[PDF] BNP 19 oct. 2021 une sé





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et sur la métropole

7 juin 2019 Me voilà confortée dans l'idée que c'est avec du vieux qu'on fait du neuf. ... Piscine du Carrousel 2 cours du Parc – 21 000 DIJON.



Catalogue 2019 -Festival Premiers Plans

17 janv. 2019 quot et Maïwenn pour Polisse et Mon roi. Elle obtient pour ce film le prix d'interprétation féminine à Cannes. Elle réalise en 2013.



lépaisseur du temps - mélanges offerts à jacques dalarun

Je me souviens par exemple de mon étonnement et celui de mes collègues il segno e il sogno che c'è ancora tanta bella strada da percorrere insieme… come.



BNP

19 oct. 2021 une sélection de salles des ventes virtuelles. P.II. Les enchères nouvelle frontière du e-commerce. Ceux qui pensaient que ...



Lévolution de la société italienne contemporaine face à la

11 janv. 2021 Messine 1908 L'Aquila 2009



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 19/02/01

18 févr. 2001 Lun Gong en 1997 et que depuis



IA SERIE NOIR SE POURSUIT

15 juin 2020 Tobby Carrier 19 ans

LeMondeJob: WMQ2010--0001-0 WAS LMQ2010-1 Op.: XX Rev.: 19-10-99 T.: 11:06 S.: 111,06-Cmp.:19,11, Base : LMQPAG 57Fap: 100 N

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ANNÉE ± N

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17023 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMERCREDI 20 OCTOBRE 1999

Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Grande-Bretagne, 1 £ ; Grèce,500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

www.lemonde.fr

MERCREDI 20 OCTOBRE

ENQUÊTE

ADJUG... !

iBazar, Aucland, QXL... une sélection de salles des ventes virtuelles. P. II

Les ench˜res,nouvelle

fronti˜re du e-commerce Ceux qui pensaient que l'économie était mondialisée n'ont encore rien vu : eBay et ses clones préparent un marché aux puces global, où tout, du crayon

à l'entreprise

et de l'idée à l'organe, est désormais

à vendre

Comment faire des affairesavec l'encan électronique ? Quelles sont les précautionsà prendre avant d'acheter ? Comment véri®er la ®abilitéde son interlocuteur ? Que garantissent vraiment les sites ?

DAVY DROUINEAU

ON POURRAIT y musarder des

heures, sans but, comme on ba- guenaude au march• aux puces.

Pour se promener, s'amuser et

s'•tonner des bric-“-brac pos•s “ m-me le bitume, fouiner, avec la certitude qu'on ®nira bien par trouver ce que l'on ne cherche pas.

Si vous n'avez rien “ vendre, si

vous ne souhaitez rien acheter, al- lez-y quand m-me : les sites d'en- ch˜res en ligne sont un formidable spectacle en m-me temps qu'unpuissant instrument de transfor- mation d'une •conomie qui repo- sait encore r•cemment exclusive- ment sur les puces, les salles de ventes, les monts de pi•t• et leurs avatars modernes, le cash converter et le d•pþt-vente.

Tchao Pantin, au panier Le Parti-

culier,c'est sur eBay ou iBazar qu'il faut zoner, pour ne citer que les pionniers du genre, chacun sur l'une des rives de l'Atlantique. Des montres et des timbres de collec-tion, des poissons rouges ou des voyages, des ch"teaux en Espagne, des cliniques en Californie, des id•es de sc•nario, des serpents... Et des marchandises moins avouables. Tout ce qui nagu˜re •tait grain “ moudre pour les pe- tites annonces class•es des jour- naux et des magazines. Tout ce que les technologies interactives arrachent aux supports tradition- nels. Sur iBazar, par exemple, qui souf¯era sa premi˜re bougie le

26 octobre, plus de 36 000 objets

sont expos•s quotidiennement.

Chacun peut tour “ tour y jouer le

rþle du vendeur ou celui du cha- land.

