TYPES OF TOBACCO PRODUCTS
Smokeless tobacco products are known to cause significant health risks and are not a safe substitute for smoking tobacco. Source: Wikipedia- http://en.
Health-in-All-Policies-final.pdf
the consequences of public policies on health determinants and aims to en una zona histórica de Quito [An 876 dollars' fine to those consuming.
Ecstasy ou molly (MDMA) (Sommaire canadien sur la drogue)
Étudiants (7e à 12e années) : L'Enquête canadienne sur le tabac l'alcool et les drogues chez les élèves de 2014-2015 indique que 2
Petite histoire du tabac
Le tabac était aussi utilisé comme plante médicinale. En 1492 Christophe Colomb découvre l'Amérique et s'aperçoit que les Indiens fument une plante nommée «
République Démocratique du Congo Enquête Démographique et
Les personnes suivantes ont participé à l'analyse des données de l'EDS-RDC II 2013-2014 et à la rédaction du rapport principal :.
Sensibilisation et éducation du public à la réduction des risques de
Atténuation – Réduction ou limitation des effets négatifs des dangers et des catastrophes. Préparation – Connaissances et capacités développées par les
Confronting Illicit Tobacco Trade: A Global Review of Country
Jan 18 2019 All tobacco products are dangerous to human health
Treaty Series Recueil des Traites
Acte final de la Conference des Nations Unies sur les transports routiers et v~hicule ne puisse etre une cause de dommage ou de danger. ARTICLE 15.
Canada
9.3 Lois choisies sur la santé et les soins de santé au Canada . d'utilisation du tabac de façon dramatique au cours des dernières décennies.
Jews and Germans in Eastern Europe
Exemple de Jan D?ugosz historiographe des Jagellon
RAPPORT DE L’OMS SUR L’ÉPIDÉMIE MONDIALE DE TABAGISME 2019
Surveiller la consommation de tabac et les politiques de prévention Protéger la population contre la fumée du tabac Offrir une aide à ceux qui veulent renoncer au tabac Mettre en garde contre les dangers du tabagisme Faire respecter l’interdiction de la publicité en faveur du tabac de la promotion et du parrainage
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la nicotine et les publicités séduisantes sur le tabac ont pénétré jusque dans les régions les plus reculées du globe L'usage d'autres sub-stances toxiques suit de beaucoup plus près les préférences culturelles et le statut juridique Dans les pays européens la consommation de tabac et d'alcool entraîne certainement beaucoup moins
Quels sont les dangers de la consommation de tabac ?
De nombreux produits chimiques présents dans les cigarettes, le tabac à mâcher ou les produits de vapotage sont mauvais pour la santé. L’aspect le plus risqué de la consommation de tabac est la facilité avec laquelle on peut en devenir dépendant.
Quels sont les effets secondaires du tabac ?
Cela cause aussi des maladies vasculaires périphériques et de l' hypertension en fonction de la durée d'exposition et du dosage de tabac, et on peut remarquer que la prévalence de ces maladies augmente avec la jeunesse des patients au début de leur exposition et l'importance du taux de goudron.
Quel est le rôle du tabac dans la société ?
En France, la pandémie de Covid-19 a fait ressortir le rôle du tabac sur une frange plus pauvre de la société : les plus défavorisés utilisent le tabac pour surmonter les difficultés du quotidien ou pour gérer le stress. La précarité les conduit à se projeter plus difficilement dans l'avenir, ce qui les conduit à un « déni de risque » 48 .
Quels sont les effets du tabagisme sur la santé publique ?
L’épidémie de tabagisme est l’une des plus graves menaces ayant jamais pesé sur la santé publique mondiale. Elle fait plus de 8 millions de morts chaque année dans le monde, dont environ 1,2 million de non-fumeurs involontairement exposés à la fumée (1).
