Lécriture scientifique dun nombre Un même nombre peut sécrire
C'est elle qui doit être entre 1 et 9. Par exemple : 16×10-19 ou 6
LES PUISSANCES
Yvan Monka – Académie de Strasbourg – www.maths-et-tiques.fr. 3) Utiliser l'écriture scientifique pour comparer des nombres. Méthode : Utiliser la notation
Exercices sur la notation scientifique
Exercices sur la notation scientifique. Ecrire en notation scientifique: 1. 6000. 2. 82000. 3. 0.00005. 4. 420000000000. 5. ?0.0000000009264.
Notation Scientifique
La notation scientifique exprime les nombres en deux parties séparée par le symbole E. - La partie décimale (avec un chiffre à avant le point décimal) s'affiche
Notation Scientifique
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PUISSANCES Cours 1) Puissance dexposant positif Définition
Définition : L'écriture (ou notation) scientifique d'un nombre relatif B n'est pas écrit en notation scientifique car le chiffre avant la virgule est 0.
Notation Scientifique
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Puissances et notation scientifique 1. Puissances :
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Écriture scientifique et évolution des croyances des connaissances
l'écriture scientifique dans l'appropriation des concepts théoriques par les étudiants de master MEEF (Métiers de l'Enseignement de l'Éducation
Notation Scientifique
La notation scientifique exprime les nombres en deux parties séparée par le symbole E. - La partie décimale (avec un chiffre à avant le point décimal) s'affiche
Catherine
Université Paris Est, F-94010 Créteil Cedex
Laboratoire CIRCEFT-Escol, EA 4384,
Universités Paris 8 et Paris Est Créteil
catherine.delarue-breton@u-pec.fr FHVW j GLUH DX[ SODQV
LQLWLDWLRQjOD
UHFKHUFKH HVW GHYHQXH QpFHVVDLUH GDQV OD IRUPDWLRQ GHV HQVHLJQDQWV OHVREMHWHQFRUHG
GLYHUVHV UHSULVHV j SDUWLU GH GLIIpUHQWHV YHUVLRQV GHV PpPRLUHV OH U{OH GH O pFULWXUH VFLHQWLILTXH GDQV ODSSURSULDWLRQ GHV FRQFHSWV WKpRULTXHV SDU OHV
pWXGLDQWVGHPDVWHU0(()0pWLHUVGHO (QVHLJQHPHQWGHO eGXFDWLRQGHODXQHSDUWODGLYHUVLWpGHFHVPRGHVG
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, Web of Conferences06005 (2016)DOI: 10.1051/SHS2shsconf/20162707
Congrès Mondial de Linguistique FranÁaise - CMLF 2016 6005© The Authors, published by EDP Sciences. This is an open access article distributed under the terms of the Creative
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License 4.0 (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/). Ç O maintenant . Quand maintenant . Qui maintenant . Sans me le demanderv Fire Je ne serai pas seul les premiers tempsv [É] Je vais avoir de la compagniev Pour commencerv Quelques pantinsv Je les supprimerai par la suitev Si je peuxv Samuel 2eckett yll,odCpasq LÕinnommablev Paris x Minuitq 'é1vSi lÕon sÕaccorde assez unanimement Ð cÕest dire aux plans simultanment scientifique et institutionnel
Ð reconnaitre que lÕinitiation la recherche est devenue ncessaire dans la formation des enseignantsq
les modalits de cette initiationq ses vises et ses effets font cependant peu lÕobjetq encoreq dÕun
consensusq et dans certains casq divisentv Nous avons pu tudier diverses reprisesq partir de diffrentes
versions des mmoiresq le rle de lÕcriture scientifique dans lÕappropriation des concepts thoriques par
les tudiants de master MDDU d en formation initiale voir notamment Felarueé2retonq dld, h Felarueé2reton u 3rinonq yldp h Felarueé2retonq yldg h Felarueé2reton u Folignierq yldgsv Nous avons ainsi pu
mettre au jour dÕune part la diversit de ces modes dÕappropriationq etq en corrlation avec celleéciq la
diversit des modes dÕanalyse des situations scolairesq et dÕautre part des formes dÕvolution ou de
stagnation des croyancesq connaissancesq conceptions de ces futurs enseignants sur le mtierq sur les
Notre propos est ici de nous poser des questions comparablesq concernant le rapport entre appropriation
thorique et volution des conceptionsq non plus propos dÕenseignants en formation initialeq mais
propos dÕenseignants titulaires en reprise dÕtudeq parfois euxémmes formateursq inscrits en master
MDDU avec validation des acquisv Nous questionnons ainsi le rle de la recherche et de lÕcriture
scientifique dans la formation continue des enseignantsv8( 9/*%':%'(
lÕau cstorisation du sujet crivant Felarueé2retonq yld,asq suppose un double mouvement dÕintgration
