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Ouagadougoule 12 septembre 2017 N°2017_022M---.!MEA/SG/DMP

Ouagadougoule 12 septembre 2017. N°2017_022M---.!MEA/SG/DMP. Avis à manifestation d'intérêt pour le recrutement d'un bureau d'ingénieur conseils chargé du 



Déclaration unitaire 12 septembre 2017 version 2.pages

par la grève et la manifestation le mardi 12 septembre à 10h place de la. Liberté à Tours. Saint-Avertin le 5 septembre 2017.



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9 nov. 2017 à organiser une manifestation sportive intitulée : <<< Trail du Curcuma >> le dimanche 12 novembre 2017 de 7h00 à 13h00.



RP 13 septembre 2017

13 sept. 2017 Mercredi 13 septembre 2017. Social. A Mamoudzou une manifestation en mot d'ordre dispersé. Publié le mardi 12 septembre 2017 à 11:46.



MARDI 12 SEPTEMBRE 2017 Devant le Jardin de lrEtat à Saint

12 sept. 2017 Le SAIPER appelle à la grève et à la manifestation le. MARDI 12 SEPTEMBRE 2017. Devant le Jardin de lrEtat à Saint Denis à 9h.



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8 sept. 2017 une manifestation sportive de type « course pédestre >> intitulée : <<< Trail du Pic Adam >>> le dimanche 24 septembre 2017 de 07h00 à 15h00.



français N° ICC-01/05-01/13 Date : 12 septembre 2017 LA

12 sept. 2017 La Section de la participation des victimes et des réparations. Autres. ICC-01/05-01/13-2223 12-09-2017 2/11 EK A2 A7 ...



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8 oct. 2017 une manifestation sportive intitulée : ... Vu l'avis favorable émis par M. le chef de service du SAMU en date du 12 septembre 2017;.



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15 sept. 2017 à organiser les 15 16 et 17 septembre 2017 une manifestation ... Vu l'arrêté CIRC nº 2017SRT42 en date du 12 septembre 2017 établi par la ...



RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

24 sept. 2022 Arrêté préfectoral n° 2017-255-004 du 12 septembre 2017 autorisant le déroulement de la manifestation sportive dénommée « Raid de la Vallée ...

Revue de presse Mercredi 13 septembre 2017

Social

A Mamoudzou, une manifestation en mot d'ordre dispersé

Publié le mardi 12 septembre 2017 à 11:46

Plus d'une centaine de manifestants défilaient ce mardi matin à Mamoudzou, à l'appel de leurs

organisations syndicales respectives. Souvent pour des revendications purement locales, et presque tous pour des revendications différentes.

Deux cortèges différents ont convergé ce mardi matin vers la place de la République. Un venant du

Conseil départemental, un autre, depuis le CHM. Deux cortèges unis chacun en intersyndicale. Presque tous les syndicats réunis dans un même mouvement, c'est peu fréquent. Une fois réunis devant le marché couvert, tous les manifestants se sont mis en marche vers la mairie, le Conseil départemental, puis le vice-rectorat. Mais au sein du cortège, les revendications, nombreuses et variées, rayent un peu le disque de l'unité affichée.

Didier Leroy, fonctionnaire à la PJJ, la protection judiciaire de la jeunesse, et syndicaliste à la CGT, a

répondu à l'appel national contre les ordonnances réformant le code du travail. " Tout le monde va

être impacté, on a chez nous 42% de contractuels, alors qu'en 2011 il n'y avait à la PJJ que des

titulaires. Par contre, je suis un peu triste de ne pas voir tous les Mahorais dans la rue, ici il n'y a

que des fonctionnaires. Ce qui manque le plus, c'est la solidarité. »

Et effectivement, la quasi totalité des manifestants étaient issus de la fonction publique. Le secteur

privé, premier concerné par les ordonnances, brillait par son absence. La PJJ dénonce la

dégradation des conditions de travailPeut-être à cause d'un manque de compréhension de cette

réforme majeure du code du travail. " Ca nous inquiète, mais je ne me sens pas très informée là

dessus » admet une agent du Conseil Départemental qui ne connait pas le contenu de cette réforme. Elle, est là " pour l'ancienneté ».

