[PDF] 2006-02-18pdf - RERO DOC PDF

Groupe Femmes » du SNES-FSU (Syndicat National des Enseignants du Second Degré les spécificités de certaines disciplines [mathématique (math) – français

[PDF] Fleurs de glasnost Féerie Ungaro - RERO DOC

25 juil 1990 · plaignants ont déjà requis l'aide de te 1 17 ou au service d'urgence de l'hôpi- second complice qui aurait conduit la

[PDF] 2006-02-18pdf - RERO DOC

18 fév 2006 · Oui le second a peut-être A l'aide d'outils d'analyse et de construction de Personnes sans permis de travail s'abstenir s v p

[PDF] lalternance comme école Le casse-tête des inscriptions

Tour à tour celui-ci crut bon et urgent de légiférer sur les fins de trimestre sur les inscriptions d'interdire aux élèves de changer d'école dans un

[PDF] LAmour-révolte - Mélusine

( Bien agiter S V P ) Socrate homme laid devient beau en buvant la ciguë Plus tard encore lors de son second mariage sans curé ni messe

[PDF] SI TU VEUX CHANGER LE MONDE AIME UN HOMME

De dessous la table qui le séparait de ses élèves le vieux prof sortit un immense pot Un jour un disciple zen demanda l'aide de Bankei : Maître

[PDF] vie pas la mienne - Mouvements de pensées

27 août 2004 · Un vieux prof solitaire à la retraite ça appliquait tout son intelligence sur le lacet et au second qu'un calcul mathématique

[PDF] historique des messages 2008 de janvier a juin - Copains-Maarifcom

31 jan 2008 · Tu demandes de l'aide mais chacun a sa vie à vivre il a sa famille S V P : Lorsque vous envoyez des photos pour le site

[PDF] Compilation de Blagues et dHistoires - Blog citoyen

heure après son fils lui dis que c'est assez urgent vu qu'il n'y a plus grand chose "Nous aimerions avoir le même moniteur que l'année dernière SVP "

[PDF] epilepsie

5 mar 1993 · annonçant un massage urgent pue vous feriez peut-être mieux Espérons que la réalisation de ce second vieux prof qui se

Fr.s. 2,50 / 1,70

Samedi18 février 2006

9HRLEMB*aihffa+[G\A\K\A\R

SWISSMETAL

Lundi,pas avant

Le médiateur Rolf Bloch

espère que le travail puisse reprendre la semaine pro- chaine. La direction a ob- tenu gain de cause devant le tribunal. Plus question de bloquer le site! page 9

LEMPLOI

LES RENDEZ-VOUS DE

249
offres Mellie Francon (5e) et Olivia Nobs (11e) éliminées, Tanja Frieden a profité d"un cadeau américain pour se parer

PHOTO KEYSTONE

pages 30, 31, 32 et 33

Cinés-loisirs 17

Feuilleton18

Culture & Société 19-20

Météo 20

Bourse 24

Sports 30-37

Adresses pratiques 38

Carnet 39

N o 39222

JA 2300 La Chaux-de-Fonds

Police unique en 2010

Le projet de loi instaurant une seule po-

lice dans le canton de Neuchâtel est en consultation. Il a été présenté hier et a déjà ses détracteurs. page 3

Ulysse Nardin brille

Moribonde en 1983, la marque locloise a

été rachetée par Rolf Schnyder. Au-

jourdhui, elle connaît une saine crois- sance. page 7

L'appétit du FCC

Le FCC aborde la reprise avec ambition.

Perret et sa troupe entendent jouer les

premiers rôles le plus longtemps possible en Challenge League. page 37

LOIENCONSULTATIONHORLOGERIEFOOTBALL

Pour la commission financière du législatif chaux-de-fonnier - de gauche à droite, Jean-Charles Legrix (UDC), Laurent Iff, président (Lib-PPN), Da-

niel Musy (PS), Sylvia Morel (PRD) et Théo Bregnard (POP et pour lesVerts) -, le budget 2006, refusé par l"Etat, est trop pessimiste quant aux

rentrées fiscales. D"autres pistes sont aussi à explorer.

