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Un prince et une chaussure : où est-elle la princesse ? Le " complexe de Cendrillon » dans la science politique cinquante ans après MARCO

TARCHI

(Università degli Studi di Firenze) L"étude du populisme entre complexes et refoulés La formule proposée par Isaiah Berlin pour dénoncer l"impasse dans laquelle versait le débat sur la notion de populisme au lendemain du colloque intitulé " To define populism » qui s"était tenu à la London School of Economics du 19 au 21 mai 1967 est bien connue par tous ceux qui s"intéressent au sujet en milieu scientifique. Le philosophe libéral anglais avait, en cette occasion, parlé d"un " complexe de Cendrillon » qui pesait sur ce domaine d"études, en précisant comme suit sa conviction: " [Par cette formule] j"entends ce qui suit : qu"il existe une chaussure - le mot 'populisme" - pour laquelle il existe quelque part un pied. Il y a tout genre de pieds qui à peu près s"y adaptent, mais nous ne devons pas nous faire tromper par ces pieds qui à

peu près s"y adaptent. Le prince est toujours à la recherche, avec sa chaussure; et

quelque part, nous en sommes sûrs, nous attend un limbe appelé 'populisme" pur. Voici le noyau du populisme, son essence. » 1. Le caractère raisonnable d"un tel avertissement, et l"autorité de celui qui le formulait, ont contribué à ralentir les efforts pour donner du populisme une définition exhaustive et partagée par l"ensemble de la communauté scientifique; mais, d"un autre côté, l"espoir de parvenir à un accord sur la détection de ses traits essentiels ne s"est nullement éteint et a donné lieu à un débat aujourd"hui particulièrement vif, dont les enjeux ne demeurent pas moins semblables à ceux qui avaient été fixés dans les années 1960, voire auparavant. Il est donc temps de vérifier si ce complexe continue à entraver les efforts des spécialistes et, le cas échéant, en quelle mesure, et d"opérer une récapitulation des résultats que ces efforts ont permis d"obtenir au cours des cinquante ans qui nous séparent désormais du colloque de Londres.

1 Cité dans John B. Allcock, " 'Populism" : A Brief Biography », Sociology, vol. V, no. 3,

septembre 1971, p. 385, et repris par Margaret Canovan, Populism, Junction, London,

1981, p. 7.

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Romanian Political Science Review  vol. XVII  no. 4  2017 À cet effet, on peut partir d"une interrogation, et d"une remarque qui s"y rattache. Dans la métaphore proposée par Berlin, la chaussure possédée par le prince désignait un mot ou un objet? Pour le dire en d"autres termes, la formule en réalité ne recelait pas un seul problème, mais deux: d"un côté, la recherche de l"essence du populisme (la chaussure); de l"autre côté, l"individuation des phénomènes qui incarnent le populisme (le pied). Deux domaines différents et autonomes, quoique strictement liés, en étaient donc concernés: la réflexion théorique et l"observation empirique. De 1967 à nos jours, les deux pistes de recherche ont procédé sur des voies séparées, qui se sont croisées de temps en temps, mais, dans la plupart des cas, ont suivi des parcours indépendants; ce qui n"a pas favorisé, de manière générale, le cumul des connaissances et a suscité, au contraire, beaucoup d"incompréhensions et d"équivoques. Cependant, dans chacun des deux domaines se sont dessinées des lignes et des coordonnées qui peuvent aider à surmonter l"impasse décrite par Berlin. Nous pourrons en établir ici un sommaire catalogue, mais tout d"abord nous devons désigner l"obstacle majeur qui risque toujours d"entraver la recherche de la solution du problème auquel nous devons faire face. Puisque Berlin a parlé d"un complexe, en prenant au sérieux la signification du mot qu"il a choisi d"employer, il est légitime de se poser une question fondamentale : est-ce que ce complexe a quelque chose à voir, dans cette métaphore psychologique, avec un refoulé? La leçon de la psychanalyse nous autorise à explorer cette hypothèse, et à nous demander quelle pourrait être la substance de ce refoulé, dont il faudrait se débarrasser avant de pouvoir dépasser les conditionnements liés au complexe découvert et dénoncé. Suivant une suggestion de Margaret Canovan dans son livre Populism, on peut avancer l"hypothèse que ce refoulé corresponde à l"incapacité d"une large majorité des chercheurs de s"émanciper du préjugé qui consiste à se refuser de considérer le populisme comme un objet normal et ordinaire d"analyse, aussi bien sur le plan théorique que sur celui de la phénoménologie politique. La leçon de Max Weber sur la Wertfreiheit en tant que qualité nécessaire du savant, surtout là où elle stipule que " la politique ne convient pas à l"enseignant, surtout quand il s"occupe de politique d"un point de vue scientifique, et en ce cas-là plus que jamais, car la prise de position politique et l"analyse scientifique sont deux choses différentes »

2, serait ici la bienvenue.