Le succ˜s des ench˜res en ligne

est tel ± aupr˜s du public comme des investisseurs ± que des sites g•- n•ralistes on passe maintenant aux sites sp•cialis•s, ici en billets d'avions brad•s “ la derni˜re mi- nute, l“ en r•servations de chambre d'hþtel. Ou en informa- tions. Sur InfoRocket, on pose sa question, on indique la somme que l'on est pr-t “ d•bourser pour ob- tenir une r•ponse, reste aux •ru- dits “ mettre en valeur leur savoir pour empocher la mise.

On l'aura compris : il y a une

part de jeu dans ce commerce. Le tout est d'en bien ®xer les r˜gles.

On est au-del“ des fronti˜res du

commerce •lectronique, dans une sorte de Far-West oŸ tout ± en®n presque ± est encore permis: un pseudonyme, un mot de passe, et hop ! on peut vendre et acheter “ la cri•e. Cette facilit•, l'impossibili- t• d'•tablir un contrþle d'identit• “ l'inscription, demeure d'ailleurs le point faible des services d'ench˜res en ligne. Il n'est en effet pas tr˜s compliqu• de faire monter arti®- ciellement des ench˜res et de dis- tant : des escrocs professionnels ont ainsi empoch• des dizaines de milliers de dollars sans jamais li- vrer la moindre marchandise. Pour l'heure, la parade la plus ef®cace mise en place par les sites est de " noter » acheteurs et vendeurs en fonction des achats et ventes qu'ils ont r•ellement effectu•s, de comparer ce nombre au nombre d'ench˜res auxquelles ils ont parti- cip• et de mettre “ la disposition de tous les notes ainsi obtenues.

Dans tous les cas, on ne manque

pas d'id•es pour attirer et rassurer le chaland. Ainsi, certains pro- posent d•sormais des ench˜res in- vers•es. Ce n'est plus le vendeurqui ®xe un prix, mais l'acheteur qui indique quelle somme il est pr-t “ d•bourser pour obtenir tel objet.

Ne lui reste plus, ensuite, qu'“ at-

tendre les propositions. D•j“, des entreprises ont pris le pli de cette nouvelle forme de commerce ap- pel•e peut--tre “ dessiner •gale- ment les contours d'une nouvelle •conomie. Et pratiquent elles aussi les ench˜res en ligne ou, mieux en- core, les ench˜res invers•es, dans leurs relations avec leur client˜le.

Entre elles, les entreprises n'ex-

cluent pas d'avoir prochainement recours “ ce syst˜me pour leurs transactions. C'est dire que le ph•- nom˜ne, d•j“ sensible, est destin•

“ prendre une ampleur consid•-

rable, dont on ne perØoit peut--tre aujourd'hui que les premiers fr•- missements.

Olivier Zilbertin

www.lemonde.fr/aietek 10

SUPPLEMENTaaaaaaaaaaa

Comment peut-on -tre nantais ? La

question a tarabust• les communi- cants pri•s, voil“ quelques ann•es, de redorer le blason de cette ville qui se d•sesp•rait de ne pas avoir d'image.

Ils ont accouch• de concepts comme

" Made in Nantes » ou " L'effet cþte ouest ». Ne leur en voulons pas ! Le propre de Nantes est de ne pas -tre soluble dans les clich•s et de ne pas incarner une r•gion. Nantes est bre- tonne mais aussi vend•enne et ange- vine. Nantes est surtout une ville de fond d'estuaire, une ville " hans•a- tique », disent les g•ographes, par r•- f•rence “ Br-me ou Hambourg. " Nantes tient d'abord, et par-dessus tout, “ la vall•e de la Loire, qui est sa raison d'-tre. Par la Loire, elle est en contact avec l'Anjou, la Touraine et le

Centre, c'est-“-dire avec la France elle-

m-me. Par la Loire encore, elle regarde vers l'Oc•an »,notait Andr• Siegfried dans sonTableau politique de la

France de l'Ouest,paru en 1913.

