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27 nov. 2012 réunion de négociations entre syndicats et ... d'année des Anciens se déroulera le mardi 4 décembre à 12 heures



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LíAsie du Sud-Est redoute le retour des nuages polluants

International................ 2

France............................ 8

Société........................... 10

Carnet............................ 11

Horizons ....................... 12

Entreprises................... 14Abonnements .............. 15

Aujourd"hui.................. 16

Météorologie-Jeux...... 18

Culture .......................... 19

Guide culturel.............. 21

Radio-Télévision......... 22

BANGKOK

de notre correspondant en Asie du Sud-Est

Ils sont revenus. En début de semaine, Kuala-

Lumpur et même le sud de la Thaïlande ont été recouverts pendant quelques jours de nuages polluants produits par des feux dans l"ouest de la grande île voisine de Bornéo. Un développe- ment identique mais plus suffocant a eu lieu dans le centre de Sumatra. Pour le moment, les nuages se forment de nuit et s"éclaircissent après l"aurore sous l"effet de brises matinales ou de pluies. Mais pour combien de temps ?

A l"aube de la saison sèche, quand les vents

du sud repoussent la mousson humide vers l"Asie du Sud-Est continentale, les populations de Sumatra, de Bornéo et de la péninsule malai- sienne redoutent un retour de la pollution chi- mique qui, voilà quatre ans, avait atteint les dimensions d"une catastrophe régionale dont le coût est aujourd"hui évalué, selon les sources, entre 70 et 140 milliards de francs en frais de santé et pertes économiques.

Les incendies qui avaient dévasté le sud de

l"île de Bornéo et l"île de Sumatra fin 1997 -

début 1998 avaient détruit au total plus de 3 mil-lions et demi d"hectares de forêts. La plupart

des feux, dont la propagation avait été favori- sée par une exceptionnelle sécheresse due à El Niño, avaient été intentionnellement allumés par les grandes sociétés concessionnaires qui utilisent ce moyen pour dégager à peu de frais les zones boisées avant de les transformer en plantations. Un énorme nuage de fumée avait pendant des semaines recouvert l"Indonésie et les pays voisins, la Malaisie et Singapour, provo- quant un effet de serre, bloquant la ventilation habituelle des pollutions urbaines et industriel- les et rendant l"atmosphère irrespirable. Les satellites ont déjà repéré cent cinquante foyers à Sumatra et près de quatre-vingts à Kali- mantan, partie indonésienne de Bornéo. La plu- part sont le produit de brûlis par des fermiers, mais des planteurs ont également recours à des mises à feu pour nettoyer leurs terres. Cette pra- tique, la moins coûteuse, est interdite, mais seu- le une société de plantations a été traduite en justice en Indonésie. Par temps trop sec, le ris- que est de déclencher des incendies incontrôla- bles qui gagnent les forêts du voisinage, ce qui fut le cas en 1997.La région la plus menacée est le centre de Sumatra, car les pluies y ont pris fin et l"on pré- pare les cultures.

L"Association des nations de l"Asie du Sud-Est

a, depuis la crise de 1997," entrepris des efforts pour développer des plans d"action spécifiques contre les feux, mais ces derniers n"ont pas prouvé leur efficacité à ce jour », a estimé Simon Tay, un député singapourien, dans une déclaration publiée le 11 juillet parThe Strait Times. Toute- fois, la lutte dépend d"abord des autorités indo- nésiennes et, sur ce plan-là, les espoirs sont limités. Le ministre indonésien des forêts a admis le

9 juillet que son ministère ne s"était pas encore

organisé pour faire face au fléau et qu"il n"avait toujours pas reçu les crédits - une centaine de millions de francs - alloués à la lutte contre les feux. En pleine crise, le gouvernement indoné- sien a d"autres priorités. Un espoir subsiste cependant : la prochaine vague de dure séche- resse, liée au phénomène El Niño, n"est atten- due qu"en 2002-2003.Jean-Claude Pomonti

SANTÉ

Insaisissablelégionelle

FESTIVALS DE L"ÉTÉ

Musiques

à Saintes

a " OPÉRATIONcouper les ailes de l"oiseau. » Il s"agit du code utilisé par un avocat améri- cain, William Lee, pour illustrer la campagne de déstabilisation me- née, depuis 1993, contre le Groupe

Lagardère. Cet avocat fut recruté

par Alain Gomez, patron du groupe

Thomson de 1982 à 1996. Et la jus-

tice suspecte ce dernier, mis en exa- men le 12 juin pour complicité de tentative d"extorsion de fonds, d"avoir voulu, par l"intermédiaire de

M. Lee, affaiblir son concurrent fran-

çais dans le domaine de la défense.

