CONSEIL NATIONAL DES COMPAGNIES DEXPERTS DE JUSTICE
CONSEIL NATIONAL. DES COMPAGNIES D'EXPERTS DE JUSTICE. - CNCEJ-. STATUTS. (approuvés par l'Assemblée Générale Extraordinaire du 24 janvier 2008)
CONSEIL NATIONAL DES COMPAGNIES DEXPERTS DE JUSTICE
1 juil. 2010 2- Les compagnies nationales doivent regrouper des experts d'une même discipline dans l'ensemble des juridictions judiciaires ou administratives ...
ivret daccueil du nouvel expert
ivret d'accueil du nouvel expert. Conseil national des compagnies d'experts de justice. Association reconnue d'utilité publique par décret du 31/03/2008.
Les règles de déontologie de lexpert de justice
L'expertise de Justice n'étant pas une profession il ne s'agit pas d'un code I -1) L'expert qui adhère à une Compagnie membre du Conseil national est ...
Vade-mecum de lexpert de justice
24 déc. 2012 Conseil National des Compagnies d'Experts de Justice. Association Reconnue d'Utilité Publique par Décret du 31/03/2008.
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MINISTÈRE DE LA JUSTICE. CONVENTION. ENTRE. LE MINISTERE DE LA JUSTICE. ET. LE CONSEIL NATIONAL DES COMPAGNIES D'EXPERTS DE. JUSTICE. CONCERNANT.
Q u elle ex pertise privée e n ma tière dé valua tio n d es préju dice
Le Conseil national des compagnies d'experts de justice (C.N.C.E.J.) a émis dans son «. Vade-mecum de l'expert de justice » des recommandations sur
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18 avr. 2017 Convention nationale entre le ministère de la justice et le Conseil national des compagnies d'experts de justice.
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Convention nationale entre le ministère de la justice et le Conseil national des compagnies d'experts de justice. Page 20. -Sapiteur 2. Avocat ne.
Le mot du Président N°51
22 janv. 2015 Conseil national des compagnies d'experts de justice. Janvier 2015. N°51. La lettre du CNCEJ. VERSION. INTERNET. SOMMAIRE.
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ED 1Préface
deMonsieur Bruno LASSERRE
Vice- vo[‰š]}voplus noble du terme, un auxiliaire de justice indispensable; et sa contribution au service public de la justice est dutant plus importante que tant le droit que les connaissances ne cessent de se compartimenter, de se spécialiser et de se sophistiquer. On estime ainsi de 10 à 15 % la proportion des affaires portées devant la juridiction administrative qui sont réglées ave[šµ]v}všAEš que deviennent de plus en plus fortesles tensions qui traversent les place du juge et le juge ne doit pas abdiquer la sienne au profit de ce qui implique une compréhension rigoureuse de leurs rôles doivent accepter les contraintes inhérentes à leurs missions différentes, lesquelles concernent en particulier le temps: le temps , la célérité qui conditionne une justice de qualité étant parfois peu compatible avec 1 2 xpert pour mener à bien ses opérations. Le juge doit enfin pouvoirco expertise sans systématiquement passer par un débat tortueux surW[šdans cet esprit
à la française
normalement ordonnéepar le juge et confiée à un seul expert, à la différence des systèmes de common lawoù les parties nomment et rétribuent leurs propres experts, considérés comme de simples témoins au procès. vš‰oiµPšo[AE‰OEš: elles illustrent les moins fertile. Les règles de procédures et la déontologie propreà chacune de ces professions sont là pour activer leurcomplémentarité et la mettre au service justice plus pertinente et plus efficace. Je me bornerai à mentionner quelques-unes de ces règles, issues pour la plupart des décrets du 22 février 2010 et du 13 août 2013 qui sont venus moderniser la procédur administrative. Juges et experts sont dorénavant mieuxen mesure de : les seconds sont désormais inscrits dans un président de juridiction peut désigner un magistrat chargé des qrations. La coopération est‰µ] 'µ o iµP ‰µšU o}OE'µ[µv ‰OEš] OE(µ OEuššOE
o[AE‰OEš o }cuments dont il estime avoir besoin, ordonner la production de ces documents, le cas échéant sous astreinte, voire ]‰} u}Çv (]vv]OE v ]OE o[}u‰o]uvš ses missions en mettant en demeure une partie de payer sa part de elle qui lui a été octroyée honoré son obligation.Cette coopération active repose également nant toute 2 3W o[AE‰OEš [vPPU ‰OE }v
serment, à accomplir sa mission avec conscience, objectivité, impartialité et diligence o}OE'µ[š ‰} eune demande de récusation. Maisle juge veille en retour à ce que les parties ne puissent pas abusivement fragiliser lxpert en appréciant avec rigueur et objectivité les allégations formulées pour susciter un doute sur son impartialité.La entretiennent la juridiction administrative
