[PDF] LES MÉTIERS DE LINSERM Biologie cellulaire développement et é





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ITMO BCDE

Biologie Cellulaire Développement et Pathologies. 1. Etat des lieux Ces travaux sont multidisciplinaires et associent recherche clinique



Présentation PowerPoint

Biologie cellulaire développement recherche clinique et translationnelle. FONDATION MERIEUX. ARIIS. URIE INSTITUT. INSTITUT. MINES-TELECOM. UNICANCER.



Master Biologie Moléculaire et Cellulaire - Parcours

développement cellulaire inflammation



LES MÉTIERS DE LINSERM

Biologie cellulaire développement et évolution. Santé publique. Neurosciences



UNIVERSITE RENNES 1 Référence GALAXIE : 4625

Enseignement de Biologie cellulaire et sur la biologie des cellules souches la différenciation. Recherche en Biologie du développement par des approches de 



Relever les grands défis de la recherche biomédicale et du

biologie du développement enrichissent cet univers scientifique au sein 20 BIOLOGIE CELLULAIRE ET INFECTION ... 45 RECHERCHE CLINIQUE ET SANTÉ. PUBLIQUE.



REPRODUCTION ET DÉVELOPPEMENT

Attaché de recherche clinique Le master Biologie Intégrative et Physiologie (BIP) ... développement cellulaire signalisation



Les docteurs en sciences dans les entreprises du médicament

clinique (10 %) témoignant des efforts de recherche dans le développement clinique



Le réseau des Centres de Ressources Biologiques Humains

développement considérable de la biologie cellulaire et moléculaire et des dustriels de la recherche fondamentale et de la recherche clinique.



Une carrière en recherche

cadre des études et le développement de l'esprit critique créatif et entrepreneurial de de recherche: recherche fondamentale en biologie cellulaire et.

LES MÉTIERS

DE L'INSERM

23

L'Institut national de la santé

et de la recherche médicale L'Inserm est le seul organisme de recherche public français entièrement dédié à la santé humaine.

Notre objectif

: améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l'innovation dans les traitements et la recherche en santé publique.

L'Inserm est le 1

er déposant européen de brevets dans le secteur pharmaceutique et le 4 e dans celui des biotechnologies. L'Institut est également classé au 9e rang mondial des institutions de recherche les plus innovantes.

Travailler à l'Inserm

1. les métiers de la recherche

La recherche fondamentale

qui consiste à décrypter les mécanismes du vivant le fonctionnement de l'organisme humain bien sûr, mais aussi celui des organismes et de toutes autres entités avec lesquels il interagit 2. les métiers d'appui et d'accompagnement de la recherche, qui regroupent des fonctions scientifiques ou administratives

L'étude des maladies des

plus fréquentes aux plus rares

Cancer, maladies infectieuses,

santé mentale, génétique, biotechnologies, bioinformatique, santé publique, environnement techniques biologiques, virologie, risques chimiques, valorisation, gestion financière et administrative, ressources humaines, informatique, communication L'Inserm recouvre une grande variété de métiers, au sein de ses laboratoires et ses administrations, dans toute la France.

Ils sont regroupés dans deux catégories

5 104 3 035

contractuels et vacataires

Bases moléculaires et

structurales du vivant

Génétique, génomique

et bioinformatique

Physiopathologie,

métabolisme, nutrition

Technologies

pour la santé

Cancer

Immunologie, inflammation,

infectiologie et microbiologie

Biologie cellulaire,

développement et évolution

Santé publique

Neurosciences, sciences cognitives,

neurologie, psychiatrie

Nos domaines de recherche

fonctionnaires

L'Inserm

45

Le saviez-vous ?

Faire progresser la science, contribuer à améliorer les soins et les traitements pour la santé de tous, animer une équipe de recherche

Au sein d'une équipe de recherche,

le chercheur en biologie est un pionnier : il découvre des mécanismes biologiques jusqu'alors inconnus ou développe des innovations thérapeutiques.

Pour cela, il définit en premier lieu

un sujet de recherche et une problématique, avec les questions et hypothèses qu'il cherche à résoudre.

Puis il établit un protocole,

c'est-à-dire les différentes étapes de la recherche qui permettront de répondre à la problématique.

Il réalise ensuite les expériences

détaillées dans son protocole et en interprète les résultats. À terme, le chercheur doit publier dans une revue scientifique un article décrivant son protocole, ses résultats et ses interprétations, afin de partager ses découvertes avec la communauté scientifique. Si ces dernières donnent lieu

à une application médicale par l'industrie

pharmaceutique, un nouveau médicament ou une nouvelle technologie, un brevet devra être déposé. Le chercheur peut préférer créer sa propre entreprise, afin d'assurer lui-même le développement et la production industriels de ses découvertes.

