[PDF] Figaro et ses semblables : essai sur quelques valets célèbres de la





Previous PDF Next PDF



Le personnage du valet dans le théâtre de Molière et de Marivaux

Ce type de valet apparaît avec les personnages de Mascarille dans L'Etourdi (1658) de Sganarelle dans Le Médecin Volant (1663) et de Scapin dans Les Fourberies 





Bibliothèque - Base Lagrange - La Pièce en images

20-Sept-2017 Et s'il crée un type calqué sur ceux de la commedia – Sganarelle de sganare ... opposition des deux zanni (valets) – Scapin le rusé



MOLIERE: A THEATRE OF MOVEMENT By MARJORIE ELIZABETH

Les Fourberies de Scapin Le naturalisme et 1'academisme tuent Moliere de la ... was originally tricked by the valet Sganarelle in the costume.



Theme and Variations

Sganarelle (1660) which follows Les Pricieuses ridicules combines valets rolled into one. ... de Scapin and he gave free rein to his inventiveness.



MOLIERE: A THEATRE OF MOVEMENT By MARJORIE ELIZABETH

Les Fourberies de Scapin Le naturalisme et 1'academisme tuent Moliere de la ... was originally tricked by the valet Sganarelle in the costume.





Le role de Sganarelle dans le theatre de Moliere

Moli&re then abandoned the masked valet and turned to the demasked Sganarelle whom he introduced in le Medecin volant. Always played by their creator





La pièce en images

L' omniprésence des maîtres et des valets au théâtre reflète leur place dans la société. pièces telles que Sganarelle ou le Cocu imaginaire1 et Les.

Alicja Rychlewska-Delimat

Figaro et ses semblables

Essai sur quelques valets célèbres

de la littérature française du XVIIe et du XVIII siècleWydawnictwo Naukowe Akademii Pedagogicznej - Kraków

Figaro et ses semblables

Akademia Pedagogiczna

im. Komisji Edukacji Narodowej w KrakowiePrace Monograficzne nr 403

Alicja Rychlewska-Delimat

Figaro et ses semblables

Essai sur quelques valets célèbres

de la littérature française du XVII et du XVIII siècleWydawnictwo Naukowe Akademii Pedagogicznej ~ Kraków 2005

Recenzenciprof, dr hab. Magdalena Wandzioch

dr hab. Jerzy Brzozowski, prof. A. Pol.» ,gELacz2w DL "hcsqi 'Ls2hyvlxiépyhcbiw & Wydawnictwo Naukowe AP, Kraków 2005aymixwga IghiWwi àaKyzgaKyx projekt okładki Marek SajdukNoeoef óS.CéâóSç

ISBN 83-7271-313-8'ymixsqiôpKciè uagbgsqc

Wydawnictwo Naukowe AP

31-116 Kraków, ul. Studencka 5

tel ./fax (012) 430-09-83 e-mail: vLmivWcswvg8iE0xaixgv0Eh

9iEailKibL Wi lwagWF cWwyaWywgv:7 http://www.wydawnictwoap.pl

majx c gEaivi

5LmivWcswvg fijxgvy "u~ Kib0 âôóç

Introduction

Les maîtres et les serviteurs - ces deux " conditions » sociales, qu'une distance énorme sépare, ont toujours coexisté, collaboré, ont toujours vécu dans une relation étroite et une dépendance réciproque. Pas de maître sans serviteur, pas de serviteur sans maître - cette évidence, quoique banale, doit être soulignée avec insistance, car elle traduit une des plus anciennes lois sociales. Les maîtres, toujours en compagnie de leurs valets, formaient sou vent des couples inséparables, comme celui par exemple de Don Quichotte et Sancho Pança. L'union de deux personnages - partenaires ou rivaux - intime

ment liés l'un à l'autre, est un des thèmes fondamentaux de la littérature.Dans la littérature, comme dans la vie réelle, le rapport maître - valet

avait un caractère spécifique et un lien fort, psychologique tout autant que matériel, unissait les serviteurs à leurs maîtres. Les grands seigneurs et les hommes du peuple vivaient en une sorte de symbiose. Demeurant dans l'in timité la plus étroite avec les classes supérieures, la domesticité, en tant que représentant du tiers état, jouissait d'un statut particulier et elle a pris, par

