[PDF] Le système circulatoire / Insectes n° 166





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Les maladies cardiovasculaires (ou maladies du système circulatoire) les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux (AVC).



Maladies de lappareil circulatoire : hospitalisation et mortalité

Maladies de l'appareil circulatoire 51. Rapports sur la santé vol. 17



Le système circulatoire / Insectes n° 166

chez les arthropodes le sys- tème circulatoire est ouvert à l'intérieur du tégument : ni veines et veinules



Hyperandrotrema cetorhini n. g. n. sp. (Trematoda Sanguinicolidae

parasite du système circulatoire de Cetorhinus maximus (Selacii) the circulatory system in Cetorhinus maximus (Selachii).



Chapitre VII. Le système circulatoire Matière Physiologie des

Généralité : L'appareil circulatoire des insectes très proche de celui des autres arthropodes est largement ouvert. Un seul vaisseau bien défini



HISTOLOGIE DE LAPPAREIL CIRCULATOIRE Lappareil

Structure générale de l'appareil cardiovasculaire. Le système sanguin est un circuit fermé composé du cœur et des vaisseaux sanguins.



Chapitre 3 - Cœur et système circulatoire

La grande circulation ou circulation systé- mique comporte le cœur gauche l'aorte et ses branches



Les Mollusques

Système digestif complet avec régions spécialisées pré- Fig.Mo.2.4. Systèmes circulatoire et respiratoire du Mollusque ancestral ...



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Affections de lappareil circulatoire

05C184 Autres interventions sur le système circulatoire niveau 4. * Dans la version 11



[PDF] LE CŒUR ET LA CIRCULATION SANGUINE

I Organisation générale de l'appareil circulatoire et du cœur 1 1 l'appareil circulatoire • 1 réseau de capillaires • 2 veines pulmonaires



[PDF] Chapitre 3 - Cœur et système circulatoire - Amazon AWS

La grande circulation ou circulation systé- mique comporte le cœur gauche l'aorte et ses branches et le système veineux cave et ses colla- térales Le sang 



[PDF] Anatomie Physiologie du Système cardio-circulatoire - Docsamuinfo

– Artères : amène le sang du cœur vers la périphérie – Veines : amène le sang de la périphérie vers le cœur • Notion de circulations régionales : système d' 



[PDF] Le système circulatoire JSP Lyon Rochat

La fonction circulatoire est composée de l'appareil cardio- vasculaire comprenant : Le cœur Les vaisseaux sanguins répartis en deux circulations



[PDF] CHAPITRE VII LE SYSTEME CIRCULATOIRE

Le système circulatoire Matière Physiologie des insectes L3 Entomologie Dr AGUIB Sihem Enseignante de la matière 51 CHAPITRE VII



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Le système cardio-circulatoire est chargé d'assurer le transport de l'oxygène des nutriments et du gaz carbonique dans le corps humain Il repose sur une pompe 



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Le développement du coeur et du système vasculaire est très complexe : 2 réseaux vasculaires se forment à partir du mésenchyme: - un réseau intra et un réseau 



[PDF] Anatomie Physiologie

système circulatoire Il est sous la direction de deux systèmes de commande: ? °Le système nerveux végétatif ou commande réflexe: cellules



[PDF] Lappareil circulatoire

L'appareil circulatoire sert à transporter les éléments nécessaires au fonctionnement du corps (nutriments dioxygène dioxyde de carbone eau anticorps ) 



[PDF] Lappareil circulatoirepdf

Les veines pulmonaires transportent au cœur gauche le “sang hématosé” riche en O2 qui est dirigé dans tout le corps via l'artère aorte L'appareil circulatoire

  • Quel est le système circulatoire ?

    Le système circulatoire, aussi appelé système cardiovasculaire, comprend le sang, le cœur et les vaisseaux sanguins. Le sang circule dans ce système en utilisant deux voies de circulation : la circulation systémique et la circulation pulmonaire. Le point commun des deux circulations est le cœur.
  • Comment fonctionne le système circulatoire sanguin ?