Ce que les deux hommes réfutent.

Fausses factures, faux documents,

tous les ingrédients d"une opération tordue ont cependant été décou- verts par les enquêteurs.

Lire page 14

C"ÉTAIT

sans doute l"interven- tion télévisée la plus délicate que le président de la République a eu

à prononcer depuis son élection

en 1995. Jacques Chirac, comme chaque 14-Juillet, s"est exprimé, en direct, dans un entretien télévisé, sur les grands sujets susceptibles d"intéresser les Français, notam- ment l"insécurité. Mais cette fois, il devait s"expliquer sur la dernière en date des enquêtes judiciaires qui concernent son passé de maire de Paris : l"affaire des voyages payés en espèces qu"il a effectués, avec sa famille et certains de ses proches, entre 1992 et 1995, pour un montant total estimé par les enquêteurs à 2 429 304 francs, chif- fre légèrement révisé à la baisse (2 329 144 francs) par une experti- se commandée par les juges.

Les principales lignes de défense

du chef de l"Etat, qui a refusé par avance de répondre à une éven- tuelle convocation des juges,

étaient déjà connues. Jacques Chi-

rac a laissé entendre que l"argent liquide utilisé provient des fondsspéciaux qui lui avaient été versés lorsqu"il était premier ministre, fonction qu"il a quittée en 1988.

Cette affirmation a été confirmée,

devant les juges, par son conseiller

Maurice Ulrich. L"entourage du

président avait également contes- té la liste des voyages concernés et leur montant. Jacques Chirac avait exprimé sa colère face aux initiati- ves des juges visant sa famille.Le

Mondepublie le compte rendu de

l"audition de sa fille et conseillère

Claude Chirac, mercredi 11 juillet.

A dix mois de l"élection présiden-

tielle, la popularité de Jacques Chi- rac ne paraît pas souffrir de cette affaire. Celle de son adversaire potentiel, Lionel Jospin, ne semble pas non plus affectée par les révéla- tions sur son passé trotskiste. Les deux hommes sont au coude à cou- de dans le jugement que les Fran-

çais, selon les sondages, portent

sur eux.

Lire pages 8 et 9

ET SI LE DÉFILÉmilitaire du

14-Juillet, à Paris, était un trompe-

l"oeil ? S"il était l"arbre qui cache la forêt ? Organisé sur le thème de la professionnalisation des armées en voie d"achèvement, le défilé 2001, le dernier du mandat de l"actuel chef constitutionnel des armées, fera sans doute illu- sion. Comme s"il s"agissait d"accré- diter la thèse selon laquelle l"insti- tution militaire se porte comme un charme, qu"elle a évité les piè- ges dans lesquels sont tombées, avant elle, des armées étrangères professionnelles, et que la France - depuis la décision, en 1996, de passer à une armée de volontaires - a réussi à mettre sur pied en cinq ans ce qu"elle s"était promis de faire en six ans et plus.

De fait, il y a loin de la coupe

aux lèvres. Il suffit d"écouter ce qui se dit ouvertement dans les popotes, toutes spécialités et tous grades confondus, ou d"observer les carences, voire le dysfonction- nement, des équipements pour mesurer combien le modèle d"ar- mée, fixé comme cible à la " refondation » en chantier, ris- que de n"être pas au rendez-vous.

L"illusion naît de ce que les

armées françaises, appelées en action extérieure ou en missiond"assistance à des populations vic- times d"une catastrophe naturel- le, donnent l"impression d"être là où et quand les circonstances l"exi- gent. Aucune tâche n"est d"avan- ce récusée par elles. Seules les agacent quelques servitudes, inu- tiles ou dévoyées, comme ces piquets d"honneur que tant d"ad- ministrations ou tant de collectivi- tés locales affectionnent quand elles organisent des festivités publiques. En temps normal, le gouvernement lance une opéra- tion et l"intendance suit. Appa- remment. Mais au prix de quelles acrobaties humaines, financières et techniques. En vérité, les armées sont constamment sur la corde raide.

