[PDF] La malbouffe La « malbouffe » est une forme





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La malbouffe

La « malbouffe » est une forme de malnutri- tion. La malnutrition est un état nutritionnel anormal. C'est une alimentation mal équili-.



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La malbouffe est un terme qui désigne une nourriture défectueuse sur le plan diététique. Elle peut-être désignée par un repas rapide ou un repas mauvais 



La Malbouffe aux Etats0Unis les causes et les conséquences

2.1 Les maladies engendrées par la malbouffe . Les enfants du monde entier sont exposés à la publicité pour des aliments tr+s gras sucrés ou salés



LA MALBOUFFE

Malbouffe : 2 sens. – 1) Diététique et santé. Qualité nutritionnelle de l'alimentation malbouffe = manger trop gras trop sucré



LES FRANÇAIS ET LA MALBOUFFE : ENTRE PLAISIR ET HONTE

???/???/???? consommation expose désormais à un risque de « stigmate social ». Note de lecture : 63% des femmes cadres ont eu honte en mangeant de « la pâte ...



DE LA MALBOUFFE PROJET DE DÉNORMALISATION AUPRÈS

jeunes de consommer fréquemment de la malbouffe et d'être exposés massivement au marketing alimentaire de l'industrie. D'ici 2020 un tiers de la population 



La denormaLisation de La maLbouffe aupres des jeunes

???/???/???? malbouffe et d'être exposés massivement au marketing alimentaire de l'industrie. - Lorsqu'il est question du phénomène croissant de ...



PROJET DE DÉNORMALISATION DE LA MALBOUFFE AUPRÈS

La dénormalisation de la malbouffe auprès des jeunes – Le projet en bref #7 (placement) : L'industrie expose ses produits à des endroits stratégiques de ...



Lalimentation

lorsqu'il est exposé au soleil mais ce n'est pas suffisant. s'en apercevoir



COMPRÉHENSION ORALE : LA MALBOUFFE LES EFFETS DE LA

COMPRÉHENSION ORALE : LA MALBOUFFE. Regardez cette vidéo du site Allô docteurs et complétez les phrases avec le mot qui correspond exactement à ce qui a été 

Le journal de l' N° 49 Juillet 2017 La " malbouffe » est une forme de malnutri-tion. La maln utrition est un état nutritionnel anormal. C'est une alimentatio n mal équili-brée en quant ité et / ou en qualité. On re-groupe sous ce terme : la suralimentation, la sous-alimentation et la mauvaise assimilation. Qu'est-ce que " bien manger » ? Bien manger se définit par la volont é d'adopter une alimentation variée et équi-librée, donc, en princ ipe, saine. Ce qui signifie manger de tout, ni trop ni trop peu mais en quantités " suffisantes » et en varia nt, diversifiant et structurant les repas ce qui permet de fournir à notre corps la qua ntité d'énergie néc essaire pour prati-quer les efforts de la journée. Cette quantité d'énergie est variable, dépen-dant de l'âge, du sexe, de la corpulence, de l'état général et du type d'activité physique pratiquée. Des moyennes ont été établies, se basant uniquement s ur les facteurs sexe et activité physique qui sont ceux qui font varier le plus cette quantité d'énergie. Ainsi pour une activité faible (moins de 30 mn d'activité physique pa r jour) la quantité d'énergie quotidienne nécessaire est de 2100 Kcal pour un homme, 1800 pour une femme. Pour une act ivité modér ée (30 mn à 1h d'A.P. chaque jour) elle est de 2500 à 2700 Kcal pour un homme, 2000 pour une femme. Et pour une activité forte (plus de 1 h d'A.P. par jour) elle est de 3000 à 3500 Kcal pour un

