Bilan Economique 2016 Martinique
3 juin 2017 Insee Conjoncture Martinique n° 3 – juin 2017. Avant - propos. Le Bilan économique 2016 de la Martinique est la troisième édition d'une ...
LÉCONOMIE DE LA MARTINIQUE EN 2020 : « JE PLIE ET NE
2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020. Indicateur du climat des affaires à la. Martinique (100 = moyenne de longue période).
ECONOMIE BLEUE EN MARTINIQUE RAPPORT FINAL
Ce rapport présente les résultats finaux de l'étude à partir des éléments ayant pu être recueillis jusqu'en Janvier 2016. Page 14. 14. 2. ACTIVITES ECONOMIQUES
Un marché de lemploi plus dynamique dans lEspace Sud Martinique
5 sept. 2019 En 2016 la Martinique compte 131 200 emplois
La filière nautique en Martinique un acteur économique
La filière nautique un acteur économique incontournable - 2016. 4. Préambule. La Martinique Yachting Association et la Fédération des Industries Nautiques
ECONOMIE BLEUE EN MARTINIQUE
martiniquais un atout complémentaire du développement économique régional. Lire le rapport final de l'étude : ACTeon Créocéan
MAR TINIQUE 2016 MAR TINIQUE 2016 MAR TINIQUE 2016
Le bilan économique 2016 de la Martinique laisse apparaitre pour la deuxième année consécutive des signes encourageants. L'indice de climat des affaires et
Recul de lactivité entraîné par la forte baisse de linvestissement
« Bilan économique 2016 en Martinique » Insee Conjoncture Martinique n° 3
Les comptes économiques de la Martinique en 2017 La baisse des
28 oct. 2018 En 2017 le PIB croît de 0
LÉCONOMIE DE LA MARTINIQUE EN 2019 : LE CALME AVANT LA
De 2016 à 2018 la modération des prix des services en Martinique a contribué à la moitié du différentiel d'inflation avec la France entière. En 2019
Note expresse - IEDOM
En 2016 hors produits pétroliers les importations de biens augmentent de 27 et atteignent 2 144 millions d’euros sous l’effet de la hausse des importations des matériels de transport (+51 ) et des autres
MARTINIQUE A LAND OF ECONOMIC INITIATIVES
Mobilize companies around eco-innovative projects (neighbourhoodeconomy renewable energies ) and allow them a better command of energy efficiency (advantages warehousing etc ) Information and support of companies engaged in the Qualitylabel on energy consumption waste management
Quelle est l’économie de la Martinique ?
Pendant très longtemps, l’économie de la Martinique reposait presque exclusivement sur la culture et la transformation de la canne à sucre. Aujourd’hui, il ne reste qu’une seule sucrerie, celle du Galion qui est située sur la commune de la Trinité. De plus en plus de vacanciers sont curieux de connaître l’économie des endroits qu’ils visitent.
Quels sont les atouts de l’économie martiniquaise ?
la topographie et la forte densité de la population qui limitent l’extension de l’agriculture locale. En outre, l’économie martiniquaise peut être fragilisée en raison de la taille réduite de ses unités économiques : plus de 96% de ses établissements ont moins de 10 salariés et moins de 1% ont 50 salariés ou plus. 4. Des atouts à valoriser
Quels sont les secteurs de l'économie de la Martinique ?
Accueil > Économie de la Martinique. Le secteur tertiaire est prédominant (75 % des emplois), avec notamment un poids important du commerce, du secteur non-marchand, ainsi que du tourisme. L'agriculture, avec la banane, la canne à sucre, le rhum, le melon et l'ananas, fournit les principales exportations de la Martinique.
Qu'est-ce que l'Agence pour le développement économique de la Martinique ?
L’Agence pour le Développement Économique de la Martinique (ADEM) a été créée en octobre 1979, pour faire suite aux conclusions des Assises pour le développement économique des Antilles-Guyane, qui se sont tenues en décembre 1978, sous l’égide des acteurs du développement économique de la Martinique.
