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  • Comment s'appelle les musiques dans les films ?

    La musique de film est la musique utilisée pour un film, voulue par le réalisateur ou le producteur. Il peut s'agir de musique préexistante, ou de musique composée spécialement pour le film, dite musique originale.
  • Quels sont les deux types de musique que l'on retrouve dans les films ?

    Le générique peut apparaître au début d'une œuvre (« générique d'ouverture » ou « générique de début ») ou à la fin (« générique de fin » ou « générique de fermeture »).

TENDANCES ET SPECIFICITES DE LA MUSIQUE DANS LE

CINEMA DE LA NOUVELLE VAGUE

ou

LES CONSTRUCTIONS HISTORIOGRAPHIQUES DE

L'INNOVATION EN MUSIQUE DE FILM

Frédéric Gimello-Mesplomb (Centre Norbert Elias UMR 8562 CNRS) I - LA CONDAMNATION DU STEREOTYPE : HISTORIOGRAPHIE DE LA MUSIQUE DE FILM

ET RAPPORT A L'INNOVATION

1.1 - OBJECTIFS ET METHODES Bien que la Nouvelle Vague soit un objet largement produit par le discours critique, il est possible de relever de nombreuses interactions entre les innovations techniques de l'industrie cinématographique et l'esthétique musicale des films français du début des années soixante, ce qui permet de valider le pont de vue de ceux qui reconnaissent en la

Nouvelle Vague une " école artistique »1

. Cette école a-t-elle, pour autant, été à l'origine d'un renouveau musical du cinéma français ? La réponse est complexe. En effet, dès le milieu des années soixante, c'est sur ce plan de l'innovation technique et artistique que la vulgate sur un possible renouveau de musique de film française s'est en partie construite à travers les ouvrages d'Henri Colpi (monteur de nombreux films de

Resnais)2

puis de François Porcile 3 qui ont conforté l'idée que la rupture esthétique du

cinéma s'était d'abord traduite sur le plan musical par une rupture générationnelle. Cette

dernière se vérifie tant chez les cinéastes que les compositeurs, mais elle ne permet pourtant pas d'en conclure que la Nouvelle Vague ait provoqué de grands bouleversements esthétiques, du moins dans les usages traditionnels de la musique de film. L'époque est marquée par de nombreuses avancées techniques dont profita le cinéma français. Le son direct est rendu possible grâce des procédés d'enregistrement portatifs comme le Nagra III, entièrement transistorisé, sorti en 1958. Cet appareil de 5 kilos, fonctionnant avec des piles, allié à la caméra 16 mm Éclair 16, rendra possibles toutes les prouesses de tournage en dehors des studios, et Godard, Marker en feront un usage systématique. Sur le plan de l'image, les pellicules plus sensibles ramenées des Etats-Unis par l'entremise du producteur de François Reichenbach, Pierre Braunberger4 rendent possible des tournages en extérieurs ; les cadrages anti-conventionnels et les ellipses narratives dans le montage sont plus fréquents ; enfin les modes de production " en coopérative » (qui débutent avec les films de Varda et de Melville avant d'être La Nouvelle Vague, une école artistique, Nathan, 1998. 2

Henri Colpi, Défense et illustration de la musique dans le film, SERDOC (Société d'édition, de

recherches et de documentation cinématographiques), 1963. 3

François Porcile : Maurice Jaubert, musicien populaire ou maudit ?, Éditeurs français réunis, 1971.

4

Pierre Braunberger attribue à Reichenbach, documentariste français qui tournait aux Etats-Unis,

l'usage de pellicules plus sensibles inconnues alors en France. Cf. " Pierre Braungerger, producteurs

de films », documentaire de Pierre-André Boutang et Serge Toubiana, produit par Sodaperaga (1992).

