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DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE / L_EME TAIRES
12 ene. 1987 réponse à sa question écrite na 9819 publiée au Journal officiel
JOURNAL OFFICIEL
4 jun. 1984 ASSEMBLEE NATIONALE — QUESTIONS ET REPONSES. QUESTIONS ECRITES ... subvention de fonctionnement à laquelle le taux de T.V.A. de. 18
Linclusion des personnes aveugles et malvoyantes dans le monde
3 dic. 2007 d'identification ainsi qu'un numéro de téléphone pour vérification
JO Débats parlementaires Questions-Réponses Assemblée nationale
22 mar. 2022 Nos 43516 Mme Jacqueline Dubois ; 43569 Jean-Marie Sermier ; 43584 Robin ... Règles de fait générateur et d'exigibilité de la TVA 44980 (p.
AVERTISSEMENT LIENS
La stratégie fiscale de l'entreprise : entre optimisation et fraude opérateurs envers la TVA dont le mode de fonctionnement peut faciliter la fraude.
JO Débats parlementaires Questions-Réponses Assemblée nationale
13 feb. 2020 Anissa Khedher ; 25638 Patrice Perrot ; 25644 Jean-Marie Sermier ; 25645 André ... ministère sur ce point le document mode d'emploi de la ...
![DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE / L_EME TAIRES DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE / L_EME TAIRES](https://pdfprof.com/Listes/20/14866-208-qst-1987-01-12.pdf.pdf.jpg)
Année 1987. - No2A.N.fin)
Lundi 12 ianvier:387
3'FDE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
D 6ii ,wF,t, / L_EMETAIRESASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE
19588eLégislature
QUESTIONS ÉCRITES
REMISES A LA PRÉSIDENCE DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE ETRÉPONSES DES MINISTRES
2.NASSEMBLÉENATIONALE
12 janvier 1987
SOMMAIRE
Liste de rappel des questions écrites auxquellesiln'a pas été répondu dans le délai de deux mois86 -Questions écrites (dun°16084 au n° 16437inclus)Premier ministre88
Affaires étrangères88
Affaireseuropéennes89
Affaires sociales etemploi89
Affaires sociales et
emploi (secrétaire d'Etat)94Agriculture
94Ancienscombattants98
Budget99
Collectivitéslocales101
Commerce, artisanat et services102
Commerce extérieur
103Coopération103
Culture etcommunication103
Défense104
Départements et territoiresd'outre-mer104
Economie,finances etprivatisation104
Education nationale108
Environnement113
Equipement,
logement,aménagement duterritoire et transports113FonctionpubliqueetPlan116
Francophonie117
Industrie, P. et T. et tourisme117
Intérieur
118Jeunesseet sports120
Justice120
Mer 121P. et T121
Rapatriés
122Santé et famille122
Sécurité
sociale 124Transports125
12 janvier1987
ASSEMBLÉE NATIONALE
853. - Réponses des ministres aux questions écrites
Affaires étrangères126
Affaires sociales etemploi129Agriculture135
Budget135Collectivités locales144
Commerce, artisanat et services
144Coopération146Culture et communication146
Défense
147Départementsetterritoires d'outre-mer149Economie, finances et privatisation150 Environnement154Equipement, logement, aménagementdu territoire et transports155
Fonction publique et Plan156
Intérieur157Justice163
Mer168P. et T169
Santéet famille169
Sécurité sociale174Tourisme176
Transports177
88ASSEMBLÉE NATIONALE
12 janvier I9
LISTE DE RAPPEL DES QUESTIONS
publiées auJournal officiel11943 A.N. (Q) du lundi 3 novembre 1986 (no.11456 à 11926) auxquelles il n'a pas été répondu dans le delai de deux moisPREMIER MINISTRE
N"" 11928 Henri Bayard; 12039 Xavier Dugoin12105 François Asensi; 12125 Michel Peyret; 12140 LouisBesson; 12205 Hubert Goule; 12232 Henri Bayard.
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N"" 12009 Pierre Descaves
; 12111 Gérard Bordu: 12178Gérard Collomb.AFFAIRES EUROPÉENNES
N.12176 Didier Chouat.
AFFAIRES SOCIALES ET EMPLOI
No'11929GeorgesMesmin; 11931 JeanRoatta;11939
Georges Chometon; 11953 Dominique Perben;11962 JacquesBlanc; 11993 Raymond Marcellin; 11994 Raymond Marcellin11995 Raymond Marcellin; 11997RaymondMarcellin; 12023
GeorgesMesmin; 12029 Guy LeJaouen;12030Jean Char-roppin; 12053 Pierre Messmer; 12106 François Asensi; 12108Main Bocquet;12116Jean-Claude Gayssot;12123Paul Mer-
cieca; 12131 MauriceAdevah-Poeuf;12141 AndréBillardon12143 André Borel; 12145Huguette Bouchardeau;12148 Jean-MichelBoucheron;12187 René Drouin; 12191René Drouin12199 Pierre Garmendia; 12201Joseph Gourmelon;12210
Jacques Guyard;12218Roland Huguet;12219Roland Huguet12226 Pierre Joxe; 12227Charles Revet;12235 HenriBayard12238 HenriBayard;12241 HenriBayard;12243Georges
Mesmin; 12246 Bruno Gollnisch.
AGRICULTURE
N.,11951 Charles Miossec; 11954 Martial Taugourdeau11996 Raymond Marcellin ; 12002 Dominique Bussereau; 12020Ladislas Poniatowski;12022Joseph-Henri Maujollandu Gasset ;12026 Sébastien Couepel: 12035 Xavier Dugoin; 12044 Xavier
Dugoin; 12054 Charles Miossec; 12084 Marcel Bigeard;12155DidierChouat;12157 Didier Chouat; 12223 Roland Huguet12225 Roland Huguet ; 12240 Henri Bayard.
ANCIENS COMBATTANTS
No'12013 Pierre Descaves; 12031 JeanCharroppin:12080 GermainGengenwin;12172 DidierChouat; 12188 RenéDrouin; 12189 René Drouin.BUDGET
N.,11947 ClaudeLabbé; 11984 Arthur Dehaine; 11985Arthur Dehaine; 11986 Arthur Dehaine;11987 Arthur Dehaine ;12036 Xavier Dugoin ; 12082 Jean-FrançoisMichel; 12102Georges Mesmin.
COLLECTIVITÉS LOCALES
N..11932Jean Roatta; 12169 Didier Chouat.
COMMERCE, ARTISANAT ET SERVICES
N.12024 MarcelBigeard.CULTURE ET COMMUNICATION
Na.11958 François Bachelot; 12073 Paul Chollet12077 Dominique Chaboche; 12090 Roland Blum ; 12119 André
Lajoinic; 12128 Vincent Reyssier; 12137 Jean Beaufils12183 André Delehedde; 12203 Hubert Goure; 12245 BrunoGollnisch; 12252 Augustin Bonrepaux.
