LEXPERT HABILITÉ DU CSE
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Université Paris I Panthéon Sorbonne
U.F.R. de Sciences Economiques
Thèse pour le doctorat en Sciences Economiques
Présentée et soutenue publiquement par
Camille SIGNORETTO
le 20 novembre 2013LICENCIEMENTS ET RUPTURE CONVENTIONNELLE :
ANALYSE ET EVALUATION EMPIRIQUE DES COMPORTEMENTS DESEMPLOYEURS
Directrice de thèse :
Madame Julie VALENTIN Maître de conférencesMembres du jury :
M. Luc BEHAGHEL Professeur et
chargé de M. François LEGENDRE Paris-Est-Créteil Val deMarne, rapporteur
M. Florent NOËL Professeur à -Sorbonne
M. Antoine REBÉRIOUX rapporteur
Mme. Julie VALENTIN
improbation, aux opinions émises dans les thèses ; ces opinions doivent être considérées
comme propres à leurs auteurs.à mon grand-père,
Remerciements
t de mon mémoire de master 2, Julie a suessentiel. Difficile de résumer ici ces quatre années de travail, alors je retiendrai : avant tout,
son soutien sans faille dans les moments de doute ou de remise en cause professionnelle et même parfois personnelle ; puis, nos discussions, toujours stimulantes, sur mes travaux de recherche pertinence de certaines de mes approches ou analyses, tout cela pour me permettre ici. Mes remerciements vont ensuite aux membres de mon jury pour avoir accepté de lire, commenter ou encore discuter mon travail Legendre et Antoine Rebérioux ; puis Luc Behaghel et Florent Noël. La réalisation de cette thèse a également été permise grâce à la confidu CES et la vie quotidienne en son sein doivent ensuite à la présence et au travail
de bureau ont, eux aussi, joué un rôle important dans ma vie au labo : merci à Joëlle Cicchini
pour son soutien et sa présence déchanges toujours instructifs.
ièrement certains de mes chapitres de thèse, mais pas seulement. La collaboration avec Nathalie pour fait entrer de plein pied participé sous sa direction, ont toujours été fructueux. Sa bonne humeur et ses multiplesencouragements ont aussi été très appréciables. Un grand merci enfin à Corinne qui a
toujours été disponible les nombreuses fois où je suis venue la déranger avec mes questions
diverses, et surtout pour sa présence et son soutien inestimables dans les dernières semaines e. Je tiens également à remercier Muriel Roger, Jean-Bernard Châtelain et Thibault Darcillon, pour avoir relu certains de mes travaux ou premières versions de mes chapitres de thèse, ances sur les Durant ces quatre années, ma vie dans le labo a été facilitée par la bonne ambiance qui e et intégrée : Clémence Aubert, Michael Zemmour, Mathilde Guergoat-Larivière, Catherine Pollak,Baptiste Françon, Fabrice Colomb et enfin Elvire Guillaud (déjà passée, elle, dans la vie de
esdéjà passé toutes mes études universitaires à Nanterre, Thibault Darcillon et Vincent Lignon.
Tous les quatre, nous avons partagé de grands moments de fous rires, de " rassègues », et ns les moments de démotivation et de doutes qui accompagnent toute vie de doctorant. Les échanges sur mesbénéfiques. Merci donc à eux pour tout cela. Des remerciements tous particuliers pour
spécifiques de fin de thèse. Ensuite, le petit r les dernières relectures. Enfin, les rencontres plus récentes avec Robin Hégé, Judith Favereau, Pierrick Dechaux et MatthieuRenault ont également été source de bonnes rigolades, toujours très appréciables en fin de
thèse. Que tous les autres chercheurs et doctorants, du labo ou ceux croisés dans des colloques ou transmettre. Enfin, deux personnes ont joué un rôle important dans mon parcours universitaire que je tenais à remercier premier la microéconomie et la macroéconomie avec son approche si particulière ; et Eve avoir initiée e à découvrir de nouveaux horizons à Paris 1. de mes amis que je dois remercier ici pour leur présence et soutien, et bien sûr ma famille et toujours soutenue dans mes choix scolaires et universitaires. Enfin, les perpétuels encouragements de mon frère ont toujours été source de motivation.LICENCIEMENTS ET RUPTURE CONVENTIONNELLE :
ANALYSE ET EVALUATION EMPIRIQUE DES COMPORTEMENTS DESEMPLOYEURS
SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE ................................................................................. 1
PARTIE I : DECRYPTAGE ANALYTIQUE ET EMPIRIQUE DE DALITES DE RUPTURE DU CDI ............................. 9 CHAPITRE 1 : LES PRINCIPAUX FAITS STYLISES DE LUTILISATION DES MODALITES DERUPTURE DU CDI .................................................................................................................. 13
