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Cahiers François Viète

II-4 | 2013

VARIA

Édition

électronique

URL : https://journals.openedition.org/cahierscfv/710

DOI : 10.4000/cahierscfv.710

ISSN : 2780-9986

Éditeur

Nantes Université

Édition

imprimée

Date de publication : 1 juin 2013

ISBN : 978-2-86939-235-4

ISSN : 1297-9112

Référence

électronique

Cahiers François Viète

, II-4

2013 [En ligne], mis en ligne le 01 juin 2016, consulté le 02 décembre 2022.

URL : https://journals.openedition.org/cahierscfv/710 ; DOI : https://doi.org/10.4000/cahierscfv.710 Creative Commons - Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modi cation 4.0 International - CC BY-NC-ND 4.0

SOMMAIRE

AXEL PETIT ................................................................................................................... 5

George Moreau (1868-11935) : administrateur, enseignant et physicien à la

Faculté des Sciences de Rennes

ADRIEN VILA VALLS............................................................................................ 33

Louis de Broglie a-t-il adhéré à l'interprétation de Copenhague (1928-1952) ? COLETTE LE LAY & STEPHANE TIRARD ............................................................... 53

Camille Flammarion et le Vivant

JOSQUIN DEBAZ .................................................................................................. 67

Développement de l'espèce et conservation des races. Abel Gruver (1870-1941) et la protection de la nature dans les colonies françaises

JEAN-BERNARD VAULTIER .................................................................................. 89

Les congrès scientifiques en Charente Inférieure au XIXe siècle

Cahiers François Viète,zyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBAsérie II, 4, 2011, pp. 5-31zyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBA

GEORGES MOREAU(1868-1935)

ADMINISTRATEUR, ENSEIGNANT ET PHYSICIEN

A LA FACULTE DES SCIENCES DE RENNES

Axel PETIT

Résumé

Georges Moreau fut professeur de physique à la faculté des sciences de Rennes de

1895 à 1935;zyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBA

ilfut aussi un physicien, atomiste convaincu, étudiant les ions produits par les flammes et les vapeurs salines; mais il fut surtout unadministrateur, le doyen de sa faculté. Moreau, figure locale, garant du savoirscientifique, répond en Bretagne aux ambitions générales d'une génération de savants, enfants de la Troisième République, qui idéalise le pragmatisme scientifique, promouvant les applications de la science et sa portée économique. La carrière de Georges Moreau, tout comme l'histoire de la faculté dont il est le doyen, n'a été que très peu

étudiée'.Pourtant elle est assez

représentative de l'activité scientifique française de laTroisième République. L'intérêt d'une telle biographie réside en outre dans le fait que Moreau eut une carrière triple: il fut en effet tour à tour enseignant, chercheur puis administrateur de la science. Depuis les années 1980 nous avons une vision assez nette de ce que fut en France la vie des physiciens et des chimistes au début du XXe siècle2.Certaines facultés de province ont

1Il n'existe qu'une nécrologie de Moreau, imprimée en 1935. Concernant la

faculté des sciences de Rennes on pourra se reporter à Joubin(1900) ou à Escoffier etPennee(1991).

2Mary-Jo Nye (1986),Science in the provinces, scientific communities and

provincial leadership in France, 1860-1930,Univ. Of California Press, Berkeley- Los Angeles-Londres; Dominique Pestre (1992),Physique et physiciens en France, 1918-1940,Editions des archives contemporaines, Paris; Christophe Charle (1990),"Les professeurs des facultés des sciences en France : une comparaison ParislProvince (1880-1900)»,Revue d'Histoire des Sciences,tome

53,n04,pp.427-450.

