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PLAN DE COURS Département de sociologie Université du Québec

socialisation politique. Objectifs spécifiques. Le cours a pour objectifs de faire la lumière sur les notions fondamentales en science politique et sociologie 



Introduction

mises en évidence par la sociologie politique notamment l'emprise croissante des politiques repérables au cours du XXe siècle : depuis la démocratie ...



SOCIOLOGIE POLITIQUE DES SCIENCES

PLAN DE COURS. 19.06.2018 (Date SCPO). 1. SOCIOLOGIE POLITIQUE DES SCIENCES. Professeur(s) : Renaud Crespin et Jean-Noël Jouzel.



Cours de Sociologie politique

Gratuité des frais de transports y compris entre Londres et le domicile des MPs. 1953. Indemnité parlementaire de 2£ pour chaque jour siégé de session.



POL-7047 : Politique comparée et sociologie politique

14 janv. 2020 Ce cours présente les fondements de la politique comparée et de la sociologie politique et vise l'acquisition d'une connaissance.



SOCIOLOGIE POLITIQUE S1

RESUME DU COURS / OBJECTIFS Sociologie politique 1er semestre ... partir d'une étude des différents partis politiques (1er semestre) pour dans une ...



UMECI

UNIVERSITÉ MÉTHODISTE DE CÔTE D'IVOIRE (UMECI). INTITULÉ DU COURS. Sociologie Politique. (Licence 3 Droit Public). Dr. Botiagne Marc Essis.



Résumés des cours dispensés en Licence Droit

Après une présentation du paysage politique français. (organisations règles juridiques



Sociologie politique dune expérience de démocratie participative

29 sept. 2016 sa connaissance des travaux de sociologie politique. ... Certains interlocuteurs ont changé de fonction au cours de notre.



Sciences Po Lyon

Ce cours constitue une introduction à la sociologie politique. Il se compose de trois parties. La première vise à définir ce qu'est la sociologie politique 

Jean-Yves DORMAGEN

Daniel MOUCHARD

Introduction à la sociologie politiqueJean-Yves DORMAGEN

Daniel MOUCHARD

Introduction

à la

Ouvertures

politiques sociologie politique 4 e

édition

mise à jour

REMERCIEMENTS

remarques et commentaires avisŽs, pour son inŽpuisable patience (maintes fois mise

ˆ lՎpreuve) et, plus globalement, pour sa contribution dŽcisive ˆ la rŽalisation de ce

manuel. Nous tenons Žgalement ˆ remercier Yohann Aucante, William Genieys, Sophie Maurer, Laura Michel et Thomas RibŽmont pour leurs prŽcieuses relectures de diffŽrentes par- ties de ce manuel. DBU7113.book Page 5 Mercredi, 5. août 2015 5:30 17 DBU7113.book Page 6 Mercredi, 5. août 2015 5:30 17

INTRODUCTION

simplement : la sociologie politique est une discipline universitaire dont le but est de comprendre, sur des bases scientifiques, le fonctionnement politique des sociŽtŽs. La sociologie politique ne cherche donc ni ˆ justifier ni ˆ condamner, ni mme ˆ Žta- blir ce qui est juste, lŽgal, ou dŽsirable. En cela, elle se distingue du discours des pro- fessionnels de la politique dont le but est dÕabord de convaincre. Elle se diffŽrencie Žgalement de la philosophie politique, dont lÕobjet consiste, par exemple, ˆ sÕinter- roger sur les conditions dÕune vie plus harmonieuse et plus libre en sociŽtŽ, ou sur la question du meilleur rŽgime politique possible. La sociologie, comme lÕensemble des sciences sociales, nÕa donc aucune visŽe normative. CÕest pourquoi elle se distin-

gue Žgalement du droit, dont le principe est dՎtablir ce qui est lŽgal et ce qui ne lÕest