DROITS DE L'HOMME
Na11976 Gautier Audinot.
ÉCONOMIE, FINANCES ET PRIVATISATION
No.11945 Jean-Paul Delevoye; 11950 Charles Miossec11956 François Bachelot; 11959 Pierre Bernard-Reymond11960 Philippe Vasseur;11965 Charles Fèvre; 11967 GautierAudinot; 11975 Gautier Audinot; 11981 Philippe Vasseur11988ArthurDehaine: 11989Gérard Kuster; 11991 PierreRaynal; 11992 Pierre Raynal; 12004 Yvon Briant ; 12005 YvonBriant;12006 YvonBriant; 12007YvonBriant; 12008 YvonBriant; 12011EdouardFrédéric-Dupont; 12017 Gilbert Gan-tier; 12038 Xavier Dugoin; 12047 Claude Lorenzini12048 Claude Lorenzini; 12049 Claude Lorenzini; 12051 ClaudeLorenzini; 12065 JeanDiebold; 12075 Gratien Ferrari12081 Jean-François Michel; 12086 Jean-Marie Daillet12089 Roland Blum;12127 Vincent Porelli; 12162 DidierChouat; 12171 Didier Chouat; 12174 Didier Chouat12185 André Delehedde ; 12239 Henri Bayard.
ÉDUCATION NATIONALE
Nos11940 Vincent Ansquer; 11952 Charles Miossec11961 Maurice Ligot; 11970 Gautier Audinot; 12019 LadislasPoniatowski;12056MainPeyrefitte; 12057 Alain Peyrefitte
12059 Hector Rolland;12061Roland Vuillaume; 12063 Jean-
Claude Dalbos;12083 Jean-Yves Coran; 12109 Gérard Bordu12130 Jacques Roux;12139 JeanBeaufils;12146 Jean-Michel
Boucheron (Charente);12151 Alain Brune; 12170 DidierChouat;12173 DidierChouat;12180 MarcelDehoux12181 Marcel Dehoux; 12217 Roland Huguet; 12221 Roland
Huguet ;12249Bruno Gollnisch.
ENVIRONNEMENT
Nos11999 Aimé Césaire;12118 Jean Jarosz.
ÉQUIPEMENT, LOGEMENT,
AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE ET TRANSPORTS
Nos11964 Emile Koehl; 11969 Gautier Audinot; 11990 Gérard Kuster; 11998 RaymondMarcellin ; 12021 CharlesJos- selin; 12045 Jacques Godfrain12050 Claude Lorenzini; 12060Roland
Vuillaume; 12069 Jean Brocard; 12074 Germain Gen-
genwin; 12114 Guy Ducoloné; 12120 André Lajoinie; 12124 Paul Mercieca; 12160 Didier Chouat; 12161 Didier Chouat ;12167 Didier Chouat; 12175 Didier Chouat; 12198 Jean-PierreFourré; 12215 Roland Huguet; 12060 Roland Vuillaume.
FONCTION PUBLIQUE ET PLAN
No.11941Jean Besson; 12064 Jean-Claude Dalbos.
12 janvier 1987
ASSEMBLE NATIONALE
e7INDUSTRIE, P. ET T. ET TOURISME
N..11966Jean-Claude Gaudin; 11968 Gautier Audinot ;12066 Jean Diebold; 12070 Pierre Bernard 12104 GustaveAustin; 12117 Jean Giard; 12165 Didier Chouat; 12166 DidierChouat; 12182 Michel Delebarre; 12193 Job Durupt.
INTÉRIEUR
N..11927 Georges Mesmin; 12016 Pierre Descaves; 12042Xavier Dugoin; 12062 Roland Vuillaume; 12092 Roland Blum ;12095Roland Blum;12099Jean Roussel 12103GustaveAnsart; 12110 Gérard Bordu; 12154 Guy Chanfrault; 12197Jean-PierreFourré; 12209 JacquesGuyard
12216RolandHuguet.
JEUNESSE ET SPORTS
N.12150 Jean-Michel soucheron.
JUSTICE
N..11983Arthur Dehaine; 12025 Maviicc Dousset; 12078Pierre Sergent; 12168 Didier Chouat.P. ET'a.N".11934 Francis Geng; 11914 Gautier Audinot; 12072 AlainBonnet; 12163 Didier Chouat; 1744 Didier Chouat; 12194 JobDurupt.
SANTÉ ET FAMILLE
No.11949 Jean-Louis Masson; 11971 Gautier Audinot12067 Jean Diebold; 12079 François Bachelot; 12088 RolandBlum; 12096 Dominique Chabuche; 12122 Paul Mercieca12129 Jacques Roux; 12136 Claude Bartoloné; 12257 AndréClert.
SÉCURITÉ SOCIALE
No.12032 Patrick Devedjian; 1220f PierreGarmendia12204 Hubert Gouze; 12230 Henri Bayard.TRANSPORTS
N".12001 Dominique Bussereau; 12214 Michel Hervé. s 88ASSEMBLÉE NATIONALE
12 janvier 1987
QUESTIONS ÉCRITES
PREMIER MINISTRE
Régions (finances locale.:
18338. -12 janvier1987. - M.RaymondMarcellinattirel'at-tention de M.le Prondv ministresur la décision du C.I.A.T. du
31 octobre 1986d'approuverles modifications des décretsno82-379 du 6 mai1982et no82-754 du31août 1982 relatifs à
laprimed'aménagement duterritoire en supprimant, à compterdulerjanvier1987, laprocédurerégionale d'attribution decetteaide directe financée par I'Etat. Il attire son attention sur lesconséquences del'adoptiond'un tel di positif pour les régions.
Celles-ci, en effet, devront, pour atténuer leurs handicaps struc-turels et poursuivre la promotion des activités économiques, com-penser la suppression des P.A.T. par l'octroi d'un nombre supplé-
mentaire de P.R.E. II lui demande, en conséquence, de luiindiquer lesmesures de compensation financière que l'Eut envi-sage de mettre en oeuvre au bénéfice des régions.
Finances publiques (emprunts d'Etat)
18411. -12janvier1987. --M.Bruno Bourg-Broc s'étonneauprès de M.le Premier ministrede ne pas avoir reçu deréponse à sa question écrite na9819,publiée auJournal officiel,
Assemblée nationale, Débats parlementaires, questions, du6 octobre 1986,et relative à l'emprunt obligataire. II lui enrenouvelleles termes.
Conseil économique et social (composition)
18827. - 12 janvier 1987. -M.Michel Hannouns'étonneauprès deM.le Premier ministrede n'avoir pas obtenu de
réponseà sa question écrite n°4041,publiéeau Journal officiel,Assemblée nationale, Débats parlementaires, questions, du23 juin1986, rappeléesous len°10397au Journal officieldu
13 octobre 1986, relativeà la composition du Conseil écono-mique et social. II lui en renouvelle donc les termes.