repris par Rivette), les salaires en participation, le rajeunissement des acteurs, etc. sont autant de caractéristiques qui permettent d'identifier un (sinon des) renouvellement(s) formel(s) du langage cinématographique. L'histoire du cinéma retiendra très tôt de la Nouvelle Vague un formidable renouvellement générationnel bousculant les esthétiques de son temps, légitimant ainsi l'inscription du mouvement dans un cycle de création de l'histoire de l'art, au même titre que d'autres mouvements de la vie artistique qui se produisent au même moment en arts plastiques, en musique contemporaine, en littérature ou en théâtre. Concernant la musique, dans les années qui suivirent la Nouvelle Vague, les premiers auteurs à écrire sur les partitions des films du mouvement (Colpi, Porcile 5 Garel, Zimmer, Lacombe), les premiers dossiers, " dictionnaires » (Cinéma 64 6 ) ou tables-rondes (revue Le cinématographe en 1980 7 ) sont le fruit de professionnels de la réalisation ou du montage (Porcile, Colpi) ou des critiques de cinéma (Garel, Lacombe, Zimmer) quand, dans le même temps, les universitaires boudent encore cet objet d'études renvoyant aux cultures populaires (la musique de film tarde à s'enseigner dans les universités françaises, ce qui la prive d'une instance de légitimation et d'autant de travaux). Ces écrits vont s'inscrire naturellement dans un mouvement d'historicisation en validant l'idée d'une " rupture » sur le plan musical, mais en validant cette idée essentiellement par l'argument générationnel : une nouvelle génération de compositeurs

associée à une nouvelle génération de cinéastes ouvre ainsi la voie à des collaborations

s'inscrivant désormais dans la durée. En témoignent les collaborations de Pierre Jansen avec Claude Chabrol ; de Georges Delerue avec François Truffaut et Philippe De Broca ; ou de Michel Legrand avec Jacques Demy. Pour autant, force est de constater que ce début d'historiographie de la musique de film a conduit à un certain nombre de raccourcis. On peut ainsi observer qu'avec le voeu pieu de donner un corps à la rupture esthétique et technique des années 1957-65, les premiers chroniqueurs eurent tendance à porter un regard très critique sur les innovations des décennies précédentes, et notamment celles des années cinquante, décennie qui s'achève à peine lorsque les premiers films " Nouvelle Vague » sont distribués. Sans doute le souci de légitimer la musique de film en tant qu'art a-t-il contribué, comme le montrait Pierre Bourdieu à propos du processus de légitimation de la science-fiction en France, à la dépréciation naturelle des usages artistiques qui pouvaient précéder les années soixante 8 , mais aussi à la constitution d'un sous-champ de la culture populaire en réaction à la musique jugée " dominante » dans le champ culturel. Car, indéniablement, la musique de film se Présence de la musique à l'écran, Paris, Cerf (coll. 7ème Art), 1969. 6

François Porcile, " Dictionnaire des compositeurs de films », Cinéma 64, n° 88 (juillet-août 1964). Au

titre des dictionnaires, on peut aussi citer Alain Lacombe, Des compositeurs pour l'image, éditions

Musique et Promotion, Paris 1982.

7 Table ronde " musique de film », Le Cinématographe n° 62, novembre 1980. 8 Selon la logique de distinction des classes populaires : " Au contraire, des arts moyens tels que le

cinéma et le jazz et, plus encore, la bande dessinée, la science-fiction ou le roman policier sont

prédisposés à attirer les investissements soit de ceux qui n'ont pas totalement réussi la reconversion de

leur capital culturel en capital scolaire soit de ceux qui, n'ayant pas acquis la culture légitime selon le

mode d'acquisition légitime (c'est-à-dire par familiarisation précoce), entretiennent avec elle un

rapport malheureux, objectivement et/ou subjectivement : ces arts en voie de légitimation, qui sont

dédaignés ou négligés par les gros détenteurs de capital scolaire, offrent un refuge et une revanche à

ceux qui, en se les appropriant, font le meilleur placement de leur capital culturel (surtout s'il n'est pas

pleinement reconnu scolairement) tout en se donnant les gants de contester la hiérarchie établie des

légitimités et des profits ». Pierre Bourdieu, La distinction, Minuit, 1979, pp. 95-96. structure progressivement en secteur artistique autonome en Europe au cours des années soixante dix, avec ses propres instances de consécration (festivals, lancement de fanzines comme Soundtrack! en 1979), ses premiers clubs (The Ennio Morricone Society en 1980), ses éditeurs, ses références esthétiques et idéologiques (Maurice

