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[PDF] LES FOURBERIES DE SCAPIN – MOLIÈRE ACTE III

LES FOURBERIES DE SCAPIN – MOLIÈRE ACTE III 1 5 10 15 20 SCÈNE PREMIÈRE 2 Quant à moi je veux qu'il y est entre nous la même amitié qu'entre 



[PDF] scapin acte III scène2 11-03

Les fourberies de Scapin Acte III scène 2 : Scapin et Géronte Scapin met en place cette ruse pour se venger de Géronte Il se



[PDF] La scène du sac (III2) Les Fourberies de Scapin - WordPresscom

? Lis la scène 2 de l'acte III puis réponds aux questions ci-dessous Comprendre la scène ? Quel est le but de Scapin dans cette scène ? Scapin a fait une 



[PDF] Les Fourberies de Scapin III 2 Introduction – Auteur : Molière Jean

– Pièce : Comédie de Molière en trois actes en prose écrite en 1671 Inspirée de la comédie italienne (commedia dell'arte) et de la farce – Personnages : – 



[PDF] Molière Les Fourberies de Scapin la scène du sac (Acte III scène 2)

Molière Les Fourberies de Scapin la scène du sac (Acte III scène 2) SCAPIN : Cachez-vous : voici un spadassin qui vous cherche (En contrefaisant sa voix)



[PDF] Acte III scène 1 1) Pourquoi Scapin souhaite-t-il se venger de Géronte

Scapin souhaite se venger de Géronte car à cause de son mensonge il a été contraint d'avouer ses fourberies à son maître Léandre 2) Qui cherche à l'en 



[PDF] Chers élèves Nous allons poursuivre létude des Fourberies de

tours d'adresse jolis Activité 2 : J'analyse un extrait théâtral Support : Molière Les Fourberies de Scapin acte I scène 3 1671



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Support : Molière Les Fourberies de Scapin acte I scène 4 et acte II scène 6 Visionnez attentivement les deux extraits des Fourberies de Scapin 



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Octave Et que cette fille est mandée de Tarente ici pour cela ? Acte I 3 A quel remède recourir ? Scène II Scapin Octave Silvestre Scapin



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LES FOURBERIES DE SCAPIN FILMÉ EN DIRECT DE LA COMÉDIE-FRANÇAISE ANALYSE (acte III scène 2) présent dans le texte un burlesque des corps purement

SCAPIN : Cachez-vous : voici un spadassin qui vous cherche. (En contrefaisant sa voix) menseignera pas où il est ?" (à Géronte avec sa voix ordinaire) Ne branlez pas.

(Reprenant son ton contrefait) "Cadédis, jé lé trouberai, sé cachât-il au centre dé la

terre," (à Géronte avec son ton naturel) Ne vous montrez pas. (Tout le langage le seigneur Géronte ? "Oui, mordi ! Jé lé cherche." Et pour quelle affaire, Monsieur ? "Pour quelle affaire ?" Oui. "Jé beux, cadédis, lé faire mourir sous les coups de vaton." Oh ! Monsieur, les coups de bâton ne se donnent point à des gens comme lui, et ce

nest pas un homme ă ġtre traitĠ de la sorte. ΗYui, cĠ fat dĠ Geronte, cĠ maraut, cĠ

velître ?" Le seigneur GĠronte, Monsieur, nest ni fat, ni maraud, ni belŠtre, et ǀous

deǀriez, sil ǀous plaŠt, parler dautre faĕon. ΗComment, tu mĠ traites, ă moi, aǀec

ce que tu es des amis dĠ cĠ Geronte ͍Η Oui, Monsieur, jen suis. ΗAh ͊ CadĠdis, tu es

de ses amis, à la vonne hure." (Il donne plusieurs coups de bâton sur le sac) "Tiens.

Boilà cé qué jé té vaille pour lui." Ah, ah, ah ! Ah, Monsieur ! Ah, ah, Monsieur ! Tout

beau. Ah, doucement, ah, ah, ah ! "Va, porte-lui cela de ma part. Adiusias." Ah ! diable soit le Gascon ! Ah ! En se plaignant et remuant le dos, comme sil aǀait reĕu les coups de bąton. GÉRONTE, mettant la tête hors du sac - Ah ͊ Scapin, je nen puis plus. SCAPIN - Ah ! Monsieur, je suis tout moulu, et les épaules me font un mal

épouvantable.

GÉRONTE - Que veux-tu dire ͍ Jai bien senti les coups, et les sens bien encore.

épaules.

