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12 nov. 2018 Contrat de licence utilisateur final pour logiciel Caneco BT® ... Fichier des règles de création schéma - protection ... Page de garde.
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31 mai 2019 Au regard des évolutions technologiques du marché des logiciels et licences il sera demandé au soumissionnaire retenu de réviser son offre ...
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Une plate-forme de e-formation est un logiciel de création et de gestion de contenus pédagogiques et de supports aux acteurs destiné à trois types
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Page de garde Plaintes 1
30 avr. 2013 C'est en 2002 avec la création des communautés de brigades
INSPECTION GENERALE
DE L"ADMINISTRATION
N°13-051/13-027/01
INSPECTION GENERALE
DE LA POLICE NATIONALE
13-254-1 I
NSPECTION GENERALE
DE LA GENDARMERIE NATIONALE
1513/GEND/IGGN/GCM
INSPECTION GENERALE
DE L"INSEE
59/DG75-B010/
RAPPORT
SUR L"ENREGISTREMENT DES PLAINTES
PAR LES FORCES DE SECURITE INTERIEURE
TOME 1
JUIN 2013 -
INSPECTION GENERALE
DE L"ADMINISTRATION
N°13-051/13-027/01
INSPECTION GENERALE
DE LA POLICE NATIONALE
13-254-1 I
NSPECTION GENERALE
DE LA GENDARMERIE NATIONALE
1513/GEND/IGGN/GCM
INSPECTION GENERALE
DE L"INSEE
59/DG75-B010/
RAPPORT
SUR L"ENREGISTREMENT DES PLAINTES
PAR LES FORCES DE SECURITE INTERIEURE
TOME 1
Etabli par :
Christian LOISEAU,
Inspecteur général
de la police nationaleArmand SAVIN,
Commissaire principal
auditeur des technologies de l"information et de la communication à l"IGPN Michel ROUZEAU,Inspecteur général
de l"administrationJean-Christophe SINTIVE,
Chargé de mission
à l"inspection générale
de l"administration Isabelle KABLA-LANGLOIS,Inspectrice générale
de l"InseeClaude LORON,
Colonel, inspecteur
de la gendarmerie nationaleJUIN 2013 -
5SYNTHESE
Les fonctionnaires de police et les militaires de la gendarmerie nationale reçoivent les plaintes délinquance, c'est-à-dire,délits, constatés pour la première fois. Cet enregistrement, traditionnellement effectué en
environnement informatique (NS2I), notamment structuré autour de logiciels de rédaction des procédures (LRP) déployés dans la gendarmerie nationale (LRPGN) et dans la police nationale (LRPPN, en cours de déploiement dans sa version connectée). Ces logiciels sont -MIS mise en service depuis janvier 2012 en gendarmerie, et TSNICE en cours de déploiement pour la police. Le : des dérives observées, une fonction à instaurer de la police et de la gendarmerie nationales contrôlenotamment de la distinction délicate à opérer entre les infractions à caractère délictuel en
particulier les dégradations et les infractions à caractère contraventionnel, celles-pas comptabilisées, contrairement à celles-là, dans les statistiques de la délinquance. Les
textes et la jurisprudence apportent en la matière une aide limitée aux agents chargés de
unités de compte que ces agents doivent utiliser, unités qui varient selon la nature de
du personnel chargé sont importants.les états statistiques mensuels, soit en raison de la difficulté de la qualification pénale, soit du
fait des cycles deDans ces conditions, la qualité du contrôle hiérarchique est une condition de la fiabilité de
Or la mission a constaté, au vu de ses entretiens et de ses déplacements dans les services, que
enregistrement des plaintes 6la hiérarchie. Ce constat est commun aux deux forces de sécurité intérieure, malgré les
spécificités des chaînes de contrôle de la police et de la gendarmerie nationales.La mission a procédé à des contrôles ponctuels par sondages sur des échantillons de plaintes
-même la qualification pénale et plus ou moins grand porté par les chefs de service au flux quotidien des plaintes et à leur traitement.Par ailleurs, elle a établi que les autorités centrales se sont désengagées du contrôle sur la
conséquences (DGPN) ou ne -dehors de rappels verbauxdans les cas de dérives manifestes. Les inspections générales des forces, soit ne le pratiquent
Le management par objectifs de la délinquance, connu sous la dénomination de " politique duchiffre » a largement contribué à cette absence ou ce désengagement du contrôle de
privilégiaient souvent la première option. Au-pu contribuer à minorer fortement les statistiques de la délinquance en généralisant des