Enfin, il a aussi pour mission d'encadrer

des étudiants et de les former à la recherche, ainsi que de dialoguer avec différents publics pour diffuser des connaissances. Un chercheur confirmé peut également animer et encadrer une équipe de recherche, composée d'autres chercheurs, d'ingénieurs, de techniciens, voire diriger un laboratoire.

Baccalauréat général

à spécialités scientifiques

mathématiques, physique, sciences de la vie et de la terre

Diplôme de niveau 8

(doctorat dans le domaine de la biologie)

Titulaire d'une thèse

Filière de formation

La thématique de notre équipe est la détermination du sexe chez les mammifères, plus particulièrement la mise en place de la fertilité et l'étude des cellules germinales, celles qui forment les gamètes. Je conçois et développe des projets de recherche fondés sur l'utilisation de modèles animaux comme la souris. Mon travail demande une expertise technique en laboratoire, des connaissances théoriques à mettre à jour en permanence, une capacité à présenter mes résultats sous forme de conférences et d'articles scientifiques. À côté de cela, je donne des cours à l'université sur la génétique du développement des organismes, et j'encadre des étudiants en thèse. En dehors du laboratoire, je prends aussi la parole dans des conférences grand public et dans des lycées. La recherche donne d'abord la liberté formidable de changer de thématiques au cours de sa carrière. C'est une grande flexibilité, un métier sans routine. En contrepartie, il y a une forte évaluation de notre travail et nos résultats, par nos organismes de tutelle.

Enfin, la diversité est stimulante

: la recherche est multiculturelle, on est toujours en contact avec des scientifiques d'horizons variés. Et faire progresser concrètement les connaissances fondamentales, qui un jour participeront au développement de traitements, donne du sens à mon travail. Après un bac scientifique, je me suis orientée vers des études de pharmacie. Mais j'ai découvert que je voulais faire de la recherche. J'ai alors obtenu une licence de biologie, puis une maîtrise et un diplôme d'études approfondies (DEA), l'équivalent des masters 2 actuels, en pharmacologie moléculaire. J'ai ensuite décroché une allocation doctorale, c'est-à-dire un financement pour faire ma thèse. Après mon doctorat, j'ai décidé de poursuivre mon cursus dans un organisme de recherche publique. J'ai été lauréate de différentes bourses de recherche qui m'ont permis de financer un contrat postdoctoral dans un laboratoire de l'Inserm à Nice. Six ans plus tard, j'ai intégré l'Institut comme chargée de recherche. Chercheur est un métier qui demande d'être curieux et adaptable, car la recherche en biologie évolue vite. Il faut savoir remettre en question ses connaissances à tout moment.

CHERCHEUR

· EUSE EN BIOLOGIE

3 000 € en début de carrière 4 246

€ en fin de carrière

Salaire mensuel brut

Quel a été votre parcours

Quelles sont vos missions en laboratoire

Qu'est-ce qui vous plaît dans ce métier

et quelles qualités sont requises pour l'exercer

Entretien avec Anne-Amandine

67

Le saviez-vous ?

Faire progresser la science, contribuer à la connaissance et aux avancées thérapeutiques utiles à la société et à la santé de tous, animer une équipe de recherche.

Au sein d'une équipe de recherche,

le chercheur en immunologie est un découvreur : il étudie notre système immunitaire pour mettre au jour des mécanismes biologiques jusqu'alors inconnus ou proposer des innovations thérapeutiques.

À cette fin, il détermine tout d'abord un

sujet de recherche et une problématique, avec les questions à résoudre et les hypothèses à valider ou infirmer.

Dans un second temps, il met au point

un protocole, détaillant les différentes

étapes de sa recherche qui lui permettront

de répondre à sa problématique. Il mène ensuite les expériences définies selon son protocole et en interprète les résultats.

À terme, le chercheur doit publier

dans une revue scientifique un article décrivant son protocole, ses résultats et ses interprétations, afin de partager ses découvertes avec la communauté scientifique. Si ces dernières conduisent

à une application médicale par l'industrie

pharmaceutique, un nouveau médicament ou une nouvelle technologie, un brevet devra être déposé. Le chercheur peut aussi décider de créer sa propre entreprise, afin d'assurer lui-même le développement et la production industriels de ses découvertes.

Enfin, il a également pour mission

d'encadrer des étudiants et de les former

à la recherche, ainsi que de dialoguer

avec différents publics pour diffuser des connaissances. Un chercheur confirmé peut en outre animer et encadrer une

équipe de recherche, composée d'autres

chercheurs, d'ingénieurs, de techniciens, voire diriger son laboratoire.