conséquent, une place privilégiée dans les oeuvres littéraires.C'est grâce à la comédie que la catégorie sociale des domestiques est

entrée dans la littérature. Il est en effet difficile de citer l'exemple d'une pièce de comédie où l'on ne pourrait trouver un valet de chambre, un laquais, un page, une suivante ou une soubrette. Personnages proprement théâtraux, ils font partie de l'univers scénique qui impose ses règles et ses contraintes. Ils doivent s'inscrire dans cet univers et obéir aux lois internes qui le régissent.

Parmi ces lois la relation entre le maître et le valet figure en premier lieu.Depuis l'Antiquité la comédie a donné bien des exemples d'une telle

relation, faisant accompagner les jeunes héros de leurs valets de chambre,

amis et confidents, et les héroïnes de leurs soubrettes fidèles et dévouées.

Mais cette relation n'est pas toujours aussi simple, aussi " correcte » que dans l'ancienne comédie. A côté des serviteurs-complices, on rencontre des servi teurs-rivaux, et plus on sort de la convention stéréotypée de la comédie du

XVIIe siècle, plus ce rapport devient nouveau et original.A travers une riche production dramatique et maintes conceptions dif

férentes de la comédie le valet garde une certaine permanence. Il possède des5 traits caractéristiques qui, malgré des modifications quelquefois considéra bles, demeurent essentiellement les mêmes, qui définissent le personnage en tant que type littéraire. Les siècles s'écoulaient et la race des valets, en dépit

des changements survenus dans les moeurs, n'a pas beaucoup évolué.C'est seulement avec la Révolution de 1789 que le type du valet com

mence à s'éclipser. Les transformations politiques et sociales ont laissé leur trace sur le terrain de la littérature. Sans abandonner le personnage, le théâtre s'est écarté de l'image traditionnelle du valet. L'année 1789 constitue donc une sorte de " date-seuil » dans l'exploitation du type littéraire du valet et des rapports maître - serviteur. Et c'est exactement sur la période qui a précédé la Révolution Française que vont se concentrer nos recherches et nos analyses

concernant le personnage du valet.L'intention de la présente étude serait de présenter les silhouettes de

quelques valets célèbres du théâtre français et de voir comment ils se retrou vent dans ce cadre traditionnel de l'univers comique. Les ouvrages analysés se renferment dans le cadre de la comédie du XVIIe et du XVIIIe siècle. Nous avons élargi toutefois le champ de nos investigations, proposant l'exemple

d'un roman du XVIIIe siècle.La question qui va occuper spécialement notre attention est la relation entre

le maître et le valet. Ce problème qui, plus généralement, concerne les rapports entre un être supérieur et un être inférieur, entre un dominant et un dominé, peut se poser sur différents plans : sociologique, psychologique et même phi losophique. Reconnaissant l'importance de ces approches possibles du sujet et sans négliger les conditions socio-culturelles et l'aspect psychologique du pro

blème, nous allons l'aborder principalement du point de vue de la dramaturgie.Notre étude n'a ni caractère ni ambitions monographiques. L'analyse des

oeuvres choisies doit pourtant se situer dans un contexte historique et litté raire précis. Ainsi accorderons-nous une place importante à l'évolution du genre comique en France, de même qu'à l'histoire du motif du valet et à ses différentes réceptions dans la littérature et la culture. En suivant l'histoire de ce motif nous n'avons pu présenter que les figures les plus notoires des valets. Et comme l'approche historique doit nous permettre de déceler les origines, les sources du personnage du valet, nous insistons sur la période antérieure à celle qui nous intéresse. Aussi donnons-nous seulement quelques exemples

des oeuvres postérieures où ce motif continue à vivre.Présumant le caractère didactique de la présente étude, nous avons cru