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Politique extérieure (Vanuatu)
18270. -12janvier 1987. -M.Pierre Sergentattire l'attentiondeM.Io ministre des affaires étrangèrensur la situation parti-
culière des ressortissants français victimes des mesures prises à leur encontre lors de l'accessionà l'indépendance des Nouvelles-Hébrides, actuellement Républiquedu Vanuatu. Les 168 famillesactuellement dénombrées ontété victimes de dépossessions pourun montant global de l'ordre de70 150 000 francs. La loi du22 décembre 1979 (no79-1114)autorisait le Gouvernement à
prendre par voie d'ordonnance,jusqu'au Zefjanvier 1981,"toutes mesures renduesnécessaires par l'accession à l'indépen-dance des ex-Nouvelles-Hébrides». Aucune de ces mesures n'a
été prise à ce jour, et la loi du17 juillet 1970 exclut automatique-ment les dépossessions intervenuesaux Nouvelles-Hébrides, ce
territoire n'étant pas considéré comme placé antérieureme nt sous la souveraineté, le protectorat ou la tutelle dela France. Le mon-tant global de l'indemnisationréclamée correspond approximati-vement aux sommesversées annuellement par la France à laRépublique du Vanuatu au titre de lacoopération, et ce depuis1980.L'attitude récente de ce pays, notamment lorsdes débats
concernantlaNouvelle-Calédonieà l'Assemblée nationale desNations unies, ne pourrait-elle pasjustifier une réduction de cesversements effectués au titre dela coopération, et manifestement
utilisés à des fins exactement contrairesà leur objet. II demande s'il ne serait pas possible d'envisager de réduire, dans les deuxans qui viennent, le montant desversements effectués au titre dela coopération et leur transfert aux 168 familles françaises inté
ressces, de façon à les indemniser totalement pour le31 décembre 1988.Politique extérieure 'U.R.S.S.)
10286. -12 janvier 1987. - M.Jean Gougyattire l'attention deM.le ministre des affaires étrangèressur la disproportion dunombre de diplomates français en poste en U.R.S.S. (quarante-deux à Moscou et trois à Leningrad) par rapport aux Soviétique
sexerçant en France (sept cent cinquante à Paris et vingt-cinq à Marseille). Il lui demande si une telle démesure est bien justifiée, et s'il n'est pas envisagé de revenir à des chiffres plus raison-nahles.Français: langue (défense et usage)
18321. -12 janvier 1987. - M.Georges Nageattire l'attentionde M.le ministre des affaires étrangèressur la dégradationdes conditions d'enseignement pour les établissements d'enseigne-ment français à l'étranger en raison des suppressions d'emplois
budgétaires intervenues depuis 1983. II lui demande, d'une part, les mesures qu'il entend prendre pour apurer l'augmentation du nombre des emplois budgétaires et la revalorisation des salaires des enseignants rémunérés localement, et, d'autre part, si la g es- tion directe par le ministère des affaires étrangères ne serait pasde nature à améliorer le fonctionnement des établissements d'en -seignement français à l'étranger.Institutions européennes (Conseil)
18341. -12 janvier 1987. - M.Michel Debrédemande à M. leministre des affaires étrangèrescomment la modificationapportée au règlement intérieur du Conseil des communautéseuropéennes, le 15 décembre 1986, peut se concilier avec l'arran-
gement de Luxembourg, dont le maintien a été solennellementaffirmé par le Gouvernement lors de la discussion du projet de
loi autorisant la ratification de l'acte unique européen. En vertude l'arrangement de Luxembourg, un acte, qui selon un traitépourrait être acquis à la majorité qualifiée, doit être d
ifféré lors-qu'un Etat membre représente que la décision à intervenir met-trait en jeu un de ses Intérêts très importants. Or la modificationau règlement prévoit que le passage au vote pourra être déci
dé àla majorité simple à la demande d'un Etat membre ou de la com-mission. Convient-il d'admettre que cette nouvelle dispositionréglementaire serait tenue en échec si la délégation d'un Et
atmembre invoquait l'arrangement de Luxembourg. Le Gouverne-ment français a-t-il fait cette réserve au cours de la séance d
u conseil qui a adopté la modification.Politique extérieure (U.R.S.S.)
18351. -12 janvier 1987. - M.Michel Hannounattire l'atten-tion de M. teministre des affaires étrangèressur une loi rela-
tive à la circulation des personnes édictée par l'Union soviétique.Cetteloi,qui entrera en vigueur à la date dulerjanvier 1987, apour contenu une limitation formelle de ses propres engagements
antérieurs. En effet, il semble que cette loi constitue une gravemise en cause du principe même de l'émigration des juifsd'Union soviétique, et ce jusque dans l'interprétation de la notio
nde réunification des familles ramenée à un lien de parentédirecte. Cette nouvelle mesure apparaît être en contradiction avecles accords d'Helsinki. II lui demande donc son avis sur ce sujet,ainsi que les mesures qu'il compte prendre afin de saisir les auto-
rités d'Union soviétique sur ce sujet pour que ne soit pascontredit, dans le texte et dans les faits, le contenu des résolu-tions et précédents acquis.
12 janvier 1987
ASSEMBLÉE NATIONALE
89Politique extérieure (lutte contre le terrorisme)
18422. -12 janvier 1987. - M.Bruno Bourg-Brocs'étonneauprès de M.leministredes affairez étrangèresde ne pasavoir reçu de réponse à sa question écrite no11128, publiée auJournal officiel,Assemblée nationale, Débats parlementaires,questions, du 27 octobre 1986, et relative au terrorisme. 1l lui enrenouvelle les termes.
AFFAIRES EUROPÉENNES
Politiques communautaires (recherche)
18180. -12janvier 1987. - M.Georges Sarreattire l'attentionde M. le ministre délégué auprès du ministre des affairesétrangères, chargé des affaires européennes,sur l'avenir duprogramme de coopération technologique européen Esprit, large-ment hypothéqué par les orientations budgétaires que défend
leGouvernement français au sein du conseil des ministres euro-péens de la recherche. Alors que l'ensemble des participants s'ac-cordent à louer les mérites des programmes communautaires derecherche et leur nécessité pour préserver l'existence d'uneEurope industrielle dans un contexte de concurrence internatio-nale forte, l'attitude du Gouvernement français risque de com-promettre l'essor de ces différents projets. il est à craindre eneffet que la diminution desdotations budgétairesau programmeEsprit prônée par le Gouvernement au sein des instances commu-nautaires et confirmée avec le désengagement gouvernemental enmatière de politique industrielle ne se traduise par une altératio
nde la compétitivité des technologies française et européennesurle marché mondial, dont les répercussions sur le solde industrielet le niveau d'emploi ne peuvent étre occultées. C'est pourquoi illui demar.:e quelle politique il entend mener au niveau européenpour que soit prkservé le programme Esprit et l'avenir de la tech-nologie européenne.
