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![Les dynamiques de démocratisation en Afrique noire francophone Les dynamiques de démocratisation en Afrique noire francophone](https://pdfprof.com/Listes/16/16068-162010_out_dia_d.pdf.pdf.jpg)
Les dynamiques de d
émocratisation
en Afrique noire francophone par Daouda DIA thèse de doctorat en Science Politique sous la direction de Frédéric RAMEL présentée et soutenue publiquement le 26 mai 2010Membres du jury :
Babacar GUEYE, Professeur, Université de Dakar (Sénégal) Jean-Paul JOUBERT, Professeur, Université Jean Moulin Lyon 3 Joseph NTUDA EBODE, Paître de conférences HDR, Université de Yaoundé (Cameroun) Frédéric RAMEL, Professeur, Université Paris Sud 11 [Dédicace]À mon regretté pèreRemerciements
Au terme de ces recherches, nos remerciements vont d'abord aux maîtres de la penséepolitique qui nous ont le plus donné par leur enseignement, leurs écrits, leurs réflexions et
leurs conseils. Nous affirmons aussi notre très grande dette envers des auteurs, des sources intellectuelles etdifférentes Ecoles de pensée très diverses qui ont cimenté notre démarche et éclairé nos
différentes hypothèses. Parmi ceux-ci, nous citerons principalement, Jean-François BAYART, Guy HERMET, Georges BURDEAU, Gérard CONAC, Pierre-François GONIDEC, Jean du Bois de GAUDUSSON, Maurice Ahanhanzo GLELE, Maurice KAMTO, Jean-FrançoisMEDARD.
Notre reconnaissance va surtout à tous ceux envers lesquels nous resterons toujours très largement redevables. Notre profonde gratitude au Professeur Frédéric RAMEL. Vos remarques pertinentes, vos conseils et votre constante disponibilité ont remarquablement déterminé la conduite de cette recherche.Nos remerciements à :
·Jean-Paul Joubert, Professeur de Science politique, Directeur du Centre Lyonnais d'Etudes de Sécurité Internationale et de Défense (CLESID), Université Jean MoulinLyon 3.
·Michel GUILLOU, Directeur de l'Institut pour l'Etude de la Francophonie et de laMondialisation (IFRAMOND).
·Babacar GUEYE, Professeur titulaire, Faculté des Sciences juridiques et politiques,Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
·M. Joseph NTUDA EBODE, Maître de Conférences, Vice-Doyen de la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l'Université Yaoundé II, Directeur du Centre de Recherche d'Etudes Politiques et Stratégiques (CREPS). ·Stéphane DOUMBE- BILLE, Professeur de Droit Public, Directeur du Centre de Droit International de l'Université Jean Moulin Lyon 3 (CDI). Qu'il ait la satisfaction d'avoir aidé moralement à la réussite de ce travail.Toute notre reconnaissance également à :
·Ma mère.
·La grande famille.
·Perrine CLEMENT, Ousmane GUEYE, Sabrina DONISI, Moustapha GUEYE, Anne- Claire PETIT, Axel-Luc, Amélie SAGNON, Bachir DEME, Oumar NDIAYE, Hady DIA, fidèles compagnons de cette longue aventure. ·Mathilde DELARUE, Yann GRANGER-THOMAS, Aurore SUDRE, Julie TOUVRON, Lucy GALTIER, Olivier PIZZIGHINI, Marie COTTIGON, Méhal BELKACEM, Djibril YONGANE, pour leur fidèle collaboration et leurs nombreux et précieux conseils.Abréviations et siglesACCPUF : Association des Cours et Conseils constitutionnels ayant en partage l'usage du
françaisAEF : Afrique Equatoriale Française
AOF : Afrique Occidentale Française
AFC : Alliance des Forces du Changement
AFP : Alliance des Forces du Progrès
ANR : Assemblée Nationale Révolutionnaire
ATD : Alliance Togolaise pour la Démocratie
BDS : Bloc Démocratique Sénégalais
BGP : Bataillon de la Garde Présidentielle
BMS : Bloc des Masses Sénégalaises
BPS : Bloc Populaire Sénégalais
CADE : Coordination pour l'Afrique de Demain
CAR : Comité d'Action pour le Renouveau
