[PDF] Eros et Psyché: lêtre et le désir dans la magie amoureuse antique





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Les larmes de Psyché - Léo Lamarche

À votre avis la terminera-t-il cependant ? Éléments de réponse. 1- Cet extrait correspond au chapitre 12 du livre de Léo Lamarche (pp. 73-77) 



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donner un avis argumenté sur ce que représente ou exprime une œuvre d'art ;. ? dégager d'une œuvre d'art L. LAMARCHE



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débat de type platonicien sur les larmes et le rire



Le conte de fées littéraire féminin de la fin du XVIIe siècle

Les amours de Psyché [1669] édition critique de Michel Jeanneret. Paris: Librairie générale française



Les enchantements de léloquence: contes de fées et stratégies

10 janv. 2014 des larmes à sa mort et chercher d'un pas très lent le lieu fatal où elle s' ... contes et les fées

Université Joseph Fourier / Université Pierre Mendès France / Université Stendhal / Université de Savoie / Grenoble INP

THÈSE

Pour obtenir le grade de

DOCTEUR DE L"UNIVERSITÉ DE GRENOBLE

Spécialité : Lettres et Arts - Recherches sur l"imaginaire

Arrêté ministériel : 7 août 2006

Présentée par

Christine ROUSSEAU

Thèse dirigée par Christine NOILLE-CLAUZADE

préparée au sein du Laboratoire RARE (Rhétorique de l"Antiquité à la Révolution) dans l"École Doctorale Langues, Littératures et Sciences humaines

Les Enchantements de

l"éloquence : contes de fées et stratégies hyperboliques au

XVIIe siècle

Thèse soutenue publiquement le 19 octobre 2013, devant le jury composé de :

Monsieur Alain GENETIOT

Professeur à l"Université de Lorraine, Rapporteur

Madame Nathalie GRANDE

Professeur à l"Université de Nantes, Rapporteur

Madame Christine NOILLE-CLAUZADE

Professeur à l"Université Stendhal-Grenoble III, Directrice de thèse

Monsieur Jean-François PERRIN

Professeur à l"Université Stendhal-Grenoble III, Membre

Monsieur Jean-Paul SERMAIN

Professeur à l"Université Paris III-Sorbonne Nouvelle, Président du jury 1 2 Au seuil de ce mémoire, je tiens à exprimer ma gratitude envers tous ceux qui par leur présence, leurs encouragements ou leur participation ont pu contribuer à la réalisation de ce travail. Je remercie en premier lieu mon directeur de recherches, Madame le Professeur Christine NOILLE-CLAUZADE, pour la patience, la constance et la confiance qu"elle a su m"accorder dans ce projet. Je remercie chaleureusement les membres du jury pour l"évaluation de mon travail, Monsieur Jean-Paul SERMAIN Professeur à l"Université Paris III-Sorbonne Nouvelle d"avoir accepté d"être président du jury, Monsieur Jean-François PERRIN Professeur à l"Université Stendhal-Grenoble III de participer au jury, Madame Nathalie

GRANDE

Professeur à l"Université de Nantes et Monsieur Alain GENETIOT Professeur à l"Université de Lorraine d"avoir accepté la charge de rapporteur. J"adresse une pensée reconnaissante à Madame Catherine MARQUENET, Principale d"établissement, qui a toujours cru en la concrétisation de ce projet et m"a notamment permis, avec une grande ouverture d"esprit, de participer à de nombreux colloques. Je remercie Madame Colette VLERICK pour sa relecture perspicace et bienveillante. Je remercie enfin mes proches pour leur soutien et leur stimulation constante pendant ces longues années et particulièrement Monique BROSSEAU pour sa précieuse aide amicale et technique. 3 4

INTRODUCTION GENERALE

" Vous croyez sans doute qu'il ne faut qu'écrire des hyperboles semées par ci par là : Il était une fois une fée, et que l'ouvrage est parfait. Je vous déclare qu'il y entre plus d'art que vous ne le pensez. » Mme d"Aulnoy, Le Nouveau Gentilhomme bourgeois, 1697. A l"occasion du tricentenaire des Contes de Charles Perrault, Philippe Hourcade se demandait à la fin de ses commentaires sur les contes de Mme d"Aulnoy si " [...] une étude exhaustive et approfondie de la poétique et du style narratif chez tous les conteurs du temps, y compris Mme d"Aulnoy, ne ferait pas surgir à la lumière d"autres façons d"écrire, au moins aussi passionnantes que justifiées, auquel cas celle de Charles Perrault ferait figure d"exception qui ne confirmerait plus de règle, indépendamment [...] des incontestables qualités de son texte. » 1 Cette interrogation, malgré l"existence de travaux d"envergure sur la mode des contes de fées, révèle le manque d"analyses stylistiques d"ensemble qui mettraient au jour une pratique scripturale propre au genre mondain alors en plein essor à la fin du XVIIe siècle.

