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Les propositions subordonnées

On ne peut pas les supprimer. 1. La subordonnée conjonctive introduite par « que » : a) Termes introducteurs : conjonction de subordination que ou à ce que 



Les propositions subordonnées

Le pronom « la » est le sujet du verbe « choisir ». 5) Les subordonnées participiales. La proposition participiale est une subordonnée qui n'est introduite par 



Fiche de synthèse : LA PHRASE ET LES PROPOSITIONS

La proposition subordonnée conjonctive est une proposition complétive. Introduite par la conjonction « que » elle vient compléter le verbe principal.



Fiche de révision brevet : Les propositions dans la phrase complexe

Exercice 2 : a) Identifie pour chacune des phrases



Séance 13 : Comment sidentifient et sutilisent les propositions

subordonnées conjonctives complétives? Objectifs. – identifier une proposition subordonnée conjonctive complétive. – identifier une proposition subordonnée 



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2 – les propositions subordonnées complétives qui se rapportent directement au verbe





4ème Français La proposition subordonnée relative

Il introduit la proposition subordonnée relative. Exercice 1 : Souligne en rouge les propositions subordonnées relatives et en noir les principales :.



Les propositions

10 Nov 2021 ? La subordination quand on relie une proposition principale et sa subordonnée. Exemples : Il parle il boit. (Juxtaposition des propositions ...



La correction de lénoncé est faite de la manière suivante :

Cette proposition subordonnée conjonctive joue dans la phrase le rôle d'un complément d'objet direct et on peut aussi l'appeler propositions subordonnée 

On distingue essentiellement

trois grandes familles de propositions subordonnées :

1 ²les propositions subordonnées

relativesou adjectives, qui se rapportent le plus souvent au nom, mais peuvent également se rapporter au verbe.

2 ²les propositions subordonnées

complétives, qui se rapportent directement au verbe, et qui peuvent prendre les fonctions de sujet ou de complément de verbe, COD, COI, COS.

3 -Les propositions subordonnées conjonctives

complément circonstanciel: de temps, de cause, de but, de conséquence, de condition, de concession, de comparaison. ŠElles sont introduites par un pronom relatif : qui, que, quoi, dont, où, lequel et ses composés. Š(OOHV RQP OH SOXV VRXYHQP SRXU IRQŃPLRQ G·rPUH complément du substantif qui précède

1 -Les gendarmes ont intercepté une voiturequi roulait trop vite.

La proposition est complément du nom voiture, et le pronom qui est sujet du verbe rouler.

2 -La montagneque nous apercevonsest le Mont-Blanc.

Queest COD du verbe apercevoir.

3 -La maisondont les volets sont vertsest à vendre.

Le pronom

dontest complément du nom volet.

4 -I·O{PHOoù nous avons passé nos vacancesest extraordinaire.

Le pronom

oùest complément de lieu du verbe passer.

5 -Il découvrit le fusilavec lequel la victime avait été assassinée.

Avec lequelest complément de moyen du verbe assassiner. ŠDes propositions relatives peuvent être construites sans antécédent; elles sont alors : ŠSujetG·XQH SURSRVLPLRQ SULQŃLSMOH qui veut voyager loinménage sa monture.

ŠCod: je ne sais pas qui a fait ça.

ŠCC de lieu : nous irons où tu voudras.

ŠCertaines relatives peuvent se construire avec un verbe j O·LQILQLPLI LO P·M GRQQp PRXPHV OHV MGUHVVHV GHV personnalités à qui envoyer une invitation. ŠAvec dont, le verbe peut être omis : il a quatre enfants, dont deux fils et deux filles. ŠEn général, une proposition relative indique une SUpŃLVLRQ TXL Q·HVP SMV MNVROXPHQP QpŃHVVMLUH MX sens de la phrase, et peut être supprimée : mon grand-SqUH LTXL V·HVP ŃMVVp OM ÓMPNH@ HVP actuellement hospitalisé. ŠCertaines relatives, appelées attributives, constituent le thème même de la phrase et sont indispensables à son sens : il a les cheveux qui frisentB -·ML NHMXŃRXS MSSUpŃLp OH JMUoRQ que tu

P·MV SUpVHQPp OLHU VRLU.

Elles sont introduites par une locution composée de ceHP G·XQ pronom relatif qui, que, dont" assimilées à certains types de complétives,

avec lesquelles elles seront étudiées). Attention, cette relative ne peut pas être supprimée.

