérons, avant, de proposer le profil schématique de ce panorama du culte musulman, de familiariser le lecteur avec l'articulation d'ensemble de notre analyse. Nous proposons, pour ce faire:

1 Identifiées dans le texte, selon leur représentativité, leur localisation, leur rapport avec le temporel, par

confrérie ou foyer autonome 2

1/ L'Islam confrérique, une spécificité sénégalais

Une particularité de la pratique de l'Islam au Sénégal, est la segmentation de la population musulmane et son agrégation autour de quatre confréries et des foyers autonomes, sous l'égide de certaines familles. a/ les confréries

Qadr: Kounta, à Ndiassane

Tijân: Sy, à Tivaouane

Layène: Thiaw dans le Cap-Vert

Mouride: Mbacké: dans le Baol à Touba et environs b/ les foyers autonomes Parallèlement aux confréries, s'activent des foyers autonomes, dont les plus significatifs sont localisés dans les régions suivantes:

Centre: Kaolack avec la famille Niasse

Sud Est: Madina Gounasse avec les Bâ

Centre: Thiénaba avec les Seck

Nord: Louga avec les Sall

Cet éclatement concerne essentiellement la Tijâniyya pour laquelle d'autres foyers existent. Nous en avons donné plus loin une, entre autres raisons possibles. Relativement à la Qadiriyya, quelques rares foyers sont localisés dans le Nord- est principalement à Ganguel Sîk Mussa et en Casamance, à Sibicouroto

2 mais ce

foyer dépend de la Qadiriyya fadilia de Cheikhna Cheikh Sa'd Bûh. Concernant La Layêniyya et la Mouridiyya, ce sont plutôt des structures monolithiques. Elles sont particulièrement localisées respectivement dans le Centre- Est à Diourbel et environs, et dans l'Ouest à Dakar et environs.

2 Localité, chef lieu de sous préfecture dans la Région de Sédhiou.

3

2/ Pertinence des dénominations

L'articulation de ces confréries est classique et identique pour toutes. Il est indispensable d'en saisir d'abord les nuances pour une meilleure approche de ce travail. Aux origines il y a le pôle majeur qui peut être indifféremment: ❖ le Fondateur est celui qui a pensé et édifié la doctrine ou bien ❖ le Khalife initiateur3 c'est un adepte érudit, de très haut rang, d'une Tarîqa déjà là

4; il est souvent confondu avec le fondateur.

Succédant à ces pôles majeurs, viennent les Khilâfat (sing. khalifat): ❖ un khalifat5 placé sous l'égide d'un khalife, avec comme attributs: - une résidence familiale (officielle) fixe - une cellule polyvalente (administration et culte) - une population de disciples (composite chargée de toutes les tâches domestiques et de représentation). Le khalifat s'articule en différents niveaux et est assuré par: ❖ un khalife général: chef spirituel et, théoriquement, temporel de la confrérie. Étymologiquement cette appellation suppose une pluralité de khilafat sous tutelle (voir la nuance dans le texte) ou d'un rang plus ou moins équivalent

❖ un khalife légataire6: se confond avec le khalife général. Il est le chef spirituel de la

confrérie; il est dénommé Guide dans le texte.

À côté de lui s'ordonnent:

❖ Les khalifes légataires autonomes7, plus nombreux dans la branche Tijâniyya, comme indiqué ci-dessus. Ils sont libres de toute tutelle. ❖ Les khilafats des familles: ce sont les représentants des foyers de la même

généalogie que le khalife légataire et ceux des foyers inféodés à la famille du légataire, qui en

acceptent la tutelle. Généralement tous les aînés des foyers maraboutiques sont, de fait, des khalife de leurs

familles respectives. C'est un éventail de tenants d'un pouvoir très relatif au sein des cellules

sources. Statistiquement il est difficile d'en tenir un compte précis.

3 Il est aussi dénommé dans le texte propagateur et/ou continuateur

4 El Hajj Cheikh Oumar est, par exemple, khalife initiateur de la Tarîqa tijâni en Afrique de l'Ouest

5 Parfois transcrit couramment Califat. Mais la prononciation en Arabe de kh commande plutôt le guttural.

6 Cette nuance n'est pas très visible au Sénégal. Le Khalifat général suppose l'existence d'autres Khilâfat de rangs

plus ou moins équivalents. Ceux qui sont répertoriés sont inféodés à la Tarîqa et en sont les prolongement dans

les familles .Tout au plus chez les mourides, chaque famille des descendants du Fondateur, sont khalife semi

autonomes par rapport au khalifat central, mais dont il dépend hiérarchiquement

7 Ce sont ceux des Foyers autonomes tels Kaolack, Madina Gounasse, Sokone, Thiénaba, Louga, etc.

4

L'articulation ainsi schématisée est vérifiée dans toutes les cellules islamiques et prévaut

depuis la stratification des confréries et des foyers autonomes, sous l'égide des fondateurs, continuateurs et/ou propagateurs 8. Ce fractionnement est, en somme, la manifestation la plus évidente, et jusqu'ici intangible, de l'émiettement de l'autorité spirituelle du culte musulman au Sénégal. Nous nous en tenons à ces dénominations essentielles. Elles nous paraissent suffisantes pour l'abord de notre travail. Nous précisons, toutefois, que ce travail n'a pas vocation à juger l'accueil fait au Dogme par les confréries