Ainsi, dans l"armée de l"air, une

soixantaine d"avions de combat et de transport sont cloués au sol par mesure de sécurité ou faute de la logistique adéquate. La mari- ne n"est pas épargnée, avec une dizaine de bateaux immobilisés à quai, par manque de crédits d"en- tretien, ou retirés précocement du service. Mais c"est l"armée de terre qui souffre le plus.Jacques Isnard

Lire la suite page 13

MONUMENTS

Mystèresde Paris

1. La fée d"Eiffel

Le Mondecommence la publication

d"une série sur les monuments de

Paris et leurs mystères. La tour Eiffel,

l"Opéra-Garnier, Notre-Dame, le Lou- vre, les catacombes, l"Arc de triom- phe : sans eux, Paris ne serait pas vrai- ment Paris. En une semaine, Michel

Braudeau vous aidera à les visi-

ter. Aujourd"hui, notre guide raconte les petites histoires de la grande demoiselle Eiffel. p. 12

L"Inde reçoitle Pakistan

L"Hôpital Georges-Pompidou ne ferme-

ra pas, même de manière partielle. Cet- te mesure envisagée après la découver- te de trois nouveaux cas de légionellose a été écartée par Bernard Kouchner, ministre délégué à la santé, au profit de nouvelles mesures de prévention. En

Espagne, à Murcie, les autorités sanitai-

res sont confrontées à une épidémie de très grande ampleur.

p. 10Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 10 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 48 FB ; Canada, 2,50 $ CAN ; CÙte d"Ivoi-re, 900 F CFA ; Danemark, 15 KRD ; Espagne, 250 PTA ;Gabon, 900 F CFA ; Grande-Bretagne, 1 £ ; GrËce, 500 DR ;Irlande, 1,40 £ ; Italie, 3000 L ; Luxembourg, 46 FL ; Maroc,10 DH ; NorvËge, 14 KRN ; Pays-Bas, 3,30 FL ; PortugalCON., 300 PTE ; RÈunion, 10 F

;SÈnÈgal, 900 F CFA ;SuËde, 16 KRS ; Suisse, 2,20 FS ; Tunisie, 1,4 Din ; USA(NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

Les Académies musicales de Saintes

(Charente-Maritime) fêtent leurs trente ans avec une série de vingt-six concerts, du 13 au 22 juillet. Dirigé depuis dix-neuf ans par Philippe Her- reweghe, ce festival, d"abord centré sur la période préclassique, a rééquilibré sa programmation au profit des répertoi- res romantique et contemporain. p. 19

Jacques Chirac, líintouchable

bA 10 mois de la présidentielle, la popularité du chef de l"Etat n"est pas affectée par les affaires

bLe président devait s"expliquer sur les voyages, payés en espèces, de sa famille et de ses proches

bUne expertise commandée par les juges en évalue le montant à 2,3 millions de francs

3:HJKLOG=UU\ZUW:?k@h@l@f@a;

M 0146 - 715 - 7,50 F - 1,14 E

THIBAUT CUISSET/PAYSAGES

PERVEZ MOUCHARRAFLes Jeuxde Pékin

AFP

LE MONDE TÉLÉVISION

aMireille Dumas, le confesseur aHistoire de chÙmeurs

M. CHASSAT/LES ACADÉMIES MUSICALES

Thomson-Matra :

guerre de líombre fwww.lemonde.fr/chirac-affaires fwww.lemonde.fr/festivals

Les armÈes franÁaises

sur la corde raide

LE PRÉSIDENTdu Pakistan est

à New Delhi, deux ans et demi

après la guerre qui avait opposé les armées indienne et pakistanai- se sur les hauteurs du Cachemire indien. Le sauvetage économique de son pays passe par la réduction des dépenses militaires.

Lire page 5

aLa capitale chinoisea été plébiscitéepar le Comitéolympique pourles JO 2008 aAvec 56 voix,elle devanceToronto (22)et Paris (18) aL"état des droitsde l"hommeen Chine a été ignorépar le CIO aNuit de joie à Pékin

Lire pages 2, 3, 4

et notre Èditorial page 13 fwww.lemonde.fr/chine La communauté internationale offre une nouvelle légitimité au régime

PÉKIN

de notre correspondant

Le beau cadeau que ce Pékin en

liesse pour un régime politique en quête obsessionnelle de nouvelles réserves de légitimité ! Il suffisait de voir, vendredi soir 13 juillet, la mine ébahie du président Jiang

Zemin pour comprendre que l"heu-

reux événement ne se résume pas pour le Parti communiste à l"organi- sation technique de compétitions sportives. Luxe suprême, M. Jiang et ses acolytes se sont même offert une apparition sur la terrasse de la

Porte de Tiananmen, en saluant la

foule qui célébrait la victoire dePékin sur les bords de l"esplanade.

