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forme symbolique des forces de la nature des aspects de la condition humaine ? fable légende mythologie Mythes théogoniques cosmogoniques 

  • Pourquoi le mythe cosmogonique ?

    Une cosmogonie est un récit mythologique qui décrit ou explique la formation du Monde. Le mot vient du grec cosmo- « monde » et gon- « engendrer ». En cela, la cosmogonie se distingue de la cosmologie, qui est l'étude scientifique relative à l'origine du monde et de l'univers et surtout aux lois qui les gouvernent.
  • Quelle est la définition de la cosmogonie ?

    Science de la formation des objets célestes (planètes, étoiles, galaxies, etc.). 2. Partie des mythologies qui racontent la naissance du monde et des hommes.
  • Quelle est la différence entre cosmogonie et mythe ?

    Une cosmogonie, du grec « cosmo » – monde et « gon » – engendrer est un récit mythologique qui décrit la création du monde. Les cosmogonies sont des mythes fondateurs que l'on retrouve au sein de chaque civilisation.
  • Il existe plusieurs types de mythes certains se rattachent à la formation du monde (cosmogonie), d'autres concernent la naissance des dieux (théogonie), l'apparition de l'homme (anthropogonie), les cycles divins (Zeus, Apollon, Athéna), des mythes religieux (Joseph et ses frères), mythes héroïques (les aventures d'

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à l"aide d"un exemple : le mot mythe

mythe nom masculin

ᅈᅈ Récit fabuleux, souvent d'origine populaire, qui met en scène des êtres (dieux, demi-dieux, héros, animaux, forces naturelles) symbolisant des énergies, des puissances, des aspects de la

condition humaine. ڰlégende ; mythologie. Les grands mythes grecs (Orphée, Promé- thée...). Les mythes amérindiens.

Représentation de faits ou de personnages réels ou imaginaires déformés ou amplifiés par la tradition. ڰ

ᅈᅈ Chose imaginaire. FAMILIER Son oncle richissime ? C'est un mythe !, il n'existe pas.

ᅈᅈ Représentation idéalisée de l'état de l'humanité. Le mythe de l'âge d'or.ڰ

simplifiée que des groupes humains élaborent ou acceptent au sujet d'un individu, d'un groupe, d'un fait. Le mythe du progrès. mythe nom masculin ÉTYM. 1803 n. f. bas latin grec " récit, fable »

Famille étymologique ֲ

ௗ1ௗ Récit fabuleux, transmis par la tradition, qui met en scène des êtres incarnant sous une

forme symbolique des forces de la nature, des aspects de la condition humaine.

chrétiens, païens. Mythes amérindiens. " Un mythe est une histoire, une fable symbolique, simple

et frappante » (Rougemont). Mythes grecs d'Orphée, de Prométhée. " Le Mythe de Sisyphe », essai de Camus.

ł PAR EXT. Représentation de faits ou de personnages souvent réels déformés ou amplifiés par

l'imagination collective, une longue tradition littéraire. ڰ Juan, Don Quichotte, Faust, Hamlet...). Le mythe napoléonien. Le mythe de l'Atlantide. ௗ2ௗ FIG. Pure construction de l'esprit (ڰ

ł FAM. Affabulation. ڰ

ௗ3ௗ Expression d'une idée, exposition d'une doctrine ou d'une théorie philosophique sous une

forme imagée. ڰ

ௗ4ௗ Représentation idéalisée de l'état de l'humanité dans un passé ou un avenir fictif. Mythe de

l'Âge d'or, du Paradis perdu. ڰ préparer à un combat » (G. Sorel).

ௗ5ௗ (avant 1865) Image simplifiée, souvent illusoire, que des groupes humains élaborent ou

acceptent au sujet d'un individu ou d'un fait et qui joue un rôle déterminant dans leur comportement ou leur appréciation. Le mythe du bon sauvage, du héros. Le mythe de la

galanterie française. " le mythe est une parole choisie par l'histoire : il ne saurait surgir de la

“nature" des choses

» (Barthes). Détruire les mythes. ڰ

SINGULIER : mythe

PLURIEL : mythes

© 2019 Dictionnaires Le Robert

- Le Petit Robert de la langue française mythe PLAN

1. Récit fabuleux, le plus...

2. Pure construction de l'esprit...

3. Expression d'une idée, exposition...

4. Représentation idéalisée de l'état...

5. Image simplifiée, souvent illusoire...

mythe n. m. ÉTYM. 1803 ; bas lat. grec " récit, fable ».