On a en effet souvent attribué au populisme un caractère extraordinaire qui ne lui convient aucunement, comme l"observation de la réalité politique nous le confirme au quotidien. On lui a nié l"inclusion dans le domaine des

2 Voir Max Weber, Le savant et le politique, La Découverte, Paris, 2005; la citation est ici

reprise d"une traduction italienne: La scienza come professione. La politica come professione,

Einaudi, Torino, 2004, p. 29.

Un prince et une chaussure : où est-elle la princesse ? 493 Romanian Political Science Review  vol. XVII  no. 4  2017 courants politiques significatifs de notre époque, en arguant de l"absence d"une formulation organique et cohérente des fondements sur lesquels il repose. On a considéré ses manifestations concrètes à l"intérieur des systèmes politiques - aussi bien démocratiques qu"autoritaires - comme autant de bizarres parenthèses, destinées à se refermer rapidement, sans laisser de traces importantes. On lui a appliqué un vocabulaire médical, en se bornant à le considérer comme une maladie dont on devait cerner les symptômes afin de pouvoir soigner, grâce à des médicaments appropriés, les patients qui en étaient affectés. Et parfois - pas si rarement - on est arrivé au point de nier son existence, en proposant de rayer son nom du dictionnaire idéal de la politique et de le substituer par d"autres mots et notions : antipolitique, démagogie, radicalisme démocratique etc. Ou bien on l"a réduit au rang d"un masque, d"un outil cosmétique utilisé pour cacher la vraie nature des phénomènes qu"on aurait désigné sous le couvert de son nom (en général, l"extrême droite). Or, si l"on veut réellement surmonter le complexe de Cendrillon dont nous a parlé Isaiah Berlin, c"est de ce refoulé, et de ces préjugés, qu"il faut se débarrasser. Sans évidemment mettre en cause les croyances et les préférences politiques de chaque chercheur, il faut se résoudre (ou résigner) à prendre le populisme au sérieux et, lorsqu"on se propose de l"étudier, il faut lui appliquer la même approche qu"on réserve à tous les autres sujets de recherche. C"est-à- dire que, avant de prononcer des jugements, quels qu"ils soient, sur ses manifestations, il faut les observer objectivement, les connaître en leur intégralité, les analyser à fond. C"est ce qu"a fait, au cours des dernières décennies, un certain nombre de politologues, de sociologues, d"historiens des phénomènes et des doctrines politiques. Et ce que nous nous proposons de faire ici c"est, tout simplement, d"évoquer sous une forme synthétique les parcours de recherche qu"ils ont ouvert. Un premier parcours, d"ordre théorique, a permis de préciser les coordonnées essentielles du phénomène et de mieux en saisir la nature, en se rapprochant de cette définition partagée par la communauté scientifique dans son ensemble qui était le but avoué des participants au colloque de la London School of Economics dont, en quelque sorte, nous célébrons aujourd"hui le cinquantenaire. Grâce aux progrès obtenus dans ce domaine, c"est-à-dire à une notion mieux définie de populisme, un deuxième parcours a permis à d"autres chercheurs (et parfois aux mêmes) d"avancer dans l"étude des caractéristiques des partis, des mouvements et des personnalités politiques auxquels on peut légitimement appliquer l"étiquette de populistes dans un sens authentiquement scientifique et non exclusivement polémique et diffamatoire, en parvenant à envisager l"existence, du moins potentielle, d"une véritable " famille spirituelle