AFFAIRES SOCIALES ET EMPLOI
Handicapés (allocations et ressources)
18088. -12 janvier 1987. - M.Henri Bayardappelle l'attentionde M. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur lecaractère tout à fait inadapté de l'actuelle référence au
barème deancienscombattantset victimes de guerre, élaboré en 1919, pourdéfinir les droits à allocations et ressources des handicapés e
napplicationde la loi du 30 juin 1975. Il lui demande si, à cesujet, des études sont engagées pour que soient appréciés le
s tauxd'Incapacité des handicapésen tenant réellement compte des dif-ficultés qu'entraîne lehandicapdans la vie moderne.
Retraites: généralités (pensions de réversion) 18000. -12janvier1987. - M.Henri Bayardappelle l'attentionde M. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur lanécessité de relever le taux de réversion des pensions de vieil
-lesse. Le problème est particulièrement aigu pour les veuves,quand elles ont eu charge de famille, et qui ne disposent pas dedroits propres. il lui demande quelles sont les mesures qui pour-raient être prises particulièrement en faveur de ces mères defamille.
Jeunes (emploi)
10988. -12janvier1987. - M.Henri Bayard appelle l'attentionde M. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur lespossibilités de créations d'emplois pour les jeunes de seize àvingt-cinq ans, au sein des collectivités locales.Il luidemande s'ilne serait pas possible d'envisager que ces collectivités puissentbénéficier d'une exonération totale ou partielle des charges po
urfavoriser l'embauche des jeunes.Préretraites (allocations)18092. -12 janvier 1987. - M. MarcelBigeardappelle l'atten-tion de M. le ministredes affaires socialesetde l'emploisurla situation particulièrement délicate des préretraités. En effet, lessalariés aient choisi de quitter leur emploi à l'âge de soixant
eans ont signé un contrat avec l'Assedic, afin de leur garantir lepaiement d'indemnités jusqu'à l'âge de soixante-cinq ans et tro
ismois. Or le décret no82-991 du24novembre 1982 en sonarticle 2 supprime l'indemnisation des trois mois supplémentaires.Compte tenu que ce décret agit rétroactivement en amputant uneloi de finances antérieure et prive de nombreux préretraités de
cette compensation, il lui demande s'il n'estime pas logique derevoir le cas des intéressés afin de les faire bénéficier de
l'inté•gralité du contrat conclu avec l'Assedic.Prestations familiales
(politique et réglementation)18086. -12 janvier 1987. - M.Raymond Marcellinappellel'attention de M.le ministre des affaires socialesetde l'em-ploisur l'intérêt qu'il y aurait à affecter les ressources des cais
sesd'allocations familiales à la seule politique familiale. II paraitsouhaitable en effet que la brancheufamille » soit strictementséparée des autres branches et bénéficie de l'excédent qu
'enregis-trent chaque année, les caisses d'allocations familiales.Prestations familiales
(candirio,.s d'attribution)18088. -12 janvier 1987. - M.Raymond Marcellindemande àM.le ministre des affaires sociale. et de l'emploide bienvouloir lui indiquer si la suppression des critères de ressourcesen matière d'allocations familiales lui parait être, dans le cadre
d'une politique centrée sur l'enfant, une mesure souhaitable.Impôtsur lerevenu (charges déductibles)
18097. -12 janvier 1987. - M.Raymond Marcellinappellel'attention de M.le ministre des affaires sociales et de l'em-ploisur l'intérêt que présenterait la déduction du revenu impo-sable du montant des frais de personnel engagés pour la garde etles soins des enfants au domicile familial. Les avantages d'unetelle mesure seraient multiples pour les parents, les enfants, lesemployeurs (éventuel absentéisme des mères de famille) et pou
rl'emploi, par la création de postes de service, mais également parla régularisation des postes occupés actuellement par du per-sonnel occasionnel ou permanent non-déclaré. Aussi luidemande-t-il de bien vouloir lui préciser sa position sur cettequestion.
Professions sociales(centressociaux:Nord -Pas-de-Calais)18110. -12 janvier 1987. - M.Bernard Derosierattire l'atten-tion de M.le ministre des affaires sociales et de l'emploisurles graves problèmes rencontrés par les centres sociaux et socio-culturels, au nombre dequatre-vingt-quatorze,dans la régionNord - Pas-de-Calais. Ceux-ci offrent de nombreux services auxjeunes, aux personnes défavorisées ou âgées, dans ledomainedela prévention et de l'animation. La moitié de leur budget defonctionnement provient de la caisse nationale d'allocations fami-liales et du ministère des affaires sociales. Or le Gouvernementprévoit pour 1987 que le financement de l'Etat soit réduit de plus
de 80 p. 100, entraînant, dans notre région, une perte de66 000 francs pour le fonctionnement et de 1 l 400 francs parposte d'utilité publique. En conséquence, il lui demande de bienvouloirindiquerles mesures qu'Il compteprendre pourcom-penser ces restrictions et ne pas remettre ainsi en cause toutel'action sociale et culturelle entreprise par ces centres.
Handicapés(allocations et ressources)
18121. -12 janvier 1987. - M.Paul Dhallleattire l'attention deM.le ministre des affaires socialesetde l'emploisur la situa-tion des administrés qui bénéficient de l'allocation aux adulteshandicapés, et qui sont dans l'obligation de passer régulièreme
ntdes contrôlesmédicauxorganisésparlesCotorep pour queleursdroits soient renouvelés. Les organismes qui sont chargés de cesexamensmédicauxnepeuvent passatisfairel'importance desdemandessi des moyens accrus ne leur sontpas donnés.Dansl'immédiat, la conséquence est que le versement de l'allocationest interrompu, si la visite médicale n'a pas eu lieu à temps, ave
cpour conséquence majeure de laisser le bénéficiaire sans res-sourcependantplusieurs semaines,voire plusieursmois.Aupara-vant les caisses d'allocations familialescontinuaientles verse-ments pendant un délai de six mois au risque de réviser le
90ASSEMBLÉE NATIONALE:
12 janvier 1987
dossier en fonction des nouveaux éléments. 11 lui demandequelles dispositions il compte prendre pour remédier à cettesituation.