CEAN : Centre d'Etude d'Afrique Noire
CEDRADI : Centre d'Études et de Recherches sur les Droits Africains et sur le
Développement Institutionnel des pays en développement CEMAC : Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique CentraleCES : Conseil Economique et Social
CDPA : Convention Démocratique des Peuples Africains CDR : Coalition pour la Défense de la RépubliqueCEI : Commission Electorale Indépendante
CENI : Commission Electorale Nationale Indépendante CHEAM : Centre des Hautes Etudes sur l'Afrique et l'Asie ModernesCIS : Cahiers Internationaux de Sociologie
CNC : Conseil National de la Communication
COD : Coordination de l'Opposition Démocratique CODESRIA : Conseil pour le Développement de la Recherche en Sciences sociales enAfrique
CPU : Collège Polytechnique Universitaire
CRAES : Conseil de la République pour les Affaires Economiques et Sociales CSA : ConseilSupérieur de l'Audiovisuel
CSC : Confédération Syndicale Congolaise
CSN : Conseil du Salut National
CTSP : Comité de Transition pour le Salut du PeupleENA : Ecole Nationale d'Administration
FAR : Front des Associations pour le Renouveau
FASJEP : Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Politiques FLASH : Faculté des Lettres, Arts et Sciences humainesFNS : Front National Sénégalais
FNSP : Fondation Nationale des Sciences PolitiquesFPR : Front Patriotique Rwandais
FSA : Faculté des Sciences Agronomiques
FUAPO : Front Uni des Associations et Partis de l'Opposition GERDDES : Groupe d'Études et de Recherches sur la Démocratie et le DéveloppementEconomique et Social
GTBE : Gouvernement de Transition à Base Elargie HAAC : Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la CommunicationHCA : Haut Conseil de l'Audiovisuel
HCR : Haut Conseil de la République
IEP : Institut d'Etudes Politiques
JA : Jeune Afrique
JAI : Jeune Afrique l'Intelligent
LCT : Ligue Communiste des Travailleurs
LGDJ : Librairie Générale de Droit et de JurisprudenceMDP : Mouvement Démocratique Populaire
MDR : Mouvement pour la Défense de la République (Cameroun) MDR : Mouvement Démocratique Républicain (Rwanda)MORENA : Mouvement de Redressement National
MRDN : Mouvement Révolutionnaire pour la Démocratie Nouvelle MRND : Mouvement Révolutionnaire National pour la DémocratieMTD : Mouvement Togolais pour la Démocratie
NCC : Notre Cause Commune
NEA : Nouvelles Editions Africaines
OUA : Organisation de l'Unité Africaine
PAI : Parti Africain de l'Indépendance
PAIM : Parti Africain pour l'Indépendance des MassesPAS : Programme d'Ajustement Structurel
PCD : Parti Communiste Dahoméen
PDC : Parti Démocrate Chrétien
PDG : Parti Démocratique Gabonais
PDS : Parti Démocratique Sénégalais
PGP : Parti Gabonais du Progrès
PIT : Parti de l'Indépendance et du Travail
PL : Parti Libéral
PPS : Parti Populaire Sénégalais
PRPB : Parti de la Révolution Populaire du BéninPS : Parti Socialiste
PSD : Parti Social Démocrate
PTC : Parti Congolais du Travail
PUF : Presses Universitaires de France
RBSJA : Revue Béninoise des Sciences Juridiques et AdministrativesRDA : République Démocratique Allemande
RDP : Revue de Droit Public
RDPC : Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais RDPSP : Revue de Droit Public et de Science Politique RFDC : Revue Française de Droit Constitutionnel RFEPA : Revue Française d'Etudes Politiques Africaines RFNSP : Revue Fondation Nationale des Sciences PolitiquesRFSP : Revue Française de Science Politique
RIHPC : Revue Internationale d'Histoire Politique et Constitutionnelle RIPAS : Revue des Institutions Politiques et Administratives du SénégalRISS : Revue Internationale des Sciences Sociales
