[PDF] La vie de Jean-Arthur Rimbaud / Paterne Berrichon





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ECHANGE EPISTOLAIRE entre Arthur RIMBAUD sa mère et son

La deuxième lettre est fictive ; Georges IZAMBARD le professeur



553-rimbaud-lettres-du-voyant-.pdf

Les lettres du «voyant». (1885). Textes de RIMBAUD. Lettre à Georges lzambard. «Charleville (13) mai 1871. Cher Monsieur ! Vous revoilà professeur.



La faim des haricots : la lettre de Rimbaud du 14 octobre 1875

de Charleville. Rimbaud Jean-Nicolas-Arthur



Mise en œuvre des nouveaux programmes en lettres. Séquence

25 mai 2021 Arthur Rimbaud dans sa lettre adressée au professeur Izambard. Q4 : Dans Les poètes de sept ans on perçoit toute la révolte de l'enfant ...



étude sur les différences entre la poésie dArthur Rimbaud et la

26 mars 2015 lettres qui animait son professeur. « Rimbaud prit l'habitude de déposer de temps à autre sur le bureau de son professeur des vers français ...



Composition des groupes chargés délaborer les projets de

Stéphanie COLLIN professeur d'arts appliqués



CV Cavallaro 2022

Directeur de la Série « Arthur Rimbaud » de La Revue des Lettres modernes Professeur de Lettres au Lycée Polyvalent Romain Rolland de.



Poésies

par Françoise AUGER-CODACCIONI agrégée de Lettres modernes



Arthur Rimbaud aux confins de lOgadine

dire à 15-16 ans) grâce aux encouragements de son jeune professeur de lettres. George Izambard



La vie de Jean-Arthur Rimbaud / Paterne Berrichon

professeurs de Lettres bien à l'encon- tre de ceux de Sciences

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de FranceLa vie de Jean-Arthur

Rimbaud / Paterne Berrichon

Berrichon, Paterne (1855-1922). Auteur du texte. La vie de Jean-

Arthur Rimbaud / Paterne Berrichon. 1897.

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PATERNEBERRICHON,/i5s:?~

LaVie

Jean-ArthurRimbaud

.SOCIÉTÉDVMÉRCVÎiEDEFRANCE,-

LAVIEDE

Jean-ArthurRimbaud

7'DUMÊMEAUTEUR

Jeaji.ArthurRimbaud

SOCIÉTÉDVMERCYREDEFRANCE

XV,RVEDEL'iCHAVDÉ-SAINT-GERMAtK,XV

Mdcccxcvn

PATERNEBERRICHON

LaVie de PARIS

Tousdroits'réservésréservés

Ii.AÉTÉTIRÉDECETOUVRAGEi

deià12.1

JUSTIFICATIONDUTIRAGE

AVANT-PROPOS

queparcequesavie,encesens,futadmirable. environnantdujouroùsahautaineintelli- neusesetdespluscomplexesâmesàquila desRomancessansParolesdemême- modiste.

Donc,c'estde1871que,vraiment,Paul

saviedurant,unesympathie.Mariédepuis quesouslesobriquetromantiquedeGavroche.

Unmatin,Verlainereçoitunvolumineux

chezlui,Verlaine,dontlamaisonnepeutne pasêtrecelled'ArthurRimbaudMadameVer- lainecommuniaitalorsavecsonmarid'admi- rationsaussi,est-ceavecunejoyeuseimpa- tiencequ'onattendl'ami.Enfin,unjour,il dumiracle,ill'installaitàsonfoyer.

Lasoifd'indépendancedeVerlaine,dor-

dèscetteliaison,qu'àsesatisfaire.

Or,lacraintedepoursuitesrelativementà

insoucieuxdesconventionshumaines,coura- norésderoulerencequel'onnommelaHonte etlesautresInstitutions

Vermesch,misenquarantaineparlacolonie

voirdeceux-ci.L'auteurdesIncendiairesfut plement.