Fonctions : sujet, COD ou COI

Ce qui se dit est faux.

(Sujet de " est »)

Fais ce que tu veux.

(COD de " fais »)

Ne vous fiez pas à

ŃH TX·RQ GLPB F2H

1. J'ai rencontré l'oncle de Pierrette avec qui je

partirai en vacances.

2. Il a donné la bicyclette de son grand-père qui ne

marchait plus.

3. Voici le chien de la voisine qui mange toute la

journée.

4. Les petits-enfants de l'ami de son père chez qui

nous habitons sont très gentils.

Elles sont souvent

introduites par que

Elles peuvent

prendre les différentes fonctions du substantif. Š4X·LO MLP pŃORXp j VRQ H[MPHQest une véritable catastrophe.

La proposition est sujetdu verbe être.

ŠJe ne crois pas TX·LO SXLVVH PHQLU VM SURPHVVH. La proposition est ŃRPSOpPHQP G·RNÓHPdu verbe croire.

ŠIl est certain que la guerre va avoir lieu.

La proposition est sujet réeldu verbe être.

ŠJe constate un fait, TXH PX P·MPpOLRUHV.

la proposition est apposéeau mot fait.

ŠLa vérité est TX·LO PHQP.

La proposition est attribut du sujetvérité.

Š(OOH ŃRQVHUYH O·HVSRLU TX·LO JXpULUM.

Complément du nomespoir.

ŠJe suis fier que tu aies réussi.

FRPSOpPHQP GH O·MGÓHŃPLIfier.

$PPHQPLRQ j O·MPNLJXwPp Il (neutre) est certain que tu triches / (sujet réel) LO PMVŃ HVP ŃHUPMLQ TXH PX PULŃOHVB Ń GH O·MGÓHŃPLI

ŠElles peuvent avoir

toutes les fonctions des complétives introduites par que.

ŠElles sont introduites par une locution conjonctive de type : à ce qui, de ce que, ce dont, IRUPpH G·XQ MGÓHŃPLI GpPRQVPUMPLI VXLYL G·XQ SURQRP UHOMPLI(présentées aussi

comme des relatives indéfinies, lH GpPRQVPUMPLI VHUP j VXSSOpHU j O·MNVHQŃH

G·MQPpŃpGHQP GHYMQP OH UHOMPLI).

1 -Ce que tu disest vrai.

La proposition est sujetdu verbe être.

2 -Je sais ŃH TX·LO P·M SURSRVp.

La proposition est CODdu verbe savoir.

3 --H Q·ML ULHQ ŃRPSULV j ŃH TX·LO M H[SOLTXp.

La proposition est COIdu verbe comprendre.

4 -IM YpULPp Q·HVP SMV ce que tu crois.

La proposition est attribut du sujetvérité.

I

Cause et conséquence

ŠUne causeest un phénomène qui provoque le phénomène dont on parle. ŠLa conséquenceest un phénomène provoqué par le fait principal. ŠCause et conséquence sont donc des phénomènes

SURYRTXpV O·XQ SMU O·MXPUHB

ŠIl pleut très fort. Je prends mon parapluie. ŠComme il pleut très fort (cause), je prends mon parapluie (principale). ŠIl pleut tellement (principale) que je prends mon parapluie (conséquence). ŠIl y a de plus en plus de voitures dans le monde. Le prix de

O·HVVHQŃH MXJPHQPHB

ŠIH SUL[ GH O·HVVHQŃH MXJPHQPH SMUŃH TX·LO \ M GH SOXV HQ SOXV GH voitures dans le monde(cause). ŠIl y a tellement plus de voitures dans le monde que le prix de

O·HVVHQŃH MXJPHQPH(conséquence).

ŠJean est parti. Marie se porte mieux.

1 -IHV GHX[ IMLPV Q·RQP MXŃXQ UMSSRUP HQPUH HX[B

Jean est parti, et Marie se porte mieux.

2 -Marie ne pouvait pas supporter Jean.

Marie se porte mieux parce que Jean est parti.

3 -Jean était venu soigner Marie et il part

PMLQPHQMQP TX·HOOH YM PLHX[B

Jean est parti parce que Marie se porte mieux.