CHAPITRE 2 : LES DETERMINANTS DES PRATIQUES DES EMPLOYEURS EN MATIERE DERUPTURE DU CDI .................................................................................................................. 79
PARTIE II : CONSEQUENCES DU DEVELOPPEMENT DES FORMES DERUPTURE NEGOCIEE ........................................................................................... 135
CHAPITRE 3 : LA RECHERCHE DE LADHESION DU SALARIE A LA PERTE DE SON EMPLOI .. 139 CHAPITRE 4 : UNE ANALYSE EMPIRIQUE DE LIMPACT DE LA RUPTURE CONVENTIONNELLESUR LE COMPORTEMENT DES EMPLOYEURS ......................................................................... 181
CONCLUSION GENERALE .................................................................................. 235
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................................... 245
ANNEXES ................................................................................................................. 259
TABLE DES ILLUSTRATIONS ............................................................................ 327
TABLE DES MATIERES ........................................................................................ 331
GLOSSAIRE DES ABREVIATIONS ET DES ACRONYMES
ANI Accord national interprofessionnel
ANPEAPE Activité principale exercée
ASAASFNE Allocations spéciales du
ATE Average treatement effect
ATT Average treatement effect on the treated
CACDD Contrat à durée déterminée
CDI Contrat à durée indéterminée
CFDT Confédération française démocratique du travail CFTC Confédération française des travailleurs chrétiens CGT Confédération générale du travailCNPF Conseil national du patronat français
CPHCRP Convention de reclassement personnalisé
CSP Contrat de sécurisation professionnelle
CTP Contrat de transition professionnelle
Dares Direction de l"animation de la recherche, des études et des statistiques DEE DEFMDGT Direction générale du travail
DMMO Déclaration des mouvements de main-re
EAE EBEEMMO Enquête sur les mouvements de main-
EsaneFARE Fichier approché des résultats Esane
FHS Fichier historique statistique FNE
FO Force ouvrière
GPEC Gestion prévisionnelle des emplois et des compétencesGRD Garantie de ressources démission
GRH Gestion des ressources humaines
GRL Garantie de ressources licenciement
INSEE Institut national de la statistique et des études économiquesIRP Institutions représentatives du personnel
JO Journal officiel
LME Licenciement pour motif économique
LMP Licenciement pour motif personnel
LPEMCO Moindres carrés ordinaires
OCDE Organisation de coopération et de développement économiques PARE PCS Professions et catégories socioprofessionnellesPDV Plan de départs volontaires
PIB Produit intérieur brut
PSERC Rupture conventionnelle
RCAI Résultat courant avant impôts
ROE Return on equity
RTT Réduction du temps de travail
STMT Statistique mensuelle du marché du travailUT Unités territoriales
VA Valeur ajoutée
INTRODUCTION GENERALE
Le 11 janvier 2008, un accord national interprofessionnel (ANI) est signé entre les partenaires sociaux ayant pour objet la modernisation du marché du travail. Cinq ans plus tard, jour pour " un nouveau modèleéconomique et social au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de
»1. Ces deux accords, transposés ensuite
en lois, sont au fondement de réformes majeures touchant le marché du travail et la gestion de , la rupture conventionnelle (RC) est instituée quelques mois plus tard2. Nouvelle modalité de rupture du contrat à durée
indéterminée (CDI), elle constitue une alternative à la démission et au licenciement et repose
Cette loi instaure
es3. Quant à la loi du
: la majoration de la contributionpatronale sur les contrats à durée déterminée (CDD) de courte durée ; la possibilité de signer
des accords de maintien de document u 1 FO. 2 rupture conventionnelle est votée.3 Précisons également que cette loi donne aux salariés de nouveaux droits relatifs aux indemnités de licenciement
Introduction générale
2 ces réformes sont présentées comme nécessaires pour concilier la
demande de s affiché de construire une " flexicurité à la française »4. Plus fondamentalement, elles
s règles defonctionnement du marché du travail. Cet argumentaire a été développé depuis une dizaine
économistes, venant du monde académique (Cahuc, 2003 ; Blanchard et Tirole, 2003 ; Cahuc et Kramarz, 2004) ou de la haute administration (Camdessus, 2004 ; Virville, 2004), puis relayés dans le monde politique et syndical. rupture conventionnelle qui apparaît comme la mesure phare de la loi de 2008, et en analysant les objectifs qui lui ont été assignés,Signoretto, 2009 ; et Berta et al.