Ahlefoyerettouteslespetiteshistoires

textesnouveauxducatholicismeetdeslé- quesonsuperbecompagnon,trimardeur-né, casterribledepénurie.

Certesqu'onyréfléchisse-cegestedur

attendait.

QuandlerimeurnomadeduBateauIvre

desconseilsdontonletannaitdepuisla réunion.Sonamiapparaissant,celuifutla lesbrasdeRimbaud,enungestedetriomphe paysnatal.Ilserangeait,encequiconcernait

Verlaine,del'avisdesfemmes.Bref,même

feu,VerlaineenpleursauxpiedsdeRimbaud deplusétrangementtragique? normenaturellemalgré,queVerlaine,lui- entendre.

Oui,lalaideur,pourlevulgaire,dufaune

etplusexcessivementqueVilliersdel'Isle- autre.Simplement,ilyavaitceciqueVerlaine

Sagesseenentier,laplupartdespoèmes

Bouchor.Nouseûmeslabonnefortunedele

deselefairerestituerparCharlesdeSivry, même.

LesagenouillementsdeSagesserevêtaient

tismevengeur."Tantquejefusobscur,noble viendrontm'offrirleurshommages;et,ce delavuedel'enfantnédesesoeuvres. seconcentraientsurArthurRimbaud,dontle unbeaujour,lehasardluiapprendsonami familiauxetd'intérêtcivil.

Poursurprendreagréablementsonancien

treuxdescostumes,unevestiturequiluidon- naitl'aspectd'unbrigand. qu'ilaitainsiosé,nonobstantledramede mettanteenAllemagne.Auxinstancesbizarres là,chezledocteur,maistoutenruminant unevengeancequi,quelquesheuresplustard, devaitseconsommerenlaForêtNoire.

LeBateauIvres'étaitplusconvenablement

EnvainPauvreLélian,pardonneurinfini,

dèsreprissessens,implora-t-ilsonami tenterfortunedansl'Industrie.

D'assezétrangesaventures,parlasuite-

comparableaffectionmaternellemirentla

Mourantdudeuildesonardentvagabondage

lapoésie,ilenécrivit.

EtcefurentlesPoètesmaudits,lesMé-

moiresd'unVeuf,Amour,etc. etnonsansl'hypocrisiemagistralequ'il fallaitbienqu'ileût

PREMIÈRESPARTIE

L'existenceactivedeJean-Nicolas-Arthur

lessensàlafois,lorsque-ironiedelafa- seille,lamortvintl'interdire. desoi,desesforces,desespossibilités.

Verlainedontonnesauraitévoquerlaphy-

moururentdessuitesd'unmaldelocalisation identique.

Verlaine,parcethexamètredesPoèmes

Saturniens

Rimbaud,parleBateauIvreoù,entretous

versprophétiques,ceux-ci

Fileuréterneldesimmobilitésbleues,

Jeregrettel'Europeauxanciensparapets.

enthousiasmeraisonnéd'admiration,nous avonsessayédeprofilersurlefondsombre teurdesRomancessansParolesparceluides

Illuminations.Ilestlogique,tantlesdeux

documententàsouhaitetenforceunrespect psychologique,demalheur,s'yglissaient n'avoircure.

Lepublicsachant-lire,sionnel'avaitac-

coutumédebonimentsoudefaussescomplai- laforce»etquimourut"danssonvoeubien strictejusticequ'encestermeshautsluiren- sourdsdutondemonsieurCharlesMaurras envainqu'auhasardnombreuxdesesrela- desnomsdephares,disaient"LeDante!

Shakespeare!Racine!Goethe»pouvoir

deParallèlement. lasurhumanitédurimeurdeVoyelles

Jediraiquelquejourvosnaissanceslatentes.

A,noircorsetveludesmoucheséclatantes

Quibombillentautourdespuanteurscruelles,

U,cycles,vibrementsdivinsdesmersvirides,

SilencestraversésdesMondesetdesAnges

-Ol'Oméga,rayonvioletdeSesYeu,r oeuvrededieu. plume,pasplusmystiquequemystérieux, cliner,desedémettre.

