Original : français N° : ICC-01/05-01/13 Date : 5 août 2016 LA
5 août 2016 Les requêtes de l'accusation pour l'assistance judiciaire sous l'article 70 et la ... Affaire n° ICC-01/09-01/13 Chambre préliminaire II
Avis délibéré de lAutorité environnementale sur le projet de
7 janv. 2013 la préfète du département de Charente-Maritime par courrier en date du 09/01/2013. - le préfet de région Poitou-Charentes (DREAL) par ...
Décision n° 21-D-20 du 22 juillet 2021 relative à des pratiques
22 juil. 2021 Vu la décision du 9 janvier 2013 par laquelle la rapporteure générale a procédé à ... paragraphe premier de l'article 101 du Traité sur le ...
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9 janv. 2013 La qualité de gestionnaire forestier professionnel est reconnue à XXX pour une durée de cinq ans. Cette qualité assure uniquement que le ...
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Janvier 2021 - Bulletin municipal - # 48
1 janv. 2021 restaurant scolaire avec le CAUE pour un coût de 2 925 € : > Lecture synthétique du cadre de vie du bourg et de l'îlot mairie. > Hypothèses d' ...
LINO - CONCLUSIONS ET AVIS
14 juin 2021 La composition détaillée du dossier est consultable au paragraphe « I.3 ... L'observation 81 argumente son accord avec le projet.
DANIEL FARHI 1941-2021
21 nov. 2021 commun pour vivre ensemble - Tribune de Yaël Hirsch ... Néanmoins on peut aussi argumenter ... dans le texte du requiem chrétien
Vorschläge zur Novelle des europäischen Abfallverzeichnisses
30 nov. 2012 TEXTE
Ce quentreprendre permet dapprendre
tion dans ce texte de promotion de l'éducation et de la formation à 795 final Bruxelles
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Décision n° 21-D-20 du 22 juillet 2021
relative s lunettes et montures de lunettes Vu la décision n° 10-SOI-05 du 9 septembre 2010, enregistrée sous le numéro 10/0080 F, dans le secteur des lunettes et montures de lunettes ; Vu la décision n° 11-SOI-04 du 29 mars 2011, enregistrée sous le numéro 11/0025 F, par nion européenne (TFUE), et notamment, son article 101, paragraphe 1 ; Vu le livre IV du code de commerce et notamment son article L. 420-1 ;Vu la décision du 9 janvier 2013, par laquelle la rapporteure générale a procédé à la jonction
affaires n° 10/0080 F et 11/0025 F ;Vu la décision n° 17-S-
Vu les procès-verbaux, par lesquels les sociétés suivantes ont déclaré ne pas contester le
L. 464-2 du code de commerce, datés respectivement du :24 juillet 2015 France SARL et
Silhouette International Schmied AG ;
GrandVision France SAS, et des sociétés LVMH Swiss Manufactures SA etLVMH Moët Hennessy Louis Vuitton ;
2 ;12 février Christian Dior Couture SA, devenue
Christian Dior SE ; et
16 mai nufactures SA et
LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton ;
Vu les décisions de secret des affaires n° 18-DECR-380 du 24 octobre 2018, n° 18-DECR-414 du 22 novembre 2018, n° 18-DECR-415 du 22 novembre 2018, n° 19-DEC-027 du 15 janvier 2019, n° 19-DEC-028 du 15 janvier 2019, n° 19-DSA-029 du 216 janvier 2019, n° 19-DSA-032 du 17 janvier 2019, n° 19-DSA-062 du 18 février 2019,
n° 19-DEC-084 du 01 mars 2019, n° 19-DSA-144 du 28 novembre 2019, n° 19-DSA-325 du 28 novembre 2019, n° 19-DSA-701 du 06 décembre 2019, n° 19-DSA-702 du06 décembre 2019, n° 19-DSA-703 du 06 décembre 2019, n° 19-DSA-704 du
06 décembre 2019, n° 19-DSA-705 du 06 décembre 2019, n° 20-DSA-073 du