    Les vaisseaux sanguins acheminent le sang dans tout le corps. Les artères transportent le sang depuis le cœur ; les veines réacheminent le sang vers le cœur. Les capillaires entourent les cellules et les tissus du corps afin d'apporter et d'absorber l'oxygène, les nutriments et d'autres substances.
  • Quels sont les différents types de circulation ?

    Il existe deux types de circulation : la circulation pulmonaire et la circulation systémique.
  • Dans la grande circulation, le ventricule gauche du cœur expulse le sang via l'artère aorte vers les capillaires des différents organes où s'effectuent divers échanges. L'aorte est une artère élastique et épaisse capable de résister aux hautes pressions lors de la contraction cardiaque.

INSECTES 27 n°166 - 2012 (3)

C hez les insectes, comme chez les arthropodes, le sys- tème circulatoire est ouvert à l'intérieur du tégument : ni veines et veinules, ni artères et artérioles (système fermé des vertébrés). Les organes internes - comme le tube digestif, la double chaîne nerveuse, les muscles et les gonades - bai- gnent dans l'hémolymphe (voir en- cadré). La circulation de ce liquide n'est pas assurée par un vrai coeur mais par des organes pulsatiles et par les mouvements du corps ; les mouvements de l'hémolymphe sont guidés par des vaisseaux et des diaphragmes. Ce système simple est pourtant très effi cace et il suffi t de quelques minutes pour qu'une subs- tance injectée quelque part se retrou- ve à l'extrémité des appendices...Le système circulatoire Le " sang » des insectes - appelé hémolymphe - circule dans l'ensemble de leur corps délimité par leur tégument : il irrigue tous les tissus, leur apportant les nutriments, des hormones, des cellules de l'immunité et de la coagulation... et emportant les déchets du métabolisme. Il ne transporte pas l'oxygène. Sa circulation est assurée par plusieurs dispositifs anato- miques et contrôlée fi nement par le système nerveux.À la différence de bien d'autres arthropodes, les échanges gazeux chez les insectes ne font pas inter- venir l'hémolymphe : l'oxygène né- cessaire est amené directement aux tissus (et le gaz carbonique éliminé) au travers du tégument ou par le ré- seau des trachées et trachéoles, un système de tuyaux qui aboutit aux stigmates - ouvertures au travers de la cuticule - ou aux branchies chez certains insectes aquatiques.ʄ LE VAISSEAU DORSAL

C'est l'organe le plus visible de la

mise en mouvement de l'hémolym- phe ; on l'a longtemps appelé coeur.

Schématiquement, c'est un tube

creux ouvert à l'avant qui court tout au long du corps de l'insecte, en po- sition médiane dorsale. Des muscles annulaires assurent sa contraction (systole) ; des ligaments élastiques attachés à la cuticule le ramènent en position dilatée (diastole).

Chez la plupart des espèces, on

distingue deux parties que l'on a nommées d'après l'anatomie des vertébrés, plus familière : l'aorte à l'avant et le coeur à l'arrière. Si la systole propulse l'hémolymphe à la fois vers l'avant et l'arrière chez les

Diploures (hexapodes Archéogna-

thes) et quelques insectes " primi- tifs », comme les Éphéméroptères, le courant va très généralement vers l'avant. La contraction débute

à l'extrémité postérieure et se pro-

page vers l'avant (péristaltisme).

Chez les nymphes et les imagos des

Lépidoptères, des Diptères et des

Coléoptères, ce mouvement s'in-

verse régulièrement.

L'hémolymphe pénètre dans le vais-

seau dorsal (VD) par des ostioles, une paire par segment abdominal, et se déverse dans la cavité géné- rale par l'ouverture antérieure, au niveau du protocérébron (cerveau) et du ganglion sous-oesophagien.

Cet organe est particulièrement bien

irrigué et drainé, ainsi que les corps cardiaques et corps allates, organes neurohormonaux. Chez les Dictyop- tères (blattes et mantes) et certains

Orthoptères, des vaisseaux latéraux

(dépourvus de muscles) s'embran- chent à l'avant du vaisseau dorsal et canalisent l'hémolymphe sortante.