Etqu'onn'aillepasnonplus,surnotre

ingénuité II

LaviedeRimbaud.

d%el'héroïsme.

DanslesArdeiines,où-le20octobre1854,

taire.

Sonpère,lecapitaineRimbauddu47ede

sancedecesecondfils,parcaused'humeur desortequel'éducationdelafamille(deux fillesdontunemourutenbasâge)demeurait perpétuationd'iceux.

En1860,monsieurCuifétantmortetma-

5bis(le7actuel)duquaidelaMadeleine.

delatransparencedelavieprovinciale,rien envuedel'admissiondansquelquePolytech- niqueouNormale.

SessoeursdontmademoiselleVitalie,très

mourra-sechargeaientdesecondermadame

Rimbaudpoussantsonfilsdanslavoieuniver-

proposderien,parlamèrequiavaitsubor- strictdeceteffrayantetennuyeuxexercice.

Dansundesescahiersd'écolierdatantde

pashuitans,lorsqu'ilécrivaitcela raitpresquepluslaterre;commeunflambeau abreuvédel'eauduruisseau. demamère. déplût. (1)Coloneldescent-gardes.(NotedeA.R.) calmequemonpèrel'amusaitcommeunejeune unemaison,cultiverunjardin,fairedescom- cela. pouvaisluilirequelquechose mais,dieumerci,jeneseraipasjournaliste. "Pourquoiapprendreetdel'histoireetdela quentausupplice? parpersonne;personneaumondeAh!saperli- potedesaperlipopettesapristimoijeserai surlesbancs,saperlipopettouille "Pourêtredôcrotteurgagnerlaplacede décrotteur,ilfautpasserunexamencarles vousappelleanimal,cequin'estpasvrai,bout d'homme,etc. "Ahsaperpouillotte! "(Lasuiteprochainement.) "ÀUTHXJK.»

Encesannéesdelafindusecondempire,

danscetemps-là,semontraitleplusredou- III "Riendebanalnegermeencettetête, banalensvnthèserare. riche.

Deceque,unjour,auçoursdemathémati-

dénoncercommel'auteurd'unegaminefarce tableaunoirparmilacraiealbedeschiffres,- quelqu'unosaconclurequ'ArthurRimbaud soumission?a sien. contrebandiers.

Danslemêmetemps,enclassedeSciences,

poursescamaradesdesverslatinssurunsujet decompositiondevantêtreparlui-même traité. tredeceuxdeSciences,l'aimaient;quoiqu'il seurétaitsourd. dontunimbécileencombrant,denomtrop sonpiédestal. naient.

CHAULESd'orliîansALOUISXI(1)

planted'amour,ouunefoismeditesoui,madame catricedelarédactionetl'épigraphe "LESCornues. .M/OMg'f!M"[&Oh!Sire,nepouvoirmettreplumailauventpar cetempsdejoieLacordeestbientristeenmai, rayonnesurlesmurslespluslèpreux!

Pendusseront,pourunefrancherepue!Villon

estauxmainsdelaCourdeParlementlecorbel etquipleurent,quinousfontrireetpleurer. dieux,etlemondebénitlespoètes. delagourmepersonnelledevers;gourmesu- blime,aditVerlaine,etquifutabondante aussitôt c'estleForgeron,leChâtimentdeTartufe, leMal,quiprouvelalecturedeProudhon encorequeparfois,quesouventdecurieuses sonnesensationvenantcorroborerenlargeur maréeremontantealorsdeseauxbuandesdu jacobinismequecanalisaientparlaFrancele

RappeldesHugo,laLanternedeRochefort,

puislaMarseillaisedumêmeetdeFlourens etdeMillière.

Noussommeseni869-1870.

IV mentsd'orgueilmaterneletd'honneurbour- baud.

Levantait-on?Ilensouffrait.

C'estainsique,unbeaujour,ilti^aara

fallaitdesmoyensdeconnaîtreParis.