12 février 2020, n° 20-DSA-359 du 17 juillet 2020, n° 20-DSA-395 du 13 août 2020,
n° 20-DSA-396 du 13 août 2020, n° 20-DSA-397 du 13 août 2020 ; Vu les observations présentées par les sociétés Silhouette France SARL,Silhouette s
des opticiens lunetiers (GADOL), Krys Group Services SA, Mikli Diffusion France SASU, Chanel Coordination SAS, Chanel SAS, Chanel international BV, Arnam SARL, Chanel Limited, Christian Dior Couture SA, Christian Dior SE, LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton SE, Luxottica France SASU, Luxottica Group SpA, Luxottica Srl, Sunglass Hut Ireland Limited, LVMH Swiss Manufactures SA, LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton SE, Safilo France SARL, Safilo SpA, Safilo Group SpA, Maui Jim Inc., Maui Jim Europe SARL et par le commissaire du Gouvernement ;Vu les autres pièces du dossier ;
Vu la note en délibéré des sociétés Safilo Group SpA, Safilo SpA et Safilo France SARL du
28 janvier 2021 ;
Les rapporteurs, les représentants des sociétés Logo SAS, Silhouette France SARL, Silhouette International Schmied AG, GrandVision France SAS, Alain Afflelou s des opticiens lunetiers (GADOL), Krys Group Services SA, Mikli Diffusion France SASU, Mikli Diffusion France SAS, Chanel Coordination SAS, Chanel SAS, Chanel International BV, Chanel SARL, Chanel Limited, Christian Dior Couture SA, Christian Dior SE, LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton SE, Luxottica France SASU, Luxottica Group SpA, Luxottica Srl, Sunglass Hut Ireland Limited, LVMH Swiss Manufactures SA, LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton, Maui Jim Inc., Maui Jim Europe SARL, Safilo France SARL, Safilo SpA, Safilo Group SpA et le commissaire du Gouvernement entendus lors de la séance de13 janvier 2021, les représentants de la société Optical Center ayant été régulièrement
convoqués ;Adopte la décision suivante :
3Résumé1
-après " ») sanctionne plusieurs sociétés actives dans le secteur des lunettes solaires et des montures de , dans les conditions précisées ci-après, deux pratiques anticoncurrentielles contraires aux articles L 420-1 du code de commerce et auconsistant, pour la première, en une entente verticale visant à limiter la liberté tarifaire des
distributeurs et, pour la seconde, en une entente, également verticale, visant à interdire à ces
mêmes distributeurs la vente en ligne de ces produits. à des opérations de visite et saisie réalisées le24 juin , à
29 septembre 2010 par la
Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).15 décembre , par décision n° 17-S-01 du
24 enue le 13 janvier 2021.
de nombreuses auditions, a permis de parvenir aux constatations suivantes. À la suite de deux notifications de griefs successives des 13 février 2015 et 28 mars 2019,trois griefs portant sur des ententes verticales restreignant la liberté tarifaire des distributeurs
et faisant obstacle, partant, à la libre fixation des prix par le jeu de la concurrence, ainsi que
deux griefs portant sur ont été notifiésà quatorze entreprises, qui étaient, selon les cas, fournisseurs, distributeurs ou détentrices de
marques. Le tableau suivant synthétise les griefs notifiés à chacune des entreprises2.Notification de griefs du
13 février 2015
Notification de griefs du
28 mars 2019
Nom générique Société Grief 1 Grief 2 Grief 1 Grief 2 Grief 3Alain Afflelou Alain Afflelou SA Oui
