PAS SI BêTES LES PLANTES !
PAS SI BêTES LES PLANTES ! Jardins botaniques cantonaux
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sement roses parce que ce n'est pas une couleur qui dure ; c'est une couleur 52 Pas si bêtes
DE LA FOUILLE AU MUSÉE : LES MÉTIERS DE LARCHÉOLOGIE
doise Musée cantonal d'archéologie et d'histoire
LA CATHÉDRALE DE LAUSANNE
Monument vaudois de renommée mondiale la cathédrale de Lausanne 52 Pas si bêtes
LIMPRIMÉ SCIENTIFIQUE
(CHUV & Faculté de biologie et de médecine de l'Université de Lausanne) l'anatomie des plantes
LEVER DE RIDEAU SUR LOPÉRA
L'Opéra de Lausanne met à disposition des places pour les 52 Pas si bêtes les plantes !
LE THÉÂTRE
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27 nov. 2017 BCU Lausanne site Riponne. Entrée libre. bcu-lausanne.ch. Page 12. l'uniscope n° 629
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PAS SI BêTES LES PLANTES - botaniquevdch
La nourriture fournit l’énergie nécessaire à la vie de l’être humain et des animaux Les plantes sont capables à l’exception des espèces parasites de synthétiser elles-mêmes le sucre fournissant cette énergie Ce sucre le glucose est fabriqué dans les parties vertes des plantes lors de la photosynthèse
N° 629 / 27 novembre 2017
au 28 janvier 2018 d.MéLDgTr"pT"rL.iD T""CDT"Ry,nST"gT"bT::Tp"
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sans doute Perceval. A quel propos ? Non pas du chou rouge, comme lui répondrait le roi Arthur, ni de côtelettes. Mais au sujet du nouveau cours-séminaire consacré à - posé au semestre de printemps 2018. Car la série créée par Alexandre Astier, aussi bien réalisateur qu'acteur principal ou même compositeur, dissimule un intérêt scienti- fique bien plus précieux que son humour potache le laisse penser.Nous sommes tous passionnés par cette
série. Aussi bien les enseignants que nosétudiants
», lance dfemblée Barbara Wahlen,
maître dfenseignement et de recherche à la section de français, responsable du cours- séminaire. Ce que confirme le professeurAlain Corbellari. "
Lfengouement est qua-
siment unanime. Cette série est excellente dfabord parce qufelle est drôle, mais aussi parce qufelle nfest pas juste bêtement drôle.Elle appuie pratiquement tous ses effets co-
miques sur une connaissance approfondie de la légende arthurienne et de ses diffé- rentes variantes. » monde dfArthur et de sa cour dans le but de leur faire vivre les aventures les plus che- valeresques. Ce qui a poussé les chercheurs francophones à développer une tradition de comparaison, faire parler les textes entre eux donc. Citons principalement ceux de Chré- tien de Troyes, le maître du genre, ainsi que le e siècle. Contrairement aux Anglo-Saxons pour qui Thomas Malory, au XV e siècle, constituerait lfalpha et lfoméga. "Ce cours
devrait en partie nous permettre de naviguer de la série jusque vers les textes fondateurs », explique Barbara Wahlen.Lfun des intérêts principaux de
résiderait dans la réinterprétation faite parAlexandre Astier. "
Cette série a parfaitement
compris que dès sa naissance la légende est plurielle, susceptible de changer et dfévoluer, note Alain Corbellari. Le respect du texte est contraire à lfesprit des auteurs du Moyen Age. Quand ils écrivaient, ils sfemparaient de cette légende chacun à sa manière. Les suivants li- saient leurs prédécesseurs, mais nfhésitaient pas à transformer lfhistoire. carnerait donc cette liberté propre à lfépoque, quand son créateur modifie les rapports entre personnages, ou lorsqufAlexandre Astier convoque la culture contemporaine dans cer- tains épisodes. Perceval traversant une porte magique pour revenir avec un sabre-laser, référence àQuid alors des erreurs
? Car tordre lfhistoire, cfest prendre un peu le risque de commettre des bévues. "Nous nfallons pas tenter de sépa-
rer le vrai du faux, car ce qui est peut-être vrai dans un texte ne lfest probablement pas dans un autre», répond Barbara Wahlen. Dfautant
que selon Alain Corbellari les imprécisions, les maladresses voire les paraboles volon- taires ne prêtent pas forcément préjudice à lfhistoire, ni à la connaissance du Moyen Age.Les erreurs que nous pourrions considérer
comme graves seraient celles perpétuant des clichés négatifs sur lfépoque, et qui pourraient donc nous détourner de nous intéresser à cette période. Mais rien dans - fondément dommageable au Moyen Age tel que nous souhaitons le transmettre. ment fidèle à lfesprit de la littérature médié- vale, notamment Chrétien de Troyes, dans la mesure où il situe le début de son récit dans une sorte de hors temps. "Les deux
premières saisons de e.sos.i ":okVââ"hicomsoèmiaTct tuTsTilaLmhcLm hoLm.i,ctLcLAmlotmacm sLm.itcmhcLm hoLmhlorlCocLAmâhcèsa.tcm
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regarder les épisodes dans nfimporte quel ordre. Un peu comme les romans arthu- riens en vers des XII e et XIII e siècles. Elles deviennent plus linéaires et plus sombres avec le temps, à lfimage du cycle en prose.Dans les premiers, lfintrigue, rédigée en
vers, se situerait dans un temps cyclique.Celui de lfâge dfor du règne dfArthur donc.
Les romans en prose engloberaient quant à
eux une période allant de la naissance duChrist jusqufà la mort dfArthur. Une diffé-
rence de temporalité permettant, chez Astier, lfémergence de plusieurs personnalités qui ne devraient pas prendre place autour de laTable ronde. "
Lfancrage historique est à la
fois précis et flou. Théoriquement, lfhistoire se déroule au moment où la Bretagne devient indépendante de Rome, soit en 410. MaisAstier fait par exemple intervenir Attila, un
personnage de 450.Dernier point qui rassemble enfin Astier et
la littérature médiévale : lfironie et lfhumour.La série, qui se veut surtout comique à ses
débuts, ferait presque oublier que des res- sorts similaires existent aussi dans les textes anciens. La version télévisuelle exacerbe le caractère des personnages pour les rendre tous plus inefficaces les uns que les autres.Perceval le Gallois en premier lieu, seul
chevalier en mesure de se tromper sur son propre nom " les rares fois où il arrive à faire quelque chose de ses dix doigts», précise le
seigneur Léodagan. Une naïveté extrême présente sous la plume de Chrétien de Troyes aussi. Ou lorsque, chez ce dernier, le nobleLancelot du Lac est contraint de grimper
dans une charrette, symbole médiéval fort qui le couvre de honte, lorsqufil tente de sau- ver la reine Guenièvre. .cmhystTiLsasT¸ssnchlTTmcTmhcmn"TgcmstTgotica
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