L'ancienneté générale des services, c'est aussi la principale revendication de Nourdine Dahalani,

douanier et secrétaire départemental de la fédération des fonctionnaires de Force Ouvrière. " Des

agents ont été intégrés dans la fonction publique sans leur ancienneté, ce qui n'est pas légal. On a

intégré des anciens agents, en les considérant comme des jeunes fonctionnaires. Ils vont partir

avec une retraite misérable, ça impacte toute la fonction publique à Mayotte. » Lui, attend

beaucoup de la visite du ministre du budget Gérald Darmanin dans trois semaines. Une grève " en déconnexion avec l'appel national » Pour lui, cette grève est " en déconnexion avec l'appel national, c'est un mouvement purement local, L'indexation comme à la Réunion ?avec des problématiques spécifiques ».

Tout aussi éloignée du mouvement national, les revendications de Yacoub, professeur des écoles et

militant au Snuipp, qui réclame " l'indexation à 53%, en tant que fonctionnaires, on est les plus

pauvres de la République, on ne gagne que 1200€. 1600 avec les primes, affirme-t-il. »

Du côté des enseignants aussi, des problématiques spécifiques sont avancées. Quentin Sedes, de la

CGT Educ'Action, réclame la réintégration de deux agents du collège de Passamainty. " Nous avons

exercé un droit de retrait en juin dernier, suite à des violences, et nous avons obtenu des moyens.

Mais deux contractuels, un représentant CGT, et l'aide documentaliste, déléguée des parents

d'élèves, n'ont pas été reconduits cette année. On demande leur réintégration, d'autant que leur

non renouvellement n'a jamais été notifié. » Préfecture de Mayotte - Bureau de la communication interministérielle - www.mayotte.pref.gouv.fr Préfet de Mayotte @Prefet976 Revue de presse Mercredi 13 septembre 2017 Descendu du CHM, Anli Rigotard, porte-voix à la main, fustige la désunion des mouvements à

Mayotte, tout en se réjouissant de l'intersyndicale de ce matin.Il dénonce la crainte de représailles

et des pressions de l'hôpital. " Ce matin, des assignations ont été faites pour obliger des grévistes à

venir travailler, c'est illégal. » Au micro, il appelle à plus d'unité. " A Mayotte, on n'est unis que

pour des conneries, il faut multiplier les manifestations, car nous ne sommes pas unis, insiste-t-il,

ovationné par les manifestants. Commençons par changer de mentalité, il est temps qu'on se lève

ensemble, conclut-il. »

Social

Poursuite de la grève des agents des secteurs public et privé

Publié le mardi 12 septembre 2017 à 16:48

L'intersyndicale FO, CGT ma, CFDT, FAEN, FSU, Solidaires, annonce une reprise du mouvement ce

mercredi, dans un courrier adressé au préfet, au directeur de la DIECCTE et aux chefs de services :

" Suite à la mobilisation d'aujourd'hui qui a été massivement suivie (plus de 2000 manifestants),

l'intersyndicale vous informe que la grève est reconduite demain 13 septembre 2017. La réunion avec vous et vos services n'a pas permis d'enregistrer une quelconque avancée. Par

conséquent, nous appelons les agents du secteur public et du secteur privé à cesser de nouveau le

travail demain mercredi 13septembre. Le rassemblement est prévu à 07 heures au rond-point de Doujani.