Centre canadien VXU OHV GpSHQGMQŃHV HP O·XVMJH GH VXNVPMQŃHV Canadian Centre on Substance Use and Addiction Page 1
Ecstasy ou molly (MDMA)
Points clés
Ecstasy et molly sont les noms de rue donnés aux pilules ou comprimés contenant SUpVXPpPHQP O·LQJUpGLHQP MŃPLI 3,4-méthylènedioxy-N-méthylamphétamine (MDMA).0rPH VL OM SOXSMUP GHV JHQV TXL SUHQQHQP GH O·HŃVPMV\ RX de la molly V·MPPHQGHQP j ŃH TXH
O·LQJUpGLHQP MŃPLI SULQŃLSMO VRLP OM 0G0$ OHV SLOXOHV ŃMSVXOHV et poudres vendues comme de
O·HŃVPMV\ RX GH OM molly ŃRQPLHQQHQP VRXYHQP G·MXPUHV LQJUpGLHQPV ŃRPPH GHV ŃMPOLQRQHV
synthétiques ou autres adultérants) en plus de la MDMA. Parfois elles ne contiennent pas même de MDMA.IM SUpYMOHQŃH GHV FMQMGLHQV GH 1D MQV HP SOXV GLVMQP MYRLU SULV GH O·HŃVPMV\ MX ŃRXUV GHV
12 derniers mois est inférieure à 1 %.
Chez les jeunes Canadiens de la 10e à la 12e année, 1 sur 25 a déclaré avoir consommé de
O·HŃVPMV\ MX ŃRXUV GHV 12 GHUQLHUV PRLVB
Introduction
Ecstasy et molly sont les noms de rue donnés aux pilules, capsules ou poudres contenantprésumément de la MDMA (3,4-méthylènedioxy-N-méthylamphétamine), produit chimique de
synthèse consommé à des fins récréatives. Les pilules sont généralement colorées et arborent un
logo. Ces drogues sont fabriquées dans des laboratoires clandestins, souvent avec une multitude de
produits chimiques, et peuvent contenir une quantité nulle ou très variable de MDMA, selon les lots.
Les autres ingrédients actifs détectés dans des comprimés vendus comme ecstasy ou molly au
Canada en 2016-2017 comprennent des cathinones synthétiques, ou " sels de bain », comme O·pPO\ORQH OM PpPO\OqQHGLR[\MPSOpPMPLQH 0G$ HP VRQ SUpŃXUVHXU OMméthylènedioxyphenylpropionamide (MMDPPA). Les autres adultérants signalés comprennent la
caféine, la procaïne, la méthylsulfonylméthane (MAS) et la méthamphétamine1.En 2011-2012, la paraméthoxyméthamphétamine (PMMA) était présente dans ces pilules vendues
comme ecstasy au Canada. Cette adultération a mené au décès de 27 personnes en Alberta et en
Colombie-%ULPMQQLTXH MX ŃRXUV G·XQH SpULRGH GH 11 PRLV2. (IIHPV GH OM ŃRQVRPPMPLRQ G·HŃVPMV\LHV HIIHPV GH O·HŃVPMV\ VRQP GLUHŃPHPHQP OLpV j O·LQJUpGLHQP MŃPLI TXH ŃRQPLHQP OM SLOXOHB IM SOXSMUP GHV
gens qui prennenP GH O·HŃVPMV\ ŃOHUŃOHQP GH OM 0G0$ ŃHSHQGMQP ŃRPPH G·MXPUHV LQJUpGLHQPV
actifs ont été détectés dans la drogue, les effets peuvent varier. Les cathinones synthétiques,
souvent appelés " sels de bain ª VRQP GHV MGXOPpUMQPV TXH O·RQ UHPURXYH ŃRXUMPPHQP Gans des
ŃRPSULPpV G·HŃVPMV\3.
Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou molly (MDMA)FHQPUH ŃMQMGLHQ VXU OHV GpSHQGMQŃHV HP O·XVMJH GH VXNVPMQŃHV Canadian Centre on Substance Use and Addiction Page 2 Pag
e 2Effets de la MDMA
Court terme : IM 0G0$ M SRXU HIIHP G·MPpOLRUHU O·OXPHXU HP OHV HIIHPV j ŃRXUP PHUPH GH VRQ XPLOLVMPLRQ ŃRPSUHQQHQP XQ VHQPLPHQP G·HXSORULH5 G·HPSMPOLH pPRPLRQQHOOH5,6 HP G·pQHUJLH accrue4,7; ainsi que des douleurs musculaires, des nausées et des vomissements8; le grincementdes dents4,7,8; O·O\SHUMŃPLYLPp4 O·MXJPHQPMPLRQ GX U\POPH ŃMUGLMTXH4,7,8, de la température et de
la transpiration4,7,8; la dépression4 HP O·LQVRPQLH8. Long terme : Parmi les effets à long terme de la MDMA, citons des troubles du sommeil4,7,8,9,10; O·O\SHUPHQVLRQ OHV PURXNOHV OpSMPLTXHV11; des crises de panique9; la jaunisse11; des pertes de mémoire7,9,12,13 HP GHV GpILŃLPV G·MPPHQPLRQ9.Effets des cathinones synthétiques
Court terme : IHV HIIHPV j ŃRXUP PHUPH GHV ŃMPOLQRQHV V\QPOpPLTXHV ŃRPSUHQQHQP O·HXSORULH14,15; une
MXJPHQPMPLRQ G·pQHUJLH15, du rythme cardiaque et de la tension artérielle16,17,18; la transpiration18;
des tremblements musculaires15,18; des douleurs à la poitrine15,16,17; des hallucinations15,16,17,18; de la
paranoïa15,16,17,18 GH O·MJLPMPLRQ15,17,18 et des comportements agressifs15,18.Long terme : IHV HIIHPV j ORQJ PHUPH GH O·XPLOLVMPLRQ GH ŃMPOLQRQHV V\QPOpPLTXHV QH VRQP SMV NLHQ
connus19,20,21.Statut juridique au Canada
LM 0G0$ HVP XQH VXNVPMQŃH LQVŃULPH j O·MQQH[H H GH OM Loi réglementant certaines drogues et autres
substancesB 6M SRVVHVVLRQ HVP SMVVLNOH GH VHSP MQV G·HPSULVRQQHPHQP HP VRQ PUMILŃ HP sa SURGXŃPLRQ GH O·HPSULVRQQHPHQP j SHUSpPXLPpB HO H[LVPH XQ JUMQG QRPNUH GH ŃMPOLQRQHV V\QPOpPLTXHVB FHUPMLQV VRQP ŃRQPU{OpV HP G·MXPUHV QRQB FRQVRPPMPLRQ MXPRGpŃOMUpH G·HŃVPMV\ MX FMQMGM MX ŃRXUV des 12 mois précédentsFigure 1. 3UpYMOHQŃH GH O·XVMJH MXPRGpŃOMUp G·HŃVPMV\ GMQV OM GHUQLqUH MQQpH SMU ŃMPpJRULH G·kJH
Sources : ESCCAD 2008, 2009, 2010, 2011, 2012; ECTAD 2013, 2015Remarque FRPSPH PHQX GHV GLIIpUHQŃHV GMQV OM PpPORGRORJLH GH O·(6FF$G HP GH O·(F7$G OM SUXGHQŃH est de mise
TXMQG RQ ŃRPSMUH OHV HVPLPMPLRQV GH SUpYMOHQŃH HQPUH O·(6FF$G 2008-2012 HP O·(F7$GB IHV SRXUŃHQPMJHV PMUTXpV
d·un astérisque sont à interpréter avec prudence, en raison de la forte variabilité d·échantillonnage. Pour 2015, la forte
variabilitp G·pŃOMQPLOORQQMJH V·MSSOLTXH MX[ HVPLPMPLRQV SRXU OHV ÓHXQHV PMLV SMV SRXU OHV MGXOPHVB GHV ŃOLIIUHV VXU OHV
jeunes ne sont pas disponibles pour 2012 en raison de la suppression des données. Des chiffres sur les adultes ne sont
pas disponibles pour 2010, 2011, 2012, 2013 et 2015 pour la même raison. 0.0% 1.0% 2.0% 3.0% 4.0% 5.0% 6.0% 7.0%2008*2009*20102011*2012*2013*2015*
Jeunes (15-24 ans)Population générale (15 ans et +)Adultes (25 ans et +) Sommaire canadien sur la drogue : ecstasy ou molly (MDMA)FHQPUH ŃMQMGLHQ VXU OHV GpSHQGMQŃHV HP O·XVMJH GH VXNVPMQŃHV Canadian Centre on Substance Use and Addiction Page 3 Pag
e 3Population générale (15 ans et plus) : La prévalence de la consommation d·ecstasy dans la
population générale dans la dernière année est assez faible et a diminué de moitié depuis