Il pleure parce qu'il a été battu. (cause avérée, mode indicatif) Il pleure parce qu'il aurait été battu. (cause hypothétique, mode conditionnel)

Il pleure souvent, soit qu'il aitIMLP VRLP TX

RQ O·ait battu. (causes virtuelles, mode subjonctif) " Parce que » introduit une cause non donnée pour connue ; puisque, comme, du moment que, dès lors que, attendu que, vu que, introduisent une justification logique, censée être connue : comme il a été battu, il pleure. ŠSa bonté est telle qu'il pardonnetout. (conséquence avérée, mode indicatif)

ŠIl travaille si bienque je devraisl'augmenter. (conséquence envisagée comme hypothétique, mode conditionnel)

ŠIl ne travaille pas si bienque je doivel'augmenter. (conséquence totalement virtuelle, mode subjonctif)

ŠEst-il sibon qu·LO puissepardonner ça ?

ŠIl parle fort, de manière que tout le monde l'entend. ŠIl ne parle pas assezfort pour que tout le monde l'entende. ŠAttention : Il parle de manière que tout le monde l'entende. (Subordonnée de but)

Dans les phénomènes naturels, les relations de cause et de conséquence sont des relations mécaniques ; la cause précède toujours la conséquence ; la répétition de la même cause entraîne toujours la même conséquence.

O·RSSRVp OH ŃRPSRUPHPHQP OXPMLQ VH ŃMUMŃPpULVH SMU O·LQPHQPLRQQMOLPp TXL V·H[SULPH JUMPPMPLŃMOHPHQP SMU OM relation de but.

Dans cette relation, les notions de cause et de conséquence sont totalement perturbées : le but est une conséquence que O·LQGLYLGX UHŃOHUŃOH HP TXL HVP OM ŃMXVH GH VRQ MŃPLRQB G·XQH certaine manière donc,

le but est une conséquence virtuelle, qui sert de moteur au mouvement, et donc le précède.

Le caractère

virtuelGX SOpQRPqQH OHV SRVVLNLOLPpV G·HUUHXUV GH IMXPHV HP GH QRQ UpMOLVMPLRQ ÓXVPLILHQP O·HPSORL SULYLOpJLp GX

subjonctifdans cette relation. ŠIl parle de manière à ce qu'on l'entende. ŠParle fort, qu'on t'entende. (Français familier) ŠElle rentre son linge de peur qu'il ne pleuve.

ŠElle rentre son linge pour qu'il ne soitpas

mouillé.

ŠConcomitance :

ŠJe l'ai connu quand il avaitsept ans. (indicatif)

ŠQuand on sonnera, vous irezouvrir.

ŠPostériorité:

ŠAprès que vous serez partis, les arbres fleuriront.

ŠAntériorité :

ŠVous partirez avant que les arbres ne soienten fleurs. ( subjonctif) ŠI·MŃPLRQ GH OM SOUMVH RZ HVP HQŃOkVVpH OM subordonnée a lieu en même temps que

O·MŃPLRQ GH OM VXNRUGRQQpHB

ŠSubordonnants : alors que, au moment où,

comme, depuis que, lorsque, pendant que, quand, tandis que

ŠMode : indicatif ou conditionnel

Š[Pendant que je travaillais], il écoutait de la musique. ŠI·MŃPLRQ GH OM SOUMVH RZ HVP HQŃOkVVpH OM

VXNRUGRQQpH M OLHX MYMQP O·MŃPLRQ GH OM

subordonnée. ŠSubordonnants : avant que (+ ne explétif), en MPPHQGMQP TXH ÓXVTX·j ŃH TXH ÓXVTX·MX PRPHQP où

ŠModes : subjonctif, indicatif

ŠRangeons la maison [avant que les invités

Q·MUULYHQP@B

ŠHO M MPPHQGX LÓXVTX·MX PRPHQP RZ OH PUMLQ HVP arrivé]. ŠI·MŃPLRQ GH OM SOUMVH RZ HVP HQŃOkVVpH OM

VXNRUGRQQpH M OLHX MSUqV O·MŃPLRQ GH OM

subordonnée. ŠSubordonnants : après que, aussitôt que, dès que, depuis que, quand, lorsque

ŠMode : indicatif ou conditionnel

ŠL$SUqV TX·LO HXP PRXP PMQJp@ LO GRUPLP

profondément.