pas et qui, appliquŽ ˆ lÕordre politique, cherche ˆ organiser, en le rŽglementant, le fonctionnement du pouvoir politique. Il est dÕautant plus important de bien souli- gner les diffŽrences entre droit et sociologie que sociologie politique et droit consti- tutionnel ont un objet commun (lÕobjet politique) et que, tout au moins dans le contexte franais, ces deux disciplines sont frŽquemment enseignŽes dans les mmes institutions. Cela tient ˆ lÕhistoire des sciences sociales du politique 1 . Sans entrer ici

dans le dŽtail, il convient de rappeler que la sociologie politique franaise sÕest dŽve-

loppŽe dans les Instituts dՃtudes Politiques (IEP, qui sont des institutions gŽnŽra- certains objets politiques (lՃtat, le gouvernement, le Parlement...) relevait principa- lement du droit public et du droit constitutionnel. CÕest au sein de ces disciplines cipline universitaire spŽcifique et autonome. La diffŽrenciation toujours plus nette

1. LA SOCIOLOGIE POLITIQUE COMME DISCIPLINE DISTINCTE

ET AUTONOME

1. Voir Favre P.,

Naissances de la science politique

, Paris, Fayard, 1989 ; et DŽloye Y., Voutat B. (dir.),

Faire de la science politique

, Paris, Belin, 2002. DBU7113.book Page 7 Mercredi, 5. août 2015 5:30 17

8INTRODUCTIONINTRODUCTION Ë LA SOCIOLOGIE POLITIQUE

ˆ lՎmergence dÕinstitutions et de cursus propres ˆ la nouvelle discipline (crŽation en

1949 de lÕAssociation Franaise de Science Politique, lancement en 1951 de la

Revue

Franaise de Science Politique

, mise en place du concours dÕagrŽgation en science poli- tique en 1973É), mais aussi gr‰ce ˆ un basculement du c™tŽ des sciences sociales, ce qui implique un changement de perspective par rapport ˆ lÕapproche juridique (cf. infra Autant il est important de bien distinguer le droit de la sociologie politique, autant il est important de rappeler leur complŽmentaritŽ 2 Ces deux disciplines sont complŽmentaires parce que le politiste ne ques. Et rŽciproquement, ceux qui produisent, enseignent ou tentent

ne prendre pour lÕinstant quÕun exemple, il est nŽcessaire dÕassocier lÕapproche juri-

dique et lÕapproche sociologique pour bien comprendre un trait central dÕune grande partie des dŽmocraties contemporaines : lÕaffaiblissement des Parlements. Expliquer qui limitent le pouvoir de lÕinstitution parlementaire, mais aussi dÕautres causes mises en Žvidence par la sociologie politique, notamment lÕemprise croissante des cf. encadrŽ n¡ 1 ), qui favorise la prŽ- dominance de lÕexŽcutif sur le lŽgislatif (cf. chapitre 3). 3 4

2. Voir sur ce point en gŽnŽral Franois B., Ç Duverger revisitŽ È, in Favre P., Legavre J.-B. (dir.),

Enseigner la science politique

, Paris, LÕHarmattan, 1997.

3. Voir notamment Parodi J.-L., Ç ImprŽvisible ou inŽluctable, lՎvolution de la V

e

RŽpublique ? È,

in Duhamel O., Parodi J.-L. (dir.),

La Constitution de la V

e

RŽpublique

, Paris, Presses de Sciences Po, 1988.

4. Voir sur ce point Lacroix B., Lagroye J. (dir.),

Le PrŽsident de la RŽpublique

, Paris, Presses de

Sciences Po, 1992.

