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Consommation / Epargne

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La théorie néo-classique de la consommation se base surtout sur V Pareto Celui-ci présente un consommateur type dont les choix et les mobiles sont étendus à l 



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3) Comment s'explique l'allure de la fonction d'offre de travail selon le modèle néoclassique de base ? Document 2 : Les déterminants de la demande de travail



LActualité économique - Méthodologies néo-classique et post

Méthodologies néo-classique et post-classique Neo-Classical and Post-Classical Methodologies Michel De Vroey Volume 68 numéro 4 décembre 1992

  • Quels sont les fonctions de consommation ?

    Dans sa formulation générale, la fonction de consommation Keynésienne exprime une relation entre la consommation des ménages et leur revenu global soit : C = f(Y) où Y est le revenu global (le taux d'intérêt n'influence aucunement la fonction de consommation). consommation dans une proportion inférieure à l'unité.
  • C'est quoi la fonction de consommation ?

    La fonction de consommation
    c est la propension marginale à consommer, il s'agit de la proportion dans laquelle varie la consommation lorsque le revenu varie d'une unité. Yd représente le revenu disponible, c'est-à-dire le revenu net d'impôts.
  • Quelles sont les contraintes du consommateur dans la théorie néoclassique ?

    Le principe de la théorie néoclassique est simple : le consommateur cherche à maximiser sa satisfaction sous contrainte de son pouvoir d'achat. Par conséquent, on associera à chaque bien une valeur correspondant à l'utilité que retire le consommateur de son utilisation.
  • 1La théorie néoclassique est la théorie dominante en économie. Elle se propose d'expliquer les phénomènes économiques et sociaux à partir des choix des individus qui composent la société. Elle s'inscrit donc dans la perspective de ce qu'on appelle — de façon assez vague, il est vrai — « individualisme méthodologique ».
LIEN ENTRE CONSOMMATION ET EPARGNE CHEZ LES KEYNESIENS ET LES

NEOCLASSIQUES

INTRODUCTION

La théorie néoclassique (19ème siècle) est apparue avant la théorie Keynésienne (20ème siècle)

dans l'histoire de l'économie. Mais depuis, ces deux théories coexistent et s'opposent sur de nombreux points, notamment des points fondamentaux.

L'une des différences les plus flagrantes entre keynésiens et néoclassiques résident dans le lien entre

la consommation et l'épargne.

En effet, l'arbitrage entre consommation et épargne est au coeur de la problématique de l'équilibre

économique à court terme chez les Keynésiens et chez les classiques.

Pour Keynes, l'épargne est un gaspillage des ressources présentes, qui ne peut qu'accentuer les

déséquilibres économiques demain, tandis que la consommation présente est un gage de consommation future. L'épargne est un résidu dans l'affectation du revenu.

Il va prendre le contre-pied de l'analyse néoclassique. Pour lui, l'épargne est néfaste : " un acte

d'épargne individuel signifie, pour ainsi dire, une décision de ne pas dîner aujourd'hui . Mais il

n'implique pas nécessairement une décision de commander un dîner ou une paire de chaussures dans une semaine ou une année plus tard ou de consommer un article déterminé ».

Dès lors, toute décision des ménages qui contribue à une augmentation de l'épargne risque d'avoir

des effets très négatifs : elle introduit une rupture durable dans le circuit dépense - revenu. En effet,

le ménage ne consomme pas aujourd'hui ; rien ne garantit à l'entreprise qu'il consommera demain,

ce qui ne peut inciter l'entrepreneur à investir et augmenter sa production. En effet, plus l'épargne

est élevée, moins la consommation sera forte, plus la demande anticipée sera faible, moins les

entreprises seront incitées à investir dans le cadre du modèle de l'accélérateur.

Pour les classiques, la consommation utilise les ressources dans le présent, tandis que l'épargne

accroit le potentiel de consommation future. Dans cette perspective, les individus adoptent plutôt

une stratégie d'accumulation. Dans la perspective néoclassique, la consommation est vue comme

une destruction de richesses qui n'exerce aucune influence sur la production et sur l'investissement,

puisque c'est l'offre qui créé la demande (loi de Say). Concernant l'épargne, les néoclassiques disent

qu'il faut la favoriser : en effet, plus le niveau d'épargne des ménages sera important, plus l'offre de

capital sera forte, moins le taux d'intérêt sera élevé, ce qui favorisera l'investissement.