1 Récit fabuleux, le plus souvent d'origine populaire, qui met en scène des êtres incarnant

sous une forme symbolique des forces de la nature, des aspects du génie ou de la condition de l'humanité. ڰ

primitives. Mythes solaires. Mythes de la cosmogénie polynésienne (ĺ Forme, cit. 58). Mythe grec

(ĺ Férocité, cit. 4). Mythe d'Antée (cit. 2), de Cybèle, d'Orphée, de Prométhée (ĺ Foie, cit. 5)...

Mythes chrétiens, païens, profanes. Caractère (cit. 31) sacré du mythe. Rôle des mythes dans les

littératures populaires. Le Mythe de Sisyphe, ouvrage d'A. Camus (1942). Mythes et

légendes. Mythe et épopée, ouvrage de G. Dumézil. Utilisation des mythes dans la reconstruction

de l'histoire. Étude anthropologique, structurale des mythes.

1 Le principe de Heyne : " Toute histoire d'ancien peuple commence par des mythes », me revenait sans

cesse à l'esprit (...) Toutes les vieilles listes royales (...) débutent par des dieux transformés en rois (...)

RENAN, Mélanges d'hist. et de voyages, Œ. compl., t. II, p. 356.

2 Un mythe grec veut qu'à l'origine du monde chaque être humain ait été composé d'un homme et d'une

femme, que le démiurge ait divisé en deux chacun de ces êtres et que, depuis lors, les moitiés séparées

cherchent à se rejoindre.

A. MAUROIS, Un art de vivre, II, I.

3 (...) on pourrait dire d'une manière générale qu'un mythe est une histoire, une fable symbolique, simple

et frappante, résumant un nombre infini de situations plus ou moins analogues (...) Dans un sens plus

étroit, les mythes traduisent les règles de conduite d'un groupe social ou religieux. Ils procèdent donc de

l'élément sacré autour duquel s'est constitué le groupe (...) un mythe n'a pas d'auteur. Son origine doit

être

obscure. Et son sens même l'est en partie (...) Mais le caractère le plus profond du mythe, c'est le

pouvoir qu'il prend sur nous, généralement à notre insu (...)

D. DE ROUGEMONT, l'Amour et l'Occident, I, 2.

3.1 De l'étude des mythes, Durkheim (p. 142) disait déjà : " C'est un difficile problème qui demande à être

traité en lui-même, pour lui-même, et d'après une méthode qui lui soit spéciale. » Il suggérait aussi la

raison de cet état de choses, quand plus loin (p. 190) il évoquait les mythes totémiques, " qui, sans

doute, n'expliquent rien et ne font que déplacer la difficulté, mais qui, en la déplaçant, paraissent du

moins en atténuer le scandale logique ». Profonde définition qu'on pourrait, croyons-nous, étendre au

champ entier de la pensée mythique, en lui donnant un sens plus plein que n'eût convenu son auteur.

En effet, l'étu

de des mythes pose un problème méthodologique, du fait qu'elle ne peut se conformer au

principe cartésien de diviser la difficulté en autant de parties qu'il est requis pour la résoudre. Il n'existe

pas de terme véritable à l'analyse mythique, pas d'unité secrète qu'on puisse saisir au bout du travail de

décomposition. Les thèmes se dédoublent à l'infini. Quand on croit les avoir démêlés les uns des autres

et les tenir séparés, c'est seulement pour constater qu'ils se ressoudent, en réponse aux sollicitations

d'affinités imprévues. Par conséquent, l'unité du mythe n'est que tendancielle et projective, elle ne reflète

jamais un état ou un moment du mythe. Phénomène imaginaire impliqué par l'effort d'interprétation,

son rôle est de donner une forme synthétique au mythe, et d'empêcher qu'il ne se dissolve dans la

confusion des contraires.

Claude LEVI-STRAUSS, le Cru et le Cuit, p. 13.

admise, mais qui ont été déformés ou amplifiés par l'imagination collective, une longue

tradition* littéraire... ڰ mythe de l'Atlantide.

4 Le chemin parcouru du véritable Achille à l'Iliade, du modèle de Don Quichotte à Cervantès et à ses

prolongements, de Roland à la Chanson de Roland, est bien décevant pour l'histoire littéraire, qui ne

trouve aucune proportion acceptable entre le point de départ et le mythe définitif.

