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La gestion passée et actuelle du bassin de la mer dAral

28 août 2009 Le bassin versant de la mer d'Aral recouvre toute l'Asie centrale ... Puis l'homme y a introduit une certaine quantité de poissons et ...



Projet Aral

16 févr. 2007 Figure 2.16 : Barrage sur la grande mer d'Aral . ... A l'origine la mer d'Aral contenait 24 espèces de poisson. Dans les années.



Mer dAral : une catastrophe annoncée

La mer a reculé les pêcheurs trouvaient de moins en moins de poisson



Un drame : la disparition de la Mer dAral

a fait pratiquement disparaître l'ancienne Mer d'Aral. On ne peut que L'Aral est pauvre en nutriments et l'introduction de tous ces poissons a.



Nils et Léo

L'Amou-Daria & le Syr Daria fleuves qui alimentaient la mer d'Aral



leau virtuelle à partir de lexemple du coton ouzbek

Tous les jours les pêcheurs de Muinak ramenaient des tonnes de poisson de la mer d'Aral et les acheminaient vers la conserverie. La pêche fournissait alors 



Ameiurus melas (Rafinesque 1820) Le Poisson-chat est originaire

Le Poisson-chat est originaire de l'Amérique du Nord. des Pyrénées en passant par le lac Baïkal la mer d'Aral



Eb Cabané Vasseur

Et en 2002 on ne retrouve plus que deux de ces espèces dans le bassin ouest de la mer d'Aral alors que dans la partie Est on ne trouve plus aucun poisson. Les 



Espèce inscrite à lannexe III de la Convention de Berne les

In : Atlas des poissons d'eau douce atteint l'Oural à l'est (affluents de la mer Noire de la mer Caspienne et de la mer d'Aral).



Le Brochet : Esox lucius Linné 1758 LEsox le plus ancien connu

https://inpn.mnhn.fr/docs-web/docs/download/192948

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Pascal et al., 2003 - Évolution holocène de la faune de Vertébrés de France : invasions et disparitions.

Espèce inscrite à l'annexe III de la Convention de Berne, les populations d'Europe Centrale de la Vimbe ont beaucoup régressé en raison de la pollution et des obstacles offerts à sa migration. Sa population française ne fait pas l'objet de mesures de gestion spécifiques.

Philippe Keith

Keith P. & Allardi J., 2001. La Vimbe Vimba vimba (Linné, 1758). In : Atlas des poissons d'eau douce

de France (Keith P. & Allardi J. Édit.). Patrimoines naturels, MNHN, Paris, n°47 : 202-203.

Le Silure glane : Silurus glanis Linné, 1758

Quelques Siluridés du Miocène et du Pliocène de Hongrie et de Bulgarie sont peut- être apparentés aux genres Silurus ou Parasilurus récents (Keith, 1998), et si le genre Silurus est signalé avec certitude en France dans les gisements du Miocène de la vallée du Rhône (Mein et al., 1983), aucun reste n'en est connue de l'Holocène L'aire de répartition initiale du Silure glane couvre l'Europe centrale, du sud de la Suède jusqu'au nord des Alpes (lacs de Morat, Neuchatel, Bienne et de Constance), et atteint l'Oural à l'est (affluents de la mer Noire, de la mer Caspienne et de la mer d'Aral). En France, il a été introduit dans le bassin du Doubs en 1857 par Berthot à partir de sujets provenant de la pisciculture de Huningue (Haut-Rhin) (Keith et al., 1992). Par la suite,

des individus ont été déversés dans le canal du Rhône au Rhin (Gervais & Boulard, 1897).

C'est en 1956, que 29 individus en provenance du Danube ont été acclimatés dans un étang de la commune de Lescheroux dans l'Ain. Fin 1968, plusieurs spécimens issus de ces

fondateurs ont été lachés dans la Sane-Morte, affluent de la Sane-Vive, elle-même affluent

de la Seille, d'où ils ont colonisé le réseau hydrographique de la Saône et du Rhône. Des

introductions volontaires et l'utilisation par l'espèce des canaux trans-bassins sont à l'origine

de l'extension récente de l'aire de répartition de l'espèce aux bassins de la Loire, de la Garonne, de la Seine... Cette extension se poursuit actuellement (Sclumberger & Proteau,

2001). Il ne semble pas avoir été introduit en Corse à ce jour.

Si son impact sur le fonctionnement de ses écosystèmes d'accueils n'est pas

documenté de façon fondée, son statut de prédateur de grande taille lui fait probablement

jouer un rôle important sur la dynamique des peuplements de cyprinidés. Dans le bassin du Rhône, un impact sur les populations d'écrevisses pourrait être mis en évidence. Ses populations ne font pas l'objet de mesures de gestion spécifiques.