Si des études générales ont en effet délimité avec finesse les sources, les

influences, les liens et certains effets de style des contes, la période systématiquement considérée regroupant les deux vagues successives de parutions des textes, s"étendant ainsi sur près d"un siècle, ne peut rendre totalement compte de l"écriture d"un genre particulièrement ancré dans son temps

2. L"appellation " mode »3 proposée par Mary-

1 Philippe Hourcade, " Tricentenaire des Contes des fées de Madame d'Aulnoy », Tricentenaire Charles

Perrault : Les grands contes du XVIIe siècle et leur fortune littéraire, Jean Perrot (dir.), Paris, In Press,

1998, p. 141.

2 Voir à ce sujet les deux ouvrages majeurs qui analysent l"ensemble des contes des XVIIe et XVIIIe

siècles et en exposent les origines, les inspirations et les principaux procédés esthétiques. Raymonde

Robert, Le Conte de fées littéraire en France de la fin du XVIIème à la fin du XVIIIème siècle, [1982],

Claire Debru, Nadine Jasmin (éd.), Paris, Champion, 2002 et Jean-Paul Sermain, Le conte de fées du

classicisme aux Lumières, Paris, Desjonquères, 2005. 5 Elisabeth Storer, reprise ensuite par toute la critique souligne bien la pratique collective, soudaine et concentrée de la production des récits merveilleux. La différenciation opérée entre les deux pics d"édition

4 à l"intérieur même des ouvrages analysant le

corpus global révèle l"artificialité du regroupement. Raymonde Robert signale ainsi la " faille »

5 de 1715. Le choix arbitraire de la date de la mort de Louis XIV comme repère

chronologique conventionnel de la fin du XVIIe siècle, lui permet de diviser les contes en deux grandes catégories, contes parodiques ou non parodiques, et invite à une lecture qui oppose radicalement l"allégeance affichée au pouvoir royal des premiers textes et la subversion critique des seconds. La césure de la datation, un peu brutale, ne témoigne pas du caractère de transition qui marque les contes parus autour des années 1700-1710, dont l"évolution scripturale annonce le second mouvement éditorial. Comme le souligne Jean Mainil, " Si on a attendu 1730 pour publier des contes parodiques, on n"a pas attendu cette date pour en écrire »

6. La taxinomie proposée par Raymonde Robert, dont

le découpage offre un moyen pratique de collection, enferme les contes dans des catégories trop restrictives qui nient l"hétérogénéité du corpus. Dans notre projet de définir une esthétique particulière au genre, il nous apparaît

alors nécessaire de recadrer et borner le phénomène à ses origines littéraires, c"est-à-dire

essentiellement à la fin du XVIIe siècle. L"ampleur et le foisonnement de la production étendue du XVIIe et du XVIIIe siècle font en effet apparaître des différences stylistiques trop marquées pour une analyse esthétique de détail. Le resserrement

temporel permet ainsi de limiter les disparités inhérentes à la multiplicité d"auteurs

qu"une périodisation élargie rendrait inefficiente. Nous circonscrirons donc notre étude à la première génération d"auteurs de contes de fées, soit la période 1690-1709. Cet intervalle d"une vingtaine d"années à peine inclut l"ensemble des auteurs français appartenant à cette émergence littéraire de la fin du XVIIe siècle : Mme d"Aulnoy, Perrault, Mlle Lhéritier, Mlle Bernard, Mlle de La Force, le Chevalier de Mailly, Fénelon, Mme de Murat, Préchac, Mme Durand, Mme d"Auneuil. A partir des dates de parutions (les mêmes auteurs, et uniquement ceux-ci,

3 Mary-Elisabeth Storer, Un épisode littéraire de la fin du XVIIème siècle. La mode des contes de fées

(1685-1700), Paris, Champion, 1928, Genève, Slatkine reprints, 1972.

4 Voir à ce sujet les analyses et notamment les tableaux et histogrammes réalisés par Raymonde Robert

qui mettent en évidence la concentration des productions sur les dernières années du XVIIe siècle et la fin

du premier tiers du XVIIIe siècle. Raymonde Robert, ibid., p. 75-82 et p. 322-324.