Les contractions du vaisseau dorsal

sont automatiques, elles débutent chez l'embryon. Leur rythme est de l'ordre de 60 Hz chez la blatte au repos, de 20 chez la larve de Cerf- volant. Il passe de 0 - au repos - à

300 - en vol - chez la Mouche do-

mestique, sous l'infl uence d'une ré- gulation nerveuse, sans lien avec les contractions des muscles aliformes (voir ci-dessous). ʄ LES DIAPHRAGMES

Fait de tissu conjonctif associé à

des fi bres nerveuses, le diaphragme dorsal délimite un sinus dorsal dans la cavité générale de l'insecte. Le

VD est inclus dans ce sinus. Les

Par Alain FravalChez cette larve (de Rhinocéros : Oryctes nasicornis, Col. Scarabaeidé), la cuticule, très fi ne et

tendue à l'extrême laisse deviner le contenu de la cavité corporelle, remplie d'un liquide trans-

lucide, l'hémolymphe. Le fi n réseau blanc visible sous la cuticule est constitué des trachées et

trachéoles transportant l'air jusqu'aux organes. - Cliché Hervé Guyot-O PIE

INSECTES 28 n°166 - 2012 (3)

fi bres nerveuses sont disposées en

éventails, se projetant de chaque

côté de celui-ci (notamment chez la blatte), d'où le nom de muscles aliformes. Ceux-ci se contractent lentement et irrégulièrement.

Le diaphragme ventral est bien

développé chez les espèces où la double chaîne nerveuse ventrale se prolonge dans l'abdomen ; il est absent chez les Diptères chez qui celle-ci se condense en un gros ganglion thoracique. Il délimite un sinus ventral périneural et son rôle - perfuser le système ner- veux - paraît plus clair que celui du diaphragme dorsal. En outre, il participe à la thermorégulation par ses mouvements musculaires (commandés par le système ner- veux) qui diffusent l'hémolymphe réchauffée par les muscles du vol (jusqu'à 45°C chez le Sphinx du tabac 1 ) vers l'abdomen où elle se refroidit.

Chez des insectes bons voiliers

(Hyménoptères, Diptères, Lépi- doptères), une disposition parti- culière allège le corps en rédui- sant le volume et donc le poids de l'hémolymphe. Le corps est séparé entre une partie antérieure et une partie postérieure par une constriction (avec une soupape, dans certains cas). Le péristal- tisme du VD fait passer l'hémo- lymphe alternativement d'un compartiment à l'autre, ce qu'on a pu nommer fl ux et refl ux tidaux.

Schéma simplifi é du système circulatoire d'un insecte. L'hémolymphe (en jaune bistre) occupe la

totalité de la cavité interne jusque dans les appendices.

Illustration Laurence Bar : www.laurence-bar.com

Manduca sexta1. (Lép. Sphingidé) - chez

qui le diaphragme ventral est particulière- ment développé.

L'hémolymphe, en bref

C'est le " sang » des insectes (et des

arthropodes). L'hémolymphe a pour rôles d'apporter les nutriments aux organes qu'elle irrigue, d'emporter les déchets du métabolisme (qui sont évacués no- tamment via les tubes de Malpighi - voir

Insectes n° 165), d'assurer l'élimination

des pathogènes et des intrus (immunité), de maintenir la turgescence des organes mous, de réparer l'étanchéité du tégu- ment (cicatrisation) et de véhiculer les différentes hormones intervenant dans le développement et la reproduction, notamment. Elle assure l'homéostasie, c'est-à-dire le maintien de conditions constantes de pH et de la concentration en ions organiques, en acides aminés, en protéines, en acides nucléiques, en su- cres et en lipides. Elle sert aussi de fl uide thermique et, dans certains cas, joue des rôles bien particuliers.

