Le cheval thérapeute pour lhomme: présentation indications et
14 mars 2018 Pour avoir accepté d'être ma directrice de thèse et m'avoir suivie ... le cheval
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Mais j'adore ça j'adore sa crinière rousse qu'elle Elle s'expose ainsi volontairement à des personnes mal intentionnées. ... inspiration
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17 sept. 1992 Art. 21. Il est tenu un dossier individuel par fonctionnaire. ?????????????????????????.
La fiancée de Lammermoor
ma crinière jusqu'à ma queue rugir comme un l'honneur de l'Écosse et ma honte
Un cheval pour mon royaume! La place du cheval dans la
19 oct. 2012 Je souhaite également remercier ma famille : d'abord ma mère et ... Souvent les crinières des chevaux représentés recouvrent la moitié de.
HENRI Maud
l'élaboration de cette thèse ont contribué à ma formation. La personne complice d'une telle manœuvre s'expose aux mêmes sanctions.
Pensées. Éd. complète
dire quand ils n'offrent pas à ma pensée des objets aussi Le natiïrel qui s'expose à la risée sans la prmoir
Cahiers de Narratologie 10.1
1 janv. 2001 Un enjeu majeur dans les débats qui ont suivi ma proposition ... en relief la modification du statut de l'énonciateur qui s'expose comme ...
Sénèque Les Troyennes (2 extraits)
J'ai perdu mon père et ma vénérable mère : le divin Achille tua mon père et ravagea la [494] Hector reprend son casque ombragé d'une épaisse crinière.
ERPA Thème ?
3 oct. 2017 abstrait ; le corps s'expose sans gêne ; l'art d'en rire ; l'art du ... l'adolécent créateurs" Cadeau pour ma planète
Cahiers de Narratologie
Analyse et théorie narratives
10.1 | 2001
La voix narrative
Jean-Louis
Brau (dir.)Édition
électronique
URL : http://journals.openedition.org/narratologie/6906DOI : 10.4000/narratologie.6906
ISSN : 1765-307X
Éditeur
LIRCES
Édition
impriméeDate de publication : 1 janvier 2001
ISBN : 2914561032
ISSN : 0993-8516
Référence
électronique
Jean-Louis Brau (dir.),
Cahiers de Narratologie
, 10.12001, "
La voix narrative
» [En ligne], mis en ligne le
13 octobre 2014, consulté le 24 mars 2021. URL
: http://journals.openedition.org/narratologie/6906 DOI : https://doi.org/10.4000/narratologie.6906 Ce document a été généré automatiquement le 24 mars 2021. Article L.111-1 du Code de la propriété intellectuelle.SOMMAIREAvant-proposJean-Louis BrauVoix/voie narrative : la voix métaphoréeMieke BalDétimbrage et dissonance dans L'Etranger* de Camus
Arnaud Aizier
Qui raconte l'histoire chez Simenon ?
Originalité du jeu avec la voix et le point de vueBernard Alavoine
La voix en question : L'Innommable de Beckett
Suzanne Allaire
La figure du lecteur dans les contes de Théodore de BanvillePhilippe Andrès
Tradition orale et instance narratrice dans En attendant le vote des bêtes sauvages deAhmadou Kourouma
Clément Animan
Brillante porvenir de Vicente Aranda : l'équivocité du discours au service de la liberté intellectuelleJean-Paul Aubert
L'ambiguïté narrative dans l'oeuvre romanesque de Tahar Ben Jelloun : L'enfant de Sable et La nuit sacréeVioleta Maria Baena Gallé
Oscillation et dédoublement des voix narratives dans El Alhajadito (1961) de Miguel Angel" Estaba en su corredorcito. Nada era real. Imaginación. Sueños. Cuentos de las criadas viejas* »
Dante Barrientos Tecùn
Le viol du silence et la parole exacerbée : Chronique de la maison assassinée de LucioCardoso
Jacqueline Bernard
El crimen de la Cuenca de Pilar Mirò : des récits factuels au récit fictifCatherine Berthet-Cahuzac
Instance de l'auteur et narration chez Berceo : cohérence de la voix narrativeOlivier Biaggini
La polyphonie narrative à l'opéra : Werther, Massenet, " Air des lettres »Nicole Biagioli
Les voix narratives dans les subordonnées exprimant l'intentionnalité dans les Histoires d'Hérodote.Michèle Biraud
Jean Échenoz ou le récit ventriloque
Bruno Blanckeman
Voix du narrateur et identification du lecteur
Béatrice Bloch
Duras : Les voix du silence
Madeleine Borgomano
Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20011
Una meditaciòn ou le récit d'un " arrangeur »Denise Boyer
L'enseveli de Jean Schlumberger ou l'écriture d'une voix agonisanteCarmen Camero Pérez
L'ambiguïté narrative dans Clone de Julio CortàzarAdriana Castillo-Berchenko
Le problème ontologique de l'autobiographie
Jaime Cèspedes
Le " je » polyphonique du monologue intérieur dans L'Etranger de Camus.Cvetanka Conkinska
La voix narrative dans les Rêveries du promeneur solitaireMarie-Hélène Cotoni
