[PDF] -=- ltl d'après le prophè

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-=-ltl Lorsque vient le B8COQ!1 d'Allah ainsi que la victoi11, célèbre les louanges de too Seigneur et ilplore 1011 pardon a prière occupe une place importante par mi les pratiques cultuelles en islam.

C'est le premier pilier pratique,

et d'après le prophète c'est la prière qui différencie les croyants des mé créants. Elle sera la première oeuvre ter.

Car même pour une seule pros

ternation manquée dans la prière obligatoire, il nous sera demandé compte.

La réparation de la prière demeure

cependant un sujet complexe. En effet chaque école juridique dispose en la matière des enseignements qui ne sont pas forcément ceux des au tres écoles.

Dans les li-

à propos de la

quelle l'homme sera interrogé le jour de la résur rection. Alors 1' accomplisse-La réparation dela prière gnes vont nous qut

SUIVre

allons de tenter rappeler les ment correct de la prière doit être le souci premier de tout musulman.

Cependant il arrive que de

par sa nature humaine (al in-sâne: ou blieux) l'homme se trompe et qu'il fasse des erreurs dans la prière. Si . tel était le cas, que faire

Le Seigneur par miséricorde nous a

enseigné par l'intermédiaire de son Messager, les moyens de se rache-Ao-nast vendtecii n·027 du 23 Juillet .2004 postttons unanimement admises et celles qui sont couramment pratiquées dans

1 •

nos regwns.

La réparation de la prière varie

se lon le type d'erreur (omission ou ajout) et selon le statut de l'acte (actes obligatoires, surérogatoires ou méritoires). Pour ce faire, il convient de rappeler les différentes catégories d'actes de la prière. ... 115 ... Ptix 50 fcfLes actes de la prière -les actes obligatoires de la prière sont : l'intention, la station débout, le premier takbir (Allahou Akbarou) au tout début de la prière, la récita tion de la fatiha, la génouflexion (roukou), le redressement après le roukou, la prosternation (soudjoud), le relèvement après le soudjoud, la pause qu'il faut marquer après les différentes positions, dire assalamou aleikoum, le recueillement et le res pect de l'ordre des actes; les actes surérogatoires sont: la ré citation d'une autre sourate en plus de la fatiha, la récitation à voix basse ou haute, les autres takbir à chaque changement de position, les invoca tions pendant les roukous et les soud jouds, dire sami Allahou liman hami dahou, le rabbana wa lakal hamdou, la Tachahoud, prier pour le Prophète dans la Tachahoud final; les actes méritoires sont l'invoca tion au début de la prière, l' ouver ture de la prière, l'invocation après le redressement du roukou, l'invoca tion entre les soudjouds, dire Amin après la fatiha, poser les mains sur la po1tnne, etc.

La réparation des actes

obUgatoires

L'omission d'un acte obligatoire de

la prière invalide ladite prière. Alors la réparation d'un acte obligatoire omis consiste

à refaire cet acte. Mais

il existe· des variantes suivant les dif férents actes :

Une prière sans intention est nulle

et doit être reprise. Mais formuler l'intention ne signifie pas prononcer des phrases. L'intention est la ferme détermination et la motivation que l'on a pour accomplir une prière. -L'oubli du takbir al ihram entraîne la reprise de la prière.

Si on omet la sourate fatiha dans

une rakate et qu'on se rappelle avant le roukou, on reprend la récitation suivie au d'une sourate. Par contre si l'on ne s'en rappelle qu'a près le roukou, on poursuit la prière tout en annulant la rakate où la fati ha était omise. On accomplira une autre rakate à sa place.

Dans tous les cas, on fera deux soud

jouds réparateurs après le salam (salut final).

Quand on se rappelle de l'omission

d'un roukou au moment où l'on s'engage

à faire le soudjoud, on re

vient à la position débout et on ré cite de nouveau quelques versets au besoin, puis on fait le roukou et on poursuit la prière.

Si l'on ne s'en

rappelle qu'après avoir exécuté le soudjoud, on poursuit la prière tout en annulant la rakate entachée et on accomplira une rakate à sa place.

Dans tous les

cas on doit faire deux soudjoud réparateurs après le salut An-nSi l'oubli du soudjoud porte sur la deuxième ou quatrième rakate d'une prière et qu'on se rappelle dans la • 0 • • pos1t10n asstse, on se prosterne Im- médiatement dès qu'on y prend conscience. Dans ces trois situations, on fait deux soudjoud d'oubli après le salam.

En outre, si l'on ne se souvient de

l'omission d'un acte obligatoire qu'après avoir quitté le lieu de la prière ou s'être détourné de la qui hia, on reprend la prière entière ment. -Après le salut final, si on se rap pelle avoir omis une rakate, et on se souvient avant de se détourner de la quibla ou d'avoir quitté le lieu de la prière, on se lève, fait un takbir et on accomplit la rakate manquante.

On fera deux soudjoud réparateurs

après le salam. Dans le cas contraire, la prière est nulle et on doit la re prendre même si on s'en rappelle ul térieurement.

Si on accomplit un surnombre de

An-nëlst venc\rec\i n·027 c\u 23 Juillet 2004 rakate, on fait deux soudjoud répara teurs après le salut final. Mais si l'on double le nombre de rakates d'une prière, celle-ci s'annule;quotesdbs_dbs48.pdfusesText_48

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