EncadrŽ 1

LÕanalyse des institutions

quement un objet dՎtude majeur de la science politique. Mais la faon de les apprŽhender a largement ŽvoluŽ au fil

du temps : ˆ une approche strictement juridique (dŽcrivant les prŽrogatives formelles des diffŽrentes composantes

approche plus sociologique. Cette approche sociologique suit elle-mme diffŽrentes directions. On citera en particu-

dont les acteurs jouent de ces contraintes 3

est le nŽo-institutionnalisme, attentif ˆ la fois ˆ la structuration historique et sociale des institutions (aux acteurs

lyser sous diffŽrents angles ce qui fait vivre lÕinstitution prŽsidentielle sous la V e

RŽpublique (la parole prŽsidentielle,

le protocole, les interactions avec les autres institutions, le charisme de la fonctionÉ) 4

Politiste

: chercheur spŽcialiste de science politique (le terme

Ç politologue È est aussi souvent

utilisŽ). DBU7113.book Page 8 Mercredi, 5. août 2015 5:30 17 INTRODUCTION Ë LA SOCIOLOGIE POLITIQUEINTRODUCTION 9 La sociologie politique, en tant que science dÕun certain type de faits sociaux (les faits politiques), est une science sociale entend par lˆ. Sous ce terme, on rŽunit traditionnellement un ensemble de discipli- nes scientifiques qui ont en commun de se consacrer ˆ lՎtude des sociŽtŽs et des comportements humains (cÕest pourquoi on peut Žgalement les appeler Ç sciences de lÕhomme È ou Ç sciences humaines È). Ces disciplines sont principalement la sociologie, lÕhistoire, la psychologie, lÕethnologie, lՎconomieÉ. Elles ont en com- mun lՎtude de lÕhomme et de la vie en sociŽtŽ, mais elles se distinguent, a priori par des angles dÕapproche et des objets spŽcifiques. La sociologie Žtudie les Ç faits

sociaux È (le mariage, lՎcole, le vote, la criminalitŽÉ) ; lÕhistoire est centrŽe sur le

passŽ ; lÕethnologie sÕintŽresse ˆ des sociŽtŽs Ç ŽloignŽes È (ŽloignŽes du monde

occidental o sont nŽes les sciences sociales) ; la psychologie explore la conscience (et son pendant, lÕinconscient), et lՎconomie analyse les mŽcanismes de lՎchange de biens (notamment dans le cadre du marchŽ).

Quant ˆ la sociologie politique, elle

a pour objet tout ce qui est relatif au gouvernement des sociŽtŽs et tout ce qui est en rapport avec cette activitŽ de gouvernement. Cependant, ces subdivisions ne sont pas si fermement Žtablies. DÕune part, chaque discipline tend ˆ dŽborder son objet limitativement dŽfini (il existe une Ç histoire du temps prŽsent È, une ethno-

logie des sociŽtŽs Ç occidentales È contemporainesÉ). Et dÕautre part, lÕhistoire, la

sociologie, lÕethnologie, la sociologie politique et mme lՎconomie peuvent avoir les mmes objets sur lesquels ils portent des interrogations croisŽes et complŽmen- taires. On le voit, par exemple, avec le comportement Žlectoral, qui a donnŽ lieu ˆ des Žtudes dans toutes ces disciplines. En outre, les sciences sociales ont une ambition commune : expliquer le social par (par exemple, en ce qui concerne la sociologie politique, chercher dans les structu- duite en vigueur au sein de ces groupes, lÕorigine des prŽfŽrences Žlectorales). Expliquer le social par le social revient ˆ faire le double pari que le social obŽit ˆ des causes, et que ces causes se trouvent dans la sociŽtŽ elle-mme. Toutes les sciences sociales reposent de fait sur ce postulat fondamental que le social est dŽterminŽ et quÕen consŽquence, il prŽsente des rŽgularitŽs . Pour cette raison, le principal objectif de la recherche doit tre dÕidentifier ces rŽgularitŽs et de les expliquer. Hors de ce postulat, il nÕy a pas de science du social possible, pas de science des comporte- ments humains possible. Il faut, en effet, bien comprendre que si les faits, les com- portements, les choix pouvaient tre sans cause, ils nÕobŽiraient, alors, quÕau hasard sans ordre et sans logique. SÕil devait en tre ainsi, alors il serait vain de sÕengager dans lÕexploration de lÕunivers social et dans lՎtude des comportements humains : lÕentreprise mme dÕune science du social serait sans fondement et dŽpourvue de sens.