Voix narrative d'une conscience : le cas des écrits spirituels d'Anselme de CantorbéryJean-François Cottier
" La voix de son maître » La construction du lecteur par le discours auctorial dans Les Etudes de moeurs de BalzacChristèle Couleau
L'écho et l'écart : la voix narrative dans Clarissa (1747-48) de Samuel RichardsonHélène Dachez
Rhétorique et voix narratives dans les Héroïdes d'OvideÉvrard Delbey
La polyphonie narrative : techniques, fonctions, incidences sur la lecture dans El Árbol de la cienca et La Dama errante de Pìo BarojaElisabeth Delrue
La voix de l'enfant dans les romans de Soledad PuértolasChristine Di Benedetto
Le mystère d'Angèle
David Muela Dìaz
Les rapports entre la voix et le point de vue dans les récits de voyage de Camillo José CelaCarmen Dubois
Pedro Almodòvar, " un homme à plusieurs facettes ». Auto-mise en récit et ambiguïté de la
personne et du sujet dans Auto-interview (1984)Magali Dumousseau-Lesquer
La voix narrative dans le populaire : Le pont des soupirs et Les amants de Venise deMichel Zévaco
Ma Carme Figuerola
Stratégies énonciatives et pratiques d'écriture journalistiques : le portrait dans Libération
Véronique Fillol
Savoir retenu et savoir manquant. Quelques enjeux de la narration omnisciente dans le récit contemporainFrances Fortier et Andrée Mercier
La dialectique de l'ambiguïté dans le Psaume opus 50c de Schoenberg ou l'ultime réconciliationAlain Fourchotte
La parole dispersée : Respiración artificial de Ricardo PigliaJosé García-Romeu
Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20012
Le silence dans Amado Monstruo et El castillo de la carta cifrada de Javier TomeoMor Gaye
Ambivalence de la voix narrative et effets d'ironie : Bartleby (H. Melville) et Un petit bout de femme (F. Kafka)Florence Godeau
El embrujo de Shangai de Juan Marsé : " un cuento chino »Elvire Gomez-Vidal
L'enfer du langage ou la désorganisation de la lecture dans Le Dernier Soupir du Maure de Salman RushdieMadelena Gonzalez
Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20013
Avant-proposJean-Louis Brau
1 Ce numéro 10 des Cahiers de Narratologie contient les actes du 6e colloque international
organisé à Nice les 6, 7 et 8 avril 2000 par le C.N.A. sur La voix narrative. Nous pensions qu'un tel thème intéresserait bon nombre de chercheurs et nos attentes n'ont pas été déçues. En effet, nous avons reçu du monde entier cent-vingt-six propositions de communications dont quatre-vingt-trois ont finalement été retenues par notre comitéde lecture, nombre déjà très important qui a posé à l'équipe organisatrice d'épineux
problèmes de regroupement thématique et de répartition horaire. Mais, comme abondance de biens ne nuit pas, tous les membres du C.N.A. : Gérard Lavergne, Fabrice Parisot, Béatrice Bloch, Alain Tassel, Marc Moser, Christine Di Benedetto, Norbert Pastor, Jean-Paul Aubert, Géraldine Puccini, Michel Cassac, Daniel Urrutia et moi- même, réunis autour de Marc Marti, cheville ouvrière de l'équipe, ont participé avec enthousiasme à l'organisation complexe d'un colloque de cette importance.2 Après les passionnantes conférences plénières données par Mieke Bal, Philippe Hamon,
et Christian Boix, qui nous ont fait l'honneur de présider chacune des trois journées, les communications ont été réparties en trois ateliers simultanés. Un premier groupe de communications était centré sur des problèmes théoriques aussi captivants que ceux de la voix de l'auteur, du lecteur, du traducteur ou de la raison dans le récit fantastique, ou encore ceux des enjeux de la narration omnisciente. D'autres chercheurs ont traité les thèmes de la polyphonie narrative, de l'ambiguïté de la voix narrative, des problèmes que cette dernière pose dans l'autobiographie, la poésie, la peinture, la musique, le cinéma. Si le gros des communications a porté sur la littérature contemporaine, de Kafka, Camus, Giono, Malraux, Beckett, Conrad à Cortazar, Kundera, Ben Jelloun, Rushdie, Brookner, en passant par Duras, Le Clézio, Simon, Derrida, Rulfo, Vargas Llosa et bien d'autres, l'Antiquité, le Moyen-âge et les 18 e et 19e siècles n'ont pas été oubliés. Au total, c'est une somme impressionnante d'analyses de la voix narrative qui sontprésentées ici et qui ont donné lieu à de fructueux débats. Le colloque a été clôturé par