5 Raymonde Robert, ibid., p. 249.

6 Jean Mainil, Mme d"Aulnoy et le rire des fées : essai sur la subversion féerique et le merveilleux

comique sous l"Ancien Régime, Paris, Kimé, 2001, p. 28. 6 ont écrit entre 1690 et 1709 puis n"ont plus jamais édité de contes et aucun de ceux qui

ont édité par la suite n"avaient écrit de contes pendant cette période), force est de

constater que nous sommes bien ici en présence d"un corpus générationnel et qu"après

1710 un nouveau groupe d"auteurs remplace les premiers et adoptent un autre mode

opératoire (dont la parodie, la licence et l"orientalisme sont les principaux traits). A l"intérieur de cette première vague, les années 1696 à 1699 voient un nombre exceptionnel de parutions. Au regard de la diminution des publications qui suit cet épisode particulier, Mary-Elisabeth Storer a considéré que les auteurs qui produisent des contes entre 1700 et 1710 ne constituent que des " retardataires »

7 à cette première

génération. Nous préférons les inclure dans le champ de notre étude et les qualifier de

transitionnels en ce qu"ils partagent encore de nombreux critères stylistiques avec leurs prédécesseurs, même s"ils s"écartent parfois d"un modèle fictionnel dominant 8 et intègrent déjà quelques éléments orientaux 9. Il faut, néanmoins, considérer ce mouvement, cette mode littéraire donc, dans son ampleur : il ne saurait être question de privilégier un auteur-phare comme Perrault,

eut égard à la qualité de son style, ou la prolifique Mme d"Aulnoy, par l"intérêt qu"elle a

davantage suscité auprès de la critique, et de négliger le reste des auteurs sous prétexte

qu"ils sont longtemps tombés dans l"oubli de l"édition, voire de l"érudition.

L"homogénéité de la période permet de saisir les traits stylistiques caractéristiques du

basculement du genre dans l"écrit. Les études sur le conte sont ainsi de deux ordres et s"intéressent soit à l"ensemble du corpus, soit à un auteur particulier. En 1928, Mary-Elisabeth Storer 10 se penche sur ce phénomène littéraire et tente d"en circonscrire les aspects. Elle présente une étude chronologique de onze auteurs

11 des quinze dernières années du XVIIe siècle

en souhaitant privilégier deux axes : le rapport des contes au classicisme du siècle ainsi que la survivance de la préciosité dans la féerie. Elle établit une biographie de chaque auteur, insistant sur ses origines sociales, ses relations et ses préférences avec force

7 Mary-Elisabeth Storer, op. cit., p. 15.

8 Certains récits de Mme d"Auneuil sont ainsi de très courts textes qui traitent d"un fait de mode ou

illustrent une morale et ont peu de liens avec le monde féerique.

9 Mme d"Auneuil, Le Génie familier, 1709.

10 Mary-Elisabeth Storer, Un épisode littéraire de la fin du XVIIème siècle. La mode des contes de fées

(1685-1700), Paris, Champion, 1928, Genève, Slatkine reprints, 1972.

11 Mme d"Aulnoy, Mlle Lhéritier, Mlle Bernard, Perrault, Mlle de La Force, Nodot, Mme de Murat, le

Chevalier de Mailly, Préchac, Mme Durand, Mme d"Auneuil. 7 jugements de valeur. Elle analyse ensuite les oeuvres de chacun dans leur globalité en passant en revue quelques thèmes stylistiques : merveilleux, fantastique, romanesque. Selon des critères de (bon) goût personnel, les commentaires épidictiques de l"auteur développent ou restreignent le champ de son observation, il n"en reste pas moins que l"apport génétique et le relevé de certains faits stylistiques demeurent un incontestable contribution critique.

Jacques Barchilon

12 édite en 1975 un recueil d"une dizaine d"articles, cédant à sa

" longue passion [...] pour le conte de fées littéraire »

13. Il avoue, dès son avant-propos,

ne pas se situer dans une école critique précise ni se référer aux nouvelles méthodes d"analyse textuelle qui naissent alors et soumettre une orientation critique avant tout psychanalytique. Les cinq premiers articles traitent des contes du XVIIe siècle, les cinq autres du siècle suivant. Il étudie comparativement le thème de l"époux monstrueux,

puis introduit les auteurs et leurs contes à travers des éléments biographiques et

esthétiques choisis et largement marqués par des appréciations personnelles. Il recherche par exemple des corrélations oedipiennes entre la revendication de bâtard du chevalier de Mailly et les naissances " irrégulières »

14 de ses personnages. A l"image de

l"ouvrage de Mary-Elisabeth Storer, la juxtaposition des remarques offrent un examen morcelé du corpus. En 1982, Raymonde Robert publie une thèse qui utilise les outils de la critique moderne et réalise une étude systématique et ambitieuse de la production féerique des

deux siècles. Elle aborde le problème des sources folkloriques et littéraires, les

répertorie et conclut à une polyvalence de la part des auteurs qui puisent partout où ils le

peuvent sans rien s"interdire ni se contraindre. Elle étudie notamment, à la suite des travaux de Propp