Krys Krys Group Services Oui
Logo Logo SAS Oui Oui
GADOL GADOL Oui
Optical Center Optical Center Oui
Chanel
Chanel SAS Oui Oui Oui
Chanel Coordination SAS Oui Oui Oui
Chanel International BV Oui Oui
Arnam SARL Oui Oui
Chanel Limited Oui
1 Ce résumé a un caractère strictement informatif. Seuls font foi les motifs de la décision numérotés ci-après.
2 S 4Notification de griefs du
13 février 2015
Notification de griefs du
28 mars 2019
Nom générique Société Grief 1 Grief 2 Grief 1 Grief 2 Grief 3 DiorChristian Dior Couture SA Oui Oui
Christian Dior SA
(puis SE) Oui OuiLVMH Moët Hennessy
Louis Vuitton (puis SE) Oui
GrandVision GrandVision France SAS Oui
GrandVision SA Oui
Luxottica
Luxottica France SASU Oui Oui Oui Oui
Luxottica Group SpA Oui Oui Oui Oui
Luxottica SpA (puis Srl) Oui Oui
Sunglass Hut Ireland
Limited Oui Oui
LVMHLVMH Swiss
Manufactures SA Oui Oui Oui
LVMH Moët Hennessy
Louis Vuitton Oui Oui Oui Oui
Maui Jim Maui Europe SARL Oui Oui
Maui Jim Inc. Oui Oui
MikliMikli Diffusion France
SAS Oui
Alain Mikli International Oui
Luxottica Group SpA Oui
Safilo
Safilo France SARL Oui Oui
Safilo SpA Oui Oui
Safilo Group SpA Oui
Silhouette
Silhouette France SARL Oui
Silhouette International
Schmied AG Oui
Les ententes verticales sur les prix de détail
Après examen des éléments figurant au dossier, iapplication du troisième alinéa de -7 du code de commerce aux termes duquel, dans sa rédaction applicable du 22 novembre 2012 au 28 mai 2021, " la prescription est acquise de dix ans à compter de la cessation de la pratique ci », que les pratiques étaient prescrites pour la plupart des entreprises et/ou des pratiques poursuivies. éclarée incompétente pour statuer sur le grief notifié le28 mars 2019 à la société Maui Jim.
Elle a, en outre, considéré que les pratiques visées par le deuxième grief de la notification
Luxottica France SASU et
5 Luxottica Group SpA (ci-après " Luxottica ») et Chanel SAS, Chanel Coordination SAS, Chanel International BV, Chanel SARL et Chanel Ltd (ci-après " Chanel »).Elle a, en revanche, au titre du grief n° 1 notifié le 13 février 2015, sanctionné les sociétés
Logo SAS (ci-après " Logo »), LVMH Swiss Manufactures SA et LVMH Moët HennessyLouis Vuitton (ci-après " LVMH ») et Luxottica, pour avoir participé à des ententes visant
à limiter la liberté tarifaire des distributeurs. -verbaux, sur le fondement464-2 du code de commerce alors en vigueur, à ne pas contester les
griefs qui leur étaient notifiés, elle a constaté que les pratiques étaient établies, en se fondant
pour ce faire sur les clauses figurant dans les contrats de licence et de distribution sélective, prévoyant un encadrement des prix et des promotions pratiqués, et/ou sur un faisceau ments, tels la diffusion de prix conseillés et la mise en place de mécanismes de surveillance. concordants, comprenant à la fois des preuves documentaires et de nature comportementale, entre le 17 mai 2005 et le 1er quant aux prix pratiqués pour la vente de ses produits.Elle a, notamment, relevé que Luxottica avait diffusé à ses distributeurs des prix dits
" conseillés » et les avait incités à maintenir un certain niveau de prix de vente au détail de
ses produits. En particulier, Luxottica a conclu, avec ses distributeurs, des contrats dedistribution sélective qui étaient interprétés comme interdisant certaines pratiques tarifaires
lors de la vente au détail, notamment les remises et promotions. En outre, Luxottica a imposéà ses distributeurs certaines restrictions quant à la publicité réalisée sur les prix. Luxottica a
ses consignes tarifaires et a sanctionné ceux qui persistaient à ignorer ses incitations en retardant les livraisons de leurs magasins, ou encore en la distribution de certaines de ses marques. Les distributeurs de Luxottica ont, quant à eux, adhéré à sa politique en signant les contrats et chartes de détaillant agréé interdisant certaines pratiques tarifaires, en excluant ses marques telles que, par exemple, Chanel, Ray-Ban ou Prada de leurs opérations commerciales, en appliquant les prix imposés par Luxottica ou encore en dénonçant à Luxottica les pratiques commerciales de eux-mêmes pris auprès de Luxottica. Ces pratiques, anticoncurrentielles par leur objet même, présentent un caractère certain de gravité, de par, notamment, leur nature, leurs répercussions sur les consommateurs finaux,pour partie captifs et vulnérables, et, enfin, les mécanismes de surveillance et de rétorsion
dans la mesure, notamment, où elles ont porté sur des marques notoires de montures et de lunettes, affecté la concurrence intra-marque pendant une longue durée, et concerné une part significativeGrandVconcerné qu
du marché en cause. 6 Dans ces conditions, et en tenant compte, pour LVMH, des termes du procès-verbal de non-contestation de griefs et, pour Logo, de son placement en liquidation judiciaire en 2016, figurant dans le tableau de synthèse ci-après.Les ententes verticales
Les notifications de griefs des 13 février 2015 et du 28 mars 2019 avaient, toutes deux, reproché à plusieurs entreprises du secteur, fabricants et détentrinterdit à leurs détaillants agréés de vendre en ligne les lunettes solaires et les montures de