homme, 2400 à 2800 pour une femme. Cet apport énergétique doit être réparti dans la jour née de la manière suiv ante (exemple pour 2500 Kcal/j) : Petit-déjeuner : 25 % des apports soit 630 Kcal Déjeuner : 45 % des apports soit 1130 Kcal Dîner : 30 % des apports soit 750 Kcal Le petit-déjeuner est donc un repas essentiel qui doit apporter presque autant d'énergie que le dîner. Histoire de la " malbouffe » C'est un phénomène de société apparu dans les années 60 en réponse à la hausse du prix des produit s frais (fruits et légum es notam-ment), à l'industrialisatio n des méthodes de production et à la diminution des prix des pro duits gras et sucrés. Le ter me " malbouffe » a été popularisé avec l'arrivée des " fast-food », notamment le géant et pré-curseur " McDonald's ». Ces " restaurants » sans réservation où le client se sert lui-même, mange avec les doigts sans couverts ni vais-selle, ont remporté un grand succès car fina-lement en phase avec le nouveau mode de vie des années 60 où le t emps acc ordé au repas s'est tro uvé singulièrement raccourci. On y trouve des repas faciles à emporter et à manger servis dans des délais très brefs et à des prix relativement bas car le coût du travail de service est reporté sur le client ou la col-lectivité. Mais ces repas ont une mauvaise qualité nu-tritionnelle car trop salés, trop gras, trop su-crés et pauvres en vitamines. Les " fast-food » ne sont pas seuls en cause, les plats préparés " tout fait » ou le " snacking », qui se sont, eux aussi, répan-dus dans le monde entier, s ont t out aussi responsables. L'expansion de la " malbouffe » Fulgurante ! et univers elle ! en raison du changement de mode de vie : L'augmentation de la sédentarisation, du temps passé devant la télévision ou les ordi-nateurs, la diminution du t emps consacré à l'élaboration des repas, dévelo ppent le gri-gnotage de produits à faibles qualités La malbouffe

Association pour le DEveloppement de la CArdiologie à Douarnenez nutritives en quantités parfois importantes. La consommation de plats riches en sucres rapides est passée de 1 Kg par an par habitant en 1960 à 14 Kg en 1995 !! La consom mation de sucre des fran-çais s'est, cependant, relativement stabilisée, mais elle est très é levée, entre 25 et 35 Kg par pers onne par an !! D'autre part une consommation ex-cessive de sel co ncerne une forte partie de la population puisque 10 à 20 % des français ingèrent plus de 12 g par jour (6 à 8 g sont largement suf-fisants). A ces déséquilibres alimentaires s'ajoute une mauvaise hygiène de vie ca r nom-breux sont ceux qui ne font pas assez d'exercice au cours de leur vie quotidienne (Cf. KALON N°48). Mais l'évolutio n du mode de vie et les nouvelles contraintes professionnelles (travail assis, trajets en voiture de plus en plus longs, temps du repas limi-té...) n'expliq uent pas tout. L'expansion de la " malbouffe » est aussi la co nséquence de l'accroissement de la puissance des industri es agro-alimentaires et des grandes firmes telles que McDonald's, QuicK ou KFC qui abusent de campa-gnes publicitaires agressives visant principalement le jeune public. En effet les jeunes générat ions, attir és par les nombreuses publicités vont se no urrir dans ces " fast-food » où tout paraît être fait pour eux et pour leur épanouissement. Par exemple MacDonald's a créé les " happy meal », des me nus dédiés a ux enfants et qui sont accompagnés de jeux pour les attirer. Ces jeunes générations, en grandissant, retrouvent ces lieux de restauration où ils ont joué petits et les considèrent comme des endroits privilégiés e t de convivialité inconsciemment associés au plaisir. Qu'on le veuille o u non, q ue l'on soit " accro au McDo » ou p as, la " malbouffe prend de plus en plus de place dans notre vie de tous les jours par sa présence insistante dans les médias. Présence " en bien » par les reportag es et documentaires plus ou moins s cientifi ques sur ses méfai ts, pré-sence " en mal » par la publicité , souvent bien conçue, qui lui est consacrée par les firmes. Ainsi cette pub. pour McDo qui nous recommande : " venez comme vous êtes » ce qui incite le public à venir n'importe quand, habillé de la même manière

qu'au quotidien : exit le fameux stér éotype du " costard-cravate » obligatoire pour aller au restau-rant ! Ou cette autre pub. ultra simpliste, ne montrant que l'essent iel, un " bon » sandwich avec de belles textures de viande, de pain et de fromage accompagnés de salade : une pure stimulation de la faim et de la gou rmandise du consommateur. Ce phénom ène a pris tellement d'ampleur qu'il a fait son entrée au cinéma avec le fil " Super Size Me » primé aux oscars.... En conclusion Les clés de l'équilibre alimentaire sont : La variété : manger de tout pour ne risquer aucune déficience. La modération : manger raisonnablement pour ne pas accumuler de surcharge inutile. Plaisir et convivialité : conserver quoiqu'il arrive, le plaisir de la table, le goût des plats, le goût du partage. Mais alors pourquoi commander un " burger » ? Catherine MOAN (diététicienne au C.H.. Miche l Mazeas Dz.)

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