![Recul de lactivité entraîné par la forte baisse de linvestissement Recul de lactivité entraîné par la forte baisse de linvestissement](https://pdfprof.com/Listes/18/1445-18CEROM972-2016.pdf.pdf.jpg)
N° 22
Octobre 2017
E n 2016, le PIB en volume décroît de 1,1 %, après + 0,5 % en 2015. Cette diminution tient en partieà une baisse de l'investissement (-
4,6 % en volume), et plus spéciflquement de l'investissement public, mais aussi à une chute de 15 % en volume de la production de produits pétroliers rafflnés par la SARA.En revanche, la consommation des ménages reste stable. En dépit d'une population qui diminue à un
rythme régulier depuis 2007, elle évolue à un rythme semblable à l'année passée 0,1 % en 2016, après + 0,2 % en 2015. De même, les dépenses publiques sont quasi-stables à + 0,3 % en volume, après avoir diminué de 0,6 % en 2015. La balance commerciale contribue pour -0,4 point à la crois
sance (après -0,6 point en 2015), avec +
2,5 % en volume pour les exportations et + 2,0 % pour les im portations. Alors que sur la France entière, la croissance se maintient à + 1,2 % (après + 1,1 % en 2015), la Guadeloupe suit une dynamique comparable à la Martinique, avec une évolution du PIB à - 0,3Clémentine Garandeau, Insee
Les comptes économiques de Martinique en 2016
Recul de l'activité, entraîné par la forte baisse de l'investissementEn 2016, le produit intérieur brut (PIB)
de la Martinique baisse en volume, à1,1 %, soit une évolution un peu en
deçà de celle de la population (-0,9 %).
Celle-ci est estimée au 1
er janvier 2016 à 376850 habitants.
Le PIB par habitant diminue de 0,2
en euros constants et s'établit à 23 155euros en 2016. Sur la France entière, le
PIB par habitant s'élève à 33
400 eu-
ros, en Guadeloupe à 21005 euros et en
Guyane à 15
813 euros.
La consommation des ménages
est stableDans un contexte de décroissance dé
mographique la consommation des ménages parvient à se stabiliser. Elle augmente de 0,1 % en volume, après0,2 % en 2015, alors que la population
diminue de 0,9 %, comme en 2015. L'investissement chute et entraîne un recul de l'activité1 Les principaux agrégats et leur évolution (en millions d'euros courants et enSource
: Insee, CEROM, Comptes rapides.Millions d'euros
courantsÉvolution en %2016VolumePrixValeurContribution
Produit intérieur brut8 806-1,10,9-0,2-1,1
Consommation des ménages5 6050,1-0,3-0,20,1
Consommation des administrations
publiques3 7200,30,30,70,1Investissement1 406-4,60,1-4,5-0,8
Imports de biens et services2 9782,0-3,9-2,0-0,7
Exports de biens et services1 0762,5-4,8-2,40,3
Variation de stocks-23-0,2//////-0,2
La consommation des ménages se main
tient grâce à une baisse de l'indice des prix à la consommation (-0,2 %) com-
binée à une baisse du nombre de de mandeurs d'emploi. Fin 2016, 50 700personnes sont inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi, soit une baisse de 4 % sur un an.Parallèlement, les crédits à la consom-mation affichent une hausse conséquente (+ 6,6 %), confirmant le rebond constaté
en 2015 (+9,7 %) après plusieurs an-
Insee Analyses Martinique n° 22 - octobre 2017
nées de stagnation, voire de repli. L'amé lioration de la santé financière des ménages en est la principale raison.Dans le même temps, le marché des vé
hicules particuliers neufs reste très dyna mique avec +9,8 % d'immatriculations sur
un an, après +14,2 % en 2015, hausses qui
rattrapent plusieurs années difficiles pour le secteur.De leur coté, les importations de denrées
alimentaires, boissons et produits à base de tabac sont en recul de 1 %, après + 1 % en 2015.Dans le même ordre de grandeur, le chiffre
d'affaires des hypermarchés diminue légè rement de 0,8 % après une baisse de 0,3 % en 2015.In fine
, la contribution de la consommation des ménages à la croissance s'établit ainsi0,1 point.
