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Coloré

Coloré par Rodolphe





Coloré par Rodolphe · Paris

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Gustave Flaubert - Madame Bovary

choc de la table présentaient



PORTRAITS DE FRANCE

coloré mêlant danseuses du ventre saltimbanques et dompteurs. accidentelle à Paris provoque un choc ... Émile Rodolphe Enoff



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Jan 7 2017 au sens propre : le parfum de Rodolphe entraîne Emma sur le ... certains vins sucrés chez la blonde



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© Ministère de la Culture - Médiathèque du Patrimoine, Dist. RMN-Grand Palais/Studio Harcourt

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Ce travail de mémoire n'est pas une réécriture de notre histoire commune mais un enrichissement et une reconnaissance, en redonnant leur place à tous les enfants de la République et en continuant de l'écrire avec ce que la France est aujourd'hui, c'est-à-dire une nation une et indivisible, mais aussi riche de sa diversité.

Nadia Hai, mars 2021

Consneisl ct fnequt

Consneisl ct fnequt

N os rues racontent l"histoire de

France. Enfin, seulement une partie

de l"histoire de France. Il manque dans l"espace public une partie de ceux qui ont fait l"histoire de ce pays depuis deux siècles et qui ont des origines ou sont nés hors des frontières de l"Hexagone. Les noms de personnalités les plus attribués en France pour des rues, des quartiers et des bâtiments sont le signe de cette histoire. Charles de Gaulle est en tête, puis Louis Pasteur, suivi par un trio gagnant : Victor Hugo, Jean Jaurès et Jean Moulin. On découvre ensuite quelques militaires et hommes politiques, comme Léon Gambetta, le général Leclerc, le maréchal Foch, Jules Ferry et Georges Clemenceau. Arrive en 11 e position Émile Zola, dont le père est né en Italie. Un premier signe de diversité géographique, en lien avec l"histoire de l"immigration, mais une information que très peu de Français partagent. Le reste est à l"identique lorsque l"on regarde les premiers noms des rues et des bâtiments en France, bien peu de ? diversité ?, avec

Frédéric Mistral dans le Sud de la France,

George Sand dans le centre de l"Hexagone,

Victor Schoelcher aux Antilles, Alphonse de

Lamartine ou Voltaire dans toute la France, mais aussi La Fayette en Auvergne, François Arago dans le Sud-Ouest, Pierre de Ronsard en Sologne, Raymond Poincaré dans l"Est... De temps en temps, on découvre un nom qui nous parle d"immigration ou de diversité territoriale, à l"image de Marie Curie (née en Pologne) qui arrive en 16

e position, Albert

Camus (né en Algérie) en 30

e position, Jacques

Brel (né en Belgique) en 38

e position. Pour fermer le ban des deux cents personnalités où dominent les politiques et les écrivains,

André Gide

1

On le constate, bien peu de personnes sur

nos plaques de rues sont nées à l"étranger ou ont des parents issus des immigrations intra-européennes (comme Pablo Picasso), sont nées ou ont des parents issus de l"ex- empire colonial (Édith Piaf, Marcel Cerdan ou Roland Garros) ou de pays non européens d"Asie, du Moyen-Orient, d"Afrique, d"Océanie, d"Amérique du Sud (comme Salvador Allende ou Pablo Neruda), bien peu d"Ultramarins aussi.

Quelques exceptions, symboles de ? diversité

comme Alexandre Dumas (113 e place) et, à la 150 e place, Martin Luther King ou Nelson

Mandela (166

e place). Ces deux derniers étant des personnalités mondialement reconnues, 6 ea PPbec(c s€ersb‚c ec"Paec

1 - Voir le fichier FANTOIR (https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/fichier-fantoir-des-voies-et-lieux-dits) qui regroupe plus

d"un million et demi de voies/rues et plus de cinq millions ,et demi de lieux-dits en France.