etles experts a enfin conduit à leur confier de nouvelles missions: le donner concilier les parties. Je suis particulièrement attaché au développement des modes de règlementamiable des litiges en matière administrative et je crois que les experts sont régulièrement les personnes idoines pour parvenir à réconcilier les parties. En : la ictoire peut alors être le meilleur moyen de déerm La nouvelle édition du Vade-mecum des experts de justice expose de vOEvš o[š]}v es experts, notammentdans leur mission au service de la juridiction administrative. Ellecontribue en cela au développement des meilleures pratiques professionnelles et donc à le juge à e continue à de justiceà laquelle nous contribuonsensemble. 3 4Préface
deMadame Chantal ARENS
Premièreprésidente
de la Cour de cassation La mission du juge est de dire le droit, de statuer avec justesse, de rechercher la vérité afin de parvenir à la décision la plus intègre au éléments de preuve. Daha mihi factum, dabotibi jus, le juge applique le droit aux faits prouvés par les parties. Sollicitée par les [AE‰OEš] iµ]]]OE [ÀOE fréquemment nécessaire pour parvenir à embrasser les faits. Le Doyen Cornu avait cette juste formule : " tout juge est juge du seuil de son ignorance ». Déjà, dans une décision du 21 juillet 1862, la chambre civile de la Cour de cassation: " il est de la PµiµPv‰[]vP OEOEš u OE]OEuvšvo[AEuv des théories ou méthodes médicales et prétendre discuter des questions de pure science ». rer sur 4 5 o[ o]OEµOE }v]v µ iµP», pour [‰‰}OEšOE o À OE]š ]vš](]'µU o[AE‰OEš] }všOE]µ la manifestation de la vérité judiciaire. la preuve, témoigne des rapports compl science. Si le juge est maître de la certitude juridique, la certitude factuelljamais atteinte. Res judicata pro veritate habetur : la chose jugée est tenue pour vérité. Or, pour parvenir à la vérité judiciaire, il faut pouvoir toucher du doigt la vérité factuelle. Cette vérité seconquiert.Le juge le même plan et sont
complémentaires. Nonobstant les cas où la matérialité est incontournable, où le verdict de la science est sans appel, rappelons que le t. A pert, il revient de rechercher si le fait est avéré, au juge façon à trancher le litige qui lui estsoumis. De nos jours, les nouvelles technologies occupent une place toujours croissante, tant au sein des pratiques professionnelles la vie privée. Si cette expansion continue a permis de résoudre certains litiges, probablement insolubles il y a encore quelques années, elle a également pu nourrir de nouveaux contentieux,affichan šZv]]vUZ}uuo[OEšUest alors un allié indispensable dujuge. vade-mecum, µOE o u}o]š []všOEÀvš]}v AE‰OEš v o u} alternatifs derésolution des différends dont je soutiens le développement depuis plusieurs années, est particulièrement opportune. Les échanges souvent bloqués par des questions de fait, le rapprochement des 5 6 parties. En effet, si en dro dans la -clé transactionnelle. citoyens vis-à-c'µ[š o OE‰‰}OEš [AE‰OEš] š vš]oX ‰µ] µv ]Ì]v
[vv U ]o š ‰}]vš µv ‰OEš ‰OE}POE]À }v(]ven la restauration de cette confiance passe notamment par la lisibilité et (OEvZ]OEo[}šoošZv]]š UšµAE‰OEš][‰‰OE ZvOE dégagéepar le juge dépend de sa compréhension. du contradictoire, qui doit être conciliée avec le respect du secret professionnel et du délai raisonnable. le respect rigoureux des limitesde sa mission qui fait de le meilleur allié du juge. Parce que, contrairement au témoin expert (witness expert) du système accusatoire anglo-saxon, juge, il impartial et ne peut être, ele parties. jamais manquer à ses devoirs car il participe à asseoir la légitimé de la Justice. Par la probité du rap iµš](]OE o }oµš]}v iµOE]‰OEµvš]oo o[ gard de o[µ]š}]OE universel.OE‰‰o[µv }vš}o}P](}OEP ‰OEo‰OEš]'µUˆµÀOEvš‰}µOEµv
réalisationéthique des missions confiées aux experts, cette 6 7 nouvelle édition du vade-mecum dans la culture commune que partagent les magistrats, les praticiens du droit et les experts judiciaires. Le socle de cette culture commune trouve sa pleine expression dans un ensemble de principes déontologiques partagés }µv}OEo‰OE}]š 'µ[]o}vÀ]vš}vOEÀOEv‰OEuvv o[‰OE]š‰}µOEPOEvš]OEo'µo]š oiµš]XCe vade-mecum actualisé se
guide précieux pour accompagner les experts dans la diversité des missions qui leur sont confiées, au service des justiciables et de laJustice.