Professions sociales
(aides ménagères et auxiliaires de vie : Seine-Maritime)18122. -12 janvier 1987. - M.Paul Dhailieattire l'attention deM.le ministre desaffairessociales et de l'emploisur lesgraves difficultés que rencontre la fédération départemental
e deSeine-Maritime d'aide à domicile en milieu rural, du fait del'obligationqui lui est faite de réduire de 28 p. 100 le nombred'heures effectuées auservice des retraités alors qu'elle souhaitaitaugmenterlenombre desesinterventionspour répondre auxnombreuses demandes. Cette fédération, animée par plus de1 000 bénévoles, offre aux personnes âgées les services de t
ravail-leuses familiales, d'aides ménagères et d'auxiliaires de vie, quiapportent une aide concrète aux retraités, mais aussi un soutienmoral d'une très grande efficacité. La réduction des heures d'in-tervention entraînera des licenciements. Il lui demande quellesmesures il compte prendre pour permettre à cet organisme decontinuer à assurer les services qu'il rend et même éventuelle-
mentpou.lui permettre de les développer. Handicapés(politiqueet réglementation :Meurthe-et-Moselle)18124. -12 janvier 1987. - M.Job Durupt appellel'attentionde M.le ministre desaffaires sociales etde l'emploisur lefonctionnement de la Cotorep de Meurthe-et-Moselle. Plusieurspersonnes se sont étonnées des mesures prises par celle-ci parti-culièrement en ce qui concerne l'attribution de l'allocation auxadultes handicapés et l'examen des dossiers y concourant. II luidemande donc de.bien vouloir examiner le bon fonctionnementde cette commission et d'en humaniser la procédure.
Retraites: généralités (montant despensions)18128. -12 janvier 1987. - M.Pierre Forgionsattire l'attentionde M.le ministre desaffaires sociales etde l'emploisur lasituation desFrançaisquiau moment de l'indépendance de l'Al-gérie ont fait le choix de continuer à vivre dans ce pays. L'allo-cation vieillesse qui leur est servie s'avère très faible en raiso
ndes cours du changefranc-dinar et de ce fait ces Français viventsouventdans l'indigence. Un millier de personnes semblentConcernées.II conviendrait donc de leur octroyer une allocationcompensatoire mensuelle aumême titre que celle qui est allouéeauxfonctionnairesfrançais en poste en Algérie. Il lui demandes'il envisage de prendre des mesures allant dans ce sens.
Sécurité sociale (personnel)
18160. -12janvier1987. - M.Jean Oehlar appellel'attentiondeM.le ministre desaffaires sociales etde l'emploisur lasituation des agents descaissesdesécurité sociale en longuemaladie ou en invalidité de plus detrois ansavantleur soixan-tièmeanniversaire.La direction de l'union des caisses nationalesde la sécurité sociale a des interprétations souvent restrictiv
es etlimitatives desdifférents articlesdelaconventioncollectivenationale du travaildesorganismes desécurité sociale et de laconvention collective nationalede prévoyance. La radiation deseffectifs à l'issue d'unepériodede trois ans d'absence continuepour invalidité ou longuemaladie necorrespond-elle pasplutôt àune suspension ducontrat de travail. Enconséquence,il luidemandes'ilpeut apporter desprécisions permettant aux réqué-rantsdeseprévaloir des avantagesconventionnels qui ne sontpas liés à la présence du salarié à son poste de travail.
Retraites complémentaires (conditions d'attribution)18111. - 12janvier1987. - M.No41 Ravassardattire l'atten-tion de M. le ministre des affaires sociales et de l'emploi surles conditions d'attribution de la retraite complémentaire salarialequi varient selon quele'demandeur, aumomentoùildéposesondossier, estartisan ousalarié. Si, àsoixanteans, aprèsavoirexercéuneactivité salariée,une personnefaitvaloirses droits àla retraite en tant qu'artisan,ilpercevraunepensionàtauxpleinmais devra attendre soixante-cinq ans pour percevoir la pensionde retraite complémentaire salariale. Mais si, à soixante ans,après avoir été salarié, puis artisan, il est de nouveau sal
arié, ilpercevra immédiatement la pension de retraite à taux plein etcelle de la retraite complémentaire salariale. Il lui demande doncde bien vouloir envisager l'uniformisation des règles d'attributionde la retraite complémentaire salariale afin qu'elle puisse êtreservie dès soixante ans à toutes les personnes concernées justi
-fiant de 150 trimestres d'activité qu'elles terminent leur carrièr een tant que salarié ou à la tête de leur entreprise artisanale. Retraités : généralités (pensions de réversion)18169. -12 janvier 1987. - M.NoIl Ravassardattire l'atten-tion de M.le ministre des affaires sociales et de l'smp'url'allocation de préretraite progressive à laquelle les veuves perc
e-vant une pension de réversion ne peuvent prétendre . Ainsi uneveuve dont la pension de réversion " s'élève » à 102 f
rancs partrimestre est-elle exclue de cet avantage. Des femmes aux res-sources plus que modestes, qui ontvécu des drames, qui ont dûassumer de lourdes charges, sont pénalisées. Il lui demande doncde bien vouloir reconsidérer certaines dispositions du décretno84-295 du 20 avril 1984 afin que soitpossible,dans des limitesqu'il conviendrait de fixer, le cumul d'une pension deréversionet de l'allocation de préretraite progressive.
Retraités généralités (pensions de réversion)18182. -12 janvier 1987. - M.Alain Rodetattire l'attention deM. le ministre des affaires sociales et de remploi sur la situa-tion suivante: une veuve percevant une pension de réversiond'un montant pratiquement dérisoire, dans un cas d'espèce connuet identifié, 102 francs par trimestre au titre de la réversion, i
nter-disent à cette veuve de bénéficier des dispositions de la prére-traite progressive. En conséquence, il lui demande s'il est dansses intentions de procéder à la modification dans ce sens dudécret na84-295.
Services (interprètes)
18176. -12 janvier 1987. - M.Dominique Strauss-Kahnappelle l'attention de M. leministre das affaires sociales et del'emploisur les difficultés rencontrées par les interprètes-traducteurs. Recrutés pour des durées déterminées par des asso-ciations ou organismes comme interprètes, guides devoyages,organisateurs de stages, etc., ils sont du fait de leur statut de" travailleurs salariés saisonniers intermittents» dans une sit
ua-tion très précaire. Ils ne peuvent prétendre à des indemnités dechômage quedans desconditionstrès restrictives, nebénéficientpas de la sécurité sociale s'ils ne réalisent pas 200 heures de
tra-vail par trimestre alors qu'il leur est difficile de satisfaire à cettecondition compte tenu de la nature même de leur travail, ni d'in-demnités journalières en cas de maladie. De surcroît, la législa-tion•impose à l'éccasion dechaque recrutement des procédurestrèslourdes qui découragentlesemployeurs.IIdemandeenconséquence au Gouvernement s'il ne pense pas utile de mettreen place un statut spécifique desinterprètes-traducteursqui per-mettrait à cette catégorie particulière de salariés de bé
néficierd'une meilleure protection. Retraitesgénéralités (allocation deveuvage)18179. - 12 janvier 1987. - M.Alain Vivienattire l'attention deM. le ministredes affaires socialesetde l'emploiet luidemande s'il envisage d'accepter laprolongationjusqu'àcinquante-cinqans de l'allocationveuvage pourlespersonnesquipourraient ainsi, dès qu'elles auraient atteint ce seuil, bénéf
icierde la pension de réversion de leur mari.Retraites généralités
(pensionsde réversion)18180. -12 janvier 1987. - M.Alain Vivienattire l'attention deM. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur la situa-tion desveuves quine sont pas éligiblesaux dispositions offertesaux travailleurs placés en position de préretraiteprogressivedèscinquante-cinqans (travail à mi-temps et versementd'une alloca-tioncomplémentaire). Eneffet, il suffitqu'une veuve disposed'unepensionde réversion, si minime soit elle, pour qu'elle soitexclue du bénéfice de la mesure précitée. II luidemandes'il neconviendrait pasde modifier cet état de faitdiscriminatoireetd'ouvrir ce droit aux veuves dès lors que leur pension de réver-sion est particulièrement modeste.