9. Il ne prétend pas, non plus, évaluer la compréhension que

celles-ci en ont; Il se défend aussi et surtout de signaler d'éventuels particularismes

accompagnant les pratiques propres à chacune d'elles. Nous cherchons et discutons exclusivement les points saillants

effectivement perceptibles et mettant en exergue l'éclatement de l'autorité dont sont investies

ces entités religieuses. Dans ce résumé nous nous limiterons à quelques illustrations de cette

divergence qui a conduit à l'émiettement de l'autorité spirituelle. Nous avons, à cette fin,

poussé nos investigations dans deux grandes directions:

o Les confréries vues du dedans dans les repères qui définissent leurs activités propres,

et o Les rapports temporel-spirituel dans la réalisation des actes de développement

1/ la stratification et le développement des confréries

Les Illustres précurseurs des confréries ont suivi des cursus différents dans leurs

pérégrinations intellectuelle et spirituelle respectives auprès des marabouts de Tarîqa

différentes. D'autres, sans tuteur spirituel, sont venus aux commandes par un processus différent

10. C'est la fracture source

Déjà au départ tout avait préparé ces pôles à s'établir indépendamment les uns des autres,

souvent dans leurs carrés paternels respectifs. Ils s'y sont activés fortement en multipliant des

innovations dans leur héritage spirituel pour affirmer leurs personnalités. Au fil des ans, selon

des approches différentes, ils ont acquis audience, organisé leur environnement et favorisé la

8 Dans la suite du texte, pour éviter de répéter "les fondateurs, continuateurs et/ou propagateurs", nous

remplacerons cette dénomination indifféremment par Illustres précurseurs ou Cheikh

9 Il y a lieu de noter que toutes les caractéristiques qui définissent les confréries, emportent également celles des

foyers autonomes; cela explique que souvent nous disons simplement Confréries en y assimilant implicitement

les Foyers autonomes

10 Seydina Limamou Lâhi n'a pas effectué de cursus, Il dit avoir reçu une révélation divine

5

création d'écoles11 qui ont conduit à l'émergence des quatre confréries12, avec chacune son

pôle 13.

Les confréries s'étoffent se resserrent autour des cheikh que sont leurs illustres précurseurs et

polarisent avec plus ou moins de bonheur

14 des disciples. Elles se structurent progressivement

et ce processus continu engendre la partition profonde de l'espace du culte musulman que vit le Sénégal de notre temps. Les cheikh, retranchés dans leurs retraites respectives, s'affirment et s'emploient, par divers

procédés, à assoir leurs entités propres. Leurs disciples s'enhardissent dans leur dévotion et

multiplient, eux aussi, les initiatives pour fouetter l'aura de leurs chefs.

Les adhésions qu'il fallait accueillir et encadrer, se poursuivent et débouchent sur l'émergence

d'une multitude de groupes concourant à la prédominance de leurs confréries d'affiliation.

Alors c'est une lutte feutrée, mais sans merci, que se livrent les disciples à travers une pléiade

d'animateurs que sont, entre autres: - les Dahira, groupe d'adeptes des deux genres, ayant prêté allégeance au même guide

- les Daara, appellation modernisée des écoles coraniques traditionnelles sous l'égide du

khalife qui en délègue souvent la charge à un érudit, souvent membre de sa famille. - les Mouvements et Associations islamiques, cellules d'animation dynamiques qui sont les fers de lance de la vivification des confréries. Ils organisent les manifestations d'éducation cultuelle, favorisent l'éclosion des artifices

15 et aident à la diffusion de l'image du Fondateur

et des ses khalife successifs.

D'autres aspects de la vie des confréries freinent la conciliation entre celles-ci. Ce sont, entre

autres, à des degrés divers, les commémorations et les dhikr:

- les commémorations ont vocation à retracer la vie et l'oeuvre des Illustres précurseurs de la

Tarîqa.

Cette tendance est étendue, plus particulièrement chez les mourides, à tous les descendants de

ces derniers et parfois à leurs collatéraux.

11 Pour la diffusion du Message coranique, ils ont enseigné, construit des mosquées, des zâwiyya. À ce propos,

Hajj Malick Sy, par exemple, a envoyé des muqaddam hors du territoire du Sénégal: en Côte d'Ivoire, au

Soudan, en Guinée. De même La famille Niasse a lié de fortes relations avec le Nigéria, etc.

12 Qâdiriyya, Tijâniyya, layêniyya, Mouridiyya Pour la commodité de l'exposé nous avons retenu ces quatre

confréries.