GÉRONTE - Tu deǀais donc te retirer un peu plus loin, pour mĠpargner. SCAPIN lui remet la tête dans le sac - Prenez garde. En voici un autre qui a la mine dun Ġtranger. INTRO

CONTEyTEͬVUVRE

Les fourberies de Scapin est une pièce de Molière, écrivain classique du 17e s. Elle fait partie des piğces inspirĠes de la commedia dellarte, la

comédie italienne dans laquelle des acteurs masqués jouaient et improvisaient sur un canevas traditionnel. Cherchant uniquement à provoquer

le rire, elles sont moins dangereuses pour Molière que Tartuffe et Dom Juan, plusieurs fois interdites. Le personnage principal y de la commedia

sont stéréotypés, leur caractère peu développé ͗ lessentiel est de faire rire par des jeudž de scğne accĠlĠrĠs proches de la farce. Le personnage

nom Scapin vient du verbe italien " scappare » signifiant " sĠchapper ». Ce valet se tire, en effet, de tous problèmes par ses fourberies et la

virtuosité de son jeu de scène. TEXTE moitié de la scène.

MOUVEMENT (plan du texte)

La premiğre partie de ledžtrait comporte un dialogue rĠel entre Scapin et GĠronte sur un sujet fictif (une fourberie) : faire croire à Géronte

où Scapin joue le rôle du héros, du serviteur fidèle qui risque sa vie en défendant son maître, rôle qui lui vaut des coups de bâton (de manière

La dernière partie est à nouveau un dialogue réel entre Scapin et Géronte, mais sur un sujet semi-fictif : les imaginaires coups de bâton dont

PB Nous allons étudier les caractéristiques du valet de comédie le plus célèbre : Scapin.

DANS CETTE PREMIERE PARTIE SCAPIN MET EN PLACE SA TROMPERIE (fourberie) ͗ IL PARLE TANTOT A SON MAITRE POUR LUI FAIRE CROIRE YUIL EST EN

LE VALET DE COMEDIE SE JOUE ET SE VENGE DE SON MAITRE cachât-il au centre dé la terre," (à Géronte avec son ton naturel) Ne vous montrez pas

Tout le comique de cette scène repose sur les performances de Scapin, performances verbales (imiter des accents étrangers) et physiques (rouer de coups

GĠronte en faisant semblant de laǀoir ĠtĠ lui-même. Comique de langage et comique de jeu de scène sont donc prédominants. Le comique de langage est

censĠ improǀiser) un accent gascon acceptable, mais capable aussi de faire suffisamment peur ă GĠronte afin de lenfermer dans le sac où il pourra le battre

(tueur à gages)/TUER- VOUS CHERCHE/OU IL EST/JE LE TROUVERAI. Le présentatif VOICI et le présent VOUS CHERCHE ainsi que le futur qui traduit une certitude

JE LE TROUBERAI rendent le danger immédiat. Le comique de langage repose sur différents éléments ͗ limitation de laccent gascon soulignĠ par des

assonances en [é] combinées avec des allitérations en [b] remplaçant les " v », le juron CADEDIS, un vieux juron gascon qui donne un effet de réel, et enfin

MONTREZ PAS: il est en effet vital que Géronte ne sorte pas la tête du sac, sinon il verrait la supercherie (ce qui aura lieu effectivement à la fin de la scène).

ainsi que la naïveté du maître instaure le comique de la dupe (hérité de la farce du Moyen-Age), mais aussi une satire sociale sur linsolence et limpertinence

des serǀiteurs, et leur capacitĠ de manipuler leur maŠtre en prenant le pouǀoir dune autre maniğre. Ainsi se dĠgage Ġgalement un comique de caractère : la

naŢǀetĠ du maŠtre soppose ă lintelligence rusĠe du ǀalet, et le transforme en proie facile. Mais les caractğres sont simplifiés, exagérés et rendus

inégalités entre les classes sociales, même si ces dernières ne sont en aucun cas remises en cause ͗ il sagit juste de punir la mĠchancetĠ, non de contester la

position du maître.

Nous le voyons, le valet de comédie ne cherche pas ici à nous faire réfléchir, mais par toutes les ficelles de la farce théâtrale, à nous faire rire.

LE COMIYUE NEST PAS SEULEMENT FONDE SUR LE CARACTERE RUSE RANCUNIER DU VALET ENVERS SON MAITRE, MAIS AUSSI SUR

SON INVENTIVITE ET LE COMIYUE DU LANGAGE (limitation de laccent gascon) ? "Pour quelle affaire ?" Oui. "Jé beux, cadédis, lé faire mourir sous les coups de vaton."

étant caché dans le sac. On retrouve les effets de réel avec les injures populaires gasconnes(MORDI/CADEDIS) et les fautes de français OU PUT ETRE.