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Romanian Political Science Review  vol. XVII  no. 4  2017 de partis » populistes - ramifiée, diversifiée et parfois litigieuse - dans le sens que Stein Rokkan a attribué à cette formule 3. Il est impossible, ici, de dresser une liste exhaustive de tous les chercheurs qui ont contribué à cette avancée des connaissances. On peut néanmoins mentionner quelques-uns des domaines où leurs acquis ont été plus significatifs, comme, du côté théorique, la discussion sur l"essence du phénomène (idéologie, style politique, mentalité), l"individuation des différentes significations attribuées, en son sein, à la notion de peuple et la relation avec la démocratie, et, du côté de la recherche empirique, la comparaison entre les différents visages du populisme selon sa localisation géographique (Europe de l"Ouest et de l"Est, Amérique du Sud et du Nord, Asie, Afrique, Océanie), le rapport de ses manifestations avec les nouveaux clivages socio-culturels (immigration, multiculturalisme, effets économiques de la globalisation, rapports États nationaux-Union Européenne etc.), l"élaboration d"une typologie des formes partisanes du phénomène (national-populisme, libéral-populisme etc.). Certains de ces domaines méritent une exploration mois superficielle. C"est à cet effort que nous allons consacrer les prochains paragraphes de cet article.

Idéologie, style politique ou mentalité ?

Le caractère polysémique du populisme, ainsi que son amplitude géographique et chronologique

4, ont amené beaucoup de chercheurs à en

souligner l"hétérogénéité bien plus que les origines communes. On sait qu"il s"est présenté tour à tour sous des habits différents, prenant forme dans des mouvements, des régimes, des styles de discours, des stratégies rhétoriques, des états d"âme et des attitudes psychologiques variées, et qu"on lui a attribué aussi la propriété du caméléon de s"adapter à une large gamme de contextes, en transgressant la ligne de démarcation habituelle entre la droite et la gauche 5. Cette vocation synthétique paradoxale a été souvent interprétée comme un symptôme d"incongruité conceptuelle, et parmi les auteurs qui ont invité à redéfinir les contours de la notion, certains en sont même venus à se demander s"il ne serait pas pertinent de dire que " la 'populismité" n"est qu"une entité fictive, qu"il serait vain de chercher à saisir »

6. On a d"ailleurs également écrit

3 Voir Cas Mudde, Populist Radical Right Parties in Europe, Cambridge University Press,

Cambridge 2007.

4 Ce caractère avait déjà étè souligné par Peter Worsley, " The Concept of Populism », in

Ghita Ionescu, Ernest Gellner (éds), Populism: Its Meanings and National Characteristics, Weidenfeld and Nicolson, London, 1969, pp. 212-250.

5 Voir à ce propos Paul Taggart, Populism, Open University Press, Philadelphia Pa., 2000,

p. 4.

6 Pierre-André Taguieff, L"illusion populiste, Berg International, Paris, 2002, p. 79.

Un prince et une chaussure : où est-elle la princesse ? 495 Romanian Political Science Review  vol. XVII  no. 4  2017 que les définitions ne sont que " des formules heureuses dont les étudiants font trésor mais que d"autres spécialistes s"empressent de disqualifier », et que le populisme " se comprend sans doute mieux dans la lumière brouillonne des formes accumulées qu"il a revêtues dans le temps et dans l"espace que par une synthèse intellectuelle forcément simplificatrice » 7. On mesure déjà le caractère outrancier d"affirmations de ce genre lorsqu"on constate que ce concept " introuvable » a fait et continue de faire l"objet de nombreuses recherches menées par des chercheurs qui persistent à lui consacrer leurs énergies intellectuelles. On peut donc les considérer comme des provocations résultant de l"insatisfaction provoquée par la tendance des médias à gonfler l"usage d"un concept jusqu"à en déformer le sens; mais il ne faut pas les prendre à la lettre. Le populisme n"est certes pas historiquement identifié à un type homogène de régime politique, on ne trouve pas le même contenu dans tous les mouvements qui en ont véhiculé les propositions, et on ne peut pas non plus le ramener à une vision cohérente du monde, selon les canons d"une Weltanschauung classique, ni même à un programme politique que partageraient intégralement tous ses partisans, mais tout cela ne doit pas nous empêcher d"essayer d"en donner une définition unitaire. La conviction de Paul Taggart selon laquelle il possède " beaucoup des attributs d"une idéologie, mais pas tous »

8 peut elle-même être utilisée pour démontrer que le populisme

possède un noyau visible, une âme, un coeur qui comprend des " caractères récurrents dans le temps et dans l"espace qui le font ressembler à une idéologie »