200822,23,24,25,26,27. Selon OHV HVPLPMPLRQV OHV SOXV UpŃHQPHV PLUpHV GH O·(QTXrPH ŃMQMGLHQQH VXU OH
PMNMŃ O·MOŃRRO HP OHV GURJXHV (F7$G GH 2015, seulement 0,7 % de Canadiens de 15 ans et plus ont
GpŃOMUp MYRLU SULV GH O·HŃVPMV\ MX ŃRXUV GH O·MQQpH SUpŃpGHQPH28.Étudiants (7e à 12e années) : I·(QTXrPH ŃMQMGLHQQH VXU OH PMNMŃ O·MOŃRRO HP OHV GURJXHV ŃOH] OHV
élèves de 2014-2015 indique que 2,4 % des étudiants canadiens de 7e à 12e années ont dit avoir
ŃRQVRPPp GH O·HŃVPMV\ MX ŃRXUV GHV 12 PRLV SUpŃpGHQPVB IHV pPXGLMQPV GH 10e à 12e années
MYMLHQP XQH SUpYMOHQŃH SOXV SURQRQŃpH GH ŃRQVRPPMPLRQ G·HŃVPMV\ MX ŃRXUV GHV 12 mois
précédents que les étudiants de 7e à 9e années (4,0 % et 0,7 %, respectivement*). La prévalence de
ŃRQVRPPMPLRQ G·HŃVPMV\ MX ŃRXUV GHV 12 PRLV SUpŃpGHQPV ŃOH] OHV étudiants était semblable chez
les personnes de sexe masculin et de sexe féminin (2,4 % et 2,3 %, respectivement)29.Jeunes (15 à 24 ans) : Parmi tous les Canadiens de la population générale échantillonnée, les
jeunes ont la plus forte prévalence de consoPPMPLRQ G·HŃVPMV\ GMQV OM GHUQLqUH MQQpHB 6HORQO·(F7$G GH 201D OM SUpYMOHQŃH GH OM ŃRQVRPPMPLRQ G·HŃVPMV\ ŃOH] OHV ÓHXQHV MX ŃRXUV GHV 12 mois
précédents était de 3,4 %*, soit une augmentation considérable par rapport au taux de prévalence
de 1,9 %* signalé en 201327,28.Adultes (25 ans et plus) : (Q UMLVRQ G·XQ QRPNUH LQVXIILVMQP GH UpSRQGMQPV LO HVP LPSRVVLNOH GH VH
SURQRQŃHU VXU OM SUpYMOHQŃH GH OM ŃRQVRPPMPLRQ G·HŃVPMV\ GMQV OM GHUQLqUH MQQpH ŃOH] OHV MGXOPHV
ŃMQMGLHQV G·MSUqV OHV GRQQHV GH O·(F7$G Ge 201528.8VMJH MXPRGpŃOMUp G·HŃVPMV\ ŃOH] OHV SRSXOMPLRQV j ULVTXH
élevé au cours des 12 mois précédents
Figure 2. 3UpYMOHQŃH GH O·XVMJH MXPRGpŃOMUp G·HŃVPMV\ ŃOH] OHV SRSXOMPLRQV j ULVTXH pOHYp
au cours des 12 mois précédents par ville (2013)Source ePXGH GH VXUYHLOOMQŃH GH OM ŃRQVRPPMPLRQ G·MOŃRRO HP GH GURJXHV SMUPL OHV SRSXOMPLRQV j ULVTXH pOHYp 2012-2013
* IHV SRXUŃHQPMJHV PMUTXpV G·XQ MVPpULVTXH VRQP j LQPHUSUpPHU MYHŃ SUXGHQŃH HQ UMLVRQ GH OM IRUPH YMULMNLOLPp G·pŃOMQPLOORQQMJH.
0.0% 10.0% 20.0% 30.0%40.0%
50.0%
60.0%
70.0%
80.0%
90.0%
100.0%
Street Entrenched Adult Drug UsersStreet-Involved Youth Drug UsersRecreational Drug Users
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e 4Adultes itinérantsŻ : En 2012, la prévalence de la consommation d·ecstasy dans la dernière année
des adultes itinérants variait entre 7,7 % à Calgary (Alberta) et 33,8 % à Toronto (Ontario)30. En
2013, cette prévalence variait entre 7,5 % à Vancouver (Colombie-Britannique) et 27,5 % à Toronto
(Ontario) ² voir la figure 230. Comparativement aux jeunes de la rue consommateurs de drogues etaux consommateurs de drogues à usage récréatif, les adultes itinérants avaient la plus faible
prévalence autodéclarée de consommation d·ecstasy dans la dernière année dans les villes ayant
fourni des données pour 2012 et 201330,31,32.Jeunes de la rue : En 2012, la prévalence de la consommation d·ecstasy dans la dernière année
des jeunes de la rue consommateurs de drogues variait entre 27,5 % à Halifax (Nouvelle-Écosse) et
50,6 % à Montréal (Québec)31. En 2013, cette prévalence variait entre 30,0 % à Calgary (Alberta) et
72,2 % à Toronto (Ontario) ² voir la figure 231.