12 janvier 1987
ASSEMBLÉE NATIONALE
91Retraites
: généralités (allocation de veuvage)18181. - 12 janvier 1987. - M. Alain Vivien attire l'attention deM. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur la pos-sibilité d'étendre le bénéfice de l'allocation veuvage aux per-sonnes qui n'ont pas élevé d'enfant, et lui demande quel serait le
coût de cette mesure.Risques professionnels (prestations en nature)
1M1M. - 12 janvier 1987. - M. Emmanuel Aubert attire l'atten-tion de M. le ministre des affaires sociales et de l'emploi surl'appliS:tion du décret na84-492, du 22 juin 1984(Journalofficieldu 26 juin 1984), qui ajoute un nouveau tableau de maladies pro-fessionnelles, no76, intitulé: " Maladies infectieuses contractéesen milieu hospitalier ». H est paradoxal de constater que seul lepersonnel non titulaire bénéficie de la présomption d'origine p
ro-fessionnelle de la maladie, alors que les titulaires des établisse-ments de soins publics doivent apporter la preuve de l'imputabi-lité du service dans la contraction de leur maladie. II luidemande si, pour remédier à cette anomalie, il ne serait pas envi-
sageable que les tableaux de maladies professionnelles s'appli-quent au personnel titulaire de la fonction publique en laissant àl'administration la charge d'apporter la preuve contraire.
Assurance maladiematernité:prestations
(prestations en nature)18106. - 12 janvier 1987. - M. Serge Charles attire l'attentionde M. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur lespréoccupations exprimées par la Fédération nationale desmalades infirmes et paralysés. Cette fédération s'emploie, depuisplus de quarante ans, à promouvoir la reconnaissance des per-sonnes malades et handicapées. Elle constate que, gràce auxprogrès de la technique et de la recherche médicale, des avancé
esont été réalisées dans le domaine de la mattrise de la maladie etque les limites du handicap ont été repoussées. Les membres decette fédération font remarquer, néanmoins, que leur organisati
onest porteuse d'une réalité de vie souvent difficile pour les per-sonnes encore marginalisées. Ils continuent par conséquent àmener une action pour l'insertion sociale de tous, personnes ougroupes n'ayant pas leur place pleine et entière dans la société
.Or ils manifestent quelque inquiétude en ce qui concerne lemaintien du niveau de la protection sociale. En effet, ils crai-gnent que n'apparaissent peu à peu deux catégories de per-sonnes, les unes pouvant se prémunir contre les risques de lamaladie, et les autres étant exclues d'une couverture sociale. IIlui demande per conséquent de bien vouloir lui faire connaîtreson avis sur ces différentes questions.
Préretraites (politique et réglen.s,tation)
18200. - 12 janvier 1987. - M: André Fenton expose à M. leministre des affaires sociales st de l'emploi que le décretno82-991 du 24 novembre 1982 a consacré un véritable renie-ment de la signature de la puissance publique à l'égard des pré
-retraités. C'est notamment le cas des dispositions Instituant undélai de carence relatif aux congés payés, un prélèvement
de lasécurité sociale de 5,5 p. 100 (au lieu de 1 p. 100 pour lesretraités) et la suppression du paiement de trois mois d'indemnité
suivant l'entrée dans la soixantième année. Il lui demande lesmesures qu'il compte prendre pour rétablir dans leurs droits lespréretraités qui ont, sur la foi de l'engagement de l'Etat, acceptéde cesser leurs activités afin de faire place à des jeunes dans le
sentreprises.Sécurité sociale (caisses)
18208. - 12 janvier 1987. - Mme Élisabeth Hubert attire l'at-tention de M. le ministre des affaires sociales et de l'emploisur l'avenir qui sera réservé aux adhérents de la caisse de pré
-voyance des personnels des organismes de sécurité socialeC.P.P.O.S.S.) dont la faillite sera effective le 1Kjanvier prochain.~1 est envisagé d'intégrer les cotisants à une caisse d'employés(A.R.C.O.) ou à une caisse de cadres (A.R.O.I.C.) selon les cas.Elle souhaiterait, cependant, cormiers les mesures qui serontpprises: 1° pour que les retraites soient effectivement versées ;2epour que les futurs retraités, qui seront intégrés au sein d'un
eautre caisse, soient assurés de percevoir des sommes correspon-dent aux cotisations qu'ils ont versées depuis des années
. Ellesouhaiterait, enfin, connaître le nom de l'organisme habilité à assurer la période transitoire.Sécuritésociale (caisses)
18208. - 12 janvier 1987. - Mme Ellsabeth Hubert attire l'at-tention le M. le ministre des affairas sociales et de l'emploisur l'incohérence du système de cotisations auquel sont soumisles praticiens conseils, salariés de la C.N.A.M.T.S. Au regard descomités d'entreprises, les situations sont diverses: 1° soit un rat-tachement aux C.E. des C.R.A.M.; 20 soit un rattachement par-tiel aux C.E. des C.P.A.M. Compte tenu de leur statut, les prati-ciens conseils ne sont cependant ni électeurs, ni éligibles dans c
esC.E. Certaines régions ont eu l'autorisation de créer des C.E.propres aux services médicaux, mais la direction actuelle de laC.N.A.M. semble s'opposer, aujourd'hui, à la création des C.E.de praticiens conseils dans les régions qui n'en sont pas dotées.Elle lui demande, en conséquence, de bien vouloir lui préciser les
mesures qu'il envisage de prendre en ce sens. Retraites complémentaires (hopitaux et cliniques)10212. - 12 janvier 1987. - M. /Main Jacquot rappelle à M. leministre des affaires sociales et de l'emploi que les praticienstemps plein des hôpitaux publics sont assujettis au régime com-plémentaire de retraite de l'lrcantec. De plus, le décretn° 84-1022 du 20 novembre 1984 permet aux praticiens tempsplein hospitaliers n'ayant jamais eu de secteur privé, ou ayantrenoncé à ce secteur avant le 20 avril 1984, de valider la fractio
nde leur rémunération non soumise à cotisation au cours de l'inté-gralité de leur activité temps plein, soit: 1° la moitié de la rému-nération totale jusqu'au 31 juillet 1976; 20 le tiers de la rémuné-ration totale à compter du Ica,août 1976. Or après avoir reçu lesrésultats de leur demande d'évaluation, les médecins ont appris
que: 10les cotisations sont systématiquement actualisées par uncoefficient égal au rapport entre le salaire de référence appli
cableau moment de la demande, et celui applicable au moment où lesrémunérations ont été perçues; 2* le bénéficiaire de la validationest redevable, non seulement de la " part agent », mais aussi dela " part employeur »; 30 le règlement des cotisations doit étreéffectué en une seule fois après réception de la notificatio
n défi-nitive. Dans des conditions, il est évident que nombre demédecins n'auront pas la possibilité financière de recourir à cetavantage mentionné dans le décret du 20 novembre 1984. II luidemande donc de bien vouloir reconsidérer les modalités de cetteopération, en particulier la question concernant la " partemployeur », injustement imputée au demandeur, ainsi que lapossibilité pour les bénéficiaires de pouvoir effectuer des rè
gle-ments par anticipation pour bénéficier d'un étalement fiscal. Assurancemaladie maternité: prestations(frais d'hospitalisation) 18218. - 12 janvier 1987. - M. Jean Klffer rappelle à M. leministre des affaires sociales et de l'emploi que le régimelocal d'assurance maladie en vigueur dans les départements duBas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle, a toujours permis auxassurés une prise en charge à 100 p. 100 de l'hospitalisation.C'est ainsi que le décret n° 85-1507 du 31 décembre 1985, aprévu que le forfait hospitalier institué à l'article 4 de la l
oin° 83-25 du 19 janvier 1983 serait pris en charge par ce régime.La nouvelle hausse du forfait hospitalier va poser le problème dufinancement de la prise en charge à 100 p. 100 de l'hospitalisa-tion dans les trois départements concernés. Il lui demande debien vouloir lui faire connaître les mesures qu'il envisage deprendre pour permettre ce financement et conserver l'originalitédu régime local de sécurité sociale.