une table ronde présidée par Vincent Jouve et qui a réuni tous les participants dans la magnifique salle du Centre Universitaire Méditerranéen pour dresser un rapide bilan et ouvrir des perspectives pour l'avenir, mais un incident technique nous a malheureusement privés de l'enregistrement de cette table ronde.Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20014
3 Ce 6e colloque international, d'une grande richesse scientifique dont témoignent ces
deux volumes d'actes, a pu être organisé par l'équipe du C.N.A. grâce à Madame Chantal
Kircher, doyen de l'U.F.R. Lettres, Arts et Sciences Humaines, et à Monsieur Pierre Carréga, doyen de l'U.F.R. Espaces et Cultures, que nous remercions vivement pour leur soutien sans réserve. Nos remerciements s'adressent aussi à tous les organismes etinstitutions, cités par ailleurs, qui ont apporté leur concours matériel à la réussite de ce
beau colloque dont les participants ont bien voulu souligner la qualité de l'organisation et la chaleur de l'accueil.4 Le 7e colloque international du C.N.A. devrait se tenir en 2003 à Nice ou dans un pays
francophone sur le thème du lecteur.AUTHOR
JEAN-LOUIS BRAU
Le Directeur du C.N.A. (Centre de Narratologie Appliquée)Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20015
Voix/voie narrative : la voixmétaphoréeMieke Bal1 Qu'est-ce qu'une " voix » quand il s'agit d'un objet sans voix justement, un objet muet,
texte dont seule la lecture peut faire un objet esthétique ? Une voix est corporelle, trace de la personne qui parle, moulage, miroir, index du sujet. Métaphore, le concept de voix mérite un examen critique. Mot, presque " naturelle » pour rendre compte que le récit ne vient pas de nulle part et que quelqu'un en est responsable, le concept paraît indispensable.2 Un enjeu majeur, dans les débats qui ont suivi ma proposition d'amender la
narratologie genettienne, concerne le caractère métaphorique des concepts que j'avais, à la lignée de Genette, simplement essayé de rendre plus " applicables ». Aujourd'hui on voit mieux que cet enjeu comporte celui, plus important, de la portée éthique des concepts des concepts mêmes1. Celle-ci tient à son sens, ou plutôt, ses sens, impliqués
par la nature inévitablement métaphorique des concepts. Cela m'a été clair, même si insuffisamment, dès le début, mais je n'ai pas insisté assez sur la raison d'être de cetype de préoccupation dans la narratologie. Je n'ai pas assez insisté, je dirais
maintenant, sur la portée idéologique du domaine esthétique, ni de son questionnement esthético-formel. Pourtant, c'est autour de la notion de responsabilité sémiotique formulée dans les questions de base, introduites, puis désavouées parGenette : " qui parle ? » et " qui voit ? » que j'ai fini par développer toute une théorie
du texte narratif contre le grain de l'entreprise genettienne. La question " qui » n'est pas seulement une personnification, sans doute problématique, d'un aspect textuel, mais aussi un début d'enquête, une question whodunnit, qui a commis ce crime, qui indique que s'il y a paroles qui portent, qui font acte comme nous l'a appris la théorie des actes du langage, il y a responsabilité pour ces actes.3 " Qui parle ? » Ce sont les conséquences pour les deux domaines de questionnement qui
m'ont d'emblée intéressé dans l'entreprise narratologique - le niveau de formalisation, donc, d'intersubjectivité, et la portée politique - de cette question et des termes d'analyse qu'elle implique, que je propose de soumettre à un examen critique. La question qui importe, je voudrais proposer, c'est la suivante, formulée d'une façon trèsCahiers de Narratologie, 10.1 | 20016
simple : Qu'est-ce que cela veut dire de supposer que la narration possède une voix, et que celle-
ci porte une identité ? La question qui, donc, et la nature du verbe parler. Cette question en contient à son tour deux : Qu'est-ce que cela signifie ? - pour éviter la métaphoresuperposée dans la formule qu'est-ce que cela veut dire ? - et quelles sont les
conséquences ? Et ces deux questions, j'ajouterais volontiers, doivent se poser sur le mode positif aussi bien que négatif : quels sens et quelles possibilités critiques est-ce qu'on supprime en usant d'un concept comme la voix narrative ? En d'autres mots, c'est la question du statut du " métaphorique » dans les concepts, en général et dans le cas particulier de la voix narrative.4 Pour des raisons entièrement aléatoires - l'écriture manuscrite de Gérard Lavergne ! -mon assistante à Amsterdam avait mis la présente conférence sur la liste de mes