Ces deux points de vue divergents reposent sur deux visions irréductibles de l'ajustement entre

épargne et investissement centrées sur des interprétations opposées qu'ils font à ce sujet.

→ Mais, sur quoi repose réellement ces deux interprétations faites entre le lien entre consommation et épargne et sur quelles théories reposent-elles ? I - Le lien entre consommation et épargne chez les Keynésiens

1° La fonction keynésienne de consommation

Dans la conception Keynésienne, la fonction de consommation est stable car elle reflètent les

habitudes des ménages à court terme. Cette fonction de consommation dépend du revenu. On peut

également rajouter que cette fonction de consommation est basé sur la loi psychologique

fondamentale de Keynes selon laquelle " les hommes sont déterminés en moyenne à accroître leur

consommation lorsque le revenu s'élève mais pas autant que l'augmentation de leur revenu ».

En ce qui concerne le taux d'intérêt, pour Keynes, un taux d'intérêt fort favorise l'épargne alors

qu'un taux d'intérêt faible favorise l'investissement.

2° Le rôle du multiplicateur Keynésien

Le multiplicateur keynésien est apparu pour la première fois dans un article écrit par Kahn (disciple

de Keynes) en 1931. Ce multiplicateur est égale à l'inverse de la propension marginale à épargner .

Le multiplicateur indique qu'une variation exogène de l'investissement donnera lieu à une variation

amplifiée du revenu, et ce d'autant plus que la propension marginale à consommer est élevée.

Le multiplicateur Keynésien dit aussi que l'épargne n'est pas un préalable nécessaire à

l'investissement. En effet, le financement de l'investissement selon cette théorie sera assuré de

manière automatique ex-post.

On peut également rajouter qu'il y a eu des reformulations keynésiennes à l'encontre de la théorie du

multiplicateur : on peut notamment citer les travaux du Duesenberry et sa théorie du revenu relatif.

Avec cette théorie, on suppose que le niveau de revenu atteint dans le passé a un effet de mémore

sur la consommation courante, ce qui expliquerait le comportement contracyclique de la propension

à consommer.

En outre, on peut rajouter qu'une baisse de ce revenu relatif entraine une baisse de la consommation. II - Le lien entre consommation et épargne chez les Néoclassiques

1° La loi de Say

En économie, la loi de Say (ou loi des débouchés) est un principe attribué à l'industriel et

économiste français Jean-Baptiste Say énonçant que la création d'un bien trouverait toujours un

débouché, dans la mesure où le bien est de qualité. Cette " loi » est souvent résumée par " l'offre

crée sa propre demande ». Selon cette loi, plus il y a de biens produits, plus ces biens peuvent ouvrir une demande pour

d'autres biens, puisque les biens nouvellement produits peuvent être offerts en échange d'autres

biens. Inversement, une nouvelle demande sans production préalable n'offre en réalité aucune

perspective d'échange, donc aucun débouché nouveau ; c'est une demande insolvable qui elle ne

peut pas stimuler la production. Dans ces conditions, la croissance passe par la stimulation de la production et non de la consommation.

2° La théorie du revenu permanent

Selon la théorie du revenu permanent, la consommation dépend essentiellement non pas du revenu courant, mais de la richesse (Friedman emploi d'ailleurs le terme de " revenu permanent » plut^t que celui de richesse). Le revenu permanent correspond à un flux périodique de recettes constantes qui donneraient la même valeur actualisée que les recettes actuelles et anticipées pour un horizon donné.

On peut également aborder le revenu effectif, qui correspond à la somme du revenu permanent et

du revenu transitoire (non anticipé). Friedman assimile en pratique la consommation effective à la

consommation permanente et considère que seul la consommation et le revenu permanent sont en relation stable.

Cette théorie du revenu permanent remet en cause la stabilité de la fonction de consommation, et

par suite la stabilité du multiplicateur Keynésien, vu que celui-ci dépend des valeurs transitoires.

Conclusion :

→ En conclusion, on peut dire que la conception néoclassique et la conception Keynésienne sont

très différentes l'une de l'autre en ce qui concerne le lien entre consommation et épargne, les

fondements de chacune d'entre elles étant basées sur des théories totalement opposées.quotesdbs_dbs16.pdfusesText_22
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