dans une communaut discursive et de distanciation viséévis de cette communautv LÕcriture
scientifique est au fondement de ce processusq au cours duquel lÕauteur de mmoire sÕapproprie des
Les appuis thoriques que nous convoquons pour cette contribution concernent donc dÕabord les
proprits de lÕcritur e scientifiquevNotre vise est cependant dÕvaluer lÕimpact de ce double mouvement de la pense scientifique sur
lÕvolution des croyancesq connaissances ou conceptions que les auteurs de mmoire ont des diffrents
aspects du mtier v Nous nous appuierons donc pour penser cette question complexe sur une seconde srie dÕapports thoriques concernant prcisment ces croyances et autres conceptionsv , Web of Conferences06005 (2016)DOI: 10.1051/SHS2shsconf/20162707
Congrès Mondial de Linguistique Française - CMLF 2016 600521.1 Les propriétés de l'écriture scientifique
Celles-ci ont été étudiées à partir de diverses approches, analysant aussi bien les textes scientifiques de
chercheurs confirmés que ceux de débutants. Ce sont ces derniers travaux que nous retenons pour cette
étude, et plus particulièrement ceux qui concernent les propriétés des textes produits par des chercheurs
en formation, tenus d'écrire un mémoire (de doctorat ou de master).1.1.1. Approche énonciative des écrits des étudiants
F. Boch notamment, dans un article consacré à l'écriture scientifique des doctorants, et qui étudie des
caractéristiques énonciatives du genre crit scientifique (Boch, 2013), met en avant trois domaines
principaux susceptibles montrer des variations dans les positionnements d'auteur. Elle qualifie ces
domaines de " zones clignotantes de l'écrit scientifique, en ce qu'elles tiennent une place importante dans
les études descriptives des "manières de faire" des chercheurs [...] et sont également reconnues comme
sources de difficultés chez les étudiants [...]. » (ibid., 545). Ces dimensions sont les suivantes :
•Positionnement de l'auteur dans un texte à visée objectivante •Légitimation de l'objet d'étude •Intégration des sourcesPour le premier item, il s'agit de mieux comprendre comment l'auteur de mémoire s'implique
personnellement et prend position dans une recherche à visée objective et généralisante, position parfois
perçue à tort par les étudiants comme relevant de la neutralité. Dans une perspective du même ordre, nous
avons nous-même montré (Delarue-Breton, 2016) dans quelle mesure les étudiants sont confrontés dans
ce travail d'écriture spécifique à la nécessité de créer eux-mêmes, à des fins de renouvèlement
scientifique, ce qui l'a déjà été par d'autres, ailleurs et auparavant - nous reprenons à Winnicott
(1975/1971) la formule crer le djélà - autrement dit de s'approprier des savoirs théoriques en vue
notamment de les exploiter dans l'analyse des données, et non de les mentionner à des fins de simple
restitution. Cet usage propre des savoirs théoriques est une caractéristique souvent implicite de l'accès au
niveau Master 2 du cursus universitaire : alors que l'étudiant de licence voit ses écrits valorisés le plussouvent sur le critère principal de la restitution convenable (formulation adaptée, absence de contresens,
connaissance de l'environnement du concept etc.), il est attendu de l'étudiant de master qu'il exploite lui-
même - donc qu'il intériorise - ces savoirs pour nourrir et mener à terme son propre questionnement, ce
qui entraine un changement de posture souvent peu enseigné à ce niveau.Le deuxième item concerne la justification de l'objet de recherche, qui amène cette fois-ci, dans un
mouvement inverse à celui précédemment évoqué, l'étudiant à donner une légitimation externe à son
propre choix, en s'appuyant par exemple sur d'autres travaux en cours sur le même thème, ou, à l'opposé,
sur le caractère manquant de tels travaux dans la production scientifique, ou encore sur les contradictions
présentes dans les publications scientifiques, qui supposent de continuer à creuser la question, à légitimer
telle ou telle approche etc.Le troisième item, concernant l'intégration des sources, se décline en trois possibilités (Boch, opv citvq
558):•Citation directe avec guillemets •Reformulation •Évocation
Dans le premier cas (mode de référencement privilégié des chercheurs débutants), la citation reprend
l'énoncé évoqué sans modification, limitant ainsi ce que Frier (1998) nomme les risques interprtatifs.