Chez les insectes, elle ne joue pas de

rôle respiratoire (sauf exceptions comme les larves de Diptères Chironomidés, dits vaseux, vers rouges) et ne comporte pas de cellules analogues aux hématies des vertébrés. C'est un liquide clair à base d'eau qui n'a en général pas de couleur particulière mais peut être coloré ; dans ce cas, il donne sa couleur aux larves à tégument transparent. Les larves, pos- sèdent souvent plus d'hémolymphe que les imagos ; celle-ci fait la moitié du poids d'un criquet.

H. Landois est le premier à étudier scien-

tifi quement l'hémolymphe en 1864 ; des progrès importants dans la connaissance de sa biochimie sont apportés en 1909 par Tsuji (au Japon) qui a pu travailler sur de grandes quantités d'hémolymphe de ver à soie. Dans les années 1950 et 60, l'usage de la chromatographie permettra des découvertes complémentaires.

Outre quelques cellules adipeuses et des

débris tissulaires, les éléments fi gurés de l'hémolymphe sont les hémocytes. Ces cellules sont en suspension dans le plas- ma, à raison de 7 000 (larve) à 20 000 (imago de criquet) par mm 3 . On en a dé- crit plusieurs types (granulocytes, plas- matocytes, lamellocytes...). Ils intervien- nent dans la coagulation, la lutte contre l'infection et contre certains endoparasi- tes et corps étrangers, par phagocytage, enrobage et encapsulation.

Larve de chironome. - Cliché Jasper Nance,

licence Creative commons 3.0

Chez de nombreuses larves, dont la cuticule

est fi ne, le vaisseau dorsal est visible par transparence. - Clichés Hervé Guyot-O PIE

INSECTES 29 n°166 - 2012 (3)

ʄ LES COEURS ACCESSOIRES

Si le vaisseau dorsal et les diaphrag-

mes assurent le brassage de l'hémo- lymphe dans le corps de l'insecte, les mouvements de celle-ci jusqu'aux antennes, pattes, ailes et cerques sont assurés par des " coeurs » accessoi- res, dits aussi ampoules. Distincts du vaisseau dorsal, leur fonctionnement est autonome. Placés en général à la base de l'appendice, ils propulsent l'hémolymphe vers son extrémité distale au travers d'un " vaisseau » ou d'une cavité délimitée par un diaphragme. Ces organes absents des ancêtres des insectes, contraire- ment au VD, sont apparus au cours de l'évolution.

Les coeurs antennaires sont pré-

sents chez presque tous les insectes, ils font défaut chez les Anoploures (poux) et les Siphonaptères (puces), aux antennes extrêmement cour- tes. Chez la blatte (animal le mieux étudié de ce point de vue), ils sécrè- tent - en plus de leur rôle mécani- que - des hormones qui régulent la sensibilité des sensilles présentes sur les antennes. Au niveau des pattes il peut y avoir spécialisation des deux cavités longitudinales délimitées par le diaphragme (ou septum) central : l'organe pulsatile à leur base propul- se l'hémolymphe d'un côté, laquelle est ramenée, sous cette pression, vers le thorax par l'autre canal. Chez d'autres insectes, un sac trachéal participe au fl ux et au refl ux de l'hé- molymphe dans la patte.

L'aile de l'insecte, contrairement à

une croyance répandue, n'est pas un organe mort et sec, une fois déployée.

Elle est parcourue de trachées et de

nerfs, et l'hémolymphe circule dans la lumière des nervures, mue par des organes pulsatiles thoraciques (pairs ou impairs). Au moment du déploie- ment de l'aile, à l'émergence de l'imago, l'hémolymphe draine les cellules épithéliales qui ont produit la cuticule des faces supérieure et inférieure.

Dans la tête, des " coeurs » particuliers

assurent le déroulement de la trompe des papillons et le déploiement des lamelles des antennes du hanneton.

ʄ LES CONTRACTIONS CÉLOPULSATILES

On ne les perçoit pas à l'oeil nu et

on ne les connaît que depuis 1971.

