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Lorthographe nest pas soluble dans les études supérieures! Aide
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English?french Dictionary
advance : avancez avançons
L"orthographe
n"est pas soluble dans lesétudes supérieures
Aide-mémoire bienveillant,
à l'usage des étudiants
François Daniellou
Quatrième édition augmentéewww.octares.comOctarès Éditions a publié en 2011 la
première édition de cet ouvrage, qui comportait 1500 rubriques. Cette quatrième édition très augmentée (3200 rubriques) est proposée sous forme de livre numérique, téléchargeable gratuitement, dans une mise en pages permettant une lecture facile sur écran d'ordinateur, tablette, liseuse, ou téléphone portable, en une ou deux pages en fonction de la taille du support. www.octares.comISBN : 978-2-36630-064-2
L'orthographe n'est pas soluble
dans les études supérieuresBienvenue
dans cette édition numériqueUtilisation
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donnera un défilement latéral) ou Affi chage de page/Continu ou Activer le défi- lement (qui donnera un défilement de bas en haut) sur un téléphone portable, choisissezAffichage de page/Continu
ou Activer le défilement.Les hyperliens
Le document comprend plus de
2000hyperliens
». Vous atteignez direc-
tement la rubrique souhaitée en cliquant dessus.Sur l'application mobile, si vous venez
d'utiliser la fonction recherche, il faut sortir de cette fonction (Annuler
»), avant de
pouvoir cliquer sur un hyperlien.Sur votre ordinateur, il peut être néces
saire d'appuyer sur la touche Esc après une recherche pour pouvoir utiliser le défi lement avec les flèches. 5Si votre clic ne semble produire aucun effet,
la rubrique cible est probablement sur la même page que votre point de départ.Pour revenir à la rubrique dont vous êtes
parti, faitesVue précédente :
Cette fonction ne semble malheureuse-
ment pas exister sur l'application mobile.Navigation
Pour atteindre rapidement la rubrique que
vous souhaitez, vous pouvez utiliserLes signets : en activant Outils/signets
sur votre ordinateur, ou l'icône corres pondante dans l'application mobile, vous disposez de deux séries de signets -le sommaire ; -l'accès aux rubriques alphabétiques.La fonction recherche
comporte un index accélérant les recherches. 6Le défilement en utilisant les flèches
l'ascenseur ou la molette de la sourisCopie du fichier
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un ami, indiquez-lui l'adresse de téléchar- gement gratuit www.octares.com , onglets gratuits. Vous lui donnez ainsi la certitude d'avoir le fichier complet avec son index.À Françoise, Celia, Baptiste et Louise
À la mémoire de Monique Noulin
L"auteur
François Daniellou
était professeur des universités
en ergonomie iSommaire
Avant-propos .............................................1 Abréviations et symboles ..........................8 Des difficultés classiques ..........................10Les Rectifications de l'orthographe de 1990
et l'arrêté de 1976 ..............................................1717 Accords du participe passé ....................1723 Participes passés des verbes pronominaux .......1730Listes de verbes pronominaux
avec leur accord .................................................1737 Verbe avoir + participe + infinitif ........................1769 Participe + de + infinitif ......................................1780Participe de
avoir à, donner à .........................1783Participe de
mettre àQuelques particularités des accords
du participe passé ..............................................1785 Avec en ...........................................................1785 Avec un nom collectif ........................................1786 Avec avoir l'air ................................................1786Si le sujet est
on ..............................................1787 Si le sujet est impersonnel .................................1787Le cas où le c.o.d. est
le», neutre,
représentant une proposition ............................1788 ii Le participe passé employé sans auxiliaire ........1788Les compléments de mesure
.............................1789Quelque, quel que, quoique, quoi que ...1794
Pour s'exercer ........................................1799 Références bibliographiques ..................1806 En guise de conclusion.......................................... 1825Remerciements