engagements de l'année, sous le titre " la voie narrative ». Un jour je me suis demandéquelle différence cela ferait à la narratologie si on remplaçait " voix-x » par " voie-e »,
une métaphore du sujet humain, anthropomorphe y compris le corps, par une métaphore spatiale. Voici donc le thème de ma communication, que je présenterai sous forme d'un petit nombre de thèses. Afin de dénaturaliser les deux mots de l'évidence, j'écrirai voix-x et voie-e tant que j'analyse les concepts, et simplement " voix » dans les autres cas. Si on la maintient, la métaphore conceptuelle de la Voix doit être conçue dans une perspective historique5 Le discours presque dévot, mais aussi souvent un peu réactionnaire, qui réclamel'historisation de tout, comme si cela constituait une valeur naturelle, a quand même
rempli le rôle utile de nous remettre les pieds sur terre après la folie de la généralisation du moment structuraliste. Aujourd'hui il semble tellement évident que toute analyse comporte une réflexion historique, qu'il me semble presque futile de le rappeler. Mais on historise peu les concepts. Historiser, il s'entend, n'est pas tracer l'origine, ni reconstruire la génétique de l'objet. C'est, plutôt, comprendre l'objet en vue de " son » moment historique : le moment où il a pris son sens plein. Bien sûr, cette thèse de bon sens requiert qu'on examine l'émergence du terme dans la critique littéraire, ce que je n'ai pas eu le temps de faire ; je dois donc me limiter à des spéculations. Si je raffolais d'origines - ce qui n'est pas le cas - je spéculerais donc que la métaphore est originaire de la période, autour des années vingt à 30, de certaines découvertes et avances technologiques. Disons plutôt que c'est un moment qui la repliera de sens et de pertinence ; c'est le moment qui pose le problème de la voix-x. En particulier, le concept de la voix-x entraîne des implications qu'on peut utilement comprendre à partir de la transition, plus lourde en conséquence qu'il n'y paraît à première vue, entre le film muet et le film sonore, transition qui a eu lieu à l'époque dite " moderniste. ».6 C'est une question de technologie tout d'abord. Avant, l'idée de pourvoir les images de
son était une idée utopique bien exotique. Le mouvement était déjà un miracle assez impressionnant, pour l'appréciation duquel des peintres comme Degas, et surtout des photographes comme Eadweard Muybridge et, en France, Etienne-Jules Marey, avaient préparé le public2. Pour tourner des expériences techniques en spectacle, on mettait un
piano dans la salle de projection. Le son était un supplément de luxe, décoratif. Mais unCahiers de Narratologie, 10.1 | 20017
jour, la technique a permis ce passage que nous trouvons tellement naturel, du film muet au film sonore.7 Le moment qui m'intéresse, dans tout cela, est celui où l'on a commencé à ajouter du
son. Le procédé d'ajouter un dialogue à un film muet s'appelait " goat-glanding3 ». On connaît le phénomène, ne fût-ce que dans sa version fictionnelle proposée unegénération plus tard, déjà nostalgique du jeu sans paroles, dans le film Singin'in the Rain
de Stanley Donen and Gene Kelly (1952) où Debbie Reynolds agit comme prothèse acoustique à l'actrice " muette » - dont la voix ne passe pas - et emporte la victoire définitive. Ce procédé ouvrit la possibilité d'un nouvel engagement du texte avec l'image, engagement qui a fait du cinéma ce troisième art qui a mis en questionl'essentialisme qui cherche à séparer les médias de façon absolue. Désormais, les études
séparées des images - dans l'histoire de l'art - et des mots - dans les études littéraires
et la linguistique - encourent le risque de développer un essentialisme, une attitudedéfensive et une fermeture aux influences dites " extérieures », dites " irresponsables »
parce que " sans expertise spécialisée ». En d'autres mots, avant leur fondation comme disciplines vraiment autonomes, dans l'après-guerre, nos disciplines étaient déjà désespérément datées, fermement enfermé dans une situation passée et se fermant fermement les yeux au contemporain.8 Mais cette situation culturelle, où le cinéma était le modèle culturel que nous necommençons qu'à lui reconnaître, tant dans sa rupture avec l'idée de média " purs »
que dans l'accession du grand public au statut de consommateur et juge de l'art, a aussi entraîné une crise. Cette crise mène à ma deuxième thèse : Le concept de " voix narrative » est un instrument misquotesdbs_dbs47.pdfusesText_47[PDF] ma femme a besoin d'air
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