utile d'aborder quelques questions théoriques concernant la méthode employée, le genre dramatique et le personnage. Le choix de la méthode a été déterminé par la problématique de notre étude. Les relations entre les personnages lit téraires et leur fonctionnement dans l'univers représenté (ou autrement : la6 diégèse)1 nous orientent vers le structuralisme. Certes, la méthode structurale peut paraître désuète de nos jours, après l'époque déconstructionniste, dans le sens large - poststructuraliste, mais elle s'est avérée remarquablement efficace dans les analyses des comédies choisies. Chaque oeuvre littéraire propose une structure bien déterminée de l'univers et des personnages représentés. Cha que personnage joue un rôle précis dans l'intrigue, peut entrer dans différen tes relations avec d'autres personnages. Et c'est justement la méthode structu rale qui permet de saisir le mieux les relations interpersonnelles et de définir le fonctionnement des personnages dans l'univers représenté. Nous allons consacrer un chapitre à la présentations de quelques aspects des méthodes structurales chez les théoriciens tels que V. Propp, A.J. Greimas, E. Souriau, C. Bremond. De ces méthodes nous allons retenir spécialement la catégorie de la fonction dramatique du personnage qui va nous servir à dégager les

fonctions sociales et psychologiques du valet.Le critère du choix des auteurs et des ouvrages analysés était en premier

lieu leur notoriété, leur " qualité ». Nous voulions présenter les oeuvres maî

tresses des génies de la littérature française.L'abondante oeuvre de Molière suffirait à elle seule pour former le cor

pus d'une étude analytique. Si nous n'en retenons que deux pièces, Les Four beries de Scapin et Dom Juan, c'est surtout pour ne pas reprendre l'entreprise de Jean Emelina qui, dans son ouvrage consacré aux serviteurs de comédie2, a laissé une large part à l'analyse du théâtre de Molière. Nous avons choisi Scapin, fourbe par excellence, parce qu'il semble être le valet peut-être le plus représentatif du théâtre de Molière. Sganarelle par contre nous intéresse jus tement dans la mesure où il se détache de l'image traditionnelle du valet. Avec Dom Juan, Molière sort de la convention comique pour montrer une

relation toute spécifique entre le maître et le valet.1 La diégèse est une catégorie utilisée dans la recherche narratologique, issue de la réthori-

que grecque (diegesis). Le plus souvent c'est un récit de vie d'un personnage; cf.: M. Głowiński,

A. Okopień-Slawińska, I. Sławińska, T. Kostkiewiczowa, Słownik terminów literackich, red.

J. Stawiński, wyd. II, Zakład Narodowy im. Ossolińskich, Wroclaw-Warszawa 1988, p. 92.

Gérard Genette explore cette catégorie pour des études précises de la narration et de la position

du narrateur face à la diégèse. C'est justement cette position du narrateur qui est un critère

majeur de la typologie de la narration (le narrateur extradiégétique, intradiégétique); cf.:

G. Genette, Figures III. Discours du récit, Seuil, Paris 1972. Etant donné que ce sont principalement

les textes dramatiques, où le narrateur est absent, qui font l'objet de nos recherches, nous utili

serons plutôt des catégories plus générales, comme ,,1'umvers représenté", "le monde présenté

possible" ou "le monde souhaité"; cf. par exemple: Th. Pavel, Univers de la fiction, Seuil, Paris

1988; A. Lebkowska, Między teoriami a fikcją literacką, Universitas, Kraków 2001, pp. 253-312;

A. Compagnon,Le Démon de la théorie. Littérature et sens commun, Ed. du Seuil, Paris 1998, pp. 110-126.S I0 AbyhcWi~ Les valets et les servantes dans le théâtre comique en France de 1610 à 1700, C.E.L.