RJPIC: Revue Juridique et Politique: Indépendance et CoopérationRND : Rassemblement National Démocratique
RPG : Rassemblement pour le Gabon
RPT : Rassemblement du Peuple Togolais
RSDG : Rassemblement Social Démocrate Gabonais
SDF: Social Democratic Front
SNES : Syndicat National de l'Enseignement Supérieur SONACOP : Société Nationale de Commercialisation des produits Pétroliers SUTELEC : Syndicat Unique des Travailleurs de l'Electricité SYNTRAPOSTEL : Syndicat National des Postes et TélécommunicationsUA : Union Africaine
UEMOA : Union Economique et Monétaire Ouest Africaine UDEAC : Union Douanière et Économique de l'Afrique CentraleUDD : Union Démocratique Dahoméenne
UFC : Union des Forces du Changement
UJD : Union pour la Justice et la Démocratie
UNC : Union Nationale Camerounaise
UNDP : Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès UNSAS : Union des Syndicats Autonomes du Sénégal UNSTB : Union Nationale des Syndicats des Travailleurs du BéninUPC : Union des Populations du Cameroun
UPS : Union Progressiste Sénégalais
URD : Union pour le Renouveau Démocratique
UTD : Union des Togolais pour la Démocratie
Carte de l'Afrique
Introduction
La dernière décennie du XXe siècle, caractérisée par l'effondrement du Bloc communiste et la
fin de l'antagonisme Est - Ouest, a fait apparaître au niveau mondial un phénomènestructurant : l'universalisation de la démocratie libérale. Le modèle soviétique qui, autrefois,
faisait le poids devant le modèle capitaliste parait caduc. La divergence entre communisme etcapitalisme, démocratie populaire et démocratie libérale n'apparaît plus alors que comme un
concept du passé. Dés lors, l'histoire de l'humanité semble arrivée à l'uniformisation d'un
seul modèle qu'incarne l'universalisation de la démocratie libérale, qui apparaît ainsi comme
le principe de convergence des deux paradigmes qu'étaient le capitalisme et le socialisme, malgré les spécificités propres à chacune de ces deux théories. Cette situation internationale a eu des incidences sur toute l'Afrique. Mais ces effetsstructurants se sont plus manifestés en Afrique au Sud du Sahara. En effet au début des années
1990, le " bouillonnement démocratique » était beaucoup plus perceptible au sud du Sahara
que dans des pays comme l'Algérie, la Tunisie ou le Maroc1. Lieu périphérique
d'affrontement des deux blocs durant la guerre froide, le continent noir, plus que sa partienord, durant la décennie 1990 - 2000, a assisté à la fin des partis uniques et des dictatures et
au début du processus de démocratisation " en masse » de ses pays. Mais l'avènement de la démocratisation n'a pas eu que des causes externes. Il y a euégalement à l'intérieur du continent une poussée démocratique endogène qui vient faire écho
au contexte international. Sous cet effet de résonnance, la dernière décennie du XXe siècle a
été celle des dérèglements politiques, institutionnels et économiques qui ont le plus défiguré
le visage politique du continent en général et de l'Afrique noire en particulier depuis les indépendances. Elle a ainsi enregistré la fin du parti unique et des régimes politiques ouvertement autoritaires et brutaux.1Voir notamment VERMEREN P., Maghreb, la démocratie impossible ?, Paris, Fayard, 2004. Voir également CABANIS A., " Les constitutions maghrébines francophones, un mimétisme tempéré », in La création du droit en Afrique, Paris, Karthala, 1997, pp. 317-332.
I. Précisions des termes du sujet Pour une bonne compréhension du sujet et une délimitation circonstanciée, il nous parait
important de préciser et de redéfinir la démocratie et insistant sur ses principaux critères (A).
