[PDF] Cahiers de Narratologie 10.1 1 janv. 2001 Un enjeu





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Cahiers de Narratologie 10.1

1 janv. 2001 Un enjeu majeur dans les débats qui ont suivi ma proposition ... en relief la modification du statut de l'énonciateur qui s'expose comme ...



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Cahiers de Narratologie

Analyse et théorie narratives

10.1 | 2001

La voix narrative

Jean-Louis

Brau (dir.)

Édition

électronique

URL : http://journals.openedition.org/narratologie/6906

DOI : 10.4000/narratologie.6906

ISSN : 1765-307X

Éditeur

LIRCES

Édition

imprimée

Date de publication : 1 janvier 2001

ISBN : 2914561032

ISSN : 0993-8516

Référence

électronique

Jean-Louis Brau (dir.),

Cahiers de Narratologie

, 10.1

2001, "

La voix narrative

» [En ligne], mis en ligne le

13 octobre 2014, consulté le 24 mars 2021. URL

: http://journals.openedition.org/narratologie/6906 DOI : https://doi.org/10.4000/narratologie.6906 Ce document a été généré automatiquement le 24 mars 2021. Article L.111-1 du Code de la propriété intellectuelle.

SOMMAIREAvant-proposJean-Louis BrauVoix/voie narrative : la voix métaphoréeMieke BalDétimbrage et dissonance dans L'Etranger* de Camus

Arnaud Aizier

Qui raconte l'histoire chez Simenon ?

Originalité du jeu avec la voix et le point de vue

Bernard Alavoine

La voix en question : L'Innommable de Beckett

Suzanne Allaire

La figure du lecteur dans les contes de Théodore de Banville

Philippe Andrès

Tradition orale et instance narratrice dans En attendant le vote des bêtes sauvages de

Ahmadou Kourouma

Clément Animan

Brillante porvenir de Vicente Aranda : l'équivocité du discours au service de la liberté intellectuelle

Jean-Paul Aubert

L'ambiguïté narrative dans l'oeuvre romanesque de Tahar Ben Jelloun : L'enfant de Sable et La nuit sacrée

Violeta Maria Baena Gallé

Oscillation et dédoublement des voix narratives dans El Alhajadito (1961) de Miguel Angel

" Estaba en su corredorcito. Nada era real. Imaginación. Sueños. Cuentos de las criadas viejas* »

Dante Barrientos Tecùn

Le viol du silence et la parole exacerbée : Chronique de la maison assassinée de Lucio

Cardoso

Jacqueline Bernard

El crimen de la Cuenca de Pilar Mirò : des récits factuels au récit fictif

Catherine Berthet-Cahuzac

Instance de l'auteur et narration chez Berceo : cohérence de la voix narrative

Olivier Biaggini

La polyphonie narrative à l'opéra : Werther, Massenet, " Air des lettres »

Nicole Biagioli

Les voix narratives dans les subordonnées exprimant l'intentionnalité dans les Histoires d'Hérodote.

Michèle Biraud

Jean Échenoz ou le récit ventriloque

Bruno Blanckeman

Voix du narrateur et identification du lecteur

Béatrice Bloch

Duras : Les voix du silence

Madeleine Borgomano

Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20011

Una meditaciòn ou le récit d'un " arrangeur »

Denise Boyer

L'enseveli de Jean Schlumberger ou l'écriture d'une voix agonisante

Carmen Camero Pérez

L'ambiguïté narrative dans Clone de Julio Cortàzar

Adriana Castillo-Berchenko

Le problème ontologique de l'autobiographie

Jaime Cèspedes

Le " je » polyphonique du monologue intérieur dans L'Etranger de Camus.

Cvetanka Conkinska

La voix narrative dans les Rêveries du promeneur solitaire

Marie-Hélène Cotoni

Voix narrative d'une conscience : le cas des écrits spirituels d'Anselme de Cantorbéry

Jean-François Cottier

" La voix de son maître » La construction du lecteur par le discours auctorial dans Les Etudes de moeurs de Balzac

Christèle Couleau

L'écho et l'écart : la voix narrative dans Clarissa (1747-48) de Samuel Richardson

Hélène Dachez

Rhétorique et voix narratives dans les Héroïdes d'Ovide

Évrard Delbey

La polyphonie narrative : techniques, fonctions, incidences sur la lecture dans El Árbol de la cienca et La Dama errante de Pìo Baroja