Jaubert

9 ) ses historiens, et finalement son histoire 10 . Ainsi, à de rares exceptions, les écrits sur la musique de films publiés en langue française entre le début des années soixante et la fin des années quatre-vingt, ont-ils la caractéristique de présenter les usages antérieurs de la musique de film comme systématiquement périmés à l'aube de la Nouvelle Vague, et les lieux communs n'épargnent pas non plus l'analyse du processus de création. On note, par exemple, la croyance en la généralisation des stéréotypes musicaux dans la musique de film des années trente (plus particulièrement la tendance à présenter les musiques des films comme étant toutes marquées par l'" inflation musicale » que l'on rencontre effectivement, mais sur quelques films quasi- expérimentaux comme Le mouchard (The informer) de John Ford (1935). Ailleurs, les musiques de film du cinéma français des années cinquante sont systématiquement considérées comme fournisseuses de " ritournelles » pour l'industrie du disque, quand on de dénonce pas la vénalité de leurs auteurs 11 . En 1995, Michel Chion notait, par exemple, à propos du mépris que l'on retrouve dans un certain nombre d'écrits concernant les musiques qui accompagnaient le " cinéma primitif » : Quand Alain Lacombe déchaînait son ironie sur " les petits apprentis sorciers

des équations misérables, tailleurs d'un prêt à porter sans envergure », en réalité

il n'avait guère pu l'entendre à l'oeuvre. Aujourd'hui, un certain nombre d'adaptations de films et de projections reconstituées [...] nous ont permis d'entendre ce que cela donnait : après tout, ce n'est pas plus stéréotypé qu'une musique dite " originale » 12 L'usage des stéréotypes musicaux, qui apparaît dès lors comme un défaut qualitatif caractérisant l'absence de créativité des musiciens oeuvrant avant la Nouvelle Vague, aurait pu être appréhendé sans doute de manière moins normative si les premiers Esprit), considéré par de nombreux compositeurs comme Georges Delerue comme un idéologue de premier plan concernant l'usage de la musique de

film, sera réhabilité dès 1971 avec la parution d'une biographie puis la réutilisation de ses musiques

par l'entremise des films de François Truffaut. Voir Séverine Abhervé, " Discours des compositeurs

de musique sur le cinématographe en France (1919-1937) : ambitions, obstacles et horizons

d'attente », in " Histoire des métiers du cinéma avant 1945 » (Laurent le Forestier et Priska Morrissey,

dir.), 1895, revue d'histoire du cinéma, n° 65, mars 2012, p. 219. 10

Yann Hernot, " La science-fiction. Entretien avec Pierre Bourdieu », Science-Fiction, n° 5, octobre

1985, pp.166-183. Republié sous le titre " Littérature et para-littérature, légitimation et transferts de

légitimation dans le champ littéraire: l'exemple de la Science-Fiction », Management et Sciences

Sociales, Vol. 2, 2006.

11

Ainsi, aux yeux de Poulenc, " la musique de cinéma reste une tâche " inférieure et vénale » ».

François de La Bretèque, " Des compositeurs de musique viennent au cinéma : le " Groupe des

Six » », 1895, Revue d'histoire du cinéma, n°38, 2002, p.38. Les considérations financières qui

conduisent les compositeurs à une pratique " routinière » de leur métier sont confirmées dans les

autobiographies de Georges Van Parys (Les jours comme ils viennent, Plon, Paris, 1969 et Jean

Wiener (Allegro Appassionato, Belfond, Paris, 1980). Elles ne sont guère différentes d'aujourd'hui si

l'on en croit la thèse de Séverine Abhervé : " Le compositeur de musiques de films dans l'industrie

cinématographique française. Définition, caractérisation et enjeux d'un métier en mutation »,

Université Paris 1, 2010.