Ce document, dans ses versions successives,
a bénéficié des remarques d"Hervé Cazassus,Pauline Fabre, Pierre Falzon, Caroline Kamaté,
Julien Lusson, Monique Noulin, Nicole Quéinnec,Serge Volkoff, et des apports de Jean-Pierre
Colignon, Olivier Houdart et Martine Rousseau
du Monde, que je remercie, et qui, bien sûr, ne portent aucune responsabilité dans les erreurs qui pourraient subsister ou dans les choix que j"ai opérés.Je remercie Philippe Debieux, Dominique Le
Fur,Romain Muller et Patrick Vannier pour les
encouragements formulés à la lecture du polycopié originel et/ou de la première édition de cet ouvrage.Je voudrais aussi témoigner de mon admiration
pour André Goosse et Michèle Lenoble-Pinson, qui poursuivent l"uvre de Grevisse en faisant vivre Le bon usage et Le français correct (voir bibliographie). Ils promeuvent ainsi une approche à la fois précise et ouverte des évolutions de l"usage. Un grand merci à Louise, qui, par ses questions et contributions, est à l"origine de la plupart des ajouts de la quatrième édition. 1Avant-propos
L' origine de cet ouvrage est un poly copié, destiné aux étudiants futurs ergonomes que j'ai eu le plaisir de contribuer à former 1 . Au bout de quelques années, j'ai été sollicité par des étudiants d'autres disciplines, et il m'a semblé que ce contenu pouvait intéresser un lectorat plus large. Le choix de proposer la publi- cation de la première édition à Octarès Éditions s'est fait par fidélité à cette maison, pionnière dans le domaine des sciences du travail. Et voici donc, chez le même éditeur, cette quatrième édition très augmentée, sous forme de livre numérique.La première motivation de ce petit docu
ment a d'abord été le sentiment de révolte que j'éprouve quand de bons profes 2 sionnels se font recaler à des épreuves de sélection à cause de leurs difficultés orthographiques. La seconde est le petit malaise ressenti quand je vois des ensei- gnants sanctionner comme " fautes» des
formes aujourd'hui parfaitement admises (telle la graphie charriot).J'ai le plus grand respect pour la diversité
des itinéraires individuels, et le fait que certains parcours conduisent, plus que d'autres, à être familiarisé avec les subtili- tés de l'orthographe française. Mais, dans bien des cas, l'explication des difficultés n'est pas du côté du parcours universi- taire. Elle se situe plus dans un rapport aux normes, question fondamentale de la pratique professionnelle.L'orthographe est une convention sociale,
qui, comme toutes, distingue et exclut. Que les normes du français puissent gagner à être simplifiées, je n'en doute pas, et je suis modestement pour que le participe passé devienne invariable lorsqu'il est conjugué 3 avec le verbe avoir 1 . Mais cela est hors de notre champ d'influence. Respecter les conventions orthographiques est de même nature que respecter les systèmes de cotation des plans, c'est accepter de jouer dans un univers où il existe des règles qui nous échappent et dont nous avons à prendre connaissance.Pour autant, la norme orthographique
comporte les mêmes ambiguïtés que toutes les normes. La langue est vivante, et c'est l'usage qui, à plus ou moins longEn 1900, un ministre de l'Instruction publique
courageux, Georges Leygues, publia un arrêté qui "tolérait" l'absence d'accord [du participe passé conjugué avec le verbe avoir].Mais la pression de
l'Académie fut telle que le ministre fut obligé de remplacer son arrêté par un autre texte qui, publié en 1901, supprime la tolérance de l'absence d'ac cord (Bescherelle, La Conjugaison, Hatier). Le D.O.D.F. précise cette anecdote : il n'y aurait pas eu d'arrêté publié en 1900, mais le dépôt (par une commission présidée par le ministre) d'un rapport ambitieux, qui fut refusé par l'Académie. Un arrêté plus modeste fut du coup publié en 1901 et jamais abrogé. 4 terme, fait évoluer la règle. La consulta- tion des dictionnaires montre qu'ils ne sont pas d'accord sur tous les points, chacun entérinant plus ou moins vite les transfor mations de l'usage.Il y a en fait deux grandes approches de
l'orthographe et plus généralement de l'usage du français -celle de l'Académie française, ou deJouette, où des experts déterminent
d'autorité ce qui est bien et ce qui est mal à un moment donné-celle de Grevisse, ou du Robert, qui consiste à observer ce qui s'écrit. Lorsque, de façon répétée, des auteurs sérieux - qui reflètent l'usage social en