R.-M. ALBERES, Gérard de Nerval, p. 72.

prête, prend figure de héros de légende (ମ Héroïque, cit. 2).

5 Nana (personnage de Zola) tourne au mythe sans cesser d'être une femme (...)

FLAUBERT, Correspondance, 1954, 15 févr. 1880.

(Av. 1865). Pure construction de l'esprit, invention sans rapport avec la réalité (ڰ fatalité

(cit. 1) n'est qu'un mythe (ମ aussi Accumulation, cit. 3). - Fam. Affabulation. Son oncle à

héritage n'est qu'un mythe, c'est un mythe, il n'existe pas. (1842). Expression d'une idée, exposition d'une doctrine ou d'une théorie au moyen d'un récit poétique. ڰ

6 Le mythe, introduit dans l'art de Platon, comme l'épopée par Homère, c'est une idée portée par un récit,

une idée qui est une âme, un récit qui est un corps, et l'un de l'autre inséparables. A. THIBAUDET, Hist. de la littérature franç., p. 139.

4 (1874). Représentation idéalisée de l'état de l'humanité dans un passé ou un avenir fictif. Le

mythe de l'âge d'or, du Paradis perdu... Le mythe de la cité heureuse. ڰ exprime les sentiments d'une collectivité et sert à entraîner l'action

» (Lalande, Voc. de la

philosophie). Le mythe de la grève (cit. 12) générale.

7 (...) nos mythes actuels conduisent les hommes à se préparer à un combat pour détruire ce qui existe (...)

Un mythe ne saurait être réfuté puisqu'il est, au fond, identique aux convictions en langage de

mouvement, d'un groupe, qu'il est l'expression de ces convictions (...) Georges SOREL, Réflexions sur la violence, p. 46-50.

5 (Av. 1865). Image simplifiée, souvent illusoire, que des groupes humains se forment ou

acceptent au sujet d'un individu ou d'un fait quelconque, et qui joue un rôle déterminant dans leur comportement ou leur appréciation. Créer des mythes nouveaux (ମ Humaniste, cit. 3). Détruire les mythes. ڰ

(ମ Fortune, cit. 40). - Mythe du chef, du héros. Mythe de la chaumière et du coeur. Mythe du

flegme britannique, de la galanterie française, de la lourdeur allemande.

8 Mythe est le nom de tout ce qui n'existe et ne subsiste qu'ayant la parole pour cause (...) En vérité, il y a

tant de mythes en nous et si familiers qu'il est presque impossible de séparer nettement de notre esprit

quelque chose qui n'en soit point. On ne peut même en parler sans mythifier encore, et ne fais-je point

dans cet instant le mythe du mythe pour répondre au caprice d'un mythe ? (...) Songez que demain est

un mythe, que l'univers en est un ; que le nombre, que l'amour, que le réel comme l'infini, que la justice,

le peuple, la poésie... la terre elle -même sont mythes (...)

VALERY, Variété II, p. 230-232-233.

9 Quels sont les mythes simples qui la remuent (cette foule), qui provoquent ses passions ? Découvrons-

les dans les journaux qu'elle lit, dans les spectacles auxquels elle assiste, dans les propos qu'elle tient. Ils

sont quatre, intimement mêlés : mythe de l'argent, mythe du confort, mythe de l'action, mythe de la

vitesse.

DANIEL-ROPS, le Monde sans âme, IV.

10 Pour un très grand nombre de gens, aujourd'hui, mythe ou bien signifie pensée confuse, ou bien

mensonge, ou bien erreur (...) Je pourrais aligner des douzaines de citations qui ne feraient que confirmer l'extension de ce sens et sa vulgarisation. En 1950, toute idée fausse en effet, toute

interprétation erronée d'un événement, d'une doctrine, est traitée volontiers de " mythe » : " mythe »,

cette confiance des Français en leur ligne Maginot ; " mythe », l'alliance germano-russe de 1939 (...)

valeur aujourd'hui passionnelle et floue du mot (...)

ÉTIEMBLE, le Mythe de Rimbaud, Introd., p. 42.

11 (...) le mythe est une parole choisie par l'histoire : il ne saurait surgir de la " nature » des choses.

R. BARTHES, Mythologies, p. 194.

SINGULIER : mythe

PLURIEL : mythes

© 2017 Dictionnaires Le Robert

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