néanmoins été négligées ; parmi elles la faculté des sciences de Rennes mérite une analyse historique approfondie. Enfant picard, issu d'une famille modeste, Moreau gravit unà un les échelons éducatifs de la Troisième République, symbolisant les volontés de promotion sociale de son époque. Lorsqu'il atteint les postes d'enseignant de physique de lycée puis de faculté, son parcours devient révélateur d'un besoin de renouveau porté par certains professeurs; face à l'approche pédagogique classique qu'ils considèrent comme désuète, ils promeuvent les applications scientifiques et leur potentieléconomique".Porté par des ambitions idéalistes, le professeur de physique subit souvent 1'immobilisme de sa hiérarchie mais suscite aussi parfois son admiration. Les recherches que le physicien rennais mène dans les années1900 sont marquées par les bouleversements que connaît la physique à cette époque. D'abord intéressé par l'optique, Moreau en vient peu à peu à l'étude des particules ionisées; l'ionisation marque l'intrusion des physiciens influencés par les travaux de Joseph-John Thomson dans un domaine à la croisée des disciplines chimie et physique. Lespratiques et théories de l'ionisation ont déjà été étudiées historiquement" mais en se concentrant essentiellement sur les apports de savants de Paris et de Cambridge, la contribution de Moreau y a été minimisée. Il convient donc de réévaluer l'importance de celle-ci. L'intérêt d'une telle biographie réside également dans la légitimité acquise par les doyens de faculté. Élu par les membres de sa faculté pour les représenter auprès des autorités, pour obtenir des fonds, pour organiser la recherche et l'enseignement. Le doyen applique une politique qui reflète des ambitions scientifiques larges: celles des hommes de science qu'il représente. Dans cette optique, le cas de Moreau est particulièrement intéressant car il occupe ce poste à la faculté des sciences de Rennes pendant plus de 30 ans. L'évolution de son discours, de ses attentes pour la science, de ses dialogues avec sa hiérarchie sont autant d'éléments permettant une analyse plus générale du groupe auprès duquel il acquiert sa

3Voir par exemple Claude Blanckaert (2002),"Les lumières de la science

militante : vulgarisation, propagande et science publique» inzyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBAPar la science, pour lapatrie. L'associationFrançaise pour l'Avancement des Sciences(1872 -1914),un projet politique pour une société savante,H. Gispert (dir.), p.76, Rennes, Presses

Universitaires de Rennes.

4Benoît Lelong (1995),Vapeurs, foudres et particules : les pratiques

expérimentales de l'ionisation des gaz à Paris et à Cambridge(1895-1914),thèse de doctorat, Université Paris VII. G.MOREAU: ADMINISTRATEUR, ENSEIGNANT ET PHYSICIEN7 légitimité: les membres de la Faculté des sciences de Rennes. Une étude de la carrière de Moreau permet également de confirmer certaines caractéristiques du groupe des scientifiques français, letout en offrant un éclairage nouveau, régional et fort de nombreusesspécificités. Nous développerons dans le présent article la carrière de Georges Moreau par une approche chronologique en nous concentrant sur son enseignement, sur sa recherche puis sur sa politique en tantque doyen.

1.De l'élèveàl'enseignant

Georges, Gaston, Émile Moreau naît le 27 mai 1868

àMont-sur-

Marchiennes, en Belgique de parents français, Émile et Marie-Rose Moreau. Il passe son enfance en Picardie dans une famille plutôt modeste, son père est instituteur à Benay, un petit village proche de Saint-Quentin dans l'Aisne. A l'âge de 11 ans, il rentre au lycée Henri Martin de Saint- Quentin et se fait remarquer par de bons résultats et une ardeur au travail importante, il y obtient plusieurs prix d'excellence. Ses bons résultats scolaires le mènent alors au lycée de Douai où il prépare le baccalauréat puis les concours d'entrée aux grandes écoles. Reçu quatrième, Moreau intègre l'École Normale Supérieureà la rentrée 1887; son camarade de Douai, Maurice Caullery, se plaçant premier. Durant ses études

àParis, Moreau est en contact avec des

professeurs renommés :zyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBA ilsuit notamment les cours de Marcel Brillouin, ceux de Jules Violle, il assiste également aux cours d'HenriPoincaré et de

Charles Friedel

àla Sorbonne dans le cadre de la préparationàla licence. Après l'obtention de l'agrégation de sciences physiques etune titularisation au lycée d'Angoulême en 1890, le jeune professeur réintègrel'ENS en qualité de doctorant. Moreau devient alors membre du laboratoire de physique de l'École, dirigé par Violle et Brillouin, ses anciens professeurs". Au cours de ses premières recherches, Moreau étudie la polarisation rotatoire de la lumière

àtravers le quartz et le sulfure de carbone.

