[PDF] I Les figures danalogie : II. Les figures dopposition : III. Les figures





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3ème Français Les figures dopposition

Les figures d'opposition : L'oxymore : Il associe deux termes qui s'excluent ordinairement afin de concilier leur sens. Exemple : Obscure clarté.



LES FIGURES DOPPOSITION DANS UNE LEÇON DE MORALE

99. Mon amour si léger prend le poids d'un supplice.' 3. Pour reprendre la terminologie de Georges Molinié une figure macrostructurale s'in- terprète dans un 



I Les figures danalogie : II. Les figures dopposition : III. Les figures

La comparaison : elle établit un parallèle entre deux termes ( le comparé et le comparant) par l'intermédiaire d'une marque grammaticale : adverbe (comme) – 



II - Les figures dopposition

Français Tronc commun. 2019/2020. Activité : Langue. Objectif : ? Reconnaitre et employer des figures de style. II - Les figures d'opposition. Figure.



Les figures de style

Autrement dit une figure de style permet de créer un effet sur le destinataire d'un texte (écrit ou parlé). Les figures par analogie ( Elles permettent de 



Les figures de styles Lalbatros de Baudelaire

(Victor Hugo « Booz endormi »



Tournures stylistiques Figures dopposition: Figures de substitution

oxymore (oxymoron) (m.) Cette obscure clarté qui tombe des étoiles paradoxe (m.) Les crimes engendrent d'immenses bienfaits. Figures de 



Activité : Langue Titre : Figures de lopposition : Lantithèse L

Titre : Figures de l'opposition : L'antithèse L'oxymore et l'antiphrase. Objectifs : Identifier les trois figures de l'opposition. Les figures d'opposition 



Les figures de style

Figures par analogie. - La comparaison Figures d'opposition. - L'antithèse ... Figures d'amplification ou d'atténuation. - L'hyperbole.



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42 Les figures de style. Leçon. 42. 1 Figures fondées sur une ressemblance ou association de sens 4 Figures d'opposition.

FIGURES DE STYLE I Les figures d'analogie : La comp araison : elle établit un p arallèle entre deux terme s ( le comparé et le comparant) par l'intermédiaire d'une marque grammaticale : adverbe (comme) - adjectif (pareil à) - verbe ( ressembler à ). Ex : Baudelaire compare le poète à l'albatros : " Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. » La métaphore : plus condensée que la comparaison, elle assimile comparant et comparé, sans avoir recours à un outil de comparaison et en laissant souvent implicite(s) le(s) point(s) commun(s) qui justifie(nt) le rapprochement. Elle laisse donc le champ beaucoup plus large à l'imagination du lecteur. Ex : La chevelur e de la femme aimée devient pou r Baudela ire, dan s le poème " La chevelure », une " mer d'ébène » : " Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts. » Les " points communs » entre la chevelure et la mer/ le bois d'ébène sont multiples : profondeur, noirceur, moutonnement, senteurs, etc. Quand la métaphore se développe sur plusieurs phrases ou strophes, comme c'est le cas dans " La chevelure », on parle de métaphore filée. La pers onnification : elle attribue à une chose , un animal ou une idée les caractéristiques d'une personne. Ex : " Je fus, Plante superbe, en Vaisseau transformée. Si je crus sur un Mont, je cours dessus les eaux... » (Tristan L'Hermite) Le symb ole : il é tablit une correspo ndance ent re une réalité con crète et une réalité abstraite que la première représente. Ex : la colombe, symbole de la paix. L'allégorie : elle représente une idée abstraite sous les apparences d'un personnage ou d'un animal. On utilise souvent la majuscule. Ex : ...........................................l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. (Baudelaire) II. Les figures d'opposition : L'antithèse : elle oppose très fortement deux termes ou deux ensembles de termes. Ex : " Les femmes regardaient Booz plus qu'un jeune homme, Car le jeune homme est beau, mais le vieillard est grand. » (Hugo) L'antiphrase : elle exprime une idée par son contraire, dans une intention ironique. Ex : " Quel courage ! » pour désigner la lâcheté de quelqu'un. Le para doxe : il é non ce une idée contraire à l'opinion comm une dans le but de surprendre, d'inviter à la réflexion .Ex : " Le pénible fardeau de n'avoir rien à faire. » (Boileau) L'oxymore : il réunit à l'intérieur d'une même expression deux mots dont le sens est apparemment incompatible. Ex : " cette obscure clarté qui tombe des étoiles... » (Corneille) III. Les figures de substitution : La périphrase : elle désigne un personnage ou un objet par une de ses caractéristiques, sans le nommer. Ex : " le dieu des Enfers » désigne Pluton dans la mythologie. La métonymie : elle remplace un élément par un autre élément appartenant au même ensemble logique. Ex : - la matière pour l'objet : le fer désigne l'épée. - le contenant pour le contenu : boire un verre. - L'auteur pour son oeuvre : un Van Gogh. Lorsqu'on désigne la partie pour le tout ou le tout pour la partie, on parle plutôt de synecdoque. Ex : " Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire... » (Corneille) IV. Les figures par amplification ou atténuation : L'hyperbole : c'est une exagération dans le choix des mots. Ex : E. Rostand compare, de façon hyperbolique, le nez de Cyrano à une péninsule L'anaphore : on répéte le(s) même(s) mot(s) en tête de phrases ou de vers successifs. Ex : " Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! Rome à qui vient ton bras d'immoler mon amant ! Rome qui t'a vu naître, et que ton coeur adore ! Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore ! (Corneille) La grad ation : elle ordonne les termes d'un énoncé de maniè re croissante ou décroissante, créant une dramatisation. Ex : " C'est un pic, c'est un cap, que dis-je un cap, c'est une péninsule ! » (E. Rostand) La litote : elle dit le moins pour suggérer le plus. Ex : " Va, je ne te hais point. » = Chimène laisse entendre à Rodrigue qu'elle l'aime. (Corneille) L'euphémisme : il atténue l'expression d'une idée ou d'un sentiment pour en gommer le caractère déplaisant. Ex : " rendre le dernier soupir » = mourir La prétérition : elle consiste à affirmer qu'on ne va pas parler de quelque chose alors qu'on est en train de le faire.Ex : " Je ne suis pas venu en ces lieux pour voir le ténébreux Tartare, ni pour enchaîn er par se s trois gorges, hérissées de serpents, le mo nstre qu'enfanta Méduse. » (Ovide) Il faut ajouter une figure de construction particulière : Le chiasme : il réunit quatre termes en inversant leur disposition selon le schéma ab / ba. Ex : " Ces murs maudits par Dieu, par Satan profanés. » (Hugo) Cette figure peut se combiner avec l'antithèse. Ex : " Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens,/Mais dans l'oeil du vieillard on voit de la lumière. » (Hugo)

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