13 Cheikh Bounana Kounta (Qadiriyya), Hajj Malick Sy (Tijâniyya), Seydina Limamou Lâhi (Layêniyya) et

Cheikh Ahmadou Bamba (Mouridiyya)

14 Toutes les sommités religieuses des quatre confréries et d'autres marabouts significatifs, ont eu maille à partir

avec l'administration coloniale. Ils ont tous fait l'objet de surveillance étroite dont certains ont été privé de liberté

par l'emprisonnement, l'exil ou autres contraintes (voir dans le texte: "L'Ordre colonial et les marabouts")

15 C'est la représentation figurée des Illustres précurseurs et de leurs khalife successifs par les disciples. Cette

pratique a pour supports divers matériaux et matériels utilitaires (voir dans le texte: les artifices et épigraphes

confrériques) 6

Nous avons cité dans ce volet: Les différentes ziarra chez les Qadiri et Tijâni, l'Appel chez les

Layène et le Grand Maggal

16 chez les Mourides.

- les dhikr confrériques

17 ou Wird est une pratique propre à chaque confrérie. Elle constitue

en une déclamation, en Arabes, de litanies extraites soit du Livre (certains versets) soit des

prônes des Illustres précurseurs. Ces litanies sont différentes autant dans leur contenu que

dans leur forme, d'une confrérie à l'autre. Il existe cependant quelques éléments communs

dans les formules d'ouverture 18. Les Dhikr confrériques ou Wird sont donc une forme de consolidation de la solidarité entre

les disciples d'une même obédience confessionnelle. Cette restriction exclut tout étranger à la

Tarîqa.

Dans un tel contexte, où l'exaltation l'emporte sur le discernement, il est absurde de prêcher la

retenue. C'est en effet d'autant moins aisé de suggérer la conciliation que tous les actes de

chaque adepte, traduisent une volonté non voilée de travailler à l'affirmation de sa confrérie

d'affiliation.

Cela conduit tout naturellement au Repli collectif qui ne favorise pas l'échange entre les

tenants de la direction du culte eux-mêmes. A cela s'ajoute: - la génération, au sein de chaque confrérie, d'une profusion de foyers des descendants des Illustres précurseurs des turûq, qui ne se privent pas de nourrir entre eux une concurrence discrète 19. - Les acteurs des derniers cercles, ceux ouverts aux disciples, s'arc-boutent en marquant leurs territoires

Cet écartèlement entretenu entre les confréries est valable aussi dans les foyers autonomes. Si

l'on y ajoute les soubresauts primesautiers épisodiques des cellules internes qui les structurent,

l'on aboutit à un décor qui ne surprend plus que le touriste en quête de sensations.

Nous avons là donc, à l'échelon des Khilâfat, le palier le plus dynamique de l'émiettement de

l'autorité spirituelle du culte musulman au Sénégal. L'onction non négligeable du pouvoir politique qui ne fait rien pour rapprocher les Khalifes

légataires des confréries. Cette position du temporel encourage celles-ci à cultiver, autour de

leurs guides, un certain culte de la personnalité. Cette attitude leur est grandement profitable

16 Dans cette confrérie, si le Grand Maggal est le clou des commémorations, il en existe une kyrielle d'autres qui

célèbrent tous les actes du Fondateur sur son parcours allant de son premier exil à son rappel à Dieu.

Parallèlement les collatéraux et tous les ascendants et descendant du Fondateur, les khalife de familles aussi

honorés.

17 En Annexes est donné un aperçu sur le dhikr ésotérique ou mystique

18 Voir dans le corps du texte: "Confréries et dhikrs"

19 Notamment entre frères consanguins puisque en milieu maraboutique, la monogamie est l'exception et la

polygamie, la règle 7 puisque les pouvoirs publics, se plaçant constamment en situation de demandeurs, répondent toujours généreusement à leurs requêtes 20 Mais oublierait-ont alors, trop facilement peut-être, que le spirituel et le temporel sont des partenaires naturels dans tous les actes favorisant le mieux être de leur peuple?quotesdbs_dbs25.pdfusesText_31
[PDF] Biographie de M Clément - France

[PDF] Biographie de M. Abdelaziz El Omari M. Abdelaziz El

[PDF] Biographie de M. Armand - Les services de l`Etat à La Réunion

[PDF] biographie de M. Dominique Sorain

[PDF] Biographie de M. Mohamed Boussaid, ministre de l`Economie et des

[PDF] Biographie de Maître TAMURA - CLUB d`AIKIDO BUDO à LAVAUR - France

[PDF] Biographie de Maribel Montes, formulaire d - Art Et De Divertissement

[PDF] Biographie de Michael Messenger

[PDF] Biographie de Mme Soumia Benkhaldoun, nouveau ministre - Recherche Médicale

[PDF] Biographie de Molière - Automatisation

[PDF] Biographie de Molière réalisée à partir des travaux de la classe de - Télévision

[PDF] Biographie de Monsieur Abdoulaye Diouf SARR, Ministre du

[PDF] Biographie de monsieur Pierre Collerette

[PDF] Biographie de Monsieur Terrenq, ancien Maire de Baziège (1897

[PDF] biographie de Musset - Terminale - Littérature - France