Programme de sciences de la vie et de la Terre de terminale générale
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SVT Thème 1A : GENETIQUE ET EVOLUTION – Brassage
biodiversité. BAC S. Question de Synthèse 3 : Diversité génétique et diversification des êtres vivants. L'association des mutations et des brassages génétiques
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En SVT : De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité. ➢ Bac pro ASSP (accompagnement soins et services à la personne) :.
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être tenues pour responsables de leur évolution. Nous appelons donc chaque ... diversification des génomes. 5. Chapitre 2 La diversification du vivant. 16.
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de la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité p. 18 colonne haut © rde colonne bas © istockphoto/ thinkstock
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Bac S – Sujet de SVT – Session Septembre 2016 – Métropole LE
GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION. De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité. L'ours polaire Ursus maritimus
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GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION. SYNTHÉSE (5 points). De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité. La biodiversité actuelle peut être
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De cette relation s'apparentant à une course à l'armement que se livrent insectes et plantes résulterait une grande part de la biodiversité de la planète (
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GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION. De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité. L'ours polaire Ursus maritimus
La protection de la biodiversité : entre science éthique et politique
d'évolution et de diversification du vivant peuvent être considérés comme des phénomènes naturels l'érosion de la biodiversité comme sa protection relèvent
La biodiversité évolue au cours du temps - Savoir établi : plusieurs
Ainsi les organismes vivants actuels ne représentent-ils qu'une infime partie des organismes ayant existé depuis le début de la vie. Les crises biologiques
Table des matières
Déroulement de l'épreuve du Bac et répartition des sujets ……………………………………9 De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité …
Chapitre 3 De la diversification à l’évolution de la biodiversité
La diversification des êtres vivants résulte à la fois de modifications de génomes d’associations entre différents organismes et de la transmission de comportements La sélection naturelle et la dérive génétique agissent sur cette diversité
Université de Montréal
La protection de la biodiversité :
entre science, éthique et politique parVirginie Maris
Département de philosophie
Faculté des arts et des sciences
Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de docteur en philosophie septembre, 2006© Virginie Maris, 2006
Université de Montréal
Faculté des études supérieures
Cette thèse intitulée :
La protection de la biodiversité : entre science, éthique et politique présentée par :Virginie Maris
a été évaluée par un jury composé des personnes suivantes :Frédéric Bouchard , président-rapporteur
Daniel M. Weinstock , directeur de recherche
Christine Tappolet , membre du jury
Catherine Larrère , examinateur externe
Bryn Williams-Jones , représentant du doyen de la FES iiiRÉSUMÉ
J'examine dans ce texte les bases scientifiques, éthiques et politiques sur lesquelles fonder la protection de la biodiversité. Premièrement, j'étudie les ressources scientifiques dont on dispose pour comprendre etprotéger la biodiversité. Après une description du contexte historique dans lequel apparaît
le souci de la biodiversité, j'étudie le niveau de généralité et le pouvoir prédictif de la
biologie de la conservation, puis je montre la nécessité d'un dialogue entre sciences naturelles et sciences humaines. Je précise ensuite ce qu'est la biodiversité, en proposant que l'on adjoigne à sa définition traditionnelle ce qu'elle représente comme processus de diversification, puis en rejetant les tentatives d'assimilation de la biodiversité à la nature sauvage. Deuxièmement, j'examine la valeur de la biodiversité et les principes moraux qui justifient sa protection. Je considère d'abord ce qu'elle représente pour les êtres humains, puis jepropose d'élargir la sphère de nos considérations morales directes à tous les êtres vivants.
Enfin, je défends l'attribution d'une valeur non-instrumentale à la biodiversité entendue comme processus de diversification. Troisièmement, j'analyse deux enjeux politiques de la protection de la biodiversité : la Convention sur la Diversité Biologique et les normes du développement durable. À la lumière du débat qui oppose les théories réalistes aux théories cosmopolitiques en philosophie des relations internationales, je montre que ces deux approches, théoriquement opposées, peuvent converger si l'on distingue le processus de négociation de la CDB, quirépond à la description réaliste, de l'issue de ces négociations, qui peut être interprétée dans
un cadre cosmopolitique. Je critique ensuite le monopole que tendent à exercer les normes du développement durable dans le discours environnementaliste. Ces normes incitent àn'envisager les problèmes environnementaux qu'en termes d'équité intergénérationnelle.