Philippe Keith

Gervais H. & Boulart R., 1897. Les Poissons d'eau douce : Synonymie - description - moeurs - fraie - pêche-iconographie, J. Rothschild Éd., Paris : 233 pp.

Keith P., 1998. Évolution des peuplements ichtyologiques de France et stratégies de conservation.

Thèse Université de Rennes I : 236 pp.

Keith P., Allardi J. & Moutou B., 1992. Livre rouge des espèces menacées de poissons d'eau douce

de France et bilan des introductions. Coll. Patrimoines Naturels, Vol. 10, SFF/MNHN, CSP,

CEMAGREF, Min. Env., Paris : 111 pp.

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Pascal et al., 2003 - Évolution holocène de la faune de Vertébrés de France : invasions et disparitions. Mein P., Méon H., Romaggi J.P. & Samuel E., 1983. La vie en Ardèche au Miocène supérieur d'après

les documents trouvés dans la carrière de la montagne d'Andance. Nouvelles Archives du Muséum

d'Histoire Naturelle de Lyon, suppl. 21 : 37-44. Schlumberger O. & Proteau J.-P., 2001. Le Silure glane Silurus glanis Linné, 1758. In : Atlas des poissons d'eau douce de France (Keith P. & Allardi J. Édit.). Patrimoines naturels, MNHN, Paris, n°47 : 220-221. Le Poisson-chat : Ameiurus melas (Rafinesque, 1820) Le Poisson-chat est originaire de l'Amérique du Nord. Il a été introduit en France en 1871 et se serait rapidement évadé des bassins du Muséum d'Histoire Naturelle de Paris pour gagner la Seine toute proche en empruntant le réseau des égouts (Vivier, 1951). Ce n'est cependant qu'au début du 20

ème

siècle qu'il aurait

accru son aire de répartition de façon significative. Vers 1907, Chapellier, alors directeur de

la Station Centrale des Vertébrés du Service de la Recherche Agronomique, l'introduisit dans des étangs du Loiret d'où il s'évada pour gagner le bassin de la Loire. Les revues scientifiques de l'époque vantaient la délicatesse de sa chair et, en 1905, Lavauden recommandait de l'introduire dans les secteurs hydrographiques les plus pollués afin de satisfaire les pêcheurs à la ligne (Lavollée, 1906). Nombres de sociétés de pêche l'introduisirent alors, et le Poisson-chat colonisa ainsi l'ensemble du réseau hydrographique

de la France continentale (Boët, 2001). Il a été introduit en Corse après 1970 en dehors de

tout programme organisé et constitue des populations pérennes dans plusieurs plans d'eau

artificiels de la plaine orientale de l'île d'où il a été introduit par la suite dans plusieurs rivières

dont le Golo (Roché & Mattei, 1997). Il est possible qu'une autre espèce, A. nebulosus (Lesueur, 1819), longtemps confondue avec A. melas, ait été introduite de conserve avec la première, mais n'ait pas subsisté. Cette hypothèse n'est cependant pas été validée à l'heure actuelle. Le Poisson-chat est largement répandu en France, mais ses populations semblent récemment regresser en raison de la pollution des eaux, mais aussi de la probable émergence de maladies (Boët, 1981). En effet, en 1992, un iridovirus classé dans le genre Ranavirus, le même probablement que celui isolé sur le Silure glane en Allemagne (Ahne et

al., 1991), a été isolé sur le Poisson-chat en France (Pozet et al., 1992). Des indices laissent

penser qu'il aurait pour origine un virus d'amphibien (Hedrick et al., 1992). Par ailleurs, il

existe une forte présomption pour qu'aient été introduits avec le Poisson-chat certains de ses

monogènes branchiaux d'origine nord-américaine (Lambert, 1977). Classée " espèce susceptible d'engendrer des déséquilibres biologiques », son impact sur le fonctionnement de ses écosystèmes d'accueil n'a jamais vraiment été

démontré et n'a pas fait l'objet de travaux spécifiques. Dans les années 1980-90, il a fait

l'objet de nombreuses pêches de destruction.

Philippe Keith & Michel Dorson

Ahne W., Schlotfeldt H.J. & Ogawa M., 1991. Iridovirus infection of adult sheatfish (Silurus glanis). J.

Vet. Med., 37 : 187-190.

Boët P., 1981. Éléments d'écologie du poisson-chat, Ictalurus melas (Rafinesque, 1820), du lac de

Créteil. Structure et dynamique de la population exploitation des ressources alimentaires et production. Thèse 3

ème

cycle, Université de Paris VI : 123 pp.quotesdbs_dbs47.pdfusesText_47
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