lunettes de vue. titre de la notification Elle a, en revanche, sanctionné les sociétés Chanel, Luxottica et LVMH au titre du grief notifié le 28 mars 2019. Elle a estimé, en effet, que les clauses des contrats de licence conclus, , entre , entre LVMH et Logo, de même que celles des contrats de distribution sélective conclus entre Luxottica et ses distributeurs agréés pour les marques Chanel, Prada, Dolce & Gabbana et Bulgari, qui interdisaient la vente en ligne des produitssusvisés, constituaient des restrictions anticoncurrentielles par objet et caractérisées, qui ne
en considération le fait conséquence de fermer une voie de commercialisation au détriment des consommateurs et des distributeurs et de limiter la concurrence principalement la concurrence intra-marque sont graves par nature, leur gravité doit toutefois être atténuée, au regarElle a de la
faiblesse, au moins pour les montures de lunettes de vue, de la demande pour ce canal de vente dans ce secteur. relatif à la méthode de détermination des sanctions pécuniaires. 7Compte a infligé les sanctions suivantes :
Entreprises
Sanctions (en euros)
Au titre des ententes sur
les prix de détailAu titre des ententes sur
Luxottica 124 477 000 697 000
LVMH 500 0003
Chanel 130 000
Logo 0
Total 125 804 000
3 Plafond global de 500.000 euros fixé par le procès-verbal de non-contestation des griefs atteint en raison de
la sanction infligée au titre du grief notifié le 13 février 2015. 8Sommaire
I. LES CONSTATATIONS ..................................................................... 14A. LA PROCÉDURE .........................................................................................................14
B. LE SECTEUR CONCERNÉ ........................................................................................17
1. LA NATURE DES PRODUITS ET LE CADRE JURIDIQUE ............................................18
a) La nature des produits en cause ............................................................ 18b) Le cadre juridique ................................................................................... 19
Les disposit .............................................19de la loi Hamon le 19 mars 2014 .........................................................................19
...........19 c) ............................................... 20C. LES ENTITÉS CONCERNÉES ..................................................................................23
1. LES MARQUES ..........................................................................................................24
a) Chanel ...................................................................................................... 24
b) Dior ........................................................................................................... 25
c) LVMH ...................................................................................................... 25
2. LES FABRICANTS ......................................................................................................26
a) Luxottica .................................................................................................. 26
b) Safilo ......................................................................................................... 28
c) Maui Jim .................................................................................................. 30
d) Logo .......................................................................................................... 30
e) Silhouette .................................................................................................. 30
f) Mikli ......................................................................................................... 30
3. LES DISTRIBUTEURS ................................................................................................31
a) ..................... 31b) Krys .......................................................................................................... 31
c) GrandVision ............................................................................................ 32
d) Alain Afflelou ........................................................................................... 32
e) Optical Center ......................................................................................... 32
D. LES GRIEFS NOTIFIÉS .............................................................................................32
1. LES GRIEFS NOTIFIÉS LE 13 FÉVRIER 2015, TELS QUE MODIFIÉS PAR LA
NOTIFICATION DE GRIEFS RECTIFICATIVE DU 3 JUIN 2015 ...................................33 9a) Grief n° 1 .................................................................................................. 33
Les fournisseurs ...................................................................................................33
Les marques..........................................................................................................34
Les distributeurs ...................................................................................................35
b) Grief n° 2 .................................................................................................. 36
Les fournisseurs ...................................................................................................36
Les marques..........................................................................................................37
2. LES GRIEFS NOTIFIÉS LE 28 MARS 2019 .................................................................38
a) Grief n° 1 .................................................................................................. 38