Il s'agit d'un téléscopage des seg-

ments de l'abdomen engendré par les muscles intersegmentaux, ana- logue à celui montré - très visible- ment - par les abeilles au cours de l'effort et qui assure une ventilation accrue. Ces contractions se produi- sent stigmates ouverts - dans ce cas elles participent à la respiration - ou fermés et ne s'arrêtent que durant la diapause. Elles paraissent comman-dées par un ganglion thoracique de la chaîne nerveuse centrale - sorte de centre cardiorespiratoire 2 . Leur puissance est 100 à 500 fois celle du vaisseau dorsal.

ʄ LE CONTRÔLE NERVEUX DE LA CIRCULATION

L'hémolymphe circule dans la cavi-

té générale des insectes sous la pres- sion de plusieurs dispositifs anato- miques : vaisseau dorsal, diaphrag- mes, organes pulsatiles accessoires, muscles intersegmentaires, sacs aériens... pour assurer la nutrition des tissus, l'excrétion, l'homéosta- sie, le refroidissement et participer

à la respiration. Tout ceci, fort com-

pliqué, nécessite en plus de régula- tions périphériques un contrôle ner- veux centralisé qu'on localise dans les ganglions méso- et métathoraci- ques et des capteurs reliés par des nerfs. En plus, des hormones sécré- tées par des organes neurohémaux disséminés dans l'hémocèle, pour- raient intervenir. Tout un domaine de l'entomologie qui n'est que très partiellement connu.

L'hémolymphe, ses autres emplois

L'hémolymphe sert de moyen de défense à différents insectes de plusieurs ordres. L'individu agressé (ou pris en main) fait sourdre un li-

quide répugnatoire et/ou vésicant par la bouche (méloés), des fentes de l'abdomen (chrysomèles), les articulations des pattes (coccinelles,

orthoptères). Ce sont des phénomènes d'autohémorrhée (sorte de saignée-réfl exe) connus bien avant l'invention du mot (Hollande, 1911)

des enfants jouant avec les crache-sang a . Les Bochimans empoisonnent leurs fl èches à l'hémolymphe de chrysomèles Diamphidia b

L'hémolymphe est un liquide alimentaire. Les prédateurs à pièces buccales perforantes (comme les punaises) se nourrissent souvent de

l'hémolymphe de leur proie qu'ils ponctionnent (en plus du produit de la digestion extra-orale des tissus). Une chenille curieuse, Epipyrops

anomala, perce la cuticule d'un fulgore et boit son hémolymphe c . Pas mal d'insectes endoparasitoïdes aux larves installées dans le corps

de leur hôte ou les femelles des mêmes s'apprêtant à pondre se nourrissent d'hémolymphe, selon des modalités variées

d

Une curiosité : les larves des Leptanillinés (Hym. Formicidés), fourmis souterraines prédatrices, nourrissent leur reine - qui grossit très

vite - avec leur hémolymphe, ceci au travers d'une paire de fentes sur leur abdomen chez

Leptanilla japonica. Enfi n, à la limite de l'entomologie-fi ction, l'hémolymphe sert de combus-

tible dans une pile du même nom... e Noms de dieu, par Alain Fraval. a. Insectes n°160, 2011(1).

Entomologie de pointe : la chasse à la chrysomèle, par Alain Fraval. b. Insectes n°145, 2007(3)

Des chenilles carnassières, par A.F. c. Insectes n°160, 2011(1)

Les Dryinidés, par Hubert Tussac. d. Insectes n°127, 2002(4) ; les Strepsiptères, par A.F. Insectes

n°147, 2007(4). Ces articles sont disponibles en fac similé à partir de www.inra.fr/opie-insectes/i-sommai.htm " Jus de Blatte ». Épingle de 2012 à e. www.inra.fr/opie-insectes/epingle12.htm#jus

Appelé 2. coelopulse nervous system par

son découvreur, Karel Slama.

Réduve irrascible ponctionnant l'hémolym-

phe d'une chenille. - Cliché G. Blondeau-O PIEquotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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