MadameRimbaud,devantl'effrontéeetbru-

taledéclarationdesonfils,demeuranon l'estd'untumultecapiteuxderapineetde pourdeveniruningénieur.

MaisArthur,danssarésolution,nedemeu-

raitpasmoinsinflexiblequesamère.

Le3septembre1870ausoir,ayant,tandis

avoirrimélesonnetMortsdeQuatre-vingt-

Durantletrajetduchemindefer,voici

notrefuyardsecachantsouslesbanquettes duwagon,afind'échapperauxdemandesin- discrètesdescontrôleurs.

Letrainentredanslacapitale.

PasplutôtsurlequaidelagareduNord,

Rimbaud,pournepouvoirexhiberdebillet,est

misparlesemployésentrelesmainsducom- sesfonctionsetquil'arrête. suspectd'espionnage;ilnevoulait,enoutre, ceméchantgamin,d'accentondiraittudes- que,révélersonétatcivil. plusconsistantes.

Or,quelmépris;quellehainedeceschoses

durentdéjàl'émouvoir?

Auboutdedouzejoursd'emprisonnement,

deferettoutenrassurant'lamagistrature tiondesonamiIzambard,lequelassumait ronmaternel,supeutendreetmalpardon- nant. v

L'accueildemadameRimbaudfutjuste

s'enfuyaitdenouveau;cettefois,sansunsou, rageuxdevivredesaplume. filsdudirecteurduJournaldeCharleroi, sonamiBilluart,ducollègeaussietqui,en secoucheensonlieuetplacedanslelitde soupédel'odeurs'exhalant,parlessoupi- courageusespensées,d'ailleurs.

C'estlamisère,etquellemisère!

quelenutritifesclavagenatal

Etdesjours,desjours,ilchemineàtravers

laBelgiqueetdansl'estenvahidelaFrance politains. laMaline,Roman,AuCabaretVert,le

Buffet,l'EclatanteVictoiredeSarrebruch,

leDonneurduVal,MaBohême

AMonpaletotaussidevenaitidéal;

Etjelesécoutais,assisauborddesroutes,

Commedeslyres,jetiraislesélastiques

LaveinepoétiquedeRimbauds'humanise,

dirait-on.Elleinaugure,entoutcas,ceton VI santpartropetlamamanayantfaittrêveun peuderigueurs,ilsupportadedemeurerdans cesstudieusesoccupations.

DecemomentaussidatentMesPetites

Amoureuses,lesEffarés,lesPoètesde

Septans,lesPauvresàl'Eglise,lesPre-

mièresCommunions,Accroupissements,le

Cesontcesvers,d'unenouveautéviolente

etd'uneprofondeurbizarre,quidevaient,un desFêtesGalantes.

Ellecoïncidebienaveccettepériodede

parHomèreparRacine,parHugo,aussibien fisanceiln'enparlaitpasdechic.

Aceteffet,ildécidequ'ils'enrichirale

vin,parlespoisons,parl'aventure.

Maisunnormaliennepouvaitcomprendre,

ni,àplusforteraison,admettre. définitive. VII

DanslesArdennes,l'adresseluiétaitpar-

parmilemondedel'ArtetdelaRévolu- tion. sasurprisefutgranded'apercevoirunjeune savisiteetsonespoir.

Leproduitdelaventedelamontreavaità

peinesuffipourpayerlevoyageencheminde

écouléetouteenprison.

Quefaire,pouryvivreetoùaller?

Ildut,parcettefind'hiverethuitjours

nifeu,nilieu;apaisantmalsesfaimsde

Lacampagne,aumoins,offredescharités

etlamaraudeenquelquevergerouquelque champ1 pasvu(1). (1)UneSaisonenEnfer. etleplusmorteldesdéserts.

Uneamertumesévèred'hommeplisse,en

sonvisageenfantin,labouchedepassion;et, crableetoccupéeparl'Allemand. bouillement. deBavaroissaoulsetpoussantd'affreuxcris,quotesdbs_dbs47.pdfusesText_47
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