PHOTO GALLEY

page 5

Touche pas à l'impôt

LA CHAUX-DE-FONDSLa commission financière du législatiffait front uni contre la haussefiscale, de 70 à 75 points, proposée par le Conseil communal. Budget 2006 à revoir

ÀLAUNE

CANTON DU JURA

Retraite dorée

des ministres page 15

GRIPPE AVIAIRE

Fausse alerte

en Suisse page 22

SOMMAIRE

Rue Neuve 14, 2300 La Chaux-de-Fonds / Tél.: 032 910 20 00 / Abonnements: 032 910 20 40 / Rédaction: 032 910 20 01 - Fax: 032 910 20 09 / Annonces 032 910 20 50 - Fax: 032 910 20 59 / Internet: www.limpartial.ch / e-mail: redaction@limpartial.ch

ue fait la police? Dansle canton de Neuchâtel,elle divise. En deuxcamps. D"un côté, l"état-ma-

jordelapolicecantonaleetle conseiller d"Etat en charge de la Sécurité. De l"autre, des collectivités publiques lo- cales. Et pas des moindres: la Ville de Neuchâtel en per- sonne est en première ligne.

Le premier en est intimement

persuadé: la police neuchâte- loise du XXIe siècle sera uni- que. Uniforme dans sa tenue, sa mission, sa formation.

Question d"efficacité, de coût

et de crédibilité auprès de la population qu"elle a pour mission de servir. Et comme il est convaincu, il fonce. Il

élaboreunprojetdeloiau

pas de charge, deux mois à peine après l"entrée en vi- gueur d"un premier conceptde collaboration, patiemment mijoté par canton et commu- nes réunis.

Le second émet de sérieux

doutes. Plus efficace et moins chère, une police cen- tralisée? Ça reste à prouver, selon lui. Et puis, pourquoi retirer aux agents locaux les tâches qui leur conviennent le mieux? Ces fameuses tâ- ches de proximité qui atté- nuent ... et sur ce point, les deux camps sont d"accord ... ce sentiment d"insécurité qui

étreint une partie de leurs

concitoyens...

Qui a raison? Qui a tort?

Bonnes questions. Pour la ré-

ponse... Oui, le premier a raison de vouloir élaguer la forêt très dense des structures publiques du tout petit Etat de Neuchâtel. Mais a-t-il rai- son d"aller si vite? A-t-il me-suré toutes les conséquences de la future loi? Est-il bien sûrdenepasétranglerfinan- cièrement des communes déjà en manque de ressources?

Oui, le second a peut-être

raison de douter du bien- fondé de la centralisation.

Souvent synonyme de perte

de contact avec le terrain.

N"a-t-il pas tort, en revanche,

lorsqu"il étend ses doutes au sens même de la démarche?

Ne voir dans ce processus

qu"un ixième report de char- gessurlescommunes,n"est-ce pas un peu réducteur?

La loi devrait être adoptée

en juin. A partir de là, l"Etat prévoit quatre ans et demi pour la mise sous toit de la nouvelle structure. Vu les ac- tuelspointsd"interrogation, ce ne sera peut-être pas de trop. /SDxPar Stéphane Devaux

Quatre ans pour lever les doutes

OPINION

Médaille d'or, maispas neuchâteloise!

TORINO 2006La Bernoise TanjaFrieden reine du boardercrossCIFOM

Médecine priée

de se rhabiller

Un jeune qui ne veutpas su-

birde visite médicale en début de formation ny est pas tenu: le préposé cantonal à la pro- tection des données a renvoyé leCifometleCentredesanté scolaire de La Chaux-de-

Fonds à leur copie. Certains

examens restent obligatoires. page 2

GRAND ANGLE2

L'Express

L'Impartial

Samedi 18 février 2006

Par

Florence Hügi

P as question d"obliger les

étudiants à se faire ins-

pecter les amygdales par un médecin scolaire s"ils ne le souhaitent pas! Le Cifom (Cen- tre interrégional de formation des Montagnes neuchâteloises) va revoir sa copie après avoir

été remis à l"ordre par la jus-

tice. Il était le seul établisse- ment de formation postobliga- toire à pratiquer ainsi.

Aucune base légale

C"est un élève du Cifom qui

a soulevé le lièvre. Convoqué en août à une visite médicale par le Centre de santé scolaire (CSS) chaux-de-fonnier, il a fait part de son trouble au préposé cantonal à la protection des données."Cette pratique ne repose suraucunedisposition légale, même si cette visite médicale peut être utile», relève Laurent Margot, président de l"autorité de sur- veillance chargée de l"affaire.

Avant de rappeler que son avis

n"est pas contraignant:"Si l"af- faire était portée devant les tribu- naux, un jugement pourrait venir contrecarrernotre prise de position».