Consneisl ct fnequt

d"outre-Atlantique ou d"Afrique du Sud, mais qui ne font pas directement partie de l"histoire de France 2

Voilà le panorama au début du XXI

e siècle de la manière dont nous lisons dans l"espace public nos histoires collectives. En outre, une infime partie des noms de rues ou de bâtiments publics de l"Hexagone porte le nom d"une personnalité féminine 3 . Concernant la ? diversité des origines ?, des immigrations et des Outre-mer ? Personne ne le sait, tellement ce chiffre est infime.

Comment cela a-t-il été possible

? Plusieurs explications évidentes : la tradition, l"habitude, le fait que ces noms le plus souvent usités soient connus et qu"ils figurent dans nos manuels scolaires, l"intérêt régional ou local aussi (d"où bien souvent la personnalité est originaire), mais

également le souhait de prendre ?

des noms connus ? et des ? noms reconnus ? qui vont faire consensus... Des noms, aussi, de personnes décédées, donc issues majoritairement d"un passé lointain, rarement des dernières décennies, rarement des noms qui parlent

à la génération actuelle. La ?

diversité ? de notre histoire, de nos histoires, au creuset des immigrations, des régions ultramarines, des histoires de la colonisation, des abolitions ou des esclavages sont quasi invisibles. Et, lorsque le débat sur la ? personnalité ? veut être évité, on prend des noms de fleurs, d"arbres, d"oiseaux, de fruits ou d"un lieu-dit, d"une ancienne pratique

routière (la route de...) ou d"un lieu géographique (comme un pays ou une ville). C"est un choix parfait... pour éviter une polémique ou un long débat avec les électeurs ou un conseil municipal.

Au final, ce panorama des noms dans

l"espace public est éloigné de la complexité de notre histoire et les odonymes (un nom désignant une rue, une place, un quartier, une avenue...) ne servent pas (plus) de miroirs aux générations actuelles et à ce XXI e siècle débutant. Il semble nécessaire d"insuffler une part de féminisation des noms et une part de diversification des personnalités retenues pour rééquilibrer un paysage aussi monochrome. Les deux enjeux sont essentiels, et ils doivent être menés de manière parallèle 4 et concomitante pour changer cette photographie de la France, restrictive et trompeuse.

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C"est dans cette dynamique que ce recueil est

né. D"un double souhait : celui du Président de la République Emmanuel Macron dans la perspective de son discours pour le 150
e anniversaire de la III e

République et dans

la continuité de son discours en Provence le

15 août 2019 avec son appel aux maires de

France à ? nommer ? des lieux en hommage

aux combattants venus d"Afrique, qui 7

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Consneisl ct fnequt

avaient débarqué sur les plages de France en août 1944 ; et celui de Nadia Hai, ministre déléguée ıauprès de laıministreıde la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, chargée de la Ville qui a souhaité porter ce projet, l"initier et qui en a proposé le principe à l"historien Pascal

Blanchard à la fin de l"été 2020.

C"est dans cette perspective, que le

ıPrésident

de la République a placé au centre des débats et des enjeux de mémoire et de reconnaissance ce recueil : notamment, lors de son interview à Pres (4 décembre

2020) - qui a été vue par sept millions de

jeunes (15-34 ans), en prenant en compte les différents réseaux sociaux -, et dans une interview dans (cabirntt quelques jours plus tard. Dès le mois de septembre 2020, la ministre déléguée chargée de la Ville, Nadia Hai, a placé ce travail sous l"égide de l"ANCT et d"un conseil scientifique afin de mobiliser des chercheurs et des personnalités pour le mener à bien. L"objectif est qu"il soit disponible dès début 2021, afin de proposer entre ? )::ınsı

M::ılp

tınıinrtpll st ? pouvant faire résonance en France et, plus spécifiquement, dans les quartiers populaires, dans les régions ultramarines et auprès de la jeunesse.