Après l'obtention de son doctorat, il se rend

àRennes. Le ministère

de l'Instruction Publique vient en effet de le nommer au lycée de la capitale

5Sur l'École Normale Supérieure, voir Robert J. Smith (1982),zyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBAThe Ecole

normale supérieure and the ThirdRepublic,Albany, State University of New York Press; ainsi que Craig S. Zwerling (1990),The Emergence of the Ecole normale supérieure as a Center of Scientific Educationin19th-century France,New York-

Londres, Garland Pub.

bretonne pour la rentrée 1893. Dès son arrivée, il entreprend d'aller à la rencontre du professeur de physique en poste à la faculté dessciences pour lui demander une place au sein de son laboratoire. Émile Gripon, un ancien de la faculté, spécialiste d'acoustique, lui ouvre ses portes et c'est dans un climat amical que Moreau peut, durant l'année scolaire 1893-1894, approfondir ses travaux de thèse. Ce professeur du lycée qui se rend régulièrement dans les locaux voisins de l'Université est inévitablement remarqué par certains de ses membres. Le recteur Jarry lui-même place en Moreau des espoirs pour la faculté des sciences. Ce dernier déclare dans son allocution de la rentrée universitaire 1894-1895 : " Pour la physique [...] nous ne désespérons pas d'avoir au moins des conférences complémentaires qui seraient faites par le nouveau professeur du Lycée, jeune savant sorti, comme plusieurs de nos collaborateurs actuels, des laboratoires de l'ENS. »6 Cette volonté de s'attacher Moreau est également motivée par la situation du service de physique de la faculté. A la rentrée 1893, un poste de maître de conférences a été créé pour alléger la charge de travail de Gripon. Le poste est confié à Pierre Duhem qui avait quitté Lille suite à des déboires avec le doyen Demastres, mais qui est assez mal intégré à Rennes et se plaint du manque de moyens mis à sa disposition

7.Quant à Gripon,

cela fait vingt-cinq ans qu'il officie à la faculté et, à l'âge de 69 ans, il doit bientôt partir à la retraite. Il faut donc palier à un éventuel départ de Duhem et assurer la relève de Gripon ; face à cette situation, la présence de Moreau au lycée est extrêmement précieuse. Le jeune enseignant, qui s'est déjà attiré la sympathie de plusieurs membres de la faculté, est dans ce contexte un remplaçant logique. Ainsi, lors du départ de Duhem en 1894, Georges Moreau, qui occupaitl'année précédente"avec talent une chaire au lycée »

8,intègre la faculté des

sciences. Il est désigné maître de conférences de physique le 10 octobre 1894, en lieu et place de son prédécesseur nommé à Bordeaux. Àla rentrée 1894, douze enseignants sont en poste à la facultédes sciences de Rennes, sept professeurs et cinq maîtres de conférences ; un

6Jules Jarry (1894),"Allocution du recteur»,zyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBARentrée solennelle des

facultés de droit, des sciences et des lettres,p.18. Rennes, Imp. Oberthür.

7Paul Brouzeng (1987),Pierre Duhem, Science et providence,p.56. Paris,

Belin.

8Jules Jarry (1894), p.23.

G.MOREAU: ADMINISTRATEUR, ENSEIGNANT ET PHYSICIEN9 nouveau doyen a été élu en février, il s'agit du chimiste Georges Lechartier. La France compte alors environ 200 enseignantsdans les facultés des sciences''. La licence est devenue le principal diplôme qu'elles délivrent, la formation est essentiellement théorique, les expérimentations ne prennent, à la fin du dix-neuvième siècle, qu'une part infime du temps consacré aux enseignements. La science appliquée, les spécialisations font peu à peu leur apparition mais n'atteignent leur apogée que dans les années d'après-guerre. Les cours restent réservés à une élite mêmesi un système de bourse embryonnaire apparaît. Tout en poursuivant ses recherches, Moreau gagne peu à peu ses galons d'enseignant. Dès sa deuxième année à la faculté, alors que son ami Gripon a pris sa retraite, Moreau occupe le poste de chargé decours de physique. Il est alors âgé de 28 ans, mais doit attendre l'âgelégal de 30 ans pour être titularisé à la chaire de physique!". Il devient néanmoins le responsable du service de physique de la faculté. Il met en place notamment, lors de ses premières années à la faculté des sciences, une préparation à l'agrégation de physique inexistante à Rennes jusqu'alors!'. Lors des cours adressés aux étudiants de licence, il développe un enseignement dynamique, basé sur une physique vivante et illustré d'expériences. Cette approche est remarquée par le doyen Lechartier qui