revendication de flexibilisation et de fluidification du marché du travail, qui doit se traduirede sécuriser juridiquement les ruptures du CDI en réduisant le risque de contentieux qui serait
coûteuse pour les employeurs. Ces mêmes arguments, et en particulier celui du besoin de sécurité juridique, se retrouvent dans les débats autour de signé en 2013 puis de la loi correspondante, comme le montrent les discours de la présidente des représentants des employeurs 56. De manière générale, cet argumentaire économique repose sur une
analyse critique du droit du travail considéré comme une entrave au bon fonctionnement du marché du travail, ou catégories de la population active.4 Cf. le discours de F. Fillon, 1er janvier 2008,
vers la flexisécurité à la françaidaté du même jour : " L"amorce d"une "flexisécurité" à la Française ». Cf. du projet de loi sur la
: " de façon à concilier la nécessaire adaptation des entreprises aux évolutions de
5 " Aujourd"hui, un plan de sauvegarde de l"emploi se déroule selon un processus compliqué, coûteux, anxiogène
du fait de son degré constant d"incertitude et qui ne facilite en rien l"adaptation des entreprises ni des salariés si,
in fine, ils doivent aller travailler ailleurs. Il faut repenser les choses à partir d"une philosophie différente,
celle de la "déconflictualisation" qui est notamment à l"origine de la rupture conventionnelle. Il faut à la fois
pacifier les relations, réduire les délais, sécuriser les licenciements », entretien de L. Parisot à l"AEF, le 6 juillet
2012, voir Le Figaro, article sur le site du 6 juillet 2012.
6 -section 4.1 sur les licenciements collectifs est par exemple intitulée : " Une
manque de dialogue social ».Introduction générale
3 il, droit.De des règles de droit du travail
règles de droit du travail s des règles de droit, -Mais les résultats sont ambigus même entre les études sur unmême indicateur et pour un même pays (Signoretto, 2009 ; OCDE, 2004). Pourtant, les
manifestent plus grande flexibilité. Pourquoi ce décalagedroit sont posées comme des contraintes, dont on cherche à évaluer le degré de rigidité à
s synthétisant le contenu de leurs énoncés.7. Selon le
tres comme la Chine ou le Brésil,la France semble caractérisée par une rigidité de sa législation en matière de licenciements
individuels et collectifs et de contrats temporaires (CDD et intérim). Toutefois, deux exemples peuvent montrer les limites de cet indicateur. Le premier renvoie à la constructionCDI. Ce dernier est en réalité limité aux seules réglementations sur les licenciements, dans la
mesure où il neFrance, la rupture conventionnelle
8. Or, cette modalité de rupture peut modifier le degré de
9 et la manière dont sont mobilisés les
licenciements. Le second exemple porte un enjeu plus fondamental pour notre questionnement. Concernant la réglementation des CDD, la France est classée 4ème des pays
7 au-delà de la seule LPE.