7 8Sommaire
Les Serments..............................................................................................13
Le Conseil national et les Compa..........................14 Pratiquen matière civile ..................................................25 n matière pénale................................................36 Praertise en matière administrative...................................46 Lexpertisedans les procédures amiables derèglementde différends....55Statut juridique........................................................................................61
Régimefiscal et social de lexpertise de justice........................................66Formation de lexpert...............................................................................88
Responsabilité de lexpert
Responsabilité civile de lexpert et assurance.....................................89 Responsabilité pénalede lexpert.......................................................94Lexpert européen.....................................................................................97
8 9 -Annexes Textes législatifs et règlementaires..........................................101 Loi du 29 juin 1971 (modifiéeles11 février 2004,17 juin 2008, 22 décembre 2010 et 27 mars 2012)....................................................102.. Décretsdu23 décembre 2004et ses modifications........................109 Nomenclature des rubriques expertales..........................................132.. Arrêtés des10 juin 2005 et 12 mai 2006 -Arrêté du 19 novembre 2013Extraits des textes relatifs aux missions dexpertise de justice.......146.. Code civil....................................................................................147.. Code pénal..................................................................................149.. Code de procédure civile............................................................151.. Code de commerce.....................................................................184.. Code de procédure pénale.........................................................204.. Code de justice administrative...................................................221
Con........................249
Tnne................251
9 10INTRODUCTION
Jean-Bruno KERISEL, Président de la Fédération nationale des compde cevade- ssait, alors que le statut des experts judiciaires venait ément rénové par la loidu 11 février 2004 et sonécembre 2004, de fourniraux expertsun
recueil destextes qui leur étaient désormaisapplicables, complétés des règles de déontologie élaborées par la Fédération. Dans une deuxième éditiondatant dedécembre 2006, son successeur, François FASSIO,aenrichi ce vade-mecum en lui adjoignant les principaux extraits des codes régissant l devaratif. En avril 2009, Pierre LOEPER,nouveau Président de la Fédération, devenue Conseil nationalrts de justice, est à loriginedune troisième édition, conformémentauxobjectifsdece documentenmatièredinformation des experts,en vue: - s nouveauxtels que le décret du 28 décembre 2005 en matièrede procédure civile etloi du 5 mars2007 sur la procédure pénale,
-y annoncer les projets de réforme de la procédure devant les juridictions administratives, -enfin de le compléter par une description de corps expertal, ainsi que durôle et des missions du Conseil national, désormapublique. En février 2015, sous la présidence de Marc TACCOEN, une quatrième édition avu le jour,afin nouvelles dispositions des procédures civile, pénale et administrative, compte tenu pour cette dernière de nt de la réforme du code de justice administrativequi a été parachevée 10 11 par le décret du13 août2013 relatif au statutdes experts devant ces juridictions. lsoit procédé à la présente édition,qui sera donc la cinquième, afindy inclure lesmises à jour rendues indispensables par les récentes évolutions législatives et règlementaires, ainsi que intégrer les derniers travaux du Conseil national, notammentla mise à jour des règles de déontologie.quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] Dossier de candidature Québec
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