[PDF] Petit vocabulaire de limaginaire





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Petit vocabulaire de limaginaire

Sur l'imaginaire il n'y a guère que trois certitudes. D'une part qu'il est fait Ensuite qu'il existe pour l'imagination humaine (même s'il n'est.



DU CÔTÉ DE LIMAGINAIRE

Lexique : merveilleux imagination



Ressources de Français pour la voie professionnelle : Du côté de l

L'imaginaire est au cœur de toute activité créatrice. Séance à dominante étude de la langue : lexique des émotions ; type de phrases comparaison



Séquence 3 Du côté de limaginaire : Une vision du réel que

Une vision du réel que transfigure l'imaginaire. Séance 1. Autour des mots. Fiche Elève. Objectif le lexique de l'imaginaire et de l'imagination.



Les structures anthropologiques de limaginaire

mières avancées inédites dans une philosophie de l'imaginaire ; il s'agissait se donner une hypothèse conceptuelle un lexique opératoire des structures ...



LANGUES VIVANTES Déclinaisons culturelles

Remmi Demmi Nena : chanson qui permet d'utiliser le lexique de la maison. Comptines



Site collaboratif Lettres – bac pro – Ressource de formation

le lexique pour distinguer les termes « imaginaire » et « imagination ». Cela conduit alors à s'interroger sur le dépassement de la fonction référentielle 



Français

Créer fabriquer : l'invention et l'imaginaire . conduisent les élèves à parler et à écrire



Du côté de limaginaire Lecture intégrale dune œuvre – Contes

imaginaire/imagination » puis sur une étude de ce lexique. Les élèves recherchent des synonymes/ antonymes de ces termes à partir du site CNRTL 



Les images psychiques selon S. Augustin

Published in De la phantasia ?a l'imagination pp. 103-136 lexique philosophique de l'imaginaire en latin semble lié à celui de la pensée chrétienne.

Petit vocabulaire de limaginaire

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à Léon-Louis GRATELOUP Retrouver ce titre sur Numilog.com

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Petit Vocabulaire de l"imaginaire Retrouver ce titre sur Numilog.com tout cela : activation spinoziste du vivable, associativité kantienne du sensé, virtuose néantisation sartrienne... mais l"énigme subsiste. Cette " activation du vivable » est-elle par exemple issue de la vie même ? La capacité de synthèse illustrée du perçu et du conçu renvoie-t-elle ou non à une instance originelle de présentation - qui précéderait et fonderait les représentations, sensible comme intellectuelle ? Le néant se réduit-il sérieusement à ce que Sartre en dit : une occasion pour la liberté de réduire à rien ce qui la conditionne ?

Difficulté de

son statut, de sa dignité objective de faculté. Faut-il faire remon- ter

ses irréalité et irrationalité à sa source enfantine ? L"imaginaire tient-il donc à la

réalité inévitablement chaotique et inassurée de l"état natif de la perception, du pre- mier rapport à la réalité (ce qui expliquerait que les machines, n"ayant pas eu d"en- fance, ne peuvent fantasmer ni rêver, n"ayant pas eu à apprendre à devenir elles-mêmes ?). Mais comment expliquer dès lors la prodigieuse imagination scien- tifique - plus adulte que tout réalisme adulte -, les extraordinaires hypothèses et eurékas qui ont su précisément renvoyer à l"enfance de l"esprit les théories les plus apparemment matures ? L"imaginaire ne peut plus alors être une simple préhistoire confuse du symbolique, une simple démission de la charge de vérité dans un appé- tit ventriloque et régressif d"un sens à gogo. Même si, comme le dit si nettement

André

Comte-Sponville, la lucidité consiste à faire son deuil du sens (et son ordi- naire de la vérité), l"autosuffisance indifférente et silencieuse que notre désillusion prête au monde n"est-elle pas elle-même imaginaire ?

Difficulté

enfin de son unité. Car il y a bien des imaginaires politique (l"auto- rité doit avoir visage et voix subrepticement fictifs si l"on veut pouvoir régler une coexistence humaine), esthétique (la beauté est cette irréductible fiction sans laquelle aucune configuration perceptible ne pourrait renouveler notre sens de la réalité), spirituel (le sacré doit être figuré si la distance de l"homme au réel veut pouvoir s"éclairer par la saisie de son principe) et même philosophique (si la philosophie est un savoir du tout indiquant ce que vaut la vie d"un moi en lui, ses concepts cen- traux - totalité, valeur, sujet... - semblent difficilement autre chose que des fic- tions intellectuelles) ; mais y a-t-il l"imaginaire tout court ? Car il semble inséparable des mondes qu"il déploie, forge ou nuance. Mais c"est le lot peut-être de ces sortes d"universels vivants, qui (comme l"a établi Francis Wolff), tels le langage, l"histoire ou

la conscience, à la fois s"étendent à tout (par exemple, pour le langage, tout est Retrouver ce titre sur Numilog.com

mots, y compris " tout ») et sont présupposés par leur saisie (pour saisir le langage, il faut déjà le langage). L"imaginaire est bien ainsi, puisque tout peut s"y représen- ter et que d"autre part seules des images d"abord y mènent. C"est d"ailleurs cet impé- rialisme autistique de l"imaginaire qui fait engendrer ses monstres au sommeil de la raison. Mais l"insomnie de cette dernière est peut-être plus à craindre encore, sur- tout quand la performance virtuelle semble définitivement mettre à sa botte cal- culante, modelante et communicante, un bon vieil imaginaire qui, franchement, n"en demandait pas tant. Mon ami Pierre Laplace m"avait demandé il y a bien longtemps de tenter de faire le point sur l"imaginaire ». Le hasard d"un programme scolaire m"y incite, et la lecture de la très remarquable " Philosophie des images », de Jean-Jacques

Wunenburger, a

fait le reste. Si la fidélité à une vague promesse n"excuse pas la pré- somption du projet, l"espèce de hantise sincère qu"il y a dans toute méditation de ce thème la tempère, je crois, un peu. Retrouver ce titre sur Numilog.com

L"ÂME

On peut certes douter de la cohérence de l"idée occidentale d"âme héritée de

Platon,

puisqu"il la caractérise comme vie de la vie et comme mort de la chair, comme mouvement capable de se mouvoir lui-même » (animation autonome, totalisa- tion déterminante) et " pouvoir du corps de mourir à lui-même » (ce qui fait dépendre l"immortalité de notre force de nous refuser comme corps). Or cela revient à faire de l"âme à la fois une affirmation de la vie et une négation du corps. Cette synthèse - une sorte de vitalité sans forme, ou d"organisation seulement pensée s"opposant à l"organisation donnée - est en effet fragile et peu crédible. On peut aussi douter de la pertinence de la question de l"existence ou de la réalitéquotesdbs_dbs2.pdfusesText_2
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