Consommateurs de drogues à usage récréatif§ : En 2012, la prévalence de la consommation
d·ecstasy dans la dernière année des consommateurs de drogues à usage récréatif variait entre
30,8 % à Winnipeg (Manitoba) et 78,8 % à Montréal (Québec)32. En 2013, cette prévalence variait
entre 32,5 % à Winnipeg (Manitoba) et 92,5 % à Vancouver (Colombie-Britannique) ² voir lafigure 232B O·H[ŃHSPLRQ GH JLQQLSHJ HQ 2012 HP GH 7RURQPR HP 0RQPUpMO HQ 2013, des trois groupes
à risque élevé, les consommateurs de drogues à usage récréatif avaient la plus forte prévalence
autodéclarée de consommation d·ecstasy dans la dernière année30,31,32. Rang parmi les cinq substances les plus consommées Tableau 1. Les cinq substances les plus consommées par les Canadiens dans la dernière année #1 #2 #3 #4 #5Population
générale (15 ans et plus)Alcool
(76,9 %)Cannabis
(12,3 %)Cocaïne/crack,
hallucinogènes et salvia (1,2 %)Ecstasy
(0,7 %)Produits
pharmaceutiques à des fins récréatives** (0,5 %)*Jeunes
(15 à 24 ans)Alcool
(71,8 %)Cannabis
(25,5 %)Cocaïne/crack
(3,5 %)*Ecstasy
(3,4 %)*Hallucinogènes et salvia
(2,7 %)*Adultes
(25 ans et plus)Alcool
(77,8 %)Cannabis
(9,9 %)Hallucinogènes
et salvia (0,9)*Cocaïne/crack
(0,8 %)*Produits
pharmaceutiques à des fins récréatives (0,3 %)*Source : ECTAD, 2015
Remarque : Les pourcentages marqués d·un astérisque sont à interpréter avec prudence, en raison de la forte variabilité d·échantillonnage.
Pour la population générale, la cocaïne/crack, les hallucinogènes et la salvia sont en ordre alphabétique, car les taux de prévalence sont égaux.
Le groupe des adultes itinérants consommateurs de drogues est constitué de personnes âgées de 19 ans ou plus sans domicile fixe.
3RXU SMUPLŃLSHU j O·pPXGH ŃHV SHUVRQQHV GHYMLHQP MYRLU ŃRQVRPPp MX PRLQV XQH GURJXH j O·H[ŃHSPLRQ GH O·MOŃRRO HP GX PMNMŃ au moins
une fois tous les mois au cours des six mois précédant chaque entrevue.Le groupe des jeunes de la rue consommateurs de drogues est constitué de personnes âgées de 15 à 24 ans qui vivent en état
G·LPLQpUMQŃH ŃRPSOqPH ŃHX[ TXL NpQpILŃLHQP G·XQ UHIXJH GH ŃRXUPH GXUpH VMQV PRXPHIRLV MYRLU GH ORJHPHQP SHUPMQHQP ŃHX[ TXL recourent
aux services destinés aux jeunes de la rue et ceux que les intervenants locaux désignent comme étant " de la rue ». Pour participer à
O·pPXGH ŃHV SHUVRQQHV GHYMLHQP MYRLU ŃRQVRPPp MX PRLQV XQH GURJXH j O·H[ŃHSPLRQ GH O·MOŃRRO HP GX PMNMŃ MX PRLQV XQH fois tous les
mois au cours des six mois précédant chaque entrevue.§ Le groupe des consommateurs de drogues à usage récréatif est constitué de personnes qui ont été recrutées à des sites où se tenaient
des événements particuliers (p. ex. raves ou rassemblements festifs tenus dans des entrepôts) ou à des boîtes de nuit fixes. Pour
SMUPLŃLSHU j O·pPXGH ŃHV SHUVRQQHV GHYMLHQP MYRLU ŃRQVRPPp MX PRLQV XQH GURJXH j O·H[ŃHSPLRQ GH O·MOŃRRO HP GX PMNMŃ MX PRins une fois
tous les mois au cours des six mois précédant chaque entrevue.** Cette catégorie comprend les produits pharmaceutiques comme les analgésiques, les sédatifs et les stimulants.