Jeunes (emploi)
18218. - 12 janvier 1987. - M. Jean-Claude Lainant attire l'at-tention de M. I. ministre des affaires sociales et de l'emploisur la méthode de calcul des droits à l'allocation chômage pour
les jeunes effectuant un travail d'utilité collective. En effet, souscertaines conditions, l'affiliation à l'assurance chômage est par-
tiellement possible pour les tucistes. Après une année de travaild'utilité collective, le temps d'affiliation à l'assurance chôm
ageatteint presque quatre-vingt dix jours, seuil au-delà duquel toutemployeur doit verser des indemnités de licenciement. Dans cesconditions, toute personne désirant embaucher, qu'elle soitpublique ou privée, peut hésiter à renouveler un emploi à un
tuciste ou à l'embaucher. Il lui demande en conséquence de luifaire part des réflexions que lui inspire ce sytème qui peut ét
reconsidéré comme un frein à l'embauche des jeunes. 92ASSEMBLÉE NATIONALE
12 janvier 1987
Départements (personnel)
18222. -12 janvier 1987. - M. Phlllppe Legras appelle l'atten-tion de M. le ministre des affaires sociales et de l'emploi surles conditions dans lesquelles doit s'opérer, à compter dule,jan-vier 1987, le transfert de l'Etat vers les départements de la priseen charge des cotisations d'assurance personnelle, transfert prévupar la loi ne86-824 du 11 juillet 1986. Si la compensation finan-cière de cette charge nouvelle doit intervenir par abondement descrédits de la dotation générale de décentralisation, il ne s
emblepas qu'ait été envisagé un transfert des moyens en personnelnécessaires à l'exercice de cette nouvelle mission. Or la loin° 83-8 du 7 janvier 198.E relative à la répartition des compé-tances entre les communes, les départements, les régions et l'Etat
avait posé comme principe fondamental que tout transfert decompétences de l'Etat au profit des départements et des régions
s'accompagnerait du transfert des services correspondants. Il luidemande en conséquence s'il entend donner des Instructions auxcommissaires de la République afin que les effectifs dont ils dis-posent dans les D.D.A.S.S. pour la gestion des dossiers de priseen charge des cotisations d'assurance personnelle soient mis à ladisposition des exécutifs départementaux.
T.V.A. (champd'application)
11223. - 12janvier 1987. - M. Claude Lorenalni appelle l'at-tention de M. le ministre des affaires sociales et de l'emploisur les inconvénients de ia direction européenne qui exclut lessoins à personne du champ d'application de la T.V.A. En l'étatactuel et de ce fait les médecins ne peuvent récupérer la T.V.A.des matériels qu'ils achètent. II semble toutefois, pour demeureren conformité avec les règles communautaires,qu'Ilsoit possibled'envisager d'autres formes d'aide à l'installation des jeunesmédecins, telle une exonération temporaire ou un aménagement -en taux, durée ou base de calcul - de la taxe sur les salaires. Ildésire connaître la position et les intentions ministérielles s
ur unetelle suggestion.Impôts et taxes (taxe sur les salaires)
11!!1. - 12janvier 1987. - M. Claude Lorenainl appelle l'at-tention de M. le ministre des affaires 'octales et de l'emploisur certains aspects de la taxe sur les salaires en tant qu'elle s'ap-plique à certaines professions libérales (les médecins, parexemple). Si le principe est que cette taxe est due par tous ceuxqui paient des salaires, il comporte de nombreuses exceptions(assujettis à la T.Y.A., agriculteurs, collectivités publiques). Lesmédecins n'étant pas assujettis à la T.V.A. - l'option est impos-sible pour eux - ils sont redevables de la taxe sur les salaires.Celle-ci comporte un taux normal et deux majorés (8,5 et13,60 p. 100) en fonction des rémunérations individuellesannuelles. Une telle charge que certains estiment " anti-sociale »présente un caractère dissuasif et, dans certains cas dont il a eu
connaissance, a conduit à l'impossibilité de créer des emploisdesecrétariat médical. A tout le moins souhaite-t-il, à partir de cesconsidérations, que le seuil des salaires supportant les tauxmajorés, fixé sans ajustement depuis de nombreuses années, soit
relevé dans des conditions qui pourraient aussi constituer uneincitation à l'embauche. Retraites: généralités(majorations des pensions)18237. -12 janvier 1987. -M.Jacques Médecin attire l'atten-tion de M. le ministre des affaires sociales et de l'emploi surla situation de certains retraités dont les revenus sont modestes.Une allocation pour conjoint à charge a été créée pour ai
der lesretraités de faibles ressources, lorsque ceux-ci ont à leur chargeun conjoint sans aucun revenu. Or, cette allocation est restée blo-quée depuis 1976 à 4 000 francs par an, rendant chaque annéel'aide de moins en moins efficace. II lui demande donc s'il neserait pas envisageable de revaloriser cette allocation fort utileaux couples retraités.