Dans le deuxième cas, la reformulation du propos d'autrui permet la prise en compte de la parole de
l'auteur du mémoire : elle est donc susceptible de traduire davantage le positionnement de l'auteur du
mémoire ou son implication vis-à-vis du savoir mentionné, mais comporte de ce fait un risque
d'interprétation plus grand. Dans le troisième cas, l'auteur du mémoire évoque le savoir concerné sans le
définir ou en résumer la teneur ; il peut aussi (Delarue-Breton, 2016) faire allusion - sans mentionner à
nouveau le nom du ou des auteurs source(s) - à un concept suffisamment cité dans son texte (ou plus
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Congrès Mondial de Linguistique Française - CMLF 2016 60053largement suffisamment partag au sein de la communaut discursives pour que sa rfrence ne fasse pas
Nous verrons plus loin que lÕtude de ces items dans notre corpus permet de mieux comprendre la
ne sont cependant pas suffisants pour rendre compte des tenants et aboutissants de lÕappropriation
conceptuelle au sein du genre spcifique que reprsente le mmoire de master MDDUv8?8?B?(@'(6'*#'(ÉcÉritue ueÉsnfuteqéév(
Le mmoire de master MDDUq partie prenante de la formation des enseignants depuis la publication de
lÕarrt du y' aot ylda a q sÕinscrit dans un paysage universitaire complexeq o le type dÕcrit mémoireDn termes de traditionq nous pouvons voquer la sparationq lÕuniversitq entre Ç mmoire de
recherche È et Ç mmoire professionnel Èq le premier invitant son auteur une poursuite dÕtudes et
ylda prcise notamment que Ç chaque tudiant ralise un mmoire de master qui doit avoir un contenu
disciplinaire et de recherche en relation avec la finalit pdagogique et les pratiques professionnelles Èv
Le cadre institutionnel du mmoire de master MDDU le dfinit donc bien comme un mmoire relevant
simultanment du scientifique et du professionnelq ce qui vient revisiter les conceptions qui prvalaient
jusquÕalors lÕuniversitvFu ct de la formation des enseignantsq assure depuis dCCl et jusquÕen ylda par les IUUM
q il sÕagissaitgalement pour les futurs enseignants ou enseignants en formation continue de produire un mmoire dit
dÕune mme acadmie voir notamment 3rinonq ylla h 3rinon u Puigueq yll, h 3rinon u Puigueq
yllgsv 3e sont donc trois types de mmoires antrieurs au mmoire de master actuel qui contribuent
brouiller le genre discursif actuel du mémoire de master MEEFvPour leurs auteursq il sÕagit selon nous voir notamment Felarueé2retonq yld,bs de produire un mmoire
qui sÕlabore conjointement une recherche relleq nous entendons par l un mmoire qui vise la
plan thorique comme au plan mthodologiquev Mais ce mmoire doit galement porter sur un objet
explicitement professionnelq que celuiéci concerne des objets Ç micro È par exemple lÕaction de
Ç mso È par exemple la politique des circonscriptionsq les prescriptions institutionnellesq les pratiques
dÕtablissement etcvs ou des objets Ç macro È par exemple les politiques ducatives nationales ou
disciplines scientifiques qui sÕintressent lÕducationq lÕenseignement ou la formation sont ici
potentiellement concernesq et aucune nÕest privilgie ou nÕa vocation lÕtre plus quÕune autre ibid.,
pdsvNotons enfin que le public concernq constitu dÕenseignants en formation initialeq mais aussi
dÕenseignants ou de formateurs dÕenseignants en formation continue ou en reprise dÕtudeq sÕinitie lors de
lÕlaboration du mmoire un nouveau mode de socialisation universitaireq susceptible de lui permettre
de construire ou de renouveler son identit professionnelleq en sÕappropriant de nouveaux modes Ð
scientifiques Ð dÕanalyse des situations en lien avec le mtiervLÕcriture dÕun mmoire de master MDDU entraine donc potentiellement des tensions entre trois posturesq
susceptiblesq si elles sont reconnues ou identifiesq de dynamiser la rflexion entrepriseq ou de la
2retonq yld,bs x
¥!La posture dÕtudiant restitution de savoirs , Web of Conferences06005 (2016)DOI: 10.1051/SHS2shsconf/20162707
Congrès Mondial de Linguistique Française - CMLF 2016 60054•ÉLa posture dÕapprentiéchercheur production de savoirs •ÉLa posture dÕenseignant transmission de savoirs
3es diffrentes formes de rapport au xs savoir ssq parce quÕelles convoquent aussi des savoirs produits et
formuls ailleursq nous conduisent prendre en compte les diffrentes formes de dialogisme susceptibles
dÕtre attestes dans les mmoiresvAu del des formes de dialogisme prsentes dans tout acte de paroleq la ncessitq pour un auteur de
mmoireq de dialoguer avec les auteurs qui lÕont prcd pour laborer son cadre thoriqueq et
sÕapproprier les savoirs dj disponibles sur sa question de rechercheq entraine en effet des formes
spcifiques de dialogisme quÕil convient de prciserv Nous entendons par dialogisme le feuilletage des
voix qui traversent le propos du mmoireq que ces voix soient maitrises on parlera plutt dans ce cas de
polyphoniesq ou quÕelles ne le soient pas voir notamment sur ces distinction 2resq yllpsv3e dialogismeq qui convoque explicitement ou plus indirectement des positions thoriques lui prexistantq
se double par ailleursq puisque nous parlons de mmoires de masterq dÕune proccupation ou dÕun
dialogue plus souterrain avec lÕinstance valuative que peut reprsenter le juryq ouq plus largementq le
lecteurv On peut ainsi considrer que certains glissements nonciatifs attestent de ce dialogueélq et
traduisent les reprsentations qui peuvent tre celles de lÕauteur du mmoire concernant le genre dÕcrit
attenduq auquel il tenteq dans une certaine mesureq de se conformer Felarueé2retonq yld,asv Fe ce point
de vueq la valeur accorde aux savoirs thoriques convoqusq et leur rle dans la recherche conduite etq
conjointementq dans lÕlaboration du mmoireq nous apparaissent fondamentauxq et donc mritent dÕtre
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