CÕest pourquoi on retrouve le postulat

dŽterministe faon plus ou moins clairement assumŽe) dans tous les courants qui composent les sciences sociales ; y compris, on le verra, dans les

2. LA SOCIOLOGIE POLITIQUE COMME SCIENCE SOCIALE

DŽterminisme

: principe selon lequel chaque ŽvŽnement dŽpend dÕune causalitŽ scientifiquement repŽrable. DBU7113.book Page 9 Mercredi, 5. août 2015 5:30 17

10INTRODUCTIONINTRODUCTION Ë LA SOCIOLOGIE POLITIQUE

courants qui placent les Ç choix È et les Ç stratŽgies È des acteurs au centre de leur dispositif thŽorique et mŽthodologique 5 cette discipline sÕorganise autour de deux grands courants ou para- digmes opposŽs 6 La tradition Ç holiste È, reprŽsentŽe notamment par

ƒmile

Durkheim

7 , constitue le premier p™le. Le holisme est une concep- tion thŽorique selon laquelle lÕindividu est dŽterminŽ par les rapports croyances en vigueur dans ses groupes dÕappartenance. En ce sens, selon le point de vue holiste, il faut partir du groupe pour expliquer les comportements individuels : le groupe est mŽthodologiquement premier. SÕinspirant au moins en partie des travaux de

Max Weber

le courant individualiste constitue le second p™le. Lˆ aussi, il sÕagit dÕune conception thŽorique, mais en quelque sorte symŽtriquement inverse de la prŽcŽdente. LÕindividualisme (que lÕon qualifie, en gŽnŽ- ral, de Ç mŽthodologique È, parce quÕil implique, ˆ lÕinstar du holisme, une mŽthode dÕanalyse 8 ) postule en effet que ce qui est pre- mier dans lÕanalyse, ce nÕest pas la sociŽtŽ, ni le groupe, mais lÕindi- vidu. En dÕautres termes, ce nÕest pas la sociŽtŽ qui produit lÕindividu mais au contraire lÕindividu qui produit la sociŽtŽ. La sociŽtŽ nÕest que le produit de la somme des comportements individuels, et cÕest lÕagrŽ- gation des attitudes, des choix, des stratŽgies individuels qui produit des faits sociaux (tels que le nombre de mariages, de divorces, de sui- cides, ou de votes pour la gauche ou la droite). Ces deux courants sont, en apparence, radicalement opposŽs sur le plan thŽorique. Cependant, et ce depuis dŽjˆ longtemps, la plupart cette opposition en montrant quÕune articulation des deux niveaux, et une mise en Žvidence de leurs interactions constantes, sont essen- des formes diffŽrentes, des thŽories de

Pierre Bourdieu

, de Norbert

Elias, dÕAnthony Giddens

9 , et dÕautres encore. On trouvera dans cet

5. Voir sur ce point la mise au point de Favre P.,

Comprendre le monde pour le changer. EpistŽmolo- gie du politique , Paris, Presses de Sciences Po, 2005. in Birnbaum P., Leca (dir.),

Sur lÕindividualisme

, Paris, Presses de Sciences Po, 1986.

7. CÕest dans

, publiŽ en 1895, (Paris, PUF, 1996) que Durkheim expose le plus clairement ce point de vue.

8. En ce sens, lÕindividualisme mŽthodologique est clairement distinct du sens courant du terme

Ç individualisme È, qui sÕapparente plut™t ˆ un constat normatif sur lՎvolution des sociŽtŽs con-

temporaines.

9. Voir notamment Bourdieu P.,

Le sens pratique

, Paris, Minuit, 1980 ; Elias N.,

QuÕest ce que la

sociologie ? , Paris, 1991 ; Giddens A.,

La constitution de la sociŽtŽ

, Paris, PUF, 1987. Voir pour une

Les nouvelles

sociologies , Paris, Colin, 2004.