- P.U.G., Grenoble 1975.7 Vu le caractère exceptionnel de cette relation chez Molière, il peut paraî tre étonnant que les comédies des auteurs du siècle suivant, tels Marivaux et Beaumarchais, restent bien dans la convention classique. Le Jeu de l'amour et du hasard et Les Fausses confidences de Marivaux, ainsi que Barbier de Séville de Beaumarchais, offrent des modèles d'une distribution typique des rôles dramatiques. Mais dans son Mariage de Figaro, Beaumarchais présente déjà

l'exemple d'une inversion de rôles : Figaro trouble le schéma " classique ».Nous réservons une place spéciale à Jacques le Fataliste et son maître de

Diderot, le chef-d'oeuvre de la littérature française. La richesse et l'originalité de Jacques permettent une multiplicité de lectures et d'interprétations possi bles. Avec ce roman, on abandonne le monde conventionnel de la comédie et l'image stéréotypée du serviteur. Le thème du valet y est approfondi et acquiert une dimension philosophique : le problème de la relation entre le maître et son

subalterne se joint aux problèmes existentiels de la liberté et du déterminisme.Il peut paraître étonnant que l'oeuvre d'une telle portée se soit trouvée

au même rang que les simples et légères comédies. Les méthodes d'analyse peuvent-elles être les mêmes ? La forme dramatisée du roman justifierait peut-être leur emploi ? Certes, les textes ne sont pas comparables, et cela ni au niveau de la forme, ni au niveau du contenu. Même si la dramatisation semble légitimer la présence d'un roman à côté des oeuvres dramatiques, nous renonçons à l'examen " structural » de Jacques, qui s'avérerait non seulement

artificiel et forcé, mais avant tout inefficace.La matière que nous nous sommes proposé d'étudier est inépuisable. Aussi

ne voulons-nous que rendre compte des métamorphoses qu'a subies le person nage traditionnel et conventionnel du valet au cours du siècle des Lumières, siè

cle dont la pensée avait de grandes conséquences pour l'évolution des sociétés.* * ★

Au terme de ce travail j'ai le plaisir d'exprimer mes remerciements à tous

ceux qui m'ont aidé à mener à bien mon entreprise.L'expression de ma profonde gratitude va en premier lieu à Madame le

Professeur Regina Lubas-Bartoszyńska qui a dirigé mes recherches avec la

plus grande compétence et avec beaucoup de bienveillance.Ma reconnaissance s'adresse aussi à Monsieur le Professeur Kazimierz

Bartoszyński dont les remarques et les conseils m'ont été particulièrement précieux.Je tiens à remercier également Madame le Professeur Magdalena Wan- dzioch, Monsieur le Professeur Jan Prokop et Monsieur le Professeur Jerzy Brzozowski pour leur inspiration et d'intéressantes suggestions, ainsi que pour leurs opinions.

CHAPITRE I

L'histoire du motif du valet dans la littérature Les figures du valet, serviteur, esclave traversent les littératures de tou tes les cultures et civilisations. Leur tradition remonte à la plus haute Anti quité et ne s'arrête pas avec l'abolition de l'esclavage, ni avec la Révolution Française luttant pour l'égalité et la liberté individuelle. Le motif continue de vivre dans la littérature contemporaine, est présenté sur les scènes de théâtre,

dans les salles de cinéma.La présence constante de cette catégorie sociale des domestiques dans

les oeuvres d'art ne doit pas pourtant étonner. Grâce à leur intimité avec les classes supérieurs les serviteurs jouissent, en tant que représentants du tiers état, d'un statut particulier et occupent par conséquent une place privilégiée sur le plan littéraire. En fait, ils n'existent qu'en relation avec ce monde supé rieur, avec leurs maîtres. " Satellites éternels d'autres personnages » - écrit à ce propos Jean Emelina dans sa monographie consacrée aux valets de comé die - " ils n'agissent, n'existent et ne s'expliquent que dans ce rapport fonda mental, cette dichotomie dramatique [...] Maître et valet, maîtresse et servante constituent [...] des couples qui s'éclairent mutuellement et se complètent,

dès qu'on les examine non pas l'un après l'autre mais l'un avec l'autre. »3Le domaine du valet en tant que personnage littéraire, c'est essentielle

ment la comédie, mais si l'on veut chercher ses origines il faut certainement remonter à l'Antiquité grecque et romaine, et à la tradition populaire. On peut voir des analogies entre ce personnage et celui du bouffon, du fou, qui est une des plus anciennes figures de la littérature, figure omniprésente dans toute la culture européenne.Le bouffon et le carnaval Le fou entre dans la littérature grâce aux dionysies grecques et aux satur nales romaines. Ces fêtes populaires en l'honneur de Bacchus ou de Saturne

ont donné naissance à la tragédie et la comédie grecque et à la satire romaine.3 J. Emelina, Les valets et les servantes..., op. cit., p. 288.9