Une assemblée générale aura lieu à 12h00 place de la République pour décider de la suite à

donner au mouvement. » Aucun blocage n'est annoncé, mais on peut les craindre étant donné le

choix du lieu de rassemblement à Doujani. De son côté, l'intersyndicale du conseil départemental poursuit aussi son mouvement : " l'intersyndical du conseil départemental soutient et s'inscrit entièrement dans le mouvement général. En raison des revendications particulières relevant uniquement du Conseil Départemental, et

l'indifférence totale de l'exécutif qui a fait le choix de ne pas nous recevoir; l'intersyndical du CD va

durcir le mouvement à compter de demain le 13 Septembre 17, et invite l'ensemble des agents du

CD à se réunir sur le site du Conseil Départemental à 7h00 pour discuter ensemble, avant de

rejoindre le mouvement général. »

Politique

Mansour Kamardine s'oppose au visa Outre-mer y voyant une menace de " remplacement de la population » Mahoraise

Publié le mardi 12 septembre 2017 à 15:32

Il avait déjà évoqué dans les colonnes du Figaro une " guerre civile » pour alerter sur la proportion

d'immigration " clandestine » à Mayotte. C'est à coup de termes alarmants dans les colonnes du

journal en ligne Causeur cette fois, que le député Mahorais met en pièce le visa Outre-mer annoncé

par la ministre Annick Girardin.

Ses partisans se félicitent de ses prises de parole sur la situation mahoraise très médiatisées dans

la presse nationale, ses détracteurs l'accusent de forcer les traits, Mansour Kamardine commence Préfecture de Mayotte - Bureau de la communication interministérielle - www.mayotte.pref.gouv.fr Préfet de Mayotte @Prefet976 Revue de presse Mercredi 13 septembre 2017 donc son interview par des chiffres. Interrogé par Daoud Boughezala, le rédacteur en chef de

Causeur, le député Mahorais rappelle le contexte, 52% de la population d'origine " clandestine »,

et à " 95% originaire d'Anjouan », qui viennent pour " profiter des écoles et des soins médicaux

gratuits. »

Il accuse une négligence coupable de la part de la France, qui " ferme les yeux et ne repousse pas

les émigrés clandestins avec vigueur, ce qui permet de calmer les revendications territoriales des

Comores. Paris se contente de faire un peu de gesticulation pour calmer les Mahorais, sans mettre fin à l'immigration illégale. »

Accusant déjà le détenteur du visa Balladur de rester à Mayotte, Mansour Kamardine agite le

chiffon rouge d'une fusion avec Anjouan que provoquerait ce visa Outre-mer, dont on ne connaît pas encore les caractéristiques précises : " Plus de 80% de la population anjouanaise se retrouverait à Mayotte par le jeu du regroupement familial ! On est dans une perspective d'envahissement. » Les outre-mer gérés par " la peur du désordre »

Alors que la ministre Girardin y voit la possibilité de garantir la circulation légale inter-îles, en

évoquant un renforcement des contrôles, le député LR accuse le gouvernement de mettre en place

une " politique de remplacement qui ferait de Mayotte un territoire comorien ! »

En laissant les kwassas entrer par les deux seules passes du lagon, et l'état des bateaux de la Police

aux frontières (PAF) en est à l'origine, l'Etat est accusé d' " inaction » : " Une main invisible

organise le laisser-faire puis arrive avec un projet de régularisation des clandestins. »

A la fin de l'interview, il assène une de ses phrases choc qui font aussi la réputation de celui qui

exerce la profession d'avocat. Revenant en détail sur sa réforme phare d'un précédent mandat,

dans un département musulman : l'abolition de la polygamie, en 2003, il évoque le paradoxe qui

avait amené une forte opposition nationale et non locale à s'exprimer, Matignon craignant que cela

n'engendre du désordre. Au conseil du premier ministre, Mansour aura répondu que " ceux qui avaient peur du désordre ne devraient pas se présenter à une élection ».

On connaît donc son positionnement officiel vis-à-vis du visa Outre-mer, qui risque de trouver un

large écho au sein de la population Mahoraise. Et cela au moment même où il est mis sur la table

des discussions diplomatiques avec l'Union des Comores en échange d'un contrôle des frontières.

A.P-L.

Santé

La ministre de la santé à Mayotte à la fin du mois

Publié le mardi 12 septembre 2017 à 15:46

A chaque député son ministre ! Si Mansour Kamardine a obtenu le déplacement du ministre de l'Action et des Comptes publics, Ramlati Ali, elle, revendique, " en compagnie de nombreux acteurs locaux et d'élus », celui de la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn.