Pour constituer le présent recueil, nous

avons choisi de regarder notre histoire de

France dans toutes ses diversités, depuis

la Révolution française (230 ans), car c"est une date charnière de notre récit national,

mais aussi parce que depuis 1790, ce sont progressivement les maires (avec validation des pouvoirs publics et des préfets), puis les conseils municipaux (à partir de 1884) qui choisissent les noms des lieux et des rues

5

Auparavant, comme au Moyen Âge, le nom

d"une voie relevait des individus puis, avec

Henri IV, s"installe l"idée que le nom d"une

rue est, pour le pouvoir royal, une manière de rendre hommage à des ? figures héroïques ?.

À la fin du XVIII

e siècle, l"État révolutionnaire conserve encore cette prérogative et ? nırpsı nınrlnrıntıp ntıie t ?, comme sous Louis

XVIII, période durant laquelle

est rappelée l"obligation de ? l"autorisation préalable ? de l"État. Puis le local prend le contrôle de cette prérogative et désormais, le paysage de la mémoire est à la charge des municipalités. C"est donc aux élus des communes de France que ce recueil s"adresse en priorité en 2021.

Nous avons ainsi choisi de nous plonger dans

ces deux siècles d"histoire et dans ce long processus où le local récupère le pouvoir de ? nommer ?, en cherchant des noms de personnalités, hommes et femmes, qui ont ? ptı

ırlnı?, ont ? rnleıtnrnı? à la

République ou ont contribué à la richesse et à la diversité de notre histoire, de nos cultures, de nos sciences ou de nos destins.

Aujourd"hui, il existe dans de nombreuses villes

des commissions visant à proposer des noms, alors que dans les plus petites communes, c"est bien souvent le maire qui prend l"initiative et porte ce processus avant de le soumettre à son équipe municipale. Ce recueil 8

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est destiné à les accompagner - comme à accompagner les conseils départementaux et les conseils régionaux dans leurs choix de nommer ou de rendre hommage à travers des bâtiments publics -, évidemment sans aucune obligation, afin de leur faire découvrir l"incroyable richesse de notre histoire et la diversité de ses acteurs, pour qu"ils puissent peser leurs choix, ouvrir des perspectives, notamment dans les quartiers de la politique de la ville.

La pratique veut que le plus souvent, les

riverains soient consultés pour une désignation ou un changement de nom. Pouvoir disposer de biographies et de liens pour découvrir au mieux une personnalité nous paraît donc essentiel et utile (et cela n"exclut en rien bien sûr d"aller plus loin à partir des sources proposées). Enfin, la pratique (suggérée par plusieurs notes ministérielles) recommande de demander l"avis des personnes et de leurs descendants (mais cela n"est en rien obligatoire, comme le précise le ministère de l"Intérieur, en date du 11 tiptsplı t snıpeır n nlsrnılnı

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splıcelnıplte ssplıpeıcelnı n lnıcesprtsplııelınlsen

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Cette disposition n"empêche pas l"équipe

municipale d"engager une telle démarche (si elle le souhaite) auprès des familles ou des personnalités elles-mêmes lorsqu"elles sont vivantes, pour obtenir leur autorisation et accord. Ni d"engager une demande spécifique auprès du pays d"origine, lorsque la personne est de nationalité étrangère. ,NNuBx"Eê,trta"J

Par tradition, le nom choisi doit toujours

? rntinsnrı nıirlinınılnesr sıeı tnrnıie ? (ministère de l"Intérieur,

2016), ne doit pas ? iprsnrıssnlsnıı

c nı nı ıp elnı?, ? heurter la sensibilité des personnes ? ou provoquer un ? srpe nıı cprrnıie

ı?. Nous avons, là aussi, travaillé

dans ce cadre, essentiel à notre démarche.