b) Grief n° 2 .................................................................................................. 38
Dior et Safilo ........................................................................................................38
Safilo et les détaillants agréés pour la marque Dior ...........................................39
Luxottica et Chanel ..............................................................................................40
Luxottica et les détaillants agréés ........................................................................41
c) Grief n° 3 .................................................................................................. 42
Luxottica et Chanel ..............................................................................................42
Luxottica et les détaillants agréés ........................................................................43
LVMH Swiss Manufactures ................................................................................44
3. SYNTHÈSE DES GRIEFS NOTIFIÉS ............................................................................44
E. LA PRESCRIPTION DE CERTAINS GRIEFS NOTIFIÉS ....................................461. LE DROIT APPLICABLE ............................................................................................46
2. APPLICATION AU CAS DESPÈCE ..........................................................................47
F. LES PRATIQUES CONSTATÉES .............................................................................48
1. LA RESTRICTION DE LA LIBERTÉ TARIFAIRE DES DISTRIBUTEURS SAGISSANT DE
LA REVENTE AU DÉTAIL DES LUNETTES DE SOLEIL ET DES MONTURES DESLUNETTES DE VUE ....................................................................................................48
a)Optical Center et Safilo .......................................................................... 49
b)distributeurs ............................................................................................ 50
c) ...... 51 e) Le contrat de licence conclu entre Fred et Logo.................................................53 Les contrats de distribution sélective de TAG Heuer ..........................................53La diffusion de listes de prix de revente conseillés .............................................55
10 Les procédés mis en place par Logo pour faire respecter les prix de venteconseillés ..............................................................................................................55
..58 f) .......................................... 60 g)distributeurs ............................................................................................ 61
i) ................................ 63 j)La diffusion de prix conseillés .............................................................................65
Les incitations à appliquer les prix et coefficients diffusés ................................78
La surveillance des pratiques tarifaires des distributeurs ................................111 e des distributeurs qui ne respectaientpas les consignes de Luxottica ...........................................................................127
es de Luxottica........1452. INTERDICTION DE REVENTE EN LIGNE DES LUNETTES SOLAIRES ET DES
MONTURES DE LUNETTES DE VUE .........................................................................164
a) ...................... 165 reprochées à Logo .....................................................165 b) .............. 166 .............................166 vis-à-vis decertains de ses distributeurs ...............................................................................170
II. DISCUSSION ...................................................................................... 177
A. SUR LA PROCÉDURE ..............................................................................................177
1. SUR LE SECRET DES CORRESPONDANCES AVOCAT-CLIENT ................................177
a) Le droit applicable ................................................................................ 177
b) ............................................................... 1771. SUR LA DURÉE DE LA PROCÉDURE ........................................................................179
a) Le droit applicable ................................................................................ 179
b) ............................................................... 1802. SUR LA VIOLATION ALLÉGUÉE DE LA DÉCISION DE RENVOI N° 17-S-01 DU
24 FÉVRIER 2017 ....................................................................................................186
a) Le droit applicable ................................................................................ 186
b) ............................................................... 189 113. SUR LA CLARTÉ DES GRIEFS NOTIFIÉS .................................................................190
a) Le droit applicable ................................................................................ 190
b) ............................................................... 190 Sur le grief n° 1 de la notification de griefs du 13 février 2015 .......................190 Sur le grief n° 2 de la notification de griefs du 13 février 2015 .......................192 Sur le grief n° 2 de la notification de griefs du 28 mars 2019 ..........................1931. LE RAPPEL DES PRINCIPES APPLICABLES .............................................................193