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e 5 eSHORQ GHV GRQQpHV IRXUQLHV SMU O·2IILŃH GHV 1MPLRQV 8QLHV ŃRQPUH OM GURJXH HP OH ŃULPH 218GF OM
SUpYMOHQŃH GH OM ŃRQVRPPMPLRQ G·HŃVPMV\ MX ŃRXUV GHV 12 PRLV SUpŃpGHQPV MX FMQMGM pPMLP
supérieure à la moyenne mondiale de 0,4 %, mais tout de même plus IMLNOH TX·MX[ ePMPV-Unis, en
Angleterre, au Pays de Galles et en Australie (figure 3)33. Figure 3. 3UpYMOHQŃH GH OM ŃRQVRPPMPLRQ MXPRGpŃOMUpH G·HŃVPMV\ GMQV OM GHUQLqUH MQQpH dans la population générale, par pays Source : ONUDC, Rapport mondial sur les drogues, 2017Application de la loi
En 2015, 14,86 kilogrammes (25 574 ŃRPSULPpV GH VXNVPMQŃHV VHPNOMNOHV j O·HŃVPMV\ RQP pPp
saisis au Canada33. Cette même année, les autorités policières ont aussi signalé :418 incidents GH SRVVHVVLRQ G·HŃVPMV\ 183 MŃŃXVMPLRQV
141 LQŃLGHQPV GH PUMILŃ G·HŃVPMV\ E3 MŃŃXVMPLRQV
4XMPUH LQŃLGHQPV GH SURGXŃPLRQ G·HŃVPMV\ PURLV MŃŃXVMPLRQVB
GMQV O·HQVHPNOH OH QRPNUH G·LQŃLGHQPV OLpV j OM SRVVHVVLRQ G·HŃVPMV\ VLJQMOpV SMU OM SROLŃH M
augmenté de 12,3 HQ 201DB IH QRPNUH G·LQŃLGHQPV GH PUMILŃ HVP GHPHXUp UHOMPLYHPHQP VPMNOH MYHŃ
une augmentation de 1,31 SMU UMSSRUP j 2014 MORUV TXH OH QRPNUH G·LQŃLGHQPV GH SURGXŃPLRQG·HŃVPMV\ M GLPLQXp GH 433 %34.
Initiatives fédérales sur le problème
Le projet de loi C-10, ou la Loi sur la sécurité des rues et des communautés, a reçu la sanction royale
HQ PMUV 2012B FHPPH ORL SUpYRLP GHV SHLQHV PLQLPMOHV RNOLJMPRLUHV HQ ŃMV GH PUMILŃ G·HŃVPMV\
V·MŃŃRPSMJQMQP GH IMŃPHXUV MJJUMYMQPV ŃRPPH OM YLROHQŃH XQ MQ RX OM SUR[LPLPp G·XQH pŃROH GHX[
ans)35B IHV ÓXJHV QH VRQP SMV PHQXV G·LPSRVHU ŃHV SHLQHV PLQLPMOHV VL OHV ŃRQPUHYHQMQPV SMVVHQP
par un tribunal de traitement de la dépendance ou un autre programme de traitement approuvé par
le tribunal. 0.0% 0.5% 1.0% 1.5% 2.0% 2.5% 3.0%Canada
(2012) 15 à64 ans
É.-U.A. (2013)
15 à 64 ans
Angleterre et
Galles (2013)
16 à 59 ans
Australie
(2013) age14 ans et plus
Norvège
(2013) 16 à64 ans
Suède (2008)
15 à 64 ans
Allemagne
(2012) 18 à64 ans
Suisse (2013)
15 à 64 ans
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Psychopharmacology, vol. 25, n° 4, 2011, p. 465-477.quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33[PDF] passer de personne physique en sarl maroc
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