écrit au sujet de Moreau:zyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBA"Il s'est rendu parfaitement compte de la nature

de l'enseignement qui convient pour le certificat dans son enseignement en vue de la licence, illui a donné les développements mathématiques nécessaires sans cesser de lui conserver son caractère expérimental

»12.De

manière générale, Moreau aime à vulgariser les sciences physiques en appuyant la théorie par des démonstrations expérimentales. Mais l'organisation des enseignements dans ces années est compliquée à mettre en oeuvre. En effet, l'accroissement deseffectifs pose d'immenses problèmes d'organisation conséquemment à la venue massive d'étudiants en médecine venant préparer un nouveau certificat obligatoire, le PCN (Physique, Chimie et Sciences Naturellesj':'. Par ailleurs, la faculté des sciences subit un déménagement et les travaux dans les nouveaux locaux durent et perturbent les enseignements. Subissant ces préjudices, le

9Mary-Jo Nye (1986),zyxwvutsrqponmlkjihgfedcbaZYXWVUTSRQPONMLKJIHGFEDCBAop. cit.,p. 21.

10Nécrologie Moreau (1935), discours d'Albert Bouzat.

IlArchives Départementales d'Ille-et-Vilaine, dossier 10T580.

12Archives Nationales, F17 26783 (dossier personnel de Georges Moreau).

13Antoine Prost (1968),

L'enseignement en France (1800-1867),Paris,

Armand Colin, p.233.

jeune professeur redouble d'efforts même s'il ne lui est pastoujours facile de remplir ses tâches de chercheur et d'enseignant de manière optimale. Mais, plutôt que la frustration ou l'attentisme, le jeune professeur choisit l'espoir; car il a un idéal: le modèle universitaire américain et sa politique basée sur la promotion de la science appliquée soutenue par le mécénat". Moreau, qui vient d'être titularisé à la chaire de physique,dévoile ses ambitions pour la science le 19novembre 1898,lors de la rentrée solennelle des facultés rennaises. Il prononce un discours intitulé "La science et les universités américaine »,Il estime notamment que le modèle américain du mécénat doit être appliqué en France et, pour attirer les mécènes, la science doit développer une image utile. Moreau livre sa vision de ceque devrait être l'enseignement des sciences, il déclare : "A nous donc,d'ouvrir nos laboratoires, de l'intéresser [le français] aux travaux qui s'y font, de l'y convier et de lui persuader que la fortune industrielle d'unpays est intimement liée à sa fortune scientifique.

»15

Ces désirs d'une science pragmatique sont en grande partie partagés par les scientifiques à cette époque, mais non foncièrementcompris par les hautes instances politiques, ceci est particulièrement vrai au rectorat de Rennes qui n'accueille pas favorablement ce point de vue. En effet, son discours terminé, Moreau cède la parole au recteur Jules Jarry dont la sévère sagesse contraste avec l'enthousiasme du Professeur. Il semble qu'une certaine incompréhension règne, en particulier au sujet du mécénat: "Nous ne sommes pas en Amérique, et Rennes n'est pas Chicago. C'est seulement en un mirage que nous imaginonsle milliardaire fabuleux qui, d'un coup, fonde et enrichit telle Université du Nouveau-Monde».Ces remarques de Jarry dénotent une certaine inertie rectorale à Rennes, les traditions y sont fortes et il est difficile pour un jeune Professeur de faire entendre ses ambitions, Moreau apparaît visiblement comme un homme insouciant et utopiste. L'idée des applications de la science, présente durant tout son discours, sous forme d'espoir, ne voit donc pas lejour de façon spectaculaire

àRennes.

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