Or cette approche, résolument anthropocentriste, ne permet pas de poser les bonnes iv questions et d'identifier les mécanismes effectivement à l'oeuvre dans la crise actuelle, car elle n'invite pas à remettre en cause notre rapport au monde naturel. Je propose en conclusion quelques pistes de réflexion pour penser une politique de protection de la biodiversité qui permette de concilier le respect des personnes et la valorisation non-instrumentale du monde naturel.Mots-clés : philosophie ; épistémologie ; éthique ; justice ; environnement ; biologie de la
conservation ; valeur intrinsèque ; anthropocentrisme ; biocentrisme ; cosmopolitisme. vABSTRACT
In this dissertation, I examine the scientific, ethical and political bases on which the protection of biodiversity can be grounded. In the first part, I study the scientific resources available to understand and protect biodiversity. After a description of the historical context in which the concern for biodiversity appeared, I describe the level of generality and the predictive power of conservation biology. I then show that this discipline needs to enter into dialogue with the social sciences if it is to fulfill its mission. Finally, I specify how biodiversity must be understood, proposing to add to its traditional definition the potential for diversification, and rejecting the attempt to reduce biodiversity to wilderness. In the second part, I examine the value of biodiversity and the moral principles that can justify its protection. I first consider its value for human beings. I then suggest widening the sphere of our moral considerations to all living beings. Finally, I defend the attribution of a non-instrumental value to biodiversity itself, considered as the process of biological diversification. In the third part, I analyse two political issues at stake in the protection of biodiversity: the Convention on Biological Diversity (CBD), and the norms of sustainable development. Analysing the CBD in light of the debate between realism and cosmopolitanism in the philosophy of international relations, I show that these two approaches, while theoretically opposed, can converge in practice when one distinguishes the (resolutely realist) process of negotiation from its result (which can be interpreted in a cosmopolitan framework). I then criticize the growing influence of the norms of sustainable development which lead us to consider environmental problems strictly in terms of inter-generational equity. This strongly anthropocentrist approach prevents us from asking relevant questions and from identifying the real causes of the present crisis insofar as it impedes us from critically examining our relationship to the natural world. vi In my conclusion, I propose some theoretical avenues that would allow us to elaborate a policy of protection of biodiversity which would reconcile the respect of people and the non-instrumental valuation of the natural world. Keywords : philosophy; philosophy of science; ethics; justice; environment; conservation biology; intrinsic value; anthropocentrism; biocentrism; cosmopolitanism. viiTABLE DES MATIÈRES
Résumé iii
Abstract v
Table des matières vii
Remerciements x
Introduction 1
PARTIE I - BIODIVERSITÉ ET BIOLOGIE DE LA CONSERVATION 6I. 1. Aperçu historique 6
I. 1. 1. La diversité du vivant depuis l'Antiquité 8 I. 1. 2. L'absence de souci pour la biodiversité 13 I. 1. 3. Un nouveau concept et une nouvelle science 24I. 1. 4. Conclusion 30
I. 2. Aperçu épistémologique 31
I. 2. 1. La biologie de la conservation et les valeurs non-scientifiques 32I. 2. 2. Conservation et écologie 39
I. 2. 3. Conservation et sciences humaines 82
I. 2. 4. Conclusion 86
I. 3. Quelle biodiversité protéger ? Quelques tensions et tentatives de résolution 88 I. 3. 1. Les éléments de la biodiversité 88 I. 3. 2. La dichotomie nature/culture ou l'idéal d'une biodiversité sauvage 117I. 4. Conclusion 139
PARTIE II - LA VALEUR DE LA BIODIVERSITÉ 141
II. 1. La valeur instrumentale anthropocentrée 144II. 1. 1. La valeur économique 144
II. 1. 2. Les valeurs culturelle et esthétique 158II. 1. 3. La valeur morale 166
II. 1. 4. Le dilemme de la conservation 169
II. 2. La valeur instrumentale non-anthropocentrée 171II. 2. 1. Le spécisme 172
II. 2. 2. Les approches pathocentrées 180
II. 2. 3. Les approches biocentrées 189
II. 2. 4. Les approches écocentrées 201
viiiII. 3. La valeur intrinsèque 205
II. 3. 1. Les différentes valeurs intrinsèques 207 II. 3. 2. La valeur mooréenne de la biodiversité 210 II. 3. 3. La valeur intrinsèque objective de la biodiversité 213 II. 3. 4. La valeur finale de la biodiversité 216II. 4. Conclusion 228
PARTIE III - POLITIQUES DE PROTECTION DE LA BIODIVERSITÉ 236 III. 1. La Convention sur la Diversité Biologique (CDB) 236 III. 1. 1. La CDB : entre réalisme et cosmopolitisme 238 III. 1. 2. Application du principe de convergence : analyse de deux concepts 248III. 1. 3. Conclusion 260