Š‡ IHV VXNRUGRQQpHV H[SULPMQP O

opposition simple confrontent deux faits réels, etsont introduites paralors que,tandis que, quand,lorsque+indicatif.Alors qu'il aime la musique, Jean ne peut jamais en écouter.

ŠAttentionà ne pas confondre ces subordonnées avec celles de temps introduites par les mêmes conjonctions.

Š‡ IHV VXNRUGRQQpHV H[SULPMQP OMconcessionconfrontent deux IMLPV GRQP OH SULQŃLSMO M OLHX HP OH VHŃRQGMLUH V·RSSRVH HQ YMLQ j lui; elle sont en général ausubjonctif.Elles sont introduites par:bien que,quoique; Exemple:Bien qu'il soit débutant, il joue très bien du violon.

Šqui que,quoi que,quel que; Exemple:Quoi qu'il en dise, il a l'oreille d'un musicien. ŠVL" TXH,TXHOTXH" TXH. Exemple:Simodestequ'il soit, il réussira. ŠLes relatives indéfinies : qui que tu sois, quoique tu fasses, où que tu ailles, quelle que soitla fortune... Š7RXP GRXp TX·LO est, il court à l'échec. ŠTout doué qu'il soit, il court à l'échec.

ŠQuoi qu'il te connaisse, il ne vient pas.

ŠQue tu soisriche ou que tu soispauvre, tu as droit au bonheur. ŠIl ne bougera pas, quand même vous le battriez. ŠMême si j'étaisriche, je ne serais pas heureux.

Un groupe nominal : il ne trouve pas de travail

malgré ses diplômes.

8Q JURXSH YHUNMO j O·LQILQLPLI : tu ferais mieux

de te mettre au travail au lieu de pleurnicher. un verbe au participe présent ou au gérondif : il

PUMYMLOOH PRXP HQ V·MPXVMQPB

Deux propositions indépendantes coordonnées

par mais: il voudrait maigrir, mais il ne pratique aucun sport.

Procédés

Groupe nominal prépositionnel

Groupe verbal à l'infinitif

Gérondif

Proposition subordonnée

relative avec ou sans antécédent

Proposition subordonnée

conjonctive

Exemples

Sans l'ingéniosité des uns, sans le courage

des autres, nous renoncerions.

À en croire les témoins, il y est allé.

En descendant à l'aveuglette, les

sauveteurs prendraient des risques.

Qui verrait cette foule, serait fier.

On l'en tirera pourvu qu'une nouvelle

bourrasque n'éclate pas cette nuit.

Si tu viens, il seracontent.

Si tu venais, il seraitcontent.

Si tu étais venu, il aurait été

content.

Si demain tu ne l'as pas

rencontré, je lui écrirai. Si un jour tu me quittes, et qu'on doivepartager les meubles,... Je te le prête, à condition que tu le rendesvite. Je te le prête, à condition que tu le rendrasvite.

4X·LO pleuveou qu'il fassebeau, nous sortons.

Au cas où tu voudraisl'acheter, il vaut 20 F.

ŠGMQV ŃHV SURSRVLPLRQV O·HOOLSVH GX YHUNH HVP particulièrement fréquente.

ŠPaul est moins riche que Jean (ne l'est).

ŠPaul aime mieux son père que sa mère.

ŠIl écrit aussi mal qu'il parle.

ŠIl m'a reçu comme un prince. (Phrase ambiguë). ŠToutes les propositions comparatives sont à l'indicatif.

ŠJean invite Paul à jouer.

ŠJean accuse Paul de tricher.

ŠJean regarde Paul jouer.

ŠCinq verbes exprimant une action des sens

acceptent cette construction : regarder, voir,

écouter, entendre, sentir.

ŠLe sujet de l'infinitif peut être placé après :

ŠJean regarde jouer Paul.

ŠJ'ai entendu appeler Paul. (Phrase ambiguë)

ŠElle peut exprimer : le temps, la cause, la

concession, la condition.

ŠLa nuit tombant, on alluma la lampe.

ŠLa ville prise, on signa la paix.

ŠLa police intervenant OH GpVRUGUH Q·HQ ŃRQPLQXM pas moins.

ŠLe tyran tué, tout devrait aller mieux.

ŠPaul préférant le théâtre et moi le cinéma, les disputes sont continuelles. (proposition elliptique) ŠPassé le pont, tu tourneras à gauche. (Inversion du sujet)quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
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