Baccalauréat général

à spécialités scientifiques

mathématiques, physique, sciences de la vie et de la terre

Diplôme de niveau 8 (doctorat)

biologie, immunologie

• Titulaire d'une thèse

Filière de formation

Mes travaux de recherche concernent les moyens d'activer le système immunitaire contre le cancer. Notre but est de produire de la connaissance, à travers des articles scientifiques et des présentations en congrès, et parfois de déposer des brevets si nous découvrons des solutions thérapeutiques qui peuvent être développées au service des patients. Pour y parvenir, le chercheur doit réfléchir à son projet, au niveau scientifique mais aussi au niveau humain et financier. Cela passe par une veille bibliographique, la rédaction de projets, la conception d'expérimentations, l'analyse et la mise en forme de résultats. Il y aussi de l'encadrement des personnels techniques et étudiants : on n'est jamais tout seul en recherche. Nous menons plusieurs projets en parallèle, souvent en collaboration avec d'autres laboratoires.

Enfin, l'évaluation est importante

: elle a lieu tous les 2 ans pour le chercheur et tous les 5 ans pour son unité de recherche. Elle repose sur différents critères, principalement sur les articles publiés.

C'est un métier passion

: quand on aime son sujet, on a envie de produire de la découverte, de la nouveauté. La variété est agréable et pas une semaine ne ressemble à une autre. On rencontre des personnes différentes, des nouvelles générations, des collègues dans les congrès internationaux. C'est très stimulant et assez compétitif dans le domaine de immunologie. Il faut être curieux et persévérant, et ne pas se décourager quand une manipulation échoue. Après un bac scientifique et une licence de biologie, je me suis orienté vers la biologie cellulaire en master 1 puis l'immunologie en master 2. Ma thèse a porté sur des sujets de cancérologie, d'immunologie et de virologie, et s'est suivie d'un stage postdoctoral de trois ans aux États-Unis et d'un an en France. Je suis en poste à l'Inserm depuis 2015, en tant que chargé de recherche.

Un chercheur est un véritable chef d'orchestre

: son métier consiste d'abord à réfléchir, animer et coordonner différentes personnes autour de la réussite d'un projet.

CHERCHEUR

· EUSE EN IMMUNOLOGIE

3 000 € en début de carrière 4 246

€ en fin de carrière

Salaire mensuel brut

Quel a été votre parcours

Quelles sont vos missions en laboratoire

Qu'est-ce qui vous plaît dans ce métier

et quelles qualités sont requises pour l'exercer

Entretien avec Nicolas

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Le saviez-vous ?

Étudier les maladies dans la population, identifier et comprendre les risques de les développer, évaluer l'efficacité des politiques publiques de santé

L'épidémiologiste travaille à identifier

et à comprendre les facteurs de risque des maladies ainsi que les conduites

à risques. Il a notamment pour mission

d'analyser l'ensemble des facteurs (biologiques, environnementaux) qui peuvent jouer un rôle dans l'émergence de pathologies, tels que l'âge, le genre, la profession ou le mode de vie.

Il surveille également l'évolution

de certaines maladies à différentes échelles géographiques, de la ville à la planète.

Si nécessaire, il peut alerter les services

et autorités de santé publique, avec lesquels il travaille en étroite relation, en cas de risque d'épidémie, voire de pandémie.

À l'aide d'outils informatiques et

statistiques, l'épidémiologiste collecte, gère et interprète les données qu'il recueille. Il constitue des banques de données sur lesquelles il s'appuie pour mener ses analyses statistiques.

Il met en place des procédures

de surveillance des maladies, construit des échantillons représentatifs de populations, et analyse en permanence les informations disponibles sur la santé de la population. En résumé, il est un vigile du bien-être collectif. Mon équipe travaille sur les facteurs de risque des cancers. Nous analysons le rôle de diverses expositions, professionnelles ou environnementales. Par exemple, j'ai récemment évalué l'impact du travail de nuit dans la survenue de cancer du sein. Mes missions sont de concevoir les études épidémiologiques, de gérer les bases de données recueillies, puis d'analyser ces dernières. Je participe aussi à l'écriture des articles scientifiques et je présente ces résultats lors de colloques internationaux. Tout au long de l'année, j'encadre régulièrement des étudiants en M1 et M2, ou en thèse.