III. 2. Le rapport Brundtland et les normes du développement durable 263 III. 2. 1. Protection de la nature et développement durable 264 III. 2. 2. Contenu normatif du principe de développement durable 271 III. 2. 3. Application des normes du développement durable à la conservation 276 III. 2. 4. La biodiversité considérée comme ressource 280III. 2. 5. L'aveuglement aux causes 281
III. 2. 6. Deux angles morts du développement durable 263III. 2. 7. Conclusion 288
III. 3. Conclusion 290
Conclusion 292
Bibliographie I
Table des matières détaillée XIX
ixÀ mes parents
xREMERCIEMENTS
Je remercie le département de philosophie, le Centre de Recherche en Éthique del'Université de Montréal et le Fonds Québécois pour la Recherche sur la Société et la
Culture, trois institutions qui ont soutenu mon projet et m'ont permis de (sur)vivre, ces quatre dernières années, dans un confort matériel relatif mais suffisant. Je salut chaleureusement Daniel Weinstock, mon directeur de thèse, pour sa confiance et son soutien indéfectible, ainsi que François Lepage, mon directeur de maîtrise, qui le premier m'a fait croire que j'étais capable de me lancer dans une telle entreprise. J'ai une pensée pleine de reconnaissance et d'amitié pour tous ceux qui, au département de philosophie, m'ont encouragée. Je pense en particulier à Jocelyne Doyon, qui telle une petite fée distribue sans compter la joie et la confiance autour d'elle, ainsi qu'à Ryoa Chung, Fabienne Pironet, Peter Dietsch, Christian Nadeau, Christine Tappolet, Jean-Pierre Marquis et Yvon Gauthier qui tous, à leur façon, ont jouer un rôle dans ma formation et dans l'élaboration de ce projet un peu fou de faire un doctorat en philosophie. C'est avec beaucoup de tendresse que je remercie mes relectrices attentives, Andrée-Anne Gratton et ses talents de grammairienne, Héloïse Bailly et son oeil de lynx, et ma maman, Nicole Granchamp, qui prouve que si l'amour est aveugle, il n'en demeure pas moins capable de dénicher les coquilles les plus discrètes. Toutes les erreurs qui resteraient dans ce texte ne relèvent évidemment que de ma propre inattention. Je remercie ma famille, mes parents dont l'amour a été une source inépuisable de courage et d'inspiration, Frédérique pour la force et la patience qu'elle nous a tous apportées, ma Mamie pour sa confiance, ma grand-mère Joséphine, dont le calme, la sérénité et les confitures sont un intarissable gisement de réconfort, et surtout mon petit frère Alexis, qui m'apporte tant de joie que même les plus difficiles épreuves ont été surmontables. Je remercie mes amis, qui sont devenus ma deuxième famille sur ce nouveau continent : Veronica et Andrée-Anne, pour beaucoup plus que ce que je ne pourrais dire en quelques xilignes, Sophie et nos séances de placoting au téléphone, Martin et son soutient indéfectible,
Héloïse, Dave, Amal et tous les autres.
J'adresse un remerciement chaleureux à toute l'équipe du Créum, Martin encore, mais également Pierre-Yves et ses carrés de chocolat, Marconi qui travaille presque aussi tard moi, Evelyne qui a égaillé mes pauses-cigarettes, Nahshon qui m'a fait pratiquer monanglais, et de façon générale tous ceux qui, au Créum et au département, ont gentiment subi
mes sautes d'humeur, mes impatiences et mes pitreries. Je remercie également, si elle existe, la diététicienne de la cafétéria HEC qui amiraculeusement réussi à maintenir mon pauvre corps végétarien en état de marche pendant
ces derniers mois. Enfin, toute ma gratitude et mon amour vont à Arnaud Béchet, qui m'a accompagnée, soutenue, inspirée, relue, attendue, pendant toutes ces années et sans qui je ne seraissûrement jamais venue à bout de ce travail. Grâce à lui, la biodiversité est devenue pour
moi autre chose qu'un concept. Il m'a communiqué sa passion (faute de partager son talent!) pour l'ornithologie et le naturalisme, je l'en remercie infiniment, pour ça, et surtout pour tout le reste.INTRODUCTION
Le 9 février 2006, le biologiste Bruce Beehler, qui dirigeait une expédition scientifique dans la jungle indonésienne, annonce aux médias la découverte d'un véritable " monde perdu » dans la forêt tropicale des montagnes Foja, en Nouvelle Guinée Occidentale. Des dizaines d'espèces inconnues y sont découvertes : un nouvel oiseau (nouvelle espèce de méliphage), quatre papillons inconnus, une vingtaine de batraciens, la plus grosse espèce de rhododendron jamais observée, cinq espèces de palmiers... Les chercheurs de l'expédition eurent également la chance de redécouvrir le mythique paradisier de Berlepsch (Parotiaberlepschi), un oiseau dont les seuls spécimens connus jusqu'alors avaient été rapportés par
des chasseurs aborigènes à la fin du XIXème siècle. Jamais il ne fut observé vivant depuis.