Jeunes (emploi)
18282. -12 janvier 1987. -M.Jean Ueberschlag attire l'atten-tion de M. I. ministre des affaires sociales et de l'emploi surles contrats d'adaptation. En vertu de la réglementation actuelle,les jeunes, à l'issue de leur apprentissage, ne peuvent bénéfic
ierd'un contrat d'adaptation pour un même poste dans la mêmeentreprise. II désirerait savoir s'il serait possible d'autoriser laconclusion de tels contrats dans le cas spécifique des jeunesayant échoué aux examens sanctionnant la fin de leur apprentis-sage.Téléphone (télé-alarme)
182M. -12 janvier 1987. -M.Pierre Wulsenhorn demande àM.le ministre des affaires sociales et de l'emploi de bienvouloir lui fournir la liste complète de l'ensemble des associa-tions, services communaux ou tous organismes, et ce pour l'en-semble de la France, qui ouvrent dans le domaine de la télé-alarme au service des personnes âgées.
Prestations familiales (caisses)
11271. -12 janvier 1987. -M.Plana sergent attire l'attentiondeM.le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur lafacilité apparente avec laquelle les caisses d'allocations familiales
peuvent être les victimes lors de l'établissement de dossiers et desversements correspondants, par des personnes non habilitées àpercevoir des allocations. Des affaires récentes, notamment dansle département du Nord, tendraient à établir que de telles opé
ra-tions illégales peuvent être réalisées avec une relative facilité. IIdemande quelles sont les mesures qui peuvent être prises pouréviter de telles escroqueries à l'avenir, et notamment s'il n'est
pasPossible, conformément au programme élaboré pour la campagneélectorale de la majorité, de faire en sorte que les allocations à
caractère nataliste soient réservées aux seuls ressortissantsfrançais; et pour ce qui concerne les enfants d'immigrés, à ceuxd'entre eux effectivement nés en France.
Impôtset taxes (taxe surlessalaires)
11271. -12 janvier 1987. - M. Jean Brocard expose à M. leministre des affairas sociales st de l'emplo qu'Ilvient d'êtreinformé de la modification de l'échéancier de la taxe sur lessalaires payées par les professions libérales, c'est-à-dire le
paie-ment de cette taxe mensuellement à compter dule,janvier 1987,alors que, jusqu'à présent, elle était acquittée trimestriel
lement•dans le même temps que les cotisations à l'U.R.S.S.A.F. et auxAssedic. Comme le plafond qui autorise l'administration à perce-voir cette taxe est de 500 francs par mois, une telle mesure vatoucher de nombreuses professions libérales, ce qui va entraînerpour des professionnels une paperasserie supplémentaire et pour1 administration la réception de douze bordereaux au lieude quatre. II est donc demandé de lui faire connaître la motiva-tion d'une telle mesure qui ne semble pas devoir améliorer lasituation de nos concitoyens et s'il ne scmble pas préférable demaintenir la réglementation actuelle.
Assurance maladie maternité: prestations(frais de cure)18281. -12 janvier 1987. - M. Jean Oougy attire l'attention deM. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur lanécessité pour les stations thermales françaises, notamment cel
lesdes Pyrénées-Atlantiques, de pouvoir à brève échéancese restruc-turer et améliorer les conditions;'accueil des patients. Or, cecine peut se faire que si la sécurité sociale accepte de relever les
prix des cures, bloqués depuis 1946. Lui rappelant qu'en généralvingt et un jours de cure représentent un prix égal ou inférieu
r àcelui de la journée d'hospitalisation la moins élevée, il luidemande si des mesures sont envisagées pour que le prix descures soit réévalué, permettant ainsi aux stations de combler c
er-tains retards technologiques, et de devenir des pôles touristiquesimportants.Handicapés (personnel)
18284. -12 janvier 1987. - M. Jean Oougy attire l'attention deM. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur le refusd'agrément de l'avenant ne173 du 18 septembre 1986 à laconvention collective nationale du travail du 15 mars 1966. Cettedécision a créé un grand désarroi parmi les personnels salar
iésdes établissements sociaux et médico-sociaux s'agissant de laremise en cause d'un principe appliqué depuis de nombreusesannées: celui de la similitude en matière de politique salarialeentre la fonction publique et le secteur privé. II lui demandedonc que des mesures immédiates soient prises pour rétablir laparité entre les personnels de l'enfance inadaptée et ceux de lafonction publique.
Etrangers (étudiants)
18288. -12 janvier 1987. - M. Jean Oougy attire l'attention deM. le ministre des affaires sociales et de l'emploi sur lateneur d'un télégramme expédié le IO décembre 1985 par le
ministre de l'intérieur de l'époque aux commissaires de la Répu12 janvier 1987
ASSEMBLÉE NATIONALE
93blique et au préfet de police. On peut relever en effet que, selonle rédacteur, il conviendrait " d'inviter les étudiants étra
ngers quisollicitent la délivrance d'une première carte de séjour tempor aireà souscrire une assurance e'iprés de sociétés nouvelles privées,telles que la M.N.E.F. ». Or, la copie de ce télégramme a étéjointe à une réponse adressée par le ministère des affairessociales et de l'emploi le 29 octobre 1986, sous référence: sous-direction des affaires administratives et financières, bureau AL,6/85, au directeur de la C.N.A.M.T.S. qui, à son tour, l'a trans-mise à l'ensemble des directeurs et agents comptables des caissesprimaires d'assurance maladie. Dans sa lettre d'accompagnementdu 14 novembre, le directeur de la C.N.A.M.T.S. reprend d'ail-leurs la consigne donnée aux fonctionnaires de préconiser laM.N.E.F. Il lui demande donc de prendre toutes mesures pourfaire cesser une telle action de publicité en faveur d'une seuledes mutuelles étudiantes, et qu'en application du devoir deréserve les fonctionnaires reçoivent la consigne expresse de s'abs
-tenir de tout conseil dans le choix d'une mutuelle par les étu-diants étrangers. Retraites complémentaires (calcul des pensions)18297. -12 janvier 1987. -M. Jean-Louis Massonappellel'attention deM. le ministre des affaires sociales et de l'em-ploisur la situation desengagésvolontaires dans l'armée fran-çaise, au regard de leurs droits à pension de retraite. Il luiexpose la situation d'un engagé volontaire pour la période1951-1953 dont la veuve ne peut faire prendre en compte, parl'organisme de retraite complémentaire qui lui sert sa pension deréversion, la totalité de la périoded'engagement de son époux.En effet, l'organisme en question refuse de valider la durée légal
edu service militaire accompli par l'intéressé. II lui demande debien vouloir lui faire connaître les mesures qu'il serait possiblede prendre pour permettre aux engagés volontaires de bénéficier
d'une couverture complémentaire qui prenne en compte la duréetotale de leur engagement.quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] Le financement des études
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