Elle arrivera dans notre département le 30 septembre pour en repartir le 3 octobre. Décidément,

c'est un record de séjour sur le territoire qui est engagé après celui de 4 jours de la ministre des

Outre-mer, puisque jamais ministre de la Santé ne sera restée aussi longtemps. Elle sera précédée

dans sa visite le 28 septembre par sa conseillère Outre-mer Anne Beinier, qui rencontrera notamment les syndicats. Le docteur Ramlati Ali l'accompagnera la ministre au long de sa visite " qui permettra de faire

avancer les dossiers mahorais ». " Son programme est en cours de finalisation », nous indique-t-

Préfecture de Mayotte - Bureau de la communication interministérielle - www.mayotte.pref.gouv.fr Préfet de Mayotte @Prefet976 Revue de presse Mercredi 13 septembre 2017 elle.

Social

Protection de l'enfance : incompréhension entre Solidarité Mayotte et le Département

Publié le mercredi 13 septembre 2017 à 5:15

A la suite de notre article "Que faire des millions de l'ASE et des PMI ?", l'association Solidarité

Mayotte s'est plainte, accusant le conseil Départemental de l'avoir sous-dotée. "Nous sommes dans une phase de transition en accord avec l'Etat", explique Issa Issa Abdou.

" Je suis choqué ! ». Romain Reille d'habitude tout en retenue, laisse aller son exaspération.

L'association Solidarité Mayotte qu'il dirige prend en charge des mineurs isolés depuis 2005. Jusqu'alors, les financements étaient nationaux, mais avec la convention entre l'Etat et le

Département, l'Aide Sociale à l'Enfance a bénéficié de 42 millions d'euros sans compter les 9,6

millions annuels. Il y a encore 2 ans, l'Etat prenait en charge une compétence qui revenait au Département, la

protection de l'enfance. Il finançait 4 associations qui s'en chargeaient, Tama, Solidarité Mayotte,

Apprentis d'Auteuil et la Croix rouge.

Avec l'arrivée du nouvel exécutif à la tête du Conseil départemental, et notamment de Issa Issa

Abdou, vice-président chargé de l'Action sociale et la santé, l'espoir renaît. Le rapport de

l'Inspection générale des Affaires sociales met en évidence la dette de l'Etat envers le

département, et la convention débloquant des millions est signée entre Ericka Bareigts et le

président Soibahadine.

Des vases qui communiquent mal

" Le Département a reconnu l'action des associations », rappelle Romain Reille. De fait, des

conventions d'habilitation de ces 4 associations ont été signées l'année dernière, avec engagement

de financement à la clé. Parmi les actions, Solidarité Mayotte gère l'accueil de jour et l'accompagnement des mineurs isolés demandeurs d'asile, soit 165 jeunes, 60 mineurs isolés, et

105 jeunes majeurs de 18 à 20 ans.

Etant donné que l'Etat se désengage peu à peu en laissant le Département prendre la main avec

les millions annoncés, l'association s'attendait à un cofinancement, " nous avons un budget annuel

moyen de 91.000 euros sur cette compétence d'accueil des mineurs. » La surprise est amère

puisqu'à la lecture de la dernière délibération du conseil départemental, il s'aperçoit que le

financement est de 4.500 euros. " Et alors qu'une action comme la 'Journée internationale des droits de l'enfant' de Malezi Mema

est dotée de 20.000 euros ! Pour une seule journée ! », s'exclame Hassani Mouhamadi, le directeur

adjoint de Solidarité Mayotte. Il est lui aussi désabusé.