Ils purent aussi voir pour la première fois en Indonésie le Dendrolague doré (Dendrolagus pulcherrimus), un kangourou arboricole que l'on croyait éteint. Dans le journal de bord de la biodiversité, les bonnes nouvelles sont une espèce rare. Mais est-ce vraiment une bonne nouvelle ? Pour les biologistes, sans doute, ç'en est une. Une seconde expédition est déjà prévue pour l'automne 2006. Pour les Papous de NouvelleGuinée Occidentales, accablés par 40 ans de répression et de colonisation indonésienne, la
nouvelle n'est peut-être pas primordiale 1 , mais cette découverte pourrait bien leur offrir desoutils précieux pour défendre leurs terres de l'exploitation minière et forestière qui sévit un
peu partout sur l'île. Pour nous, hommes et femmes occidentaux du XXIème
siècle, cette nouvelle est pourtant d'un piètre réconfort lorsqu'on la met en parallèle avec l'état accablant de la biodiversité partout ailleurs sur la planète. Car les montagnes de la Nouvelle Guinée Occidentales ne sont pas riches que d'espèces rares ou inconnues. Combien de" paradis » comparables ont disparu après qu'on les eût dynamités pour y exploiter, à ciel
ouvert, des gisements d'or, de nickel et de cuivre ? Il semble que l'homme, et surtout l'homme occidental contemporain, avec sa puissance technique, ses insatiables besoins 1Sem Karoba, coordinateur de l'OPM (Organisasi Papua Merdeka, Organisation pour la libération de la
Papouasie en Europe) décrit la terrible situation des peuples autochtones : " Depuis 1969, nous sommes
assassinés et nos villages sont bombardés. Nous ne maîtrisons pas notre propre éducation et notre langue
est interdite. Nos maisons sont détruites. Notre culture est méprisée car notre religion traditionnelle nous
conduit à croire aux arbres, aux montagnes, aux fleuves. Les compagnies minières nous disent qu'il faut
croire en un Dieu unique et non aux divinités de la nature » cité dans (Faure 2002). 2énergétiques et son impérieuse volonté d'extraire de la terre la moindre de ses richesses,
soit en train de mettre à mal un processus fondamental de la vie sur terre : son processus d'évolution et de diversification. S'il existe un journal de la biodiversité, son cahier principal est malheureusement celui de la rubrique nécrologique, constituée par la ListeRouge de l'IUCN
2 qui répertorie chaque année les espèces éteintes ou menacées.Le présent travail part d'un double constat : d'une part, la diversité biologique décline à
tous les niveaux d'organisation du vivant 3 ; d'autre part, la communauté internationale et les 188 pays signataires de la Convention sur la Diversité Biologique (CDB) se sont engagés à enrayer ce déclin 4 . Jusqu'ici, la question de la protection de la biodiversité n'a que peu retenu l'attention des philosophes, certainement du fait de sa nouveauté et de l'originalité des problèmes qu'elle pose. Cet enjeu nous projette en effet dans une tripledimension théorique, soulevant à la fois des questions épistémologiques (comment connaît-
on la biodiversité ?), des questions éthiques (quelle est la valeur de la biodiversité ?) et des
questions politiques (quels sont les mécanismes légitimes de protection de labiodiversité ?). Le concept de " biodiversité » est un concept mixte, qui relève donc à la
fois de la science, de la morale et de la politique. Ce sont les scientifiques qui l'ont défini, avec des outils et une vision du monde qui étaient les leurs. Mais en alertant le public du déclin de la biodiversité, la communauté scientifique visait deux choses : d'une part, que soit reconnue, à l'échelle mondiale, la valeur de la biodiversité ; d'autre part, que sa protection soit mise en oeuvre sur le terrain, notamment par le biais de politiques publiques nationales et internationales de conservation. 2 International Union for the Conservation of Nature and Natural Resources 3On considère que le rythme actuel des extinctions est de cent à mille fois supérieur au rythme " naturel »,
et qu'il s'apparente aux épisodes d'extinctions de masse que l'étude des fossiles a permis de mettre en
évidence et qui servent de ligne de démarcation entre les différentes ères géologiques.
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