Lintelligence de Scapin rend la scğne crĠdible par une promesse de rĠcompense JE TE VAILLE (baille, căd donne) UN LOUIS (dor ͗ cest beaucoup dargent

fourberie, la vengeance de Scapin : LE FAIRE MOURIR (hyperbole comique pour le spectateur, inquiétante pour Géronte) SOUS LES COUPS DE VATON. La

imaginaire, et lui-même, ce qui se reconnaît au changement de voix (cf la didascalie). Nous sommes donc dans une mise en abyme du théâtre lui-même : le

théâtre dans le théâtre, Scapin joue un rôle fictif emboîté dans une pièce fictive. Le personnage se dédouble (dans la suite de la scène, ce sera pire, il jouera

dans son sac, assiste au dialogue comme le public. La double énonciation théâtrale (les personnages parlent aux autres personnage mais aussi au public) se

complique à souhait.

DANS LA SUITE DE CE DIALOGUE FICTIF OU SCAPIN JOUE DEUy PERSONNAGES (performance digne dun ǀalet de comĠdie toujours

talentueux), SE RAJOUTE UN SECOND DEDOUBLEMENT, CELUI DU DOUBLE PORTRAIT DU VALET : celui que voit le spectateur (le rusé,

cest-à-dire du " pigeon » trompé). LE COMIQUE VIENT DE LA CONTRADICTION DE CES DEUX IMAGES DU VALET ET DE LA

CONNAISSANCE DU SPECTATEUR QUI PEUT LES INVERSER

Oh ! Monsieur, les coups de bâton ne se donnent point ă des gens comme lui, et ce nest pas un homme ă ġtre traitĠ de la sorte. ΗYui,

cĠ fat dĠ Geronte, cĠ maraut, cĠ ǀelŠtre ͍Η Le seigneur GĠronte, Monsieur, nest ni fat, ni maraud, ni belŠtre, et ǀous deǀriez, sil ǀous

plaît, parler dautre faĕon. ΗComment, tu mĠ traites, ă moi, aǀec cette hautur ͍Η Je dĠfends, comme je dois, un homme dhonneur

(Il donne plusieurs coups de bâton sur le sac) "Tiens. Boilà cé qué jé té vaille pour lui." Ah, ah, ah ! Ah, Monsieur ! Ah, ah, Monsieur !

Tout beau. Ah, doucement, ah, ah, ah ! "Va, porte-lui cela de ma part. Adiusias."

Commence une création de toutes pièces dun Scapin encore diffĠrent : non seulement le spadassin Gascon, non seulement le valet, mais le héros

la ǀaleur de ladǀersaire) : Géronte a un statut social qui interdit de le frapper avec des coups de bâton (cela est ǀrai, dailleurs, la bastonnade Ġtait rĠserǀĠe

humilié et traité comme un homme du peuple. Scapin continue ă jouer laǀocat de la dĠfense et argumente une seconde fois contre le spadassin accusant

Géronte de vanité (FAT, fatuité ͗ prĠtention), de MARAUT (sĠcrit aussi maraud : voleur, coquin)et de VELITRE (bélître : homme de rien). Le rythme ternaire de

Moliğre soffre une mise en scğne de lillusion thĠątrale et de son enjeu : par le biais dun jeu fictif, on peut dire des ǀĠritĠs impossibles dans la rĠalitĠ ; lillusion

thĠątrale nest pas un ͨ mensonge », elle est réflexion sur la société, sur la vie. Et le petit théâtre dans le théâtre que nous offre le jeu de rôle de Scapin nous

permet de nous en rendre compte.

bout, ne reniant pas un AMI, quitte à risquer sa vie. Les affirmations hyperboliques de Scapin créent un nouveau comique de décalage : en défendant ainsi son

contraire. Scapin apparaît comme le roi des manipulateurs.

Suit un jeu de scène relevant du comique de la farce ͗ Scapin se fait bastonner et hurle de douleurs (nombreuses interjections, mġme appel ă laide de

LA FIN DE LEyTRAIT FAIT A NOUVEAU DIALOGUER LE VALET AVEC SON MAITRE, MAIS LE DIALOGUE REEL CETTE FOIS JOUE

TOUJOURS SUR LE COMIQUE DE LA DUPE : la parole de Scapin est fondée sur des faits imaginaires, en inversant victime et bourreau

En se plaignant et remuant le dos, comme sil aǀait reĕu les coups de bąton. GÉRONTE, mettant la tête hors du sac - Ah ͊ Scapin, je nen puis plus. SCAPIN - Ah ! Monsieur, je suis tout moulu, et les épaules me font un mal épouvantable. GÉRONTE - Que veux-tu dire ͍ Jai bien senti les coups, et les sens bien encore.

SCAPIN - Non, vous dis-je, ce nest que le bout du bâton qui a été jusque sur vos épaules.

GÉRONTE - Tu deǀais donc te retirer un peu plus loin, pour mĠpargner.

