Renault après Besse PDF 21 Kas 1986 grande

aussi qui n'ont pas connu les tueurs de leurs parents. La plus grande douleur d'un rescapé

Paris : le tueur de «Superman» accusé davoir tenté dégorger une

18 ?ub 2022 https://www.leparisien.fr/faits-divers/paris-le-tueur-de-superman-accuse-davoir- ... vous manqué avec le père qu'il n'a jamais connu semble.

Lencyclopédie des tueurs en série

Tueur en série est aussi connu sous le nom Serial murderer écrit en 1961 dans le dictionnaire « Third New importante tuerie de masse jamais réalisée.

Les statistiques de la délinquance

nomène ne peut être que partiellement connu et mesuré : bien des infractions demeurent inconnues de la police et même les victimes ne les signalent pas

Renault après Besse

21 Kas 1986 grande « saignée » qu'ait jamais connue la ... LES TUEUR SONT PARMI NOUS ... célèbre entreprise de Billancourt.

(programme ciné b .pub)

19 A?u 2022 de danse dirigé par sa fille qu'il n'a jamais connue

RAPPORT

VIDAL LE TUEUR DE FEMMES lui ai jamais vu prendre des attaques de nerfs ni des vertiges. ... mère

Les enquêtes de lInspecteur Lafouine

Le tueur a utilisé un véhicule pour transporter le corps. ne le quitte jamais. ... Le hameau de la Tuffière n'a jamais connu une telle activité.

OEDIPE ROI TRAGÉDIE.

célèbre parmi tous les hommes. Allons ! Ceci m'était bien connu et je l'ai oublié

Quelques notes en debat a propos de >

25 Oca 2022 Car celui qui n'a jamais connu autre chose qu'un état de vic- ... Le monde se révélait alors être un monde de tueurs.

Parking à l'usine de Douai

Signe que la convalescence n'est pas achevée.Les premières difficultés commercialesavaient fait apparaître des trous phénoménaux

en 1984 et 1985: en deux ans, Renault vaperdre plus de 20 milliards de francs. Quand

Besse arrive à la Régie, celle-ci est en totaledéconfiture. Le moral est à zéro. Le nouveau

PDG va commencer son travail de fourmi.D'abord, il restaure l'autorité du patron,qui, auparavant, naviguait entre les désirs dessyndicats et les directives des pouvoirs publics.Un franc est un franc » : Besse va aussi résor-ber un maximum de pertes (gestion des stocks,frais généraux, abandon de la formule 1...).Redimensionner les investissements : " Il nefaut pas investir en Patagonie du Sud »... Sur-tout, sans faire de vagues, il modifie peu à peu

l'équipe de direction et, sans drame, supprimeen deux ans près de 21 000 emplois, la plus

grande " saignée » qu'ait jamais connue laRégie. Lent travail de soutier. Georges Besse,quand il disparaît tragiquement, était loin del'avoir achevé.

Il s'apprêtait à supprimer 5 000 emploisl'année prochaine : une overdose pour dessyndicats, hier tout-puissants, aujourd'huiépuisés mais tendus. Et puis il y a toujours les60 milliards de dette (la moitié du chiffre d'af-

faires), que l'on ne résorbera pas en cédant desterrains de Billancourt... Et le sort incertaindes activités auto aux Etats-Unis, au Mexique,celui des filiales poids lourds, machinismeagricole... Besse n'avait pas préparé un succes-seur. Tout juste pressentait-il Louis Schweit-zer, l'ancien directeur de cabinet de LaurentFabius, pour en faire son numéro deux. Iln'aura pas eu le temps de le consacrer.Dans l'immédiat, Aimé Jardon, 60 ans,toute sa carrière chez Renault et actuel direc-teur général adjoint, assurera donc l'intérim deBesse. Les prétendants à la succession du PDGdisparu ne manqueront sûrement pas. Rudetâche. Mais, comme disait Besse lui-même, " sion ne veut pas assumer un héritage, on ne vientpas. »PATRICK BONAllA •

LES TUEUR

SONT PARMI NOUS

La succession ne sera pas facile

Renault après BesseLe PDG avaitimaginé une stratégielongue dont les premiersrésultatsrestentfragiles

La Supercinq a dépassé la 205. LaR 21 est partie sur les chapeaux deroue. Renault, cette année, a doubléPeugeot sur le marché français. Lacélèbre entreprise de Billancourtqui, durant les années 1984 et 1985,avait fait un tête-à-queue, est en train de revenir

dans la course. Mais elle dèmeure lourdementlestée. Rien que cette année, elle va encoreperdre de 5 à 6 milliards de francs.Renault, disait Georges Besse, " c'estcomme les grandes familles. Il y a un ancêtrequi gagne de l'argent et il y a des héritiers qui ledépensent. Moi, je n'aime pas dépenser. » Le

PDG assassiné avait commencé à rétablir lescomptes. Son successeur devra poursuivre

l'assainissement. Mais aussi préserver un cli-mat. Car, après des mois et des mois de dé-prime, les " Renaült » commençaient à se re-faire un tout petit moral.Ce regain d'optimisme dans une firmetraumatisée était manifeste lors du dernierSalon de l'Automobile à Paris, au début dumois d'octobre. N'y a-t-on pas vu un GeorgesBesse fringant multiplier les déclarations ?C'est la première fois depuis son arrivée enjanvier 1985 à Billancourt que le PDG de laRégie, jusqu'alors totalement silencieux, ac-

corde des interviews, passe à la télé, tient salondans une péniche ancrée au quai du Point-du-Jour. Il fait monter Jacques Calvet, PDG dePeugeot-Citroën, son grand concurrent, dans

le Nevada, le nouveau break 21. " Il l'a trouvétrès bien. Il m'a même dit qu'il y avait beau-coup de place. » Besse, même quand il expose

des grands dossiers, aime à plaisanter. Un peuprovocateur. Cet automne-là, lui qui " déteste

la foule », s'est mis en quatre pour présenter lagamme Renault. Avec la Su.percinq, la R21 etla R25, succès confirmés en France, la Régieprésente les R9 et RU redessinées, ce quipermettra de prolonger leur durée de vie. " Un

nouveau look, ajoutait, malicieux, Besse, jecrois que c'est commé ça qu'on dit mainte-

nant. »La gamme toute fraîche de Renault lui apermis de reprendre des parts de marché. Pourles dix premiers Mois de l'année les ventes ont

augmenté de 12,5 Vo. La part de marché deRenault en France est aujourd'hui voisinede 31 % alors qu'elle était à peine de 28,7 %

l'an dernier. Un progrès qui, toutefois, n'est pas confirmé en Europe, où Renault stagne.

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Pardon du tueur et processus de guerison du survivant. Temoignage