15, quelques motifs inhérents au genre. Elle consacre une deuxième

partie à l"" interprétation du phénomène »

16, déterminant en premier lieu les causes

sociales et historiques de l"ampleur des parutions, puis montre la réflexivité du genre qui se manifeste dans les récits-cadres et les décors ostentatoires et inventorie enfin les

procédés qui mettent en scène une vision du peuple. Elle clôt sa recherche en évoquant

rapidement des jeux d"écriture, où elle souligne la concision efficace de Perrault

12 Jacques Barchilon, Le Conte merveilleux français de 1690 à 1790 : cent ans de féerie et de poésie

ignorées de l"histoire littéraire, Paris, Champion, 1975.

13 Jacques Barchilon, ibid., p. XI.

14 Jacques Barchilon, ibid., p. 54.

15 Vladimir Propp, Morphologie du conte, Seuil, " Points », 1970.

16 Raymonde Robert, op. cit., p. 305.

8 opposée aux longueurs stylistiques des conteuses et constate le régime de l"équivoque et de la parodie des textes du XVIIIe siècle.

Jean-Paul Sermain

17 reprend en 2005 l"ensemble du corpus pour retracer

l"évolution du genre, depuis son " entrée en fanfare »

18, jusqu"au tour fantastique et

libertin des textes du XVIIIe siècle. Il offre un nouveau découpage en trois périodes qui marque davantage la progression et la variation éditoriale des textes. Après avoir présenté la production dans son contexte historique (Querelle des Anciens et des Modernes, croyances et superstitions et rapport aux autres genres de la fiction, notamment au roman), l"auteur définit les modalités spéculaires du genre à travers le dispositif énonciatif (interactions entre les personnages et en direction du lecteur morale, comique, parodique ), puis l"imaginaire et la vision du monde proposés par les contes. Jean-Paul Sermain établit ainsi une poétique historique qui retrace et met en perspective les transformations du genre. Quant aux études particulières, elles se sont principalement penchées sur les contes de Perrault et de Mme d"Aulnoy et ont surtout cherché à établir des filiations en

relevant leurs sources littéraires ou populaires et à rattacher les contes à des types

folkloriques préétablis. Ainsi, en 1968, Marc Soriano

19 édite une " psychobiographie »20

de Perrault, où, sous la forme d"une enquête, il tend à circonscrire les origines, les attributions et les inspirations diverses de ces contes alors dits de Perrault. Il commence

par démêler les imputations et les paternités refoulées ou assignées à l"auteur par ses

contemporains ou les éditions posthumes. Puis il définit le " folklore »

21 et la voie orale,

avant de s"intéresser à chacun des contes de Perrault en tant que textes issus de cet héritage folklorique. Il étudie ensuite chaque conte en s"attachant à retrouver quels ont pu être les emprunts ou retranchements faits au folklore, aux sources orales ou écrites des contes populaires. Les conjectures sur les inspirations, les lectures, les références de

Perrault sont associées à une herméneutique littéraire à forte tendance psychanalytique à

propos de la morale, des types humains ou des relations familiales. La suite de l"étude porte sur l"homme qu"était Perrault, sa filiation, ses prises de position, les relations personnelles et professionnelles, éléments qui ont pu influer sur son art. Ce travail, qui a

17 Jean-Paul Sermain, Le conte de fées du classicisme aux Lumières, Paris, Desjonquères, 2005.

18 Jean-Paul Sermain, ibid., p. 18.

19 Marc Soriano, Les contes de Perrault, Culture savante et traditions populaires, Gallimard,

" Bibliothèque des Idées », 1968 (pour la première édition), Gallimard, coll. " Tel », 1977 (pour la

préface).

20 Marc Soriano, Ibid., p. I, préface.

21 Marc Soriano, Ibid., p. 75-98.

9 su mettre à jour les sources populaires de ces textes littéraires, a fait oeuvre de fondation pour la critique, mais a également enfermé les contes de Perrault dans une approche folklorique restrictive. La critique s"est ainsi longtemps tournée vers la question des sources ou l"attribution problématique des textes entre Perrault et son fils et a aussi largement analysé les ressorts de l"intertextualité

22. D"autres études, plus courtes et

parcellaires, ont souvent finement analysé le style du conteur à travers quelques textes précis 23.
Mme d"Aulnoy, notamment par la quantité d"éditions et de rééditions qui ont

largement diffusé ses contes, a bénéficié de plusieurs thèses qui ont également mis en

avant les sources et les références de la conteuse. Anne Defrance

24, la première,

réintroduit les nouvelles encadrantes dans l"étude des contes, offrant une perspectivequotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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