Compétence totale en 2018

Issa Issa Abdou, VP en charge de l'action sociale au Département, explique: " La délibération

indique bien que la Direction de la Jeunesse de l'Etat participe cette année encore pour 91.278

euros, nous avons dû réviser à la baisse la dotation pour Solidarité Mayotte, et n'avons donc fait

que compléter. Ce ne sera plus le cas l'année prochaine en 2018 où nous prendrons en charge la

totalité. »

On perçoit à travers ces incompréhensions, l'inquiétude des associations quant à la volonté d'un

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conseil départemental qui a si longtemps trainé les pieds sur cette compétence, " mais les temps

ont changé, il faut sortir ces enfants de la rue », assène Issa Abdou. Une autre action est en cours, l'appel d'offre sur l'Action Educative en Milieu Ouvert (AEMO) qui

prévoit 400 mesures concernant la protection de l'enfance. Le conseil départemental est très

attendu sur ce sujet aussi.

Anne Perzo-Lafond

Salon du Livre

Éclairage de Nassuf Djailani sur les tensions de l'archipel : " On a échoué à réfléchir »

Publié le mercredi 13 septembre 2017 à 5:30

Dans le cadre de l'organisation du Salon du Livre, nous mettrons régulièrement en avant un

écrivain de la région. Le premier à nous offrir une bouffée d'oxygène littéraire, est Nassuf Djailani.

Il ne sera pas présent au Salon du Livre, ses ouvrages l'y représenteront, notamment la revue Project'Iles qu'il codirige avec Mlaïli Condro et Soidiki Assibatu.

Nassuf Djailani évoque pour le JDM son premier roman, à paraître ces jours-ci aux éditions

Komedit. " Comorian Vertigo », une somme de plusieurs récits de membres d'une même famille,

séparés, " je voulais un roman éclaté, à l'image de l'archipel ». C'est une enfant qui commence le

récit, Marie est https://www.youtube.com/watch?v=hRqo0Xm1zI4une voix qui s'affermit en

grandissant. " Marie, c'est un prénom universel, pas seulement occidental, ici on dira Mariame ».

A travers son récit qui évolue de Grande Comore, à l'époque du coup d'état de Bob Denard, vers

Mayotte, c'est la " déliquescence des familles », qui est révélée. Le décès d'un homme sur un

chantier implique son mari, il va s'enfuir en l'embarquant avec lui. S'il navigue entre roman et documentaire, c'est que Nassuf Djailani veut alerter le lecteur, et le

répète, " dans cet archipel, tout concourt non pas à une émancipation de l'homme ou de la

femme, mais à une déliquescence. Je ne préoccupe pas de l'appartenance politique de l'une ou

l'autre île, mais je dresse le constat qu'au final, c'est la défaite de l'homme. » " Qu'est ce qu'on fait de la République ? »

Mine de rien, tout le monde y passe, et notamment la justice, " les fuyards vers les autres îles ne

sont jamais jugés, on ne juge pas les faits, mais par défaut », lance sa petite musique de rimes. Qui

nous amène vers son recueil de poésie, " Hadith pour une République à naître ». " 'Hadith', ce sont les paroles rapportées du prophète qui expliquent comment il se comportait

dans la vie. Nous l'utilisons dans le sens de l'utilité d'un débat sur les sujets de société. Il signifie

'parlons' ! » Et le sujet, c'est la République. " Qu'est ce qu'on fait de ce rêve porté par nos aïeux ?

Des deux bords des îles, nous avons échoué à réfléchir. On vocifère, on crie, c'est la force qui

l'emporte. On assiste à une espèce d''ensauvagement' des esprits. »

Nassuf appelle à s'asseoir, " et à apprendre à s'écouter. Entre la naissance et la mort, quelle vie ?

Au delà de l'archipel, c'est aussi valable pour ce Monde qui se déglingue ».

L'immaturité de la classe politique

La pression démographique n'aide pas souligne-t-il, " poussés par cette contrainte, les gens sont

dans la réaction, et non dans la réflexion. Ils sont dans une attente déraisonnable par rapport à la

France, il faut nous-même nous donner les moyens, mais il faut du courage. Et la France de son Préfecture de Mayotte - Bureau de la communication interministérielle - www.mayotte.pref.gouv.fr Préfet de Mayotte @Prefet976 Revue de presse Mercredi 13 septembre 2017

côté, doit apprendre à écouter. Les gens sont pris à la gorge, la fiscalité, la pression foncière, et les

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