12 Michel Chion, La musique au cinéma, Fayard, 1995, p.49. historiens français de la musique de film n'avaient cherché à voir en la musique de film

une invention ex-nihilo née avec le cinématographe, plus précisément avec l'année 1908

et la partition de Saint-Saëns pour L'Assassinat du Duc de Guise. Car la propension à trouver une historicité à la dimension sonore de la Nouvelle Vague en en faisant un " tournant » majeur marqué du sceau de l'inventivité artistique était identique, toutes proportions gardées, au discours produit sur ce film muet. Cette partition fut en effet considérée dans la plupart des écrits non universitaires comme apportant une contribution significative à la fondation même du genre car elle lui apportait ses lettres de noblesse et une légitimité sociale 13 provenant de la réputation de son auteur, professeur au Conservatoire de Paris, mais aussi des efforts des producteurs (l'association " Le film d'Art »), pour faire reconnaître le cinéma comme la synthèse parfaite des arts (le terme de " septième art » nait d'ailleurs peu de temps après sous la plume de l'italien Canudo 14 ). Cette confirmation de la paternité de la musique de film à un compositeur de musique " sérieuse », éminent représentant d'un style d'écriture classique en vigueur dans les conservatoires français, avait l'avantage de faire concorder plusieurs intérêts convergents. D'une part, elle reconnaissait implicitement la caducité des formes musicales d'expression populaire (accompagnateur soliste, instruments forains, ritournelles...) ayant accompagné les projections du cinématographe antérieures à 1908, en les reléguant dans cette période connue sous l'appellation de " cinéma

primitif ». Dès les années dix, en effet, contrairement au théâtre qui constitue une forme

d'expression dont il s'agit de se différencier, la musique devient un élément esthétique de premier plan qui contribue à valoriser l'art cinématographique par la voix de théories comme celle des " analogies musicales ». Dans la France des années vingt, des théoriciens comme Ramain 15 , Dulac, Gance ou Epstein utilisent la musique afin de corroborer, selon Laurent Guido, " un véritable discours dominant dans le cadre des

débats autour de la légitimation artistique du cinéma comme art. À côté d'une première

tendance qui utilise certaines notions empruntées au domaine musical dans un sens métaphorique [...], on peut identifier, dans la mouvance musicaliste, un courant plus radical selon lequel les fondements du cinématographe sont d'ordre musical 16 D'autre part le choix de la pièce de Saint-Saëns qui rejoignit en 1909 la production de concert du compositeur sous le titre Musique pour Cordes, piano et Harmonium op. 128 permettait de valoriser la musique symphonique écrite pour l'écran en en faisant un objet d'étude en voie d'accession vers une forme de légitimité académique dans le giron

de la musicologie, à défaut d'avoir pu être intégré au sein des embryonnaires études

universitaires en cinéma.

Or, si l'on se débarrasse des préjugés liées à la légitimité de l'objet, en s'intéressant

cette fois à la musique de film sous l'angle de l'histoire culturelle, c'est à dire en

Analyser la musique de film :

méthodes, pratiques, pédagogie (F. Gimello-Mesplomb, dir.), Editions BOD Gmbh, Paris, 2010, pp.

9-34. 14

Le 25 octobre 1911, Ricciotto Canudo publie à Paris un essai intitulé " la Naissance d'un sixième art -

Essai sur le cinématographe », qu'il requalifie en 1912 de " septième art » avant de fonder, en 1921,

un " Club des Amis du septième art ». 15

Paul Ramain, " Sur le rôle exact de la musique au cinéma : la musique est-elle utile ? Improvisations,

partitions cinématographiques, adaptations ? Musique ou silence ? », Cinémagazine, 25 sept. 1925, n°

39, pp. 515-518.

16

Laurent Guido, " Le Dr Ramain, théoricien du " musicalisme » », 1895, revue d'histoire du cinéma,

n°38, 2002, p.38. s'intéressant d'abord à la continuité des formes musicales d'accompagnement scénique de l'opéra et du mélodrame 17 au moment où naît le cinématographe, la question de la " rupture » esthétique provoquée par L'assassinat du Duc de Guise en 1908, et plus tardquotesdbs_dbs41.pdfusesText_41
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