Mais avant qu'il ne soit apparu dans la littérature, le fou existe dans la réalité de toutes les sociétés jusqu'au XVIIe siècle où ses fonctions passeront petit

à petit aux troupes de comédiens.4Les bouffons, à la fois comiques et démoniaques, plaisants et monstrueux,

sont ceux qui provoquent le rire non seulement par leur aspect physique mais principalement par leur façon de penser différente du commun. Ils vont à l'encontre de l'ordre admis, du bon sens et ce n'est pas sans raison qu on les appelle souvent fous ou sots. Ils jouissent d'un statut particulier dans la société, qui leur donne le droit et le privilège de railler impunément la réalité qui les entoure. Tout en appartenant à un milieu, un système donné, ils en sont, en quelque sorte, exclus, ils vivent à côté de la vie. Leur existence extra vertie trouve son essor dans un comportement que rien ne peut freiner. Et le comportement de ces personnages prend une signification figurée qui trouble l'ordre conventionnel. Ce sont des acteurs qui n'existent plus en dehors du rôle qu'ils jouent.5Mais leur fonction majeure, leur privilège incontestable est celui de dire la vérité. Mis en position d'observateurs, ils sont libres de démasquer le mal, les

vices, de critiquer la réalité. Ils sont " autres », " différents » et en général " infé

rieurs ». Le prix qu'ils payent pour cette liberté d'exprimer publiquement leurs

opinions est l'isolement au sein de la société, la solitude et le mépris général.Mirosław Słowiński, dans sa monographie consacrée au personnage du

fou et à son histoire dans la tradition populaire et dans la littérature, souligne

les rapports étroits qui lient ce personnage avec les fêtes foraines et le carnaval.Le carnaval prend sa source dans les saturnales romaines au cours des

quelles les esclaves prenaient la place de leurs maîtres et les maîtres devaient servir leurs esclaves. Le renversement des hiérarchies, 1 abandon des lois et des règles de la vie quotidienne, le couronnement du roi-bouffon - c'est ce qui caractérise l'univers carnavalesque de toute l'Europe latine. Ce monde " à l'envers » donne une illusion d'égalité. Mais le principe essentiel du car naval était le rire. Le rire, la raillerie qui n'épargnaient rien et personne, la transgression des interdits et des tabous avaient une fonction, en quelque sorte, cathartique. Le rire du fou, accompagné d'une ironie amère, traduisait souvent une vérité dure et brutale. Le fou se moquait du monde et le monde se moquait de lui ; sa présence était une sorte de défoulement de toutes les angoisses, de l'agressivité de l'homme, l'expression de ses déviations cachées.

Le rire est souvent la meilleure défense contre l'angoisse. Il faut noter un4 Cf.: M. Słowiński, Błazen. Dzieje postaci i motywu, Wydawnictwo Poznańskie, Poznań

1990, passim.ç ,t7 P0 îis2wcW~ Problemy literatury i estetyki, Czytelnik, Warszawa 1982, pp. 366-375.10

fort et profond lien entre le rire et la mort. Le rire " rituel » accompagnait lesquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46
[PDF] Les valeur de la république

[PDF] Les valeurs de l'imparfait

[PDF] les valeurs de l'imparfait et du passé simple

[PDF] les valeurs de l'imparfait

[PDF] les valeurs de l'imparfait cours

[PDF] les valeurs de l'imparfait et du passé simple 3ème

[PDF] les valeurs de l'imparfait et du passé simple 4ème

[PDF] les valeurs de l'imparfait et du passé simple 5ème

[PDF] les valeurs de l'imparfait et du passé simple exercices

[PDF] les valeurs de limparfait exercices pdf

[PDF] les valeurs de l'information

[PDF] les valeurs de la lettre c exercices

[PDF] les valeurs de la république ? l'école

[PDF] les valeurs de la république ce2

[PDF] les valeurs de la république cm2