82008 a en effet
suivante : http://dx.doi.org/10.1787/lfs-epl-data-fr.9 -même, considère ainsi que la RC a permis un assouplissement de la réglementation du CDI et
notamment du droit du licenciement (OCDE, 2009).Introduction générale
4 les plus rigides, ce qui indiquerait des difficultés pour les employeurs de recourir à ces types de contrats. près de 80 % des embauches se font en CDD (Paraire,
2012) et la France figure parmi les pays qui en ont le plus fort usage (8
ème en 2012 avec 15,2
c ). La confrontation de cet indicateur deréglementation des CDD avec les caractéristiques de la manière dont ces règles sont
mobilisées dans les faits nous donne ainsi une autre vision de cette réglementation. de droit dont nous souhaitons nous détacher, pour ne pas s règles à partir de leur seul énoncé juridique. Nous considérons en effet que les règles juridiques encadrentmais elles ne prennent sens et effet que dans la manière dont elles sont interprétées et
mobilisées par les acteurs 10. de leur interprétation par les acteurs saisissent, et en premier lieu les employeurs, avant En partant des pratiques effectives des employeurs, notre analyse se veut donc avant toutmicroéconomique. Cette approche va en réalité également délimiter notre problématique, car
notre étude est centrée sur les fondements microéconomiques des possibles conséquencesOutre les résultats
divergents de la littérature empirique macroéconomique, les hypothèses formulées pour
caractériser les comportements des employeurs dans les modèles théoriques prenant en
également très diversifiées et déterminent en partie les résultats de ces modèles (Pucci et Valentin, 2008 ; Lunjqvist, 2001). proposée entend permettre de mieux saisir les déterminants des comportements desemployeurs qui se saisissent des règles de droit, comme un préalable à la compréhension de
Une analyse des pratiques effectives des employeurs en matière de rupture du CDI D sur les règles encadrant les CDI et notamment celles entourant les ruptures de ces contrats. Cechoix peut se justifier par le fait que les réformes récentes du droit du travail se sont portées
principalement sur la législation en matière de rupture du CDI composante spécifique de la législation que se concentre la critique économique du droit du10 En effet, rappelons que " les règles de droit ne "font" rien si elles ne sont pas mobilisées, mises en par
des acteurs » (Lyon-Caen et Affichard, 2008, p. 35).Introduction générale
5 travail. Au-
en effet tistique des deux types de licenciement, pour motif personnel (LMP) et pour motif économique (LME), que sont remises en cause les règles en matière de licenciement. évolution opposée entre une hausse du LMP et une baisse du LME (Pignoni et Zouary, 2003 ; Lagarenne et Le Roux, 2006) a conduit à deux interprétations en termes des règles de droit.évaluation négative des règles de licenciement pour motif économique. Devant des
procédures entourant le LME jugées plus complexes et plus incertaines que celles encadrant le LMP, les employeurs réagiraient en substituant des LME au profit de LMP (Cahuc et Kramarz, op.cit.). Notre analyse centrée sur les ruptures du CDI va ce débat modalités de rupture du CDI par les employeurs, en questionnant davantage le constat établi . Finalement, en se focalisant sur le comportement des employeurs, notre analyse porte sur lesmodalités de rupture du CDI qui peuvent être saisies, en droit, par les employeurs.
Traditionnellement, le droit distingue une
personnel. La rupture conventionnelle vient modifier ce clivage en proposant une rupture le cas des démissions sera pris en compte dans notre analyse dans le but de la mettre en perspective avec la ruptureconventionnelle et les autres modalités de rupture. De même, notre intérêt pour les seules
otre analyse le recours aux CDD.Celui-ci sera considéré essentiellement
caractérisant la gestion globale de la main-. Nous proposons ainsi une analyse microéconomique des pratiques effectives des employeurs en matière de rupture du CDI. ce travail est de mettre en perspectiveles définitions juridiques des modalités de rupture du CDI et les représentations qu
donnent les économistes, sissent les employeurs. Un regard principale de la réforme de 2008 modifiant les règles de droit du travail. Au terme de nosinvestigations empiriques, la thèse qui a émergé est la suivante : les catégories de rupture du
Introduction générale
6 CDI sont caractérisées par une perméabilité entre leurs frontières, perméabilité qui se révèle
non seulement dans la manière dont les employeurs usociété (employeurs, salariés et pouvoirs publics). La rupture conventionnelle vient renforcer
cette perméabilité en inscrivant le commun accord au sein même du principe de la rupture, ce
qui brouille encore davantageUne approche inductive à empirique
analytique et empirique. La formulation des hypothèses testées empiriquement repose sur un travail préalable prenant deux orientationspolitiques publiques qui ont contribué à façonner les règles, les usages des ruptures et leur
mesure empirique fondée sur la construction cadre analytique rassemblant une littérature provenant de plusieurs Le travail empirique mobilise ensuite plusieurs bases de données : les informations sur les mouvements de main-moins 10 salariés (EMMO-DMMO) et11) sur les comptes de résultats de ces dernières. La
première est la base habituellement utilisée par la Dares pour caractériser la gestion de la
main-es établissements. Dansaisir les déterminants du recours par les employeurs aux différentes modalités de rupture, il apparaît nécessaire cette base de données des EMMO-DMMO avec celle des EAE, afin économique sur les pratiques des entreprises. Finalement, notre analyse empirique sequotesdbs_dbs19.pdfusesText_25[PDF] SUITE RESSOURCES HUMAINES
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