Ce ¯euve l'a ouvert sur le monde et

et r•publicaine dans un oc•an rural et conservateur. Sa puissance locale fut toujours sup•rieure “ son rayonne- ment r•gional. Nantes, qui n'est pas la capitale de la Bretagne administrative ou historique mais le chef-lieu de la r•gion des Pays de la Loire, n'est au fond que la premi˜re des villes de l'Ouest. La cit• portuaire du XVIII e si˜cle, qui ®t sa fortune du commerce d'esclaves, et la ville industrielle du conserverie, la biscuiterie et prosp•rer ses chantiers navals, se sont mu•es en une m•tropole tertiaire presque comme toutes les autres. Avec sa technopole, ses centres d'appels, sa cit• des congr˜s et bientþt sa cit• judi- ciaire. Ses entr•es de ville enlaidies par la grande distribution, ses quar- tiers dif®ciles, son p•riph•rique et ses rues pi•tonnes. Mais il lui reste heu- reusement un ¯euve pour se singula- riser et renouer, gr"ce “ sa voisine

Saint-Nazaire, le ®l de son histoire.

Dominique Luneau

Vivre “ Nantes

Les anciens chantiers

Dubigeon. Un décor

jubilatoirement cinématographique avec son allée de platanes fantômes, son bar de nuit improbable, sa grue pince-à-sucre titanesque.

Photographies :

René Tanguy

LE MONDE INTERACTIF

aEnchòres et salles de vente virtuelles aEmploi : 8 pages d'annonces classïes

Lionel Jospin et ses gauches

DES STOCK-OPTIONS pour

tous ou pour personne ? Le par- tage entre salaire et pro®t d•®nit- il pour l'•ternit• la fronti˜re entre " exploit•s » et " exploiteurs » ?

Ou bien les salari•s ont-ils ± et de-

vraient-ils se voir davantage re- salari•s, de tirer b•n•®ce de la va- lorisation de leur entreprise sur le march• boursier ? Ce d•bat attend les d•put•s, qui examinent, “ par- tir du mardi 19 octobre, la partie recettes du projet de loi de ®- nances pour l'an 2000.

Sans doute l'amendement pr•-

sent• par la commission des ®- nances de l'Assembl•e nationale sur proposition de son pr•sident,

Augustin Bonrepaux (PS), n'a-t-il

pas l'ambition de trancher “ lui seul la question complexe des nouveaux contours du salariat et de l'actionnariat. Pourtant, en proposant de relever “ 50 % la taxation des plus-values encais- s•es par les d•tenteurs de stock- options, lorsque celles-ci sont r•a- lis•es, le d•put• de l'Ari˜ge refuse que le pro®t que l'on retire indi- rectement de son propre travail soit consid•r• autrement que comme un revenu d'•pargne ordi- naire.

Pour M. Bonrepaux, un salari•

capitaliste est d'abord un capita- liste, et un capitaliste comme un autre. C'est une conception diff•- rente de celle que d•fend FranØoisHollande : plaidant pour la g•n•- ralisation des stock-options et pour l'extension d'autres formes d'•pargne salariale, le premier se- cr•taire du Parti socialiste estime, lui, qu'un salari• qui participe “ la capitalisation de son entreprise reste un salari• et qu'il acquiert du pouvoir.

Faut-il entrer dans ce d•bat ?

Une partie de la gauche, de m-me

que l'extr-me gauche, s'y refuse.

C'est l“ qu'on peut chercher l'uni-

t• implicite de la manifestation parisienne du samedi 16 octobre.

Qu'est-ce qui donnait envie aux

manifestants du PCF, de la LCR et de LO, des Verts, du Mouvement des citoyens et des associations de chþmeurs, ou bien de nulle part et de tout cela “ la fois, d'-tre " en- semble dans la rue », selon la for- mule de l'un d'entre eux (Le

Mondedu 19 octobre) ? Rien

d'autre, peut--tre, que le d•sir de s'inscrire en faux contre une phi- losophie " silencieuse » du mar- ch• ± fort peu silencieuse en v•ri- t•, plutþt tonitruante ±, selon laquelle chacun est, a •t• ou sera d•tenteur d'un capital, la seule question qui vaille, dans ce do- maine, •tant de savoir si ce capital est mieux, moins bien ou autant r•mun•r• que celui du voisin.

Patrick Jarreau

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