Si le CSS estbien habilité à pro-

poser de tels rendez-vous,"cette visite ne saurait être obligatoire».

Pourtant, cette pratique repo-

sait sur la bonne foi et ne con- cernait qu"une petite partie de l"effectif."Nous proposions cette vi- site à tous les nouveaux élèves exter- nes au canton deNeuchâtel, puisque les Neuchâtelois y ont droit en fin de scolaritéobligatoire,explique le di- recteur du Cifom, Jean-Pierre

Brügger.Nous continuerons de l"of-

frir, mais sans obliger quiconque». Seule contrainte à être mainte-nue par un arrêté du Conseil d"Etat, celle qui concerne des professions particulières et "pour des tests ciblés», précise

Claude-Alain Vuille, directeur

du CPLN (Centre professionnel du Littoral neuchâtelois), à

Neuchâtel. La détection de ma-

ladies de peau pour les appren- tis cuisiniers, par exemple."Les autres élèves peuvent passer ou non une visite médicale en début de cur- sus. Jecroisquepersonnenes"y estja- mais opposé officiellement».Et la prévention?

Et d"évoquer la"mission de

prévention»du médecin sco- laire, un argument repris par le principal intéressé, Souhaïl La- trèche."Organiser une rencontre avec des jeunes de quinze ou seize ans, c"est leur permettre d"établir un lien avec le médecin alors qu"ils sont sortis de l"enfance, queleurs parents sont peut-être moins présents», plaide le médecin scolaire de

La Chaux-de-Fonds. Mais les

laisser libres, estime-t-il, peut aussi renforcer leur responsabi- lité individuelle.

Il ne veut pas voir dans cette

prise de position un coup de frein donné à la médecine sco- laire."A Genève, iln"y aplusdevi- site médicale à l"école. Mais Neu- châtel a toujours voulu les mainte- nir, en axantaussi notretravailsur l"éducation à la santé et la préven- tion».EtsileprojetPsaj(pour "Politique de santé etd"appui à la jeunesse») a été gelé en 2000 pour une question de coûts, le chef du Service de l"enseigne- ment obligatoire, Jean-Claude

Marguet,confirme:"Les tâches

du médecin scolaire ne sont pas me- nacées! Le Conseil d"Etat vient de les confirmerdans un arrêtédatéde janvier!»/FLH

La médecine revoit sa copie

PROTECTION DES DONNÉESUn jeune qui ne veut pas subir de visite médicale en début de formation n"y est pastenu. Mais cela ne remet pas en cause l"existence de la médecine scolaire, qui conserve sa mission de prévention

Pour devenir peintre en automobile, un test médical ciblé est requis. Et là, pas question de s'y soustraire!

PHOTO LEUENBERGER

S i elle a statué ces derniè- res années sur des sujets aussi divers que l"ouver- ture par des administrateurs communaux du courrier des- tiné à la police locale ou sur les données relatives à la con- fession des élèves gérées par les écoles, la protection des données n"est pas imperméa- ble. Le président de son auto- rité de surveillance, LaurentMargot, note que 2005 s"est caractérisée"parun recul de sa promotion».

Depuis qu"il est en poste,

on a passé de trois cas en 1999

à 25 en 2004, pour retomber à

10 en 2005."Cela s"explique par

monmanquededisponibilité: mon cahier des charges ne men- tionne pas ces responsabilités et je doislibérerdutempssurd"autres tâches, ce qui n"est pas toujourspossible»,explique celui qui préside aussi le Tribunal du

Val-de-Travers et travaille à di-

vers autres dossiers, dont l"avant-projet de loi sur la transparence des activités éta- tiques.

Sans qu"il en soit véritable-

ment inquiet:"Tout est relatif: la protection des données, c"est comme une maladie de peau. Plus on gratte et plus ça démange. Di-sons que la démangeaison reste raisonnable».

Tout en estimant que la

question devraitêtre réglée au niveau politique:"Je constate simplement que notre canton doit se contenter d"une protection des données aussi limitée que les moyens mis à sa disposition».Soit

20.000 francs par an, une en-

veloppe qui, pour l"instant, n"a pas été utilisée. /flhDes données peu protégées

Les eaux sont montées

PLUIE SUR GELA l"image de l"Areuse, les rivières ontpris du volume. Mais les crues n"inquiètent pas encore

quotesdbs_dbs42.pdfusesText_42

[PDF] [PDF] 2006-02-18pdf - RERO DOC