Ce préalable est nécessaire pour saisir à quoi l'on fait référence en parlant de processus de
démocratisation dans les pays africains (B).A. La d
émocratie : un système de gouvernement aux principes prédéfinisLe Lexique de science politique définit la démocratie comme étant un régime dans lequel la
souveraineté appartient à l'ensemble des citoyens, qui l'exercent à l'occasion d'élections
libres et discutées intervenant à intervalles réguliers2. Dans cette perspective la démocratie est,
pour reprendre la célèbre formule d'Abraham Lincoln, " le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple »3. Mais cette conception étroite ne permet pas de qualifier dans toute sa dimension un régime démocratique. Pour ce faire, il est nécessaire alors de remonter à l'origine du mot. Ladémocratie, telle qu'elle est connue aujourd'hui, est associée à la Grèce Antique. En effet,
c'est dans la Grèce de Périclès, il y a plus de 2 500 ans, que Demos, c'est-à-dire, " le Peuple »,
s'est vu confier Kratos, " l'Autorité ». Il s'agit d'un système politique assez simple, du moins
théoriquement, dans lequel le peuple est consulté en permanence. En termes de politique etd'institutions, la démocratie revêt des traits tels que l'égalité de tous devant la loi et les
institutions, les élections périodiques de représentants des citoyens, et la liberté d'action
politique et de formulation d'une politique. La raison d'être de la démocratie réside simplement dans le droit du peuple de choisir ou de récuser, périodiquement, ses dirigeants, en pleine liberté politique, sans coercition. Du point de vue de la doctrine, Jacques MarielNzouankeu a dégagé cinq (5) principes4 fondamentaux qui caractérisent un régime
démocratique: C'est d'abord l'existence de plusieurs partis politiques dont l'un ou certains exercent le pouvoir, les autres formant l'opposition légale. Les moeurs politiques imposent le respect de2 NAY O., al, Lexique de Science politique, Vie et institutions politiques, Paris, Ed. Dalloz, 2008, p. 128.3 Cité par NAY O.,al, Ibid. p. 149.4 NZOUANKEU J. M., " Pour la démocratie pluraliste dans le Tiers-Monde », in Annuaire du Tiers-Monde, Tome IX, Fernand Nathan, Paris, 1987, p. 34.
l'opposition, lui reconnaissent le droit de contester le pouvoir, de critiquer le gouvernement, mais lui imposent en même temps l'obligation, entre autres, de respecter les règles du jeudémocratique, et de présenter une véritable alternative politique au pouvoir, en élaborant des
objectifs clairs, crédibles et pratiquement réalisables. C'est ensuite la liberté de la presse et de l'information. Elle implique notamment qu'il n'est pas exigé de cautionnement de ceux qui veulent créer des journaux, qu'il existe plusieurs journaux d'opinion et d'information et que le gouvernement ne pratique pas de censure. C'est aussi l'indépendance de la magistrature. Cette indépendance signifie dans la pratique que les magistrats du siège ne sont soumis à aucune pression de l'exécutif et qu'ils ne craignent pas pour leur carrière, voire pour leur vie, en raison des jugements qu'ils sont appelés à rendre.C'est également l'organisation d'élections libres, c'est-à-dire de consultations dont on ne peut
pas connaître les résultats avant le dépouillement des votes, étant entendu que ces élections
mettent en compétitions des personnes ou des partis se réclamant de convictions politiques différentes. C'est enfin l'alternance au pouvoir, principe selon lequel les gouvernants d'aujourd'hui,battus à l'issue d'élections libres doivent accepter de se retirer et laisser gouverner la majorité,
l'opposition d'hier.Il faut ajouter à ces principes pointés par Jacques Mariel Nzouankeu les dépositaires de la loi,
qui font également office de représentativité pour le peuple, sans laquelle d'ailleurs le peuple
en question ne détient pas le pouvoir suivant la définition d'Abraham Lincoln. L'ensemble de ces principes garantissent un pluralisme politique ou démocratique, qui en reconnaissant aux opinions et courants idéologiques la possibilité de s'organiser et de s'exprimer librement, ne peut que contribuer à la promotion du développement politique etéconomique de la société.
Aujourd'hui, deux conditions fondamentales et indissociables qui sont le fondement dulibéralisme politique, sont exigées à tout régime qui se réclame de la démocratie. Il s'agit
d'une part l'approfondissement de l'Etat de droit, qui suppose un système juridique étendu etquotesdbs_dbs28.pdfusesText_34[PDF] LES ETATS-UNIS : UNE HYPERPUISSANCE
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