le filtrant - sont en écart par rapport à la norme, c'est la norme qui doit évoluer 1De fait, plus une règle est arbitraire ou
contre-intuitive, plus il y a d'auteurs quiRobert accepte chaque année de nouvelles
formes consacrées par l'usage. EtLe bon usage,
de Grevisse et Goosse, en est à sa 16 eédition en
75 ans
5 l'enfreignent, et plus il y a de divergences entre les experts 1J'ai essayé de donner au lecteur qui le
souhaite les moyens de respecter la norme la plus exigeante, mais j'ai tenté aussi de signaler toutes les variations admises par des ouvrages de référence. L'objectif principal est de fournir quelques repères bienveillants aux étudiants auteurs. La tolérance de certains lecteurs sera peut- être aussi favorisée, s'ils découvrent que quelques points ne sont pas aussi établis qu'ils le supposent. J'ai cherché à rendre compte précisément des Rectifications de l'orthographe de1990, qui sont de plus en plus admises, et
" Nous n'employons pas l'expression français standard.Dictionnaire de linguis-
tique [Dubois et coll., Larousse], cette forme de langue estgénéralement normalisée et soumise
à des institutions qui la régentent". Le présent ouvrage [Le bon usage] montre que les décisions de ces régents contredisent non rarement l'usage réel, qui est l'objet de notre description. 6 qui, de toute façon, instaurent des varia -tions légalement indiscutables en France (pour plus de détails, voir page 1717). Un tel inventaire de difficultés du français débouche, hélas! sur un triste constat : la forme de défense de la langue qui consiste à imposer le maintien d'incohé-rences et d'exceptions
1au motif qu'elles existent depuis longtemps - a pour effet de détourner les étudiants du bon usage. Et contribue probablement à affaiblir le recours au français dans le monde. Je me suis permis de signaler au passage quelques règles qui, de mon modeste point de vue, ne sont pas appelées à un grand avenir !
Compte tenu de la complexité des règles, aucun d'entre nous n'est à l'abri des fautes d'orthographe. Peut-être ce document permettra-t-il d'en éviter quelques-unes, et donnera-t-il envie à des étudiants de consul-ter plus souvent les ouvrages de référence,
cités en bibliographie. F.Daniellou
8Abréviations et symboles
adv. : adverbe cf. : voir, se reporter c.o.d. : complément d'objet directD.O.D.F.
: Dictionnaire d'orthographe et de difficultés du français, voir " Références biblio- graphiques n.f. : nom féminin n.m. : nom masculin pl. : pluriel si j'aurais su : l'astérisque indique une expres- sion incorrecte. : orthographe classique : nouvelle orthographe (recommandée par les Rectifications de l'orthographe de 1990, voir note page 1717) Dans les conjugaisons, l'indication présent sans mention du mode signifie présent de l'indicatif.Le mot
espace est utilisé au masculin même dans son sens typographique, voir la rubriqueEspace
9Conseil d'usage
Vous hésitez entre
bougeotte et *bougeote ? Voir la rubrique " -ote, -otte, -aute, noms». Entre rafale et
*raffale ? Voir raf-, raff-, raph-De nombreuses rubriques concernent
les difficultés liées aux débuts et fins de mots. Le classement est fait suivant l'ordre alphabétique des débuts ou terminaisons homonymes, par exemple " ac-, acc-, acq- », " -ance, -anse, -ence, -enseIl en va de même pour les rubriques
d'homonymie, du typeAu, aulx, aux,
eau, eaux, haut, ho, ô, oh, os 10Accès direct aux rubriques alphabétiques
A B C D E F G H IJ K L M N O P Q RS T U V W X Y Z 11 AA, à, ah, as, ha
Ne pas confondre as et a, les deuxième
et troisième personnes du singulier du présent du verbe avoir : tu as, elle a. Où as-tu mal ? Est-ce toi qui as appelé ? (voir la rubrique " C'est... qui »). Tu as raison, il a tort.Si vous hésitez entre
a et , essayez de changer le temps de la phrase. Si vous pouvez utiliser avait ou aura (avais ou auras ), il s'agit du verbe avoir, et l'ortho- graphe est forcément a ou as. Qu'est- ce que cela a à voir avec ma question [Qu'est-ce que cela avait à voir avec ma question ?] Qu'est-ce que tu as à dire ? [Qu'est-ce que tu auras à direPour la préposition à, voir les rubriques
À ou chez
, " À ou de », " À ou en »,À ou ou
etÀ ou sur
Pour les interjections, on utilise surtout
ha, ha ! pour le rire, et ah ! pour exprimer la surprise, l'insistance, etc.quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46[PDF] Les pourcentages
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