Paradigme

: ensemble de thŽories, de concepts, de notions de base qui, ˆ un moment donnŽ de lÕhistoire dÕune disci- pline, constituent le cadre gŽnŽral de rŽfŽrence du travail scientifique pour une communautŽ de chercheurs.

E. Durkheim (1858-1917)

: con- de la sociologie, E. Durkheim, professeur

ˆ Bordeaux puis ˆ la Sorbonne, est

notamment lÕauteur de la

Division

du travail social (1893), des mŽthode sociologique (1895), et du

Suicide

(1897).

M. Weber (1864-1920)

considŽrŽ ˆ lÕinstar de Durkheim comme un des fondateurs de la sociologie, Max

Weber, professeur dans diffŽrentes uni-

versitŽs allemandes (Berlin,

Fribourg, Vienne) est notamment

lÕauteur de

LՎthique protestante

et lÕesprit du capitalism e (1905), des

Essais sur la thŽorie de la science

(1904-1917), de

Le savant et le politi-

que , et surtout dÕ

Economie et sociŽt

(1921-posthume).

P. Bourdieu (

1930-2002) :

considŽrŽ comme lÕun des plus impor- tants sociologues contemporains, Pierre Bourdieu, directeur dՎtudes ˆ lÕEHESS est notamment lÕauteur de

La distinc-

tion (1979), du

Sens pratique

(1980), ou encore des

MŽditations

pascaliennes (1995). DBU7113.book Page 10 Mercredi, 5. août 2015 5:30 17 INTRODUCTION Ë LA SOCIOLOGIE POLITIQUEINTRODUCTION 11 lÕon qualifie prŽcisŽment, pour mieux les distinguer, de Ç sciences dures È) ? Si la question peut se poser, cÕest principalement parce que les sciences sociales ont

une vraie particularitŽ, qui constitue une rŽelle difficultŽ : leur objet. Elles Žtudient

quÕun seul : lÕhomme se caractŽrise, entre autres, par ses capacitŽs dÕadaptation. Il ne

des inconnus, dans lÕunivers professionnel ou dans lÕunivers familial. Cette aptitude, plus ou moins ma"trisŽe, plus ou moins consciente, ˆ modifier ses attitudes selon les contextes et la nature des interactions rend lÕanalyse scientifique de lÕhomme (de ses

cisŽment, lÕhomme qui se sait observŽ et ŽtudiŽ tend ˆ sÕadapter (parfois sans mme

moins importante) ses attitudes et ses opinions. LÕenquteur produit ainsi toujours un effet sur le milieu et les individus quÕil Žtudie. Il ne peut donc jamais savoir com- ment se comportent les individus en dehors des effets que sa prŽsence induit 10 lÕexemple des Žlecteurs du Front National. Dans les enqutes par sondages 11 , les

rieures ˆ la rŽalitŽ : il y a au moins deux fois moins dՎlecteurs frontistes dans les

rŽsultats bruts des sondeurs que dans les urnes. Deux explications peuvent tre don-

nŽes dÕun tel Žcart entre les rŽsultats des enqutes et la rŽalitŽ des votes : soit les Žlec-

teurs du FN refusent de participer aux sondages et ne sont pas dans les Žchantillons ˆ vocation reprŽsentative, soit ils dissimulent aux enquteurs leurs rŽelles intentions

de vote. Quelle quÕen soit la raison, la situation dÕenqute modifie bien la rŽalitŽ que

les chercheurs tentent dÕanalyser : en lÕoccurrence, elle tend ˆ rŽduire considŽrable-

ment les prŽfŽrences Žlectorales pour le FN. Sans que cela soit toujours aussi manifeste, donc aussi facile ˆ identifier, et beau- coup plus difficile ˆ corriger (en Ç redressantquotesdbs_dbs50.pdfusesText_50
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