centrale de la sécurité publique ont suffi, en 2006, pour faire passer le taux de dégradations
délictuelles par rapport à la délinquance générale de 16% à 11%, faisant sortir, dès 2007 et les
années suivantes, près de 130La mission a établi un constat particulier pour la préfecture de police. Il lui a été indiqué et
confirmé par tous ses interlocuteurs parisiens que, vraisemblablement depuis 2006 ou 2007,lors que les objectifs chiffrés assignés à un commissariat étaient atteints pour le mois
constatés des statistiques mensuelles de la délinquance dans telle ou telle circonscription. Les
iquant plus la réalité géographique et temporelle de la délinquance. -delà de ces pratiques de report calendaire, une pratique de dissimulation massive avait eu cours. En effet, au moins dans un arrondisse arrondissements au moment de la remise du rapport de la mission) plusieurs milliers de faits passés en statistique » en 2012, ce que le logiciel Omega en usage à la préfecture de police permettait.Une nouvelle impulsion ministérielle, puis des instructions données par les directeurs
généraux de la police et de la gendarmerie nationales, ainsi que par le préfet de police, ont
constitué un début de réponse à cette situation. 7Au delà, l
également opérer rapidement un contrôle plaintes dans les commissariats de la capitale, et par sondage dans des circonscriptions de sécurité publique de la petite couronne parisienne. intes : des outils pertinents à améliorer, une rupture statistique confirmée Le déploiement dans la gendarmerie nationale de Puls@r- statistique) en janvier 2012, es procédures de la police nationale (LRPPN V3), au cours des années 2013 et 2014, sont de de sécurité intérieure. é de la prise des plaintes une assistance à menus déroulants », qui assurent la concordance entre Ils : visibilité accrue par lahiérarchie, traçabilité des enregistrements, enrichissement direct des bases nationales
(antécédents judiciaires, objets, images), perspectives de connexion à terme avec les
statistiques judiciaires.Toutefois, des améliorations restent nécessaires. Certaines sont en cours : livraison de
départementaux, suppression des divergences entre les tables de concordance Natinf/index de dans les deux forces. acculturation des services aux nouveaux outils présente des défis de taille auxservices : des efforts de formation interne doivent être faits au-delà de la formation initiale
t chargés deprogressivement les fonctionnaires de police chargés du recueil de la plainte, doit être
pas même esquissée. une " rupture statistique produire une mesure de cette rupture. Deux méthodes alternatives et e de , ont été utilisées. 8 Les travaux statistiques ainsi conduits ont permis à la mission probablement subi une rupture résultant du nouvel environnement informatique, de produire unecorrection des variations saisonnières et des effets calendaires sur les données brutes mensuelles
de la délinquance constatée sur la période 2001-2013. La traduction graphique des résultats de
ce lissage permet au demeurant de visualiser la rupture statistique due au nouvel outil. effet Puls@r » a diverses origines :délits créant une remontée en niveau des délits constatés, ces déplacements étant sans doute dus à
; bascules entre inde4001, liée ;
plus marginalement, x du fait de leur ordre de présentation dans le " menu déroulant » . de faits constatés entre 2011 et 2012. Les outils statistiques e assez ailleurs : augmentation tendancielle de certains faits de délinquance tels que les cambriolages ; vité des services (IRAS), tels que lesinfractions à la législation des étrangers (ILE) suite à la jurisprudence de la Cour de
cassation ; fin du " pilotage par objectifs » de la délinquance, même si ce dernier facteur, le
changement de doctrine, ne se fait sentir que lentement et progressivement. 8 tiers, apparaissentla gendarmerie à hauteur de 35 000 à 50 000 faits annuels, soit 3,5% à 5% de la délinquance
constatée en zone gendarmerie.Par agrégats, celui le plus touché proportionnellement par la rupture statistique est celui des
relatif aux atteintes aux biens (AAB).Globalement, la mission considère que les analyses comparatives fondées sur les données