Elisabeth Delrue

La voix de l'enfant dans les romans de Soledad Puértolas

Christine Di Benedetto

Le mystère d'Angèle

David Muela Dìaz

Les rapports entre la voix et le point de vue dans les récits de voyage de Camillo José Cela

Carmen Dubois

Pedro Almodòvar, " un homme à plusieurs facettes ». Auto-mise en récit et ambiguïté de la

personne et du sujet dans Auto-interview (1984)

Magali Dumousseau-Lesquer

La voix narrative dans le populaire : Le pont des soupirs et Les amants de Venise de

Michel Zévaco

Ma Carme Figuerola

Stratégies énonciatives et pratiques d'écriture journalistiques : le portrait dans Libération

Véronique Fillol

Savoir retenu et savoir manquant. Quelques enjeux de la narration omnisciente dans le récit contemporain

Frances Fortier et Andrée Mercier

La dialectique de l'ambiguïté dans le Psaume opus 50c de Schoenberg ou l'ultime réconciliation

Alain Fourchotte

La parole dispersée : Respiración artificial de Ricardo Piglia

José García-Romeu

Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20012

Le silence dans Amado Monstruo et El castillo de la carta cifrada de Javier Tomeo

Mor Gaye

Ambivalence de la voix narrative et effets d'ironie : Bartleby (H. Melville) et Un petit bout de femme (F. Kafka)

Florence Godeau

El embrujo de Shangai de Juan Marsé : " un cuento chino »

Elvire Gomez-Vidal

L'enfer du langage ou la désorganisation de la lecture dans Le Dernier Soupir du Maure de Salman Rushdie

Madelena Gonzalez

Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20013

Avant-proposJean-Louis Brau

1 Ce numéro 10 des Cahiers de Narratologie contient les actes du 6e colloque international

organisé à Nice les 6, 7 et 8 avril 2000 par le C.N.A. sur La voix narrative. Nous pensions qu'un tel thème intéresserait bon nombre de chercheurs et nos attentes n'ont pas été déçues. En effet, nous avons reçu du monde entier cent-vingt-six propositions de communications dont quatre-vingt-trois ont finalement été retenues par notre comité

de lecture, nombre déjà très important qui a posé à l'équipe organisatrice d'épineux

problèmes de regroupement thématique et de répartition horaire. Mais, comme abondance de biens ne nuit pas, tous les membres du C.N.A. : Gérard Lavergne, Fabrice Parisot, Béatrice Bloch, Alain Tassel, Marc Moser, Christine Di Benedetto, Norbert Pastor, Jean-Paul Aubert, Géraldine Puccini, Michel Cassac, Daniel Urrutia et moi- même, réunis autour de Marc Marti, cheville ouvrière de l'équipe, ont participé avec enthousiasme à l'organisation complexe d'un colloque de cette importance.

2 Après les passionnantes conférences plénières données par Mieke Bal, Philippe Hamon,

et Christian Boix, qui nous ont fait l'honneur de présider chacune des trois journées, les communications ont été réparties en trois ateliers simultanés. Un premier groupe de communications était centré sur des problèmes théoriques aussi captivants que ceux de la voix de l'auteur, du lecteur, du traducteur ou de la raison dans le récit fantastique, ou encore ceux des enjeux de la narration omnisciente. D'autres chercheurs ont traité les thèmes de la polyphonie narrative, de l'ambiguïté de la voix narrative, des problèmes que cette dernière pose dans l'autobiographie, la poésie, la peinture, la musique, le cinéma. Si le gros des communications a porté sur la littérature contemporaine, de Kafka, Camus, Giono, Malraux, Beckett, Conrad à Cortazar, Kundera, Ben Jelloun, Rushdie, Brookner, en passant par Duras, Le Clézio, Simon, Derrida, Rulfo, Vargas Llosa et bien d'autres, l'Antiquité, le Moyen-âge et les 18 e et 19e siècles n'ont pas été oubliés. Au total, c'est une somme impressionnante d'analyses de la voix narrative qui sont

présentées ici et qui ont donné lieu à de fructueux débats. Le colloque a été clôturé par

une table ronde présidée par Vincent Jouve et qui a réuni tous les participants dans la magnifique salle du Centre Universitaire Méditerranéen pour dresser un rapide bilan et ouvrir des perspectives pour l'avenir, mais un incident technique nous a malheureusement privés de l'enregistrement de cette table ronde.

Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20014

3 Ce 6e colloque international, d'une grande richesse scientifique dont témoignent ces

deux volumes d'actes, a pu être organisé par l'équipe du C.N.A. grâce à Madame Chantal

Kircher, doyen de l'U.F.R. Lettres, Arts et Sciences Humaines, et à Monsieur Pierre Carréga, doyen de l'U.F.R. Espaces et Cultures, que nous remercions vivement pour leur soutien sans réserve. Nos remerciements s'adressent aussi à tous les organismes et

institutions, cités par ailleurs, qui ont apporté leur concours matériel à la réussite de ce

beau colloque dont les participants ont bien voulu souligner la qualité de l'organisation et la chaleur de l'accueil.

4 Le 7e colloque international du C.N.A. devrait se tenir en 2003 à Nice ou dans un pays

francophone sur le thème du lecteur.

AUTHOR

JEAN-LOUIS BRAU

Le Directeur du C.N.A. (Centre de Narratologie Appliquée)

Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20015

Voix/voie narrative : la voixmétaphoréeMieke Bal

1 Qu'est-ce qu'une " voix » quand il s'agit d'un objet sans voix justement, un objet muet,

texte dont seule la lecture peut faire un objet esthétique ? Une voix est corporelle, trace de la personne qui parle, moulage, miroir, index du sujet. Métaphore, le concept de voix mérite un examen critique. Mot, presque " naturelle » pour rendre compte que le récit ne vient pas de nulle part et que quelqu'un en est responsable, le concept paraît indispensable.

2 Un enjeu majeur, dans les débats qui ont suivi ma proposition d'amender la

narratologie genettienne, concerne le caractère métaphorique des concepts que j'avais, à la lignée de Genette, simplement essayé de rendre plus " applicables ». Aujourd'hui on voit mieux que cet enjeu comporte celui, plus important, de la portée éthique des concepts des concepts mêmes

1. Celle-ci tient à son sens, ou plutôt, ses sens, impliqués

par la nature inévitablement métaphorique des concepts. Cela m'a été clair, même si insuffisamment, dès le début, mais je n'ai pas insisté assez sur la raison d'être de ce

type de préoccupation dans la narratologie. Je n'ai pas assez insisté, je dirais

maintenant, sur la portée idéologique du domaine esthétique, ni de son questionnement esthético-formel. Pourtant, c'est autour de la notion de responsabilité sémiotique formulée dans les questions de base, introduites, puis désavouées par

Genette : " qui parle ? » et " qui voit ? » que j'ai fini par développer toute une théorie

du texte narratif contre le grain de l'entreprise genettienne. La question " qui » n'est pas seulement une personnification, sans doute problématique, d'un aspect textuel, mais aussi un début d'enquête, une question whodunnit, qui a commis ce crime, qui indique que s'il y a paroles qui portent, qui font acte comme nous l'a appris la théorie des actes du langage, il y a responsabilité pour ces actes.

3 " Qui parle ? » Ce sont les conséquences pour les deux domaines de questionnement qui

m'ont d'emblée intéressé dans l'entreprise narratologique - le niveau de formalisation, donc, d'intersubjectivité, et la portée politique - de cette question et des termes d'analyse qu'elle implique, que je propose de soumettre à un examen critique. La question qui importe, je voudrais proposer, c'est la suivante, formulée d'une façon très

Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20016

simple : Qu'est-ce que cela veut dire de supposer que la narration possède une voix, et que celle-

ci porte une identité ? La question qui, donc, et la nature du verbe parler. Cette question en contient à son tour deux : Qu'est-ce que cela signifie ? - pour éviter la métaphore

superposée dans la formule qu'est-ce que cela veut dire ? - et quelles sont les

conséquences ? Et ces deux questions, j'ajouterais volontiers, doivent se poser sur le mode positif aussi bien que négatif : quels sens et quelles possibilités critiques est-ce qu'on supprime en usant d'un concept comme la voix narrative ? En d'autres mots, c'est la question du statut du " métaphorique » dans les concepts, en général et dans le cas particulier de la voix narrative.