Recul de l'investissement public local
L'investissement est en retrait de 4,6
% en volume en 2016 (après +0,6 % en 2015) et
contribue pour -0,8 point à la croissance,
entraîné par l'investissement public qui ré gresse de 24,5 (figure 3)Après deux années de fortes contributions
à la croissance, l'investissement public des
collectivités locales, qui pèse pour 80 de l'investissement public total, recule de 30% et repasse ainsi au-dessous du niveau de 2011. En revanche, l'État, dont les dé penses représentent 10 % de l'investisse- ment public, augmente ses dépenses d'in vestissement de 11,4 Les dépenses d'investissement dédiées aux hôpitaux (soit 10 % de l'investissement public total) augmentent de 13 % et sont proches du niveau de 2011, après avoir connu un pic en 2012 et 2014 en lien avec d'importants travaux de reconstruction et mises aux normes parasismiques.
Corrélé avec l'ouverture de nouvelles
écluses dans le canal du Panama, le Grand
Port de Fort-de-France s'agrandit, financé
par des fonds européens à hauteur de 16,8 millions d'euros. L'extension du terminal à conteneurs de la Pointe des Grives a été inaugurée le 28 juin. Le programme de modernisation permet de recevoir plus de 50000 conteneurs supplémentaires, de très
grande capacité.Dans le secteur privé, l'investissement se
maintient. Les crédits d'investissement des entreprises sont en hausse sensible à 8,8 %, après + 13,1 % en 2015. Du côté des ménages, l'encours des cré dits à l'habitat continue de progresser mais ralentit à +2,3 %, après + 5,6 % en
2015. Ceci ne devrait pas permettre de re
dresser significativement le secteur de la construction qui affiche une légère diminu -tion du nombre de créations d'entreprises (- 0,5 %).Les mises en chantier concernent 2
500logements, soit une diminution de 4 % par rapport à 2015. La part de logements in dividuels augmente de 23 % par rapport à l'année passée pour atteindre 47 %, et celle de logements collectifs s'élève à 53 % des mises en chantier.
Le nombre de logements autorisés à la
construction chute de 27 % en 2016, après6,5 % en 2015, laissant présager de nou-
velles difficultés et une activité encore en recul pour le secteur en 2017.Inflation quasi nulle
L'indice des prix à la consommation est en
très légère diminution de 0,2 % en 2016 (contre +0,1 % en 2015 et + 0,7 % en
2014). Une baisse identique est constatée
en Guadeloupe (-0,2 %) et en Guyane
0,1 %) ; en revanche l'indice augmente
encore légèrement sur la France entière, de 0,2 % (figure 4) .Les produits pétroliers sont les plus gros contributeurs à cette baisse : leurs prix chutent de 7,9 % pour une contribution de0,5 point à l'inflation.
Le prix des services de transport, corrélés
aux prix des carburants, affichent égale ment une diminution de 7,2 %, pour une contribution de -0,1 point à l'inflation.
Viennent ensuite les produits manufacturés
dont les prix régressent de 1,0 %, pour une contribution de -0,3 point à l'inflation. En
particulier, le prix des produits en habille ment et chaussures fléchit de 3,2 % et celui des produits de santé de 3,3Inversement, les prix de l'alimentation pro
gressent de 1,3 % pour une contributionquotesdbs_dbs30.pdfusesText_36[PDF] rapport iedom martinique 2016
[PDF] les territoires ultramarins français 3ème
[PDF] quelles sont vos motivations pour le poste
[PDF] questions d'entrevue et réponses
[PDF] exercices de théâtre pour personnes handicapées
[PDF] théatre et handicap
[PDF] atelier théâtre handicapés mentaux
[PDF] projet théâtre avec des personnes handicapées
[PDF] lantrios
[PDF] theatre et handicap mental
[PDF] métier dans le domaine de la psychologie
[PDF] exprimer un vecteur en fonction de deux autres
[PDF] corpus l'avare en attendant godot rhinocéros
[PDF] corrigé bac français 2004 série s