brutes de délinquance constatée avant et après 2012 sont invalides. Elles demeurent toutefois
valides sur certains index et quelques sous-agrégats. Ainsi, seul un retraitement statistique fin,
intégrant une correction des effets du changement de logiciel, est susceptible de redonner une fiabilité à ces comparaisons A cet effet,elle recommande que les travaux de quantification des effets de la rupture statistique initiés par la
langage statistique) sur le passé. Elle recommande également que soient mises en place demanière durable la production et la diffusion de données mensuelles corrigées des variations
saisonnières et des effets calendaires, aux côtés de celles des données brutesréalisées. De tels traitements statistiques, de pratique courante pour les données infra-annuelles,
permettent en effet de repérer rapidement les ruptures statistiques et les retournements de
te 9 La mise en service du LRPPN produira vraisemblablement dans la police nationale, en 2013 dans la mesure où le déploiement depolice nationale sera plus progressive et étalée dans le temps et moins aisément différenciable de
nouvel outil. Un travail de comparaison entre les résultats issus des deux outils sera réalisé, dont il
convergence aura donc des effets faits constatés.Par ailleurs, la mission estime que les statistiques de la délinquance enregistrée par la police
nationale ne seront pas fiabilisées en données brutes avant le 1er janvier 2016. Dès lors, 2016
constituera la première année de référence fiable pour les statistiques de la délinquance
enregistrée par les forces de sécurité intérieure. Les comparaisons des données brutes non
Toutefois, cette hypothèse optimiste est basée sur un déploiement complet de LRPPN en2014, voire en début
Dans ces conditions, les premières comparaisons annuelles de données brutes ne pourront être
Des travaux statistiques fins devront nécessairement être réalisés dans la période de
déploiement progressif du logiciel et dans les mois qui suivront, en distinguant lesdépartements relevant des différentes vagues de déploiement, afin de chercher à identifier et
t une source précieuse pour rétablir -jacentes de la délinquance des exercices de rapprochemeannuelle " cadre de vie et sécurité », dite enquête de " victimation », réalisée sous maîtrise
La gouvernance statistique : indépendance organique et conformité aux normes statistiques,statistiques de la délinquance, rencontré les acteurs du dispositif actuel, défini les critères
Elle a rappelé les indiscutables améliorations du dispositif apportées par la création et le
statistique publique. Elle a notamment explicité les règles de fonctionnement du service statistique
10 atistiques ministériels présents dans une déconcentré ». statu quo », qui conduirait à ne pas créer deservice statistique ministériel (SSM), et à renoncer de manière sans doute durable aux
publique.Elle a ensuite comparé les avantages et les limites respectifs de trois autres scénarios
- l ;Le choix à opérer entre ces trois scénarios lui a semblé se resserrer entre le premier et le
Pour le choix final, la
fortement encore cette indépendance en positionnant le SSM en dehors du ministère de
SSM au qui permet :
sécurité intérieure, qui bénéficieraient ainsi de sa compétence et de son expertise sur le
plan des productions statistiques opérationnelles, conformément au fonctionnement des autres SSM ; dispos indicateurs de la chaîne pénale. 11TABLE DES RECOMMANDATIONS
Avertissement: l'ordre dans lequel sont récapitulées ci-dessous les recommandations du
rapport ne correspond pas à une hiérarchisation de leur importance mais simplement à leur ordre d'apparition au fil des constats et analyses du rapport. RECOMMANDATION N°1 : INSTAURER UN CONTROLE DE LENREGISTREMENT DES PLAINTES ET ASSURER SON SUIVI DANS LA POLICE ET LA GENDARMERIE NATIONALES. ................................................... 38 RECOMMANDATION N°2 : INTEGRER DANS LAGREGAT DES ATTEINTES AUX BIENS (AAB) LES DEGRADATIONSCONTRAVENTIONNELLES. ............................................................................................ 40
RECOMMANDATION N°3 : SOLLICITER LA PRISE DUNE CIRCULAIRE DE POLITIQUE PENALE PAR LE MINISTERE DEquotesdbs_dbs47.pdfusesText_47[PDF] logiciel d'écriture de livre
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