C'est un métier formidable pour apprendre

: on doit toujours se former, découvrir de nouvelles techniques, chercher de nouvelles méthodes. On n'est donc pas cantonné à des tâches répétitives. Ce métier permet aussi une certaine autonomie il faut bien sûr respecter les priorités de l'équipe de recherche, mais on peut explorer des pistes et proposer des alternatives, être à l'initiative de nouvelles approches statistiques ou scientifiques. J'ai commencé mon parcours par la biologie cellulaire et moléculaire, puis un DESS de bioinformatique (équivalent master 2). Après 7 ans de travail en recherche fondamentale, j'ai envisagé une reconversion professionnelle en épidémiologie, et entrepris un DU en statistique et sciences de la vie, puis un master 2 de santé publique. J'ai ensuite passé un doctorat de santé publique, option épidémiologie. Mais on peut venir à l'épidémiologie par différentes voies, par exemple des formations initiales en mathématiques. Quand on étudie des cohortes de patients, des milliers de variables sont à intégrer afin d'envisager toute influence sur leur santé.

ÉPIDÉMIOLOGISTE

Quel a été votre parcours

En quoi consiste votre métier

Qu'est-ce qui vous plaît dans ce métier

et quelles qualités sont requises pour l'exercer

Entretien avec Émilie

Baccalauréat général

à spécialités scientifiques

mathématiques, physique, sciences de la vie et de la terre

Diplôme de niveau 6

(licence, licence professionnelle, maîtrise dans les domaines des mathématiques, calculs scientifiques, statistiques, biologie, bioinformatique)

• Master conseillé

Filière de formation

2 190 € en début de carrière 5 154

€ en fin de carrière

Salaire mensuel brut

1011
Analyser des données, concevoir des simulations informatiques, inventer des outils adaptés à des travaux de recherche et capables de traiter un problème scientifique

Comme son nom l'indique,

le bioinformaticien possède une double compétence en biologie et en informatique. Discipline en plein essor et innovante, la bioinformatique consiste à appliquer les outils informatiques aux différents domaines de la recherche en biologie. le bioinformaticien aide les chercheurs

à formaliser et à analyser un projet

de recherche et les expérimentations envisagées, en mobilisant des techniques informatiques (calcul, modélisation, simulation). Il organise ensuite les résultats de recherche obtenus pour les rendre exploitables grâce

à la construction et à l'utilisation

de puissantes bases de données. le bioinformaticien détermine ainsi les moyens logiciels et matériels nécessaires aux travaux des chercheurs, par exemple la puissance de calcul des ordinateurs ou la capacité de stockage des serveurs. Il en assure également la maintenance et le développement. et le développement.

Filière de formation

Un ingénieur de recherche doit savoir tout faire ou presque au labo ! Je procède par exemple à l'installation des serveurs de calcul intensif, soit une centaine de machines. Derrière, il faut gérer les données de recherche traitées dans ces calculateurs, et en permettre l'accès aux chercheurs. Mais j'ai aussi fait le site internet du laboratoire en apprenant les codes de développement web. Je peux aussi être appelé pour régler des problèmes sur des équipements : par exemple, maîtriser toute la chaîne de construction et d'utilisation d'un scanner ou d'un détecteur, depuis l'acquisition jusqu'à la reconstruction d'images à des fins médicales ou de recherche. Pour la partie scientifique de mon métier, je travaille sur l'optimisation de la reconstruction tomographique d'images. Je dirige deux étudiants en thèse. Et je dois aussi préparer des dossiers et projets pour obtenir des financements. Mon métier donne une vraie latitude d'action, une liberté de progresser. J'ai accès à tous les domaines de la recherche et c'est très varié. En contrepartie, il est nécessaire d'être agile, curieux, polyvalent, d'avoir envie d'apprendre et de toujours avancer.

Après un bac scientifique, j'ai passé un diplôme de sciences de la matière à Marseille

(équivalent à la licence de physique), puis un master 1 de physique et un master 2 professionnel en optique et laser. Embauché comme ingénieur d'étude à l'université Paris-Sud à Orsay, j'ai commencé à travailler des simulations informatiques en physique, et passé ma thèse sur la reconstruction tomographique en imagerie médicale, une technique qui permet de visualiser notre organisme et son fonctionnement en 3D. Mon post-doctorat m'a emmené au Danemark, puis à Brest, où j'ai passé le concours d'ingénieur de recherche à l'Inserm, mon poste actuel au Laboratoire de traitement de l'information médicale à Brest.

INGÉNIEUR

· E BIOINFORMATICIEN · NE

2 190 € en début de carrière 5 154

€ en fin de carrière

Salaire mensuel brut

Quel a été votre parcours

Quelles sont vos missions

Qu'est-ce qui vous plaît dans ce métier

et quelles qualités sont requises pour l'exercerquotesdbs_dbs25.pdfusesText_31
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