Physique Acoustique Bases de léchographie
Oct 21 2016 Hz = unité de mesure de la fréquence ... Une onde de pression est une déformation localisée de ... Lien entre la longueur d'onde ? et C.
Ondes Electromagnétiques
Figure 1.1: Spectre des ondes électromagnétiques (en fréquence et en longueur d'onde). Remarque sur les unités spectrales : selon les communautés
Mesures de longueurs donde pour létablissement dun système de
2° Mesure des rapports des longueurs d'onde de cette radiation et définira dès lors
Caractéristiques de la lumière
La longueur d'onde de son rayonnement s'étend de 380 nm (nano-mètre Le PUR dont l'unité est le µEinstein/m²/s (micro Einstein par mètre carré par ...
Le bilan énergétique terrestre : albédo effet de serre
Le sol émet un rayonnement électromagnétique dans le domaine infra-rouge (longueur d'onde voisine de 10 ?m) dont la puissance par unité de surface augmente
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Longueur d'onde ? (5 pm à 10 nm) Fréquence ? En physique
Brochure sur le SI - Annexe 3 : Unités pour la mesure des grandeurs
Mar 22 2021 En outre
Transfert Radiatif Bilan Énergétique
On peut les distinguer par leur longueur d'onde ou L'énergie transférée ou émise cette fois dans une direction spécifique par unité de surface.
Le Corps Noir
surface du corps noir à la température T et par unité de longueur d'onde. Afin d'obtenir expérimentalement la loi de variation de l'émittance spectrale avec
La longueur donde moyenne dune distribution spectrale étroite
2014 On montre que le procédé de comparaison des longueurs d'onde avec l'interféro- nombre d'ondes a par unité d'intervalle de nombre d'ondes.
MESURES DE LONGUEURS D'ONDE
POUR L'ÉTABLISSEMENT D'UN SYSTÈME DE REPÈRESSPECTROSCOPIQUES ;
Par MM. H. BUISSON et CH. FABRY.
1.INTRODUCTION.
Les recherches
que l'on va exposer ont été entreprisesà la suite
d'une décision duCongres
de l'Union internationale pour les recherches solaires, tenu à Oxford en 1905.D'après
cette décision, les longueurs d'onde d'un certain nombre de raies d'arc doivent être prises comme repères pour les mesures spectroscopiques. Rappelons rapidement les considérations qui y ont conduit.Toutes les mesures
spectroscopiques (détermination des lon- gueurs d'onde de radiations correspondant aux diverses raies d'un spectre) se font par interpolation, en rapportant chaque raie à des raies voisines, de longueurs d onde connues. Il faut donc, pour ces mesures, connaître les longueurs d'onde d'un certain nombre de raies (repères ou raies normales).Il est utile
que leur nombre soit assez grand pour que l'interpolation soit toujours facile.Un ensemble de
repères constitue ce que l'on peut appeler un système de longueurs d'onde. Sa précision limite celle de toutes les autres mesures spectroscopiques. Ur, les puissants appareils disper- sifs dont on dispose aujourd'hui (réseaux de Rowland ou appareils prismes) permettent de faire, par interpolation, des mesures exactes au millionième en valeur relative. Il est, par suite, nécessaire que les longueurs d'onde des repères soient connues avec une préci- sion qui atteigne au moins le millionième. Au point de vue purement spectroscopique, les longueurs d'onde interviennent seulement par leurs rapports ; on pourrait les expri- mer au moyen d°nne unité arbitraire. Mais il est évidemment ration- nel, puisque les longueurs d'onde sont des longueurs, de les rap- porterà l'unité de
longueur ordinaire, au mètre. La comparaison d'une longueur d'onde avec le mètre est une opération métrolo- gique, qiii exige des méthodes spéciales, et qui nécessite l'interven- tion de l'étalon matériel qui représente le mètre, tandis que la com- paraison de deux longueurs d'onde est une opération purement optique.L'établissement d'un
système de longueurs d'onde com- prend donc deux parties distinctes : .I. clePhys.,
4e série, t. VII. (Mars 1908.)12Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019080070016900
170Il
Comparaison
avec le mètre de la longueur d'onde d'une certaine radiation ;2° Mesure des
rapports des longueurs d'onde de cette radiation et d'un certain nombre d'autres qui serviront de repères dans le spectre.Les anciens
systèmes de longueurs d'onde, tels que celui d'Ang- strôm, ne visaient pasà une
grande précision : les nombres n'yétaient donnés
qu'avec cinq chiffres, c'est-à-dire avec une précision moindre que le cent-millième, précision sans doute suffisante alors, euégard
à la faible
dispersion des appareils dont on disposait.Depuis vingt ans,
toutes les mesures spectroscopiques ont été faites en prenant comme point de départ les nombres deRowland,,
bien qu'à la mêmeépoque
d'autres observateurs aient donné des résultats au moins aussi précis.Les nombres de Rowland com-
prennent toutes les raies qu'il put observer dans le spectre solaire (environ 20 00) et un petit nombre de raies métalliques empruntéesà la lumière de l'arc. La mesure
absolue, base du système,était
celle de la raie D fi obtenue parBell dans le laboratoire de Rowland.
Un certain nombre de raies furent
comparéesà celle-ci
par la mé- thode des coïncidences, et les autres mesurées par interpolation.Rowland
pensait que les valeurs absolues étaient exactes au cent- millième, et que les rapports des longueurs d'onde ne devaient pas contenir d'erreurs dépassant le millionième.Les mesures absolues de Michelson et
Benoît,
en 1893,sur les raies du cadmium, montrèrent que les nombres de Rowland étaient erronés d'environ - 1 Les spectroscopistes ne firent pas grande attention à ce résultat ; les rapports de longueurs d'onde, seuls, les intéressent, et on n'avait encore aucune raison de douter de l'exac- titude, en valeur relative, des nombres de Rowland. En 1901, Fabry et Perot firent une série de mesures interférentielles sur les raies solaires. Une trentaine des raies, entre les longueurs d'onde 4643 et 6471,
furent séparément comparées avec une raie du ladmium.
Soit A la
longueur d'onde exacte, ainsi trouvée, hj la valeur indiquée parRowland
pour la même raie. Si les nombres de Roivland sont corrects en valeur relative, le rapport ~~ doit être le même pour (1)Physique,
le série, t. :lYV, p. 98; 1902;Asl1'o-
physical .Journal, t. XV, p. 73 et26,1;
1902.
171
toutes les raies. Il n'en est pas ainsi. Ce rapport varie d'une raie à l'autre, et il varie d'une manière régulière dans la partie
étudiée du
spectre.Pour deux raies
voisines, ce rapport a sensiblement la même valeur ; pour deux raieséloignées,
il peut y avoir des écarts atteignant8 millionièmes.
Donc, tandis que dans les tables de Rowland les erreurs acciden- telles sont très faibles, il y a des erreurs systématiques qui fassent les rapports des longueurs d'onde de quantités très notables.Ces erreurs
peuventêtre attribuées à
l'emploi des réseaux, qui présentent inévitablement des erreurs systématiques de tracé.D'ailleurs, Kayser
a essayé de refaire des comparaisons de lon- gueurs d'onde par la méthode des coïncidences, en se servant de réseaux de Rowland. Il a trouvé que les résultats dépendaient des réseaux employés ( ~ ) . On peut conclure que le réseau, excellent appareil dispersif, suffit pour des mesures par interpolation sur un intervalleétroit,
mais ne peut convenir ni pour des mesures absolues, ni pour comparer deux raieséloignées.
Il faut encore
remarquer, propos de l'emploi des repères deRowland, qu'ils
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