La direction du Parti acclamée en

ce lieu chargé de symboles par une masse, non de figurants auto- mates, mais de Pékinois sincères dans leur joie : il est des images qui en effacent d"autres. Tel est bien sûr le calcul du pouvoir.

CONTEXTE ÉCONOMIQUE

Le régime avait, en effet, bien

besoin de se recharger en réserves de légitimité, alors que s"ouvre pour la Chine une période extrême- ment sensible. Au plan politique, la relève de générations des diri- geants, attendue pour le XVI e congrès du Parti à l"automne 2002, s"annonce un exercice délicat. L"en- semble des factions, clientèles et autres réseaux d"allégeance qui structurent l"appareil sont déjà mobilisés pour conquérir ou conso- lider leur part d"influence. Jiang

Zemin lui-même n"était pas assuré

de pouvoir conserver toutes lespositions de ses protégés, la" ban- de de Shanghaï »comme on l"ap- pelle, et notamment celle qu"il revendique pour lui-même, à savoir la présidence de la commis- sion militaire centrale. Auréolé de cette victoire olympique, il pourra désormais plus aisément caser ses pions, afin de pouvoir continuer à " régner derrière le rideau », comme l"on dit en Chine.

L"autre terrain miné est celui de

l"économie. La Chine devrait inces- samment intégrer l"Organisation mondiale du commerce (OMC).

Indice supplémentaire de son

retour en grâce dans la commu- nauté internationale, cette adhé- sion va néanmoins impliquer des sacrifices économiques et sociaux, notamment dans les campagnes - grandes victimes des mutations en cours -, dont le pouvoir a tout lieu de s"inquiéter. Afin d"amortir le coût du démantèlement de l"an- cienne économie, jugé inévitablepar l"équipe de technocrates réu- nie autour du premier ministre,

Zhu Rongji, le régime a impérative-

ment besoin non pas tant des capi- taux (ils sont déjà très abondants en Chine même) mais de l"exper- tise technique des investisseurs

étrangers.

La fièvre olympique, avec le

nouveau marché de près de 20 mil- liards de dollars (immobilier,

énergie, traitement des eaux, trans-

ports urbains...) qu"elle ouvre, achèvera probablement de convaincre ceux que la seule pers- pective de l"OMC laissait encore sceptiques. Goldman Sachs évalue

à 0,3 % le gain annuel de crois-

sance supplémentaire induit par les seuls Jeux. Divine nouvelle donc que ces Jeux dans un contex- te d"inquiétude croissante sur la pérennité de la croissance chinoise et notamment d"un excédentcommercial en voie d"érosion (-34 % sur le premier semestre).

Mais il serait erroné d"analyser

ce couronnement olympique de

Pékin sous le seul angle des avanta-

ges qu"en retirera le pouvoir. Au plan diplomatique, l"Occident, au premier rang duquel les Etats-

Unis, vient de dresser au flanc de

l"empire un nouveau pare-feu qui va limiter, à défaut d"exclure, les risques d"un dérapage militaire sérieux dans le détroit de Formose au moins jusqu"en 2008. Avec l"OMC, et bien d"autres obligations internationales, la perspective de ces jeux participe d"une stratégie d"" engagement » dont la finalité est de désamorcer le potentiel d"instabilité que recèle nécessairement l"émergence du dragon chinois. Le pari est certes risqué. Mais n"est-ce pas le cas de tout pari ? Pour l"instant, il a en tout cas fait ses preuves. On a pu le constater à chaque crise avec lesEtats-Unis : après les rodo- montades de circonstance, Pékin a joué l"accommodement.

Quant à l"impact politique inté-

rieur, c"est bien sûr la grande inconnue. Il serait naïf d"espérer que ce régime foncièrement autori- taire lâchera la bride pour le simple plaisir de contenter l"Occi- dent. Son penchant naturel est à laquotesdbs_dbs25.pdfusesText_31
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