Le terme ADIUSIAS (Adieu) marque le départ du faux spadassin, Scapin se retrouverait donc à nouveau seul avec son maître. Cela ouvre une nouvelle scène de

ce thĠątre dans le thĠątre (on change de scğne ă larriǀĠe et au dĠpart dun personnage : nous en sommes donc à la scène 3 ͗ dabord Scapin et Géronte seul

qui doit entrer dans le sac, puis arrivée du spadassin, enfin départ de ce dernier)

champ lexical de la bastonnade est omniprésent. Mais celui qui se plait le plus et qui crie le plus fort na pas ĠtĠ touchĠ ͗ cest lui le bourreau ! Ce jeu constant

lui dit son serǀiteur. De plus, aucun merci pour laǀoir dĠfendu nest à attendre de sa part, au contraire, il reproche à Scapin de ne pas avoir poussé le

parce compensation des mauvais traitements subis.

CONCLUSION

sidentifiant au ǀalet, seul capable de ǀaincre son maŠtre, de sen ǀenger, par son habiletĠ et sa ruse. Ainsi la fourberie du valet devient un ressort comique

indispensable, déclencheur des autres sources de comique (langage, jeu de scène, caractère, satire sociale, décalage, situation, quiproquo..). Le personnage de

Scapin est encore proche de la farce, mais Moliğre compledžifie son ingĠniositĠ, sa ǀirtuositĠ dans la manipulation. Lenjeu est dĠblouir le spectateur par la

Beaumarchais, au 18e s, mais un simple rééquilibrage anecdotique, qui permet de se défouler. Toutefois la complexité de la situation permettent une mise en

scğne en abyme sur le fonctionnement du thĠątre, lieu dillusion et de double Ġnonciation.

Suite de la scène :

ACTE III, SCÈNE 2

Scapin

Prenez garde. En voici un re.

" Parti ![1] Moi courir comme une Basque,[2] et moi ne pouvre point troufair de tout le jour sti tiable de Gironte ? » Cachez-vous bien. " Dites-moi un peu fous,

? » Non, Monsieur, je ne sais point où est Géronte. " Dites-moi-le vous frenchemente, moi li fouloir pas grande chose à lu » Je vous assure, Monsieur, que je ne sais pas où il est. " remuair quelque chose

dans sti sac. » Pardonnez-moi, Monsieur. " Li est assurément quelque histoire là tetans.[3] » Point du tout, Monsieur. "

dans ste sac. » Ah ! Monsieur, gardez-vous-en bien. " Montre-le- » Tout beau,[4] Monsieur. " Quement, tout beau ? » Vous

Et moi, je le fouloir foir, moi. » Vous ne le verrez point. " Ahi que de badinemente ! » Ce sont hardes qui

Montre-moi fous, te dis-je. Toi ne faire rien ? » Non. " Moi pailler de ste bastonne dessus les épaules de toi. » Je me

moque de cela. " Ah ! toi faire le trole. » Ahi, ahi, ahi ; ah, Monsieur, ah, ah, ah, ah. " J insolentemente ! » Ah ! peste soit du baragouineux.[5] Ah !

Géronte

, sortant sa tête du sac.

Ah ! je suis roué ![6]

Scapin

Ah ! je suis mort !

Géronte

Pourquoi diantre faut- ?

Scapin

Prenez garde, voici une demi-douzaine de soldats tout ensemble. Il contrefait plusieurs personnes ensemble. " Allons, tâchons à trouver ce Géronte, cherchons

-nous ? Tournons par là.

Non, par ici. À gauche. À droit. Nenni. Si fait. » Cachez-vous bien. " Ah ! camarades, voici son valet. Allons, coquin, il faut que tu nous enseignes où est ton

maître. » Eh ! Messieurs, ne me maltraitez point. " Allons, dis-nous où il est. Parle. Hâte-toi. Expédions.[7] Dépêche vite. Tôt. » Eh ! Messieurs, doucement.

Géronte met doucement la tête hors du sac, et aperçoit la fourberie de Scapin. " [8] nous allons faire pleuvoir

sur toi une ondée de coups de bâton. il vous plaira. " » Je ne trahirai point mon maître. " Ah ! tu en veux tâter ? » Oh !

Géronte

Ah, infâme ! ah, traître ! ah, scélérat !

Molière, Les Fourberies de Scapin

1. Ĺ Mis pour " Pardi ».

2. Ĺ Expression proverbiale signifiant " courir très vite ».

3. Ĺ Il y a sûrement quelque chose de louche là-dedans.

4. Ĺ Doucement

5. Ĺ Quelqu'un qui parle une langue en l'estropiant.

6. Ĺ Meurtri par les coups.

7. Ĺ Dépêchons-nous

8. Ĺ Immédiatement

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