2. APPLICATION AU CAS DESPÈCE ........................................................................195
C. SUR LES MARCHÉS PERTINENTS ......................................................................196
1. LE RAPPEL DES PRINCIPES APPLICABLES .............................................................196
2. APPLICATION AU CAS DESPÈCE ........................................................................196
D. SUR LE BIEN-FONDÉ DES GRIEFS NOTIFIÉS ..................................................1971. LA RESTRICTION DE LA LIBERTÉ TARIFAIRE DES DISTRIBUTEURS SAGISSANT DE
LA REVENTE AU DÉTAIL DES LUNETTES DE SOLEIL ET DES MONTURES DESLUNETTES DE VUE ..................................................................................................197
a) Rappel des principes applicables ......................................................... 197 ............200Sur la démonstration de la continuité de la pratique ........................................210
b) .................................................................. 2111 notifié le 13 février 2015 ............................................211
1 et n° 2 notifiés le 28 mars 2019 ...............................240
Conclusion sur la restriction de la liberté
la revente au détail des lunettes de soleil et des montures des lunettes de vue 2432. SUR LINTERDICTION DE REVENTE EN LIGNE DES LUNETTES SOLAIRES ET
MONTURES DE LUNETTES DE VUE .........................................................................243
a) Rappel des principes applicables ......................................................... 243 ................................243 rrence ............244 Sur la démonstration du caractère continu de la pratique ...............................248 b) .................................................................. 248avant) ..................................................................................................................248
12 Prada Linea Rossa, Dolce & Gabbana et Bulgari (voir le Tableau 54 ci-avant) ..................................................................................................................260
-avant)de lunettes de vue. ..............................................................................................267
E. ............................................................................................2671. RAPPEL DES PRINCIPES APPLICABLES ..................................................................267
a) b) ............ 2692. APPLICATION AU CAS DESPÈCE ...........................................................................269
a) ................................................................................. 269 b) ant de LVMH ............................................................................. 269 c) ................................................... 270nt de Chanel ..........................................................................................273
F. SUR LES SANCTIONS ..............................................................................................274
1. SUR LIMPOSITION DUNE SANCTION NULLE OU SYMBOLIQUE EN PRÉSENCE DE
PRATIQUES SANS PRÉCÉDENT OU JURIDIQUEMENT INCERTAINES .....................2742. AGISSANT DU GRIEF N° 1 NOTIFIÉ LE 13 FÉVRIER 2015 ...................................274
a) Sur la détermination du montant de base de la sanction .................. 274Sur la valeur des ventes .....................................................................................275
Sur la gravité des pratiques ...............................................................................277
Conclusion sur la proportion de la valeur des ventes .......................................283Sur la durée ........................................................................................................283
.................................284 Conclusion sur la détermination du montant de base ......................................284 b) .................................................. 285En ce qui concerne LVMH ................................................................................286
En ce qui concerne Logo ...................................................................................288
En ce qui concerne Luxottica ............................................................................288
2. AGISSANT DU GRIEF N° 3 DU 28 MARS 2019 ......................................................289
quotesdbs_dbs48.pdfusesText_48[PDF] Paragraphe Argumenté Pour Ou Contre La Peine De Mort
[PDF] Paragraphe argumenté Première Guerre mondiale
[PDF] Paragraphe Argumenté Réunification de l'Allemagne
[PDF] PARAGRAPHE ARGUMENTE s/ le regime autoritaire sous Napoleon
[PDF] paragraphe argumenté seconde guerre mondiale
[PDF] paragraphe argumenté seconde guerre mondiale 3ème
[PDF] paragraphe argumenté seconde guerre mondiale brevet
[PDF] paragraphe argumenté seconde guerre mondiale guerre d'anéantissement
[PDF] Paragraphe argumenté Sécurité et insécurité alimentaire au Brésil
[PDF] paragraphe argumenté ses
[PDF] Paragraphe Argumenté SES [Terminer ; Avis ]
[PDF] Paragraphe Argumenté sur "Expliquer l'évolution des grandes villes américaines à la fin du XXè siècle
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[PDF] Paragraphe argumenté sur "La citoyenneté romaine"