Enfin, le débat sur une personne vivante

est toujours complexe, comme le soulignait une circulaire ministérielle ancienne, datant de 1968, qui recommandait (sans le rendre obligatoire) d"? rsnrı ntıs plntını rnpllttlnıie [...] ıntı inrtpll stılsnt ?, comme des personnes

étrangères, car il existe ?

ltılpsrnıe sernınsı ltılpsrnıtsprnıtet nlsınıinrtpllntı

ılnıtpsıitılnttrnını

nrnrıtts nlsı nertı nılp nılptırent

ı?. Cette orientation a changé

depuis. De fait, de plus en plus de personnes contemporaines voient leurs noms donnés à un lieu quel qu"il soit - le plus souvent des bâtiments culturels ou des complexes sportifs et, plus exceptionnellement, des noms de rue -, lorsque celles-ci se sont illustrées par les ntıplsırnletıı c ssı? ou par leur ? plsresplı lnlsnıeın piin nlsı nı

ıtnln ıntırstıpeıntı

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Consneisl ct fnequt

Enfin, la pratique républicaine fait que

la présidence de la République ne peut, de leur vivant, en dehors des processus institutionnalisés, rendre hommage à des personnalités en France. Il est donc impossible de dresser une liste de personnalités contemporaines pour les proposer aux élus sous l"égide du Président de la République et d"un/une ministre sans entrer en contradiction avec cette tradition républicaine.

Nous avons donc retenu l"idée d"un double

travail pour ce recueil. Rester dans la ? tradi- tion ? en proposant un recueil ? officiel ? de

318 noms de personnalités disparues. Mais

aussi proposer plus d"une centaine de noms de personnes encore vivantes pour, à côté et de manière distincte, permettre à Nadia Hai, ministre déléguée

ıauprès de laıministreıde

la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, chargée de la Ville, de les rendre disponibles de manière ? informelle ?, pour là aussi se mettre au service des attentes du territoire et des élus.

Nous avons pleinement conscience que

ce choix de personnalités vivantes fait et fera aussi débat dans l"espace médiatique.

C"est pourquoi nous avons clairement

distingué les deux ensembles, d"un côté le recueil, de l"autre une recommandation plus informelle. Les discussions sur cette césure ont été nombreuses également au sein du

Conseil scientifique. Après plusieurs vagues

d"échanges - où tout le monde était loin d"être d"accord... et les débats se prolongent encore aujourd"hui entre nous -, nous avons

opté pour ce dispositif. La pratique est néanmoins aujourd"hui installée, sans pour autant être massive, de donner à des lieux et des bâtiments publics des noms de contemporains toujours vivants. D"ailleurs, en parallèle de nos débats internes, le 23 décembre 2020, le CREPS d"Antilles-Guyane inaugurait une piste d"athlétisme en Guadeloupe et la nommait ? Piste Marie-José

Pérec ?. Comme exemples embl

nrsltı n rntıeı onseil scientifique rappelaient qu"en 2017, le maire (LR) Manuel Aeschlimann avait décidé de désigner deux rues d"Asnières dans le nouveau quartier

Coubertin, ?

rue Teddy-Riner ? et ? rue Ladji-

Doucouré

?, et le maire précisait alors : ? J"aime avoir des personnalités vivantes pour qu"elles soient présentes pour inaugurer ? ces rues. Ailleurs, en France, une médiathèque porte le nom d"Agnès Varda à L"Isle d"Abeau en Isère (inaugurée de son vivant, avant sa disparition en mars 2019), une bibliothèque intercommunale porte le nom d"André Dussollier en Haute-

Savoie, une médiathèque le nom d"Alexandre

Jardin à Asnières-sur-Seine et, de leur vivant, d"autres bibliothèques et médiathèques ont porté les noms d"Aimé Césaire, François

Cavanna ou Lucie Aubrac (à Saint-Ouen). Une

place Yves-Guéna à Périgueux en Dordogne a été inaugurée en 2003, mais aussi une rue et une bibliothèque Georges-Emmanuel-Clancier

à Aixe-sur-Vienne en Haute-Vienne, une avenue

Charles-Trenet à Narbonne dans l"Aude en

1991, un boulevard Tino-Rossi à Ajaccio

inaugurée en 1973, ainsi qu"un square Tino- Rossi à L"Île-Rousse inauguré en 1971 et un autre square à Nogent-sur-Marne la même année.quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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