9. Ce noyau peut être appréhendé, même si certains de ses éléments

stylistiques ou substantiels peuvent être utilisés à des fins purement instrumentales par des sujets éloignés de ses convictions profondes et engagés dans des pratiques ou des programmes qui lui sont en substance étrangers. Comme cela est arrivé à beaucoup de doctrines rivales, à commencer par la démocratie, le libéralisme ou le socialisme, le populisme a été l"objet de formulations contradictoires et s"est incarné dans des tendances discordantes, mais cela ne l"empêche pas de constituer l"un des courants politiques qui ont exercé une influence significative dans l"époque contemporaine. C"est précisément cette capacité d"impact dans le domaine de la praxis qui a conduit la communauté scientifique à s"impliquer à plusieurs reprises dans la tentative d"élaborer une définition du phénomène capable de rendre compte à la fois de son fond unitaire et de la polysémie qui lui est propre. Nous avons déjà cité le premier effort dans cette direction, entrepris lors du symposium de Londres de 1967, organisé par la revue Government and

7 Guy Hermet, Les populismes dans le monde, Fayard, Paris, 2001, p. 53.

8 Paul Taggart, Populism, cit., p. 6.

9 Loris Zanatta, " Il populismo. Sul nucleo forte di un"ideologia debole », Polis, vol. XVI,

no. 2, août 2002, pp. 263-264; voir aussi, de cet auteur, Il populismo, Carocci, Roma, 2013.

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Opposition. À l"époque, le terme " populisme » s"était déjà affirmé dans le

vocabulaire des sciences sociales, soit pour analyser les expériences d"intégration politique des masses survenues dans plusieurs pays du Tiers- monde après la fin de la période coloniale, presque toujours dans le cadre de régimes autoritaires, soit pour décrire certaines tendances typiques des systèmes pluralistes, à commencer par celui des États-Unis d"Amérique. Constatant ironiquement qu"en dépit de son caractère " insaisissable et protéiforme », le populisme remplaçait désormais le communisme dans le rôle du spectre destiné à hanter le monde, les organisateurs du colloque se demandaient si le terme en question désignait bien un seul et unique phénomène et si, en ce cas, il fallait le cataloguer comme une idéologie, comme un mouvement, comme une mentalité résultant d"une situation sociale particulière ou comme une prédisposition psychologique

10. Les réponses des participants au colloque se révélèrent

divergentes. Si selon Donald MacRae il était bien fondé de parler d"une idéologie populiste, Peter Wiles affirmait qu"il ne s"agissait que d"un syndrome, et non pas d"une doctrine; tandis que Kenneth Minogue privilégiait sa dimension de mouvement politique, Angus Stewart soulignait la singularité des caractéristiques sociales qui lui conféraient son identité spécifique

11. Et, comme on l"a vu, Isaiah

Berlin affichait sa conviction que jamais on ne serait parvenus à trouver dans la réalité des objets correspondant aux exigences formulées par la théorie. Depuis quelques années, pourtant, des définitions du populisme avaient été proposées. Edward Shils avait été le premier à affirmer que sous ce nom s"exprimait " une idéologie qui proclame que la volonté du peuple détient en tant que telle une suprématie sur toute autre norme [et] identifie cette volonté du peuple à la justice et à la moralité »

12. Dès lors, la conviction que l"appel au

peuple, considéré comme la pierre angulaire d"un ordre équitable et légitime, se tient au coeur de toute manifestation politique populiste s"est transformée en lieu commun, mais à cette proposition s"en sont ajoutées bien d"autres, qui proposent, chacune à sa manière, d"intégrer des éléments d"analyse supplémentaires

à ce noyau indiscuté.

Au colloque de Londres, Donald MacRae fut le seul à soutenir la nécessité, pour comprendre le sens du populisme, de le traiter " comme une idéologie, même si pas seulement comme telle », en y voyant une forme spéciale de primitivisme qui idéaliserait, selon les cas, la communauté rurale ou le bon vieux temps précédant la phase sombre du colonialisme. En soulignant l"importance que les populistes attribuent à l"appartenance à un contexte local bien précis et leur propension à imputer à un complot étranger - selon les cas,quotesdbs_dbs47.pdfusesText_47
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