4 Pour des raisons entièrement aléatoires - l'écriture manuscrite de Gérard Lavergne ! -mon assistante à Amsterdam avait mis la présente conférence sur la liste de mes

engagements de l'année, sous le titre " la voie narrative ». Un jour je me suis demandé

quelle différence cela ferait à la narratologie si on remplaçait " voix-x » par " voie-e »,

une métaphore du sujet humain, anthropomorphe y compris le corps, par une métaphore spatiale. Voici donc le thème de ma communication, que je présenterai sous forme d'un petit nombre de thèses. Afin de dénaturaliser les deux mots de l'évidence, j'écrirai voix-x et voie-e tant que j'analyse les concepts, et simplement " voix » dans les autres cas. Si on la maintient, la métaphore conceptuelle de la Voix doit être conçue dans une perspective historique

5 Le discours presque dévot, mais aussi souvent un peu réactionnaire, qui réclamel'historisation de tout, comme si cela constituait une valeur naturelle, a quand même

rempli le rôle utile de nous remettre les pieds sur terre après la folie de la généralisation du moment structuraliste. Aujourd'hui il semble tellement évident que toute analyse comporte une réflexion historique, qu'il me semble presque futile de le rappeler. Mais on historise peu les concepts. Historiser, il s'entend, n'est pas tracer l'origine, ni reconstruire la génétique de l'objet. C'est, plutôt, comprendre l'objet en vue de " son » moment historique : le moment où il a pris son sens plein. Bien sûr, cette thèse de bon sens requiert qu'on examine l'émergence du terme dans la critique littéraire, ce que je n'ai pas eu le temps de faire ; je dois donc me limiter à des spéculations. Si je raffolais d'origines - ce qui n'est pas le cas - je spéculerais donc que la métaphore est originaire de la période, autour des années vingt à 30, de certaines découvertes et avances technologiques. Disons plutôt que c'est un moment qui la repliera de sens et de pertinence ; c'est le moment qui pose le problème de la voix-x. En particulier, le concept de la voix-x entraîne des implications qu'on peut utilement comprendre à partir de la transition, plus lourde en conséquence qu'il n'y paraît à première vue, entre le film muet et le film sonore, transition qui a eu lieu à l'époque dite " moderniste. ».

6 C'est une question de technologie tout d'abord. Avant, l'idée de pourvoir les images de

son était une idée utopique bien exotique. Le mouvement était déjà un miracle assez impressionnant, pour l'appréciation duquel des peintres comme Degas, et surtout des photographes comme Eadweard Muybridge et, en France, Etienne-Jules Marey, avaient préparé le public

2. Pour tourner des expériences techniques en spectacle, on mettait un

piano dans la salle de projection. Le son était un supplément de luxe, décoratif. Mais un

Cahiers de Narratologie, 10.1 | 20017

jour, la technique a permis ce passage que nous trouvons tellement naturel, du film muet au film sonore.

7 Le moment qui m'intéresse, dans tout cela, est celui où l'on a commencé à ajouter du

son. Le procédé d'ajouter un dialogue à un film muet s'appelait " goat-glanding3 ». On connaît le phénomène, ne fût-ce que dans sa version fictionnelle proposée une

génération plus tard, déjà nostalgique du jeu sans paroles, dans le film Singin'in the Rain

de Stanley Donen and Gene Kelly (1952) où Debbie Reynolds agit comme prothèse acoustique à l'actrice " muette » - dont la voix ne passe pas - et emporte la victoire définitive. Ce procédé ouvrit la possibilité d'un nouvel engagement du texte avec l'image, engagement qui a fait du cinéma ce troisième art qui a mis en question

l'essentialisme qui cherche à séparer les médias de façon absolue. Désormais, les études

séparées des images - dans l'histoire de l'art - et des mots - dans les études littéraires

et la linguistique - encourent le risque de développer un essentialisme, une attitude

défensive et une fermeture aux influences dites " extérieures », dites " irresponsables »

parce que " sans expertise spécialisée ». En d'autres mots, avant leur fondation comme disciplines vraiment autonomes, dans l'après-guerre, nos disciplines étaient déjà désespérément datées, fermement enfermé dans une situation passée et se fermant fermement les yeux au contemporain.

8 Mais cette situation culturelle, où le cinéma était le modèle culturel que nous necommençons qu'à lui reconnaître, tant dans sa rupture avec l'idée de média " purs »

que dans l'accession du grand public au statut de consommateur et juge de l'art, a aussi entraîné une crise. Cette crise mène à ma deuxième thèse : Le concept